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Mais où étais-tu garnement ♦ Fenrir

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Lun 30 Juin 2014 - 0:04
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❝ Mais où étais-tu garnement ❞
~ Fenrir. & Lorelei. ~




C’est un jour ordinaire comme il en existe des milliers dans ce monde. Je me suis fait à cette existence petit à petit avec l’aide de ma famille. Ma famille retrouvée. J’ai retrouvé ceux que je chérissais avec bien plus de raison, Loki, ma sœur et les enfants. J’ai ainsi découvert en plus de l’existence de Sleipnir, à vire sur Midgard, utiliser leur piètre technologie, leur mode de vie même si tellement de chose me sont inconnus. Je ne connais qu’un quart de ce nouveau monde, comme si celui-ci ne se contenter que des Etats-Unis. J’avais bien du mal à m’imaginer le monde comme Loki me le montré sur une carte de géographie. Tout ceux-ci était abstrait pour moi. Pour moi qui a finalement vécu plus de temps une terre froide, une terre noir, Hellheim avait été mon royaume presque autant de temps qu’Asgard avait été ma maison, coupé des miens, coupé de la vie. Aujourd’hui je suis vivante pour la plus part des Asgardiens, par la bonté d’Hela qui ma ramener à la vie. Mais ici-bas les humains ne me connaissaient (pour la plus part) sous ce nom d’emprunt Mélodie Hagen, une bien jolies assistantes venu de Norvège travaillant pour Monsieur Liesmith. Mon rôle de femme fatale était un atout majeur pour Loki, envouté les signataires, ensorcelé et dupé les futurs collaborateurs qui hésiter à s’engagé pour son compte. Je suis la petite faille des hommes qui pense principalement argent, politique et femmes et très peut souvent avec leur cerveau.

Il est 19h je sors de la tour Liesmith, j’aurais pu me téléporter directement aux Burlesques. Pourquoi marcher dans ces rues grouillantes d’humains ? Je ne sais pas, quelque chose de plus fort que moi m’entraine à mettre mon nez dehors. Un besoin de marcher, de me mélanger à la foule, pour mieux comprendre les comportements humains qui me semble si différents par moment de nos coutumes asgardiennes. Alors je marche tranquillement dans la 5ème avenue. Je marche tranquillement, escarpin noir au pied, une jupe noir centré avec un haut sans manche en dentelle blanc, les cheveux attaché en chignon derrière ma tête. Effectivement à déambuler dans une grande avenue habillée comme cela je passe inaperçu. Ma tenue est digne d’une assistante qui côtoie énormément de gros clients mais aussi de mon goût pour les belles choses. Mon sac à main sur mon épaule, j’observe les gens dans l’avenue, malgré l’heure tardive qui arrive les gens continuent de se bousculer pour rentrer chez eux, faire les magasins, s’acheter de quoi grignoter aller au cinéma ou que sais-je. Je vous vois dire, une femme aussi bien habillée ne devrait pas trop trainer en ville le soir. C’est mal me connaitre que de croire que je crains quelque chose. Sous mes aires de jeunes femmes douce et fragile j’ai à mon acquis une force de 25 tonnes et pas que. J’attends le premier à vouloir me mettre la main aux fesses ou me piquer mon sac. Il a intérêt à courir très très vite et me semer car moi je ne le louperai pas.

J’arrive près d’un parc en plein centre de Manhattan que les humains appellent si je ne me trompe pas Central Park. Une odeur particulière me fait me stopper. En plein milieu de la rue où je marche. Je regarde derrière moi, au loin devant. Aucune personne que je ne connais, mais cette odeur me parle… je la connais et que trop bien. Ca ne sent pas l’humain mais une force que j’ai connue dans le passé. Une espèce de sensation à l’intérieur de moi, à force de regarder autour de moi, les midgardiens me prenait pour une parano sans doute. Je continue finalement de continuer mon chemin. Arrivé à l’entrée de Central Park cette sensation étrange de me faire épier me reprend… Ma respiration s’accélère, en général ça ne sent pas bon… Tant pis ma curiosité l’emporte. J’entre dans Central Park, l’air détendu comme si de rien n’était. Je marche tranquillement, portant une oreille attentive sur le moindre bruit, les bruits de pas, les craquements du sol, les rires, les chuchotements des passants. Je continue d’avancé, un bruit aux alentour bien trop rapide pour un humain normal… J’arrête mes pas, il n’y avait personne dans ce coin du park un peu plus sombre que le reste. Ça se déplace. Je fini par prendre une grande inspiration, et dire d’une voix soutenue mais basse.

« Qui est là ? »


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Lun 30 Juin 2014 - 12:11
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❝ running wolf

• feat. LORELEI •


 
   

Que fallait-il croire de ces récits divers & variés ? Quelle était dans ces assertions la part de l'imagination et celle de la vérité ? Ce qui contribué a jeter le trouble dans les esprits c'était la cupidités des alcooliques qui, parce qu'ils avaient vu allouer certaines indemnités à leur voisins et connaissance « attaqués » et apeurés  par la Bête, se donnaient quelquefois le rôle imaginaire de victimes pour attirer sur eux l'apitoiement de leur semblable. Et si ces fous aux allures de pantins désarticulés avaient raison, si une bête rodait belle et bien dans les ombres de Central Park ? En tout cas, aucun humain digne de ce nom, prétendant pourtant ne pas y croire, ne s'y était aventuré, de peur de véritablement tomber nez à truffe avec le monstre des légendes urbaines.

Cette rumeur, si bien tissé d'un peu trop de whiskey et de vodka mélangés, n'attirait l’œil de personne, si ce n'est quelques fouineurs aux appareils étranges qui pensaient capturer des images de la bête dans leur boite magique. Tu étais fier, puissant et c'est tapis dans l'ombre que tu avais belle langue et crocs a les terrifier sans jamais te montrer. Un grognement, que les plus braves auraient assimilé a un chien, était souvent suffisant pour faire gambader ces petits lapins d’étudiants. Fini les maisons hantées, venait plutôt tenter votre chance a Central Park une fois la nuit tombée. Tu te surprend encore a penser que tout ce remue ménage est devenu l'un de tes jeux favoris. Les Midgardiens sont d'une stupidité si étonnante qu'il t'était facile de les épier et de les effrayer sans bouger la moindre griffe. Où était donc leurs guerriers ? N'y avait-il donc personne d'assez courageux pour braver les ombres et venir jusqu'à toi ?

C'est avec cette idée de te trouver un adversaire a ta taille que tu commençais a glisser entre les ombres sous ta forme animale. Silencieux, docile, tu guettais la moindre forme se loger dans le parc. L’extérieure était tellement lumineux que l'espace d'un instant, cette ville d'homme te rappela Asgard. Nostalgie vicieuse et pas particulièrement agréable te soutira un grognement. Le début du parc était grouillant de visiteurs mais personne n'osait s'aventurer plus loin que l'orée claire dessiné par les lampadaires. Ne faisant plus qu'un avec l'obscurité de la nuit tu gardais un œil sur une silhouette bizarrement familière. Elle s’engouffra sans la moindre peur, tête haute et mine radieuse. Une femme, blonde, au parfum intime. Elle piqua ta curiosité, si bien, que tu te forçais a reprendre forme humaine dans le but de l'approcher. Vêtu de cuir, tu l'abordes sans gène. Les coutumes des humains t'étant inconnus, tu manques sans doute de délicatesse, de tact et bien sûr, de politesse. Mais qui se soucis de ça qu'en on s'avère être un monstre sanguinaire destiné a dévorer le père de toute chose ?

▬ Lorelei ? Inspires-tu entre deux crocs, ni trop sûr, ni trop douteux qu'il s'agisse là de la Lorelei que tu connais. Une chose est sûre, elle avait la prestance de celle que tu avais connu, la force et surtout, le parfum. Tu faisais souvent aveuglement confiance a ta truffe, elle ne pouvait se tromper en jugeant cette femme comme l'un des tiens. Une Asgardienne si étrangement vêtu, que père te pardonne si il s'agit là d'une totale inconnue.


   
•••

   
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Lun 30 Juin 2014 - 19:55
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❝ Mais où étais-tu garnement ❞
~ Fenrir. & Lorelei. ~




Cette odeur familière m’inspire la confiance. J’associe cette odeur à un quelconque bonheur, à une personne que j’apprécie que j’aime. Alors que je suis stoppé dans le Central Park, à l’affut du moindre bruit, de la moindre chose qui pourrait me dire de qui il s’agit. Je m’attendais à tout, mais jamais à ça. « Lorelei ? » Je reconnais cette voix. Je ne la connais que trop bien, elle a grandi, elle a murit. Je me tourne rapidement en direction de cette voix qui m’interpeller. Je me retrouve en face d’un jeune homme vêtu de cuir. Dans un premier bord je me demande qui il est. Mais s’il m’appelle Lorelei c’est que je le connais et très bien. C’est un Asgardien, il semble plus jeune que moi, sans réel notion des conventions ici-bas. Je m’approche pour mieux le voir dans la pénombre du début de soirée et des arbres. Sa silhouette et les traits de son visage se dessine bien plus nette.

Physiquement ce jeune homme ne me dit strictement rien. Je me rapproche encore, étrangement il a des traits physiques qui me rappellent … qui me rappelle ceux de Loki. J’hésite de nouveau à avancer me stoppant. Il ne s’agissait pas de mon petit Sleipnir, ni de Jörmungand… s’agissait-il de … C’est impossible est-ce bien lui ? Fenrir ? Mon petit loup ? Mon filleul. La dernière fois que je l’avais vu, nous étions venu le délivré de la prison dont il était enfermé depuis des siècles sous le regard d’Odin, le père de tous. Il était un loup enragé mené par la haine et la colère de pouvoir enfin retrouver la liberté depuis tant d’année. Je n’avais vu qu’une furie sortir de sa cage sans le voir plus que cela avat qui ne s’enfuit.

Je m’approche de lui, ça ne pouvait être que lui. Son odeur et cette sensation de le connaitre c’était lui, mon petit Fenrir. C’est idiot de dire cela mais il avait grandi. Il est devenu un jeune homme maintenant, un très beau jeune homme. Je me souviens encore le jour de sa naissance, il était un tout petit loup, un adorable petit loup aussi grand qu’un renard adulte. Je me souviens alors que j’étais encore une enfant l’avoir pris dans mes bras étant sa marraine. Jusqu’à la mort et toute ma vie il sera mon protéger, je suis sa marraine. Là pour veiller sur lui et le protéger. Et si je ne suis pas venu tous ces siècles près de lui dans sa prison c’est que j’étais morte. Je venais très souvent le voir jusqu’à ce que je perde la vie.

« Fenrir ? »

Ma voix est tremblante. Comme si je revoyais un mort, mais j’étais affreusement heureuse. De le savoir en vie. Qu’il était vivant, il semblait en bonne santé. Je m’approche de lui rapidement prenant son visage entre mes mains pour embrasser son front et le serrer très fort contre moi. J’étais tellement emplie de joie d’avoir retrouvé mon loup. J’allais pouvoir l’emmener en sécurité et m’occuper de lui. Il était en vie. « Laisse-moi te regarder mon petit cœur. » Je passe ma main dans ses cheveux, regardant son visage humain. C’est la première fois que je regarde Fenrir en humain. Que je revois Fenrir depuis des années aussi près. Je lui souris tellement contente de le voir et surtout en liberté. Je lui souris, je ne suis pas capable de faire autre chose, la joie déborde de mon visage.

« Qu’est-ce que tu fais là ? Tu vas bien ? Tu n’es pas blessé ? »


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Mer 2 Juil 2014 - 15:58
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❝ running wolf

• feat. LORELEI •


 
   

Tu n'avais pas hésité, et tu avais bien fait. Lorelei, ta marraine , d'aussi loin que tes souvenirs te permettaient de t'en rappeler, se trouvé là, juste là, a quelque pas seulement. Que le monde est petit sur Midgard, tu ne t'attendais pas a tomber sur elle. Elle brille de mille feu, comme le font peut de lys, elle est resplendissante, toujours aussi souriante et malgré le temps perdu, tu peux sentir en elle une aura protectrice et apaisante. Peut-être était-ce son parfum unique, qui reflété aussi les aspects des autres Asgardiens dont elle devait sans doute fréquenter. Sans pour autant mettre un nom sur chaque odeur, tu savais, au fond de toi, que ta famille était sécurité. Tu soupires alors, longuement et prend sur toi pour ne pas racler ta gorge d'un grognement fêtard.

C'est ainsi qu'elle prononça ton nom. La voix tremblante, tu sens son cœur s’accélérer, se briser presque dans sa poitrine quand elle grignote les mètres qui vous sépares. A méfiance n'est plus, envolée, dispersée, elle tend ses petites mains de femme vers ton visage et tu la laisse faire. Attention maternelle, des mots qui enchantes, qui apaisent. Lorelei n'était pas ta mère, mais c'était tout comme pour ton petit cœur en hérisson. De l'affection, tu en as toujours eu peu et c'est avec enthousiasme et sourire que tu acceptes ses caresses et ses questions que personne d'autre n'aurait  osés poser. La famille, c'est sacré pour toi. C'est essentiel.

« Qu’est-ce que tu fais là ? Tu vas bien ? Tu n’es pas blessé ? »Comment répondre a ça ? Tu ricanes, franchement, d'un sourire éclatant tu remontes l'une de tes mains sur la sienne pour lui caresser de ton pouce son dos de main. Tu es véritablement heureux et ça fait un moment que tes babines ne s'étaient pas étirées en sourire aussi prononcé.

▬  Je vais parfaitement bien. Personne ne vient vraiment m’embêter dans ce parc, c'est morne, mais dis moi Lorelei, comment vont mes frères?

C'est vrai ça. Comment allaient-ils ? Tu n'avais pas eu de nouvelle d'eux depuis que tu t'étais échappé, et ta sœur au même titre que ton père n'avaient pas eu l'obligeance de t'en parler. Peut-être était-ce ta fureur en poils noirs qui leurs avaient limité la parole. Peut-être que ce n'était pas le moment de t'en parler, peut-être qu'apprendre ce qu'ils étaient devenus t'aurait d'avantage fait grossir le poil et durant ce moment de tension, garder le silence avait été la meilleure des options.


   
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Dim 6 Juil 2014 - 11:36
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❝ Mais où étais-tu garnement ❞
~ Fenrir. & Lorelei. ~




Sa main se dépose sur la mienne, caressant de son pouce ma peau. Il sourit. Ca faisait si longtemps que je ne l’avais pas vu sourire. Il devait être un jeune garçon la dernière fois que j’avais eu le bonheur de voir un ses dents dans un moment de bonheur. Il semble bien se porter.  J’étais si contente de le voir hors d’une cage … c’est dans ce genre de moment que je hais Odin. C’est avec un réel plaisir que je lui couperai la gorge de mon épée. Un coup franc et sec pour jeter sa tête dans les eaux d’Asgard. Et laisser le nouveau seigneur régner sur notre royaume d’or. « Je vais parfaitement bien. Personne ne vient vraiment m’embêter dans ce parc, c'est morne, mais dis-moi Lorelei,  comment vont mes frères? » Je n’allais pas laisser mon filleul vivre comme un reclus dans un parc d’humain. Moi vivante jamais. Je retire doucement mes mains de son visage, voyant qu’il allait bien. J’ai toujours mon tendre sourire aux lèvres. Et de l’une de mes mains je garde la sienne entre mes doigts. Une manière de le garder près de moi et d’être là pour lui. Je ne l’ai jamais abandonné. C’est la mort qui nous a séparés. Mais je n’ai jamais cessé de penser à mon bout de choux. Comme au reste de la portée.

« Jörmungand et Sleipnir vont bien. Même très viens, ils vivent à New York ensemble. Je me mets à soupiré en le regardant. Fenrir … tu ne peux pas vivre ici. Si on venait à apprendre ton existence ici tu serais traquer on pourrait te faire du mal. Avec Amora et ton père on a un cabaret dans la ville, on y vit. Il y a là-bas assez de place pour toi. »

Je ne voulais pas qu’il vive dans un parc comme un animal. C’est un Asgardien, un des miens, il est comme mon petit je ne peux pas le laisser vagabondé comme ça mettant en péril sa vie comme celle des autres. Bien que la vie des humains m’importent peut. S’il venait à blessé un midgardien les représailles serait terrible pour lui. Et nous serions tous en danger. Je ne compte pas l’y emmener maintenant. Je veux d’abord rester un peu tranquille avec lui. S’il a besoin de parler, de s’exprimer s’il a des questions à me poser. Je serais là pour y répondre à l’abri des oreilles des autres. Juste de nous deux comme avant. Ignorant le rapport qu’il pouvait avoir vis-à-vis de son père. J’espérai qu’il me suivrait au Burlesque. Au moins pour avoir des habits plus midgardien, de quoi manger et se laver et dormir une nuit ou deux. C’est un homme maintenant bien que j’ai du mal à me le dire l’ayant vu naitre. Il ne m’appartient plus de décider pour lui je ne peux que l’aider. Et lui proposer mon aide et mon logis. S’il le voulait mon lit lui sera toujours ouvert pour dormir tous les deux comme quand nous étions enfants car en réalité je n’étais plus vieille que lui que de quelques décennies ce qui se révèle grand lorsque nous sommes enfants mais extrêmement proche une fois adulte. Il est le bienvenu dans mon cœur et chez moi et il le sera toujours.

« Cela fait combien de temps que tu es ici Fenrir ? »


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