Steve Rogers - Captain America

Le nouveau gouvernement.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Ce fut en 1920 que je vis le jour, à une époque fortement marquée par les atrocités engendrées par la guerre. Je vivais dans une petite maison située dans le quartier de Lower East Side avec mes parents, deux modestes employés d'une petite entreprise qui finirait tôt ou tard par déposer le bilan. Mon père était alcoolique, en fait, il aimait plus la boisson que nous. Chaque soir après l'école, j'entendais mes parents se disputer violemment à propos de cette addiction malsaine qu'il avait pour l'alcool, mais je faisais tout mon possible pour m'occuper l'esprit afin de penser à autre chose. J'aimais beaucoup ma mère, nous entretenions une relation particulière, presque fusionnelle, et jamais je n'oublierais tout ce qu'elle a fait pour moi. Je savais pertinemment que je pouvais toujours compter sur elle quoi qu'il arrive, j'étais tout pour elle, mais je voyais bien qu'elle souffrait et je m'en voulais de ne rien pouvoir faire pour elle. Cela faisait des années qu'elle avait perdu le sourire, en grande partie à cause du changement de comportement de son mari. En effet, ce dernier n'avait pas toujours été un pilier de bar, elle me l'avait d'ailleurs décrit comme un homme charmant et gentil à l'époque où elle l'avait rencontré.... Mais ce temps-là était désormais révolu. Je n'eus cependant pas à le supporter très longtemps car il mourut alors que je n'étais encore qu'un petit garçon.

Les années passèrent et je fêtai bientôt mes vingt-deux printemps. Ma maman avait été emportée par une pneumonie une année plus tôt, sûrement l'une des épreuves les plus difficiles que j'eus à endurer. J'étais encore jeune, j'avais toute la vie devant moi pour trouver ma voie dans ce vaste monde, pourtant, je n'étais déjà motivé que par une seule ambition; servir mon pays. Cette envie avait germé peu à peu dans mon esprit au cours des longues discussions que j'eus avec mon grand-père durant mon adolescence. Ce vieil homme était un vrai patriote, fier d'être américain et il avait fini par me transmettre ce désir d'œuvrer pour mon pays. A part lui, peu de gens étaient au courant de cela car à chaque fois que j'en parlais, je recevais des moqueries et des remarques désobligeantes à cause de ma taille et de ma carrure qui faisaient de moi un jeune homme ridiculement faible et incapable de la moindre prouesse physique.

Je postulai un peu partout, déterminé à devenir un soldat de l'armée américaine comme mon grand-père le fut avant moi, mais sans résultat. Croyez-moi, j'avais tout tenté, mais c'était chaque fois la même rengaine " Ce boulot n'est pas fait pour les mioches comme vous, cessez de me faire perdre mon temps ! " . J'étais désespéré de voir mon meilleur ami - James Barnes - partir à la guerre sans moi, lui qui avait été récemment promu sergent. Mais un beau jour, une chance inespérée se présenta à moi en la personne d'Abraham Erskine, un éminent scientifique qui travaillait sur un projet visant à créer un super-soldat pour lutter encore plus efficacement contre la menace nazie. Je n'étais au courant de rien au début, je pensais juste que mes efforts avaient enfin porté leurs fruits, que l'on avait enfin décidé de me donner ma chance, et en un sens ce n'était pas totalement faux. Le professeur Erskine cherchait juste à me tester, une mise à l'épreuve que je réussis haut la main