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Hey, hello Dearie — Pietro

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Sam 16 Mai 2015 - 17:28
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Hey, hello Dearie
Pietro & Lorelei
« La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments. C'est de les faire soupçonner. » Jules Barbey d’Aurevilly  Salazar


Allongé dans mon bain, je m’amuse avec les bulles de savons, les cheveux en chignon, l’eau à l’odeur de fleur exotique de ce monde. Je me prélasse de cette longue matinée de travail avec Loki enfin… John Liesmith. Maintenant qu’il avait le plein pouvoir sur les Etats-Uniens, forcément nous la famille passions en premier plan. Oui, les pires crapules d’Asgard s’occupent de gérer ce pays. N’ayez point peur midgardien nous ne vous mangerons pas. Je m’amuse à faire des bulles de savons avec mes doigts pleins de savons. Je fini par sortir de mon bain, m’enveloppant d’un peignoir doux et rouge. Je pianote quelque message à mes neveux sur le téléphone portable avant d’aller dans ma chambre pour choisir des vêtements pour sortir en public au Burlesque.

Passant pas loin d’une heure à chercher ce que j’allais porter. J’optai finalement pour un haut en voilage blanc légèrement transparent laissant entre voir mon soutien-gorge noir ainsi qu’une jupe moulante et cintré s’arrêtant mi-cuisse. Les cheveux détacher, finement maquillé d’un trait de crayon et d’un peu de rouge à lèvre j’enfile une paire d’escarpin noir matte et assiste sur mon lit je regarde l’heure qu’il est sur mon téléphone. Hum je vais certainement descendre, je me lève pour pousser les rideaux de ma fenêtre pour regarder le temps au dehors, la nuit va bientôt tomber. Je préfère descendre maintenant il n’y aura pas trop de monde je pourrais manger tranquillement. Je travers le couloir, et descendis à l’étage inférieur.

Le Burlesque est presque vide, il est 19h30. Quelque personne au comptoir, j’opte pour un grand sourire et un verre de whisky glaçon. Il me faut au moins ça pour pouvoir sentir un minimum le goût de l’alcool. Les boissons d’Asgard me manquent tellement pour cela. Je m’assure que tout se passe bien, ma sœur n’est pas ici et Loki … fait ces trucs de présidents pendant que moi je gère le lieu d’une main de velours. En faisant le tour, un serveur de mon établissement vient à me rencontre « Mademoiselle Hagen, un homme est venu pour vous voir, il est à l’entré. » Hum ? Un homme qui veut me voir ? Je me demande bien qui cela peut-être. Je me tourne, lui fais un sourire charmeur pour qu’il retourne travailler et me dirige vers l’entrer, mon verre en main. Mon regard se pose alors sur le jeune midgardien posté à l’entrée du cabaret. Pietro ! Un large sourire illumine mon visage alors que je le vois ici. Heureuse de le revoir parmi nous après la purge dans un climat bien plus… détendu.

« As-ce que je vois tu tiens t’es promesses, mon cher Pietro. »

Il m’avait promis de venir me voir quand le climat se serait posé. Pietro est un belle homme, agréable et je dois dire que je me suis pris un pris d’affection pour lui. Il me plait ce petit humain. Je m’approche de lui, ouvrant les bras pour le prendre ainsi contre moi. Le serrant délicatement pour ne pas broyer ses os. Je me détache, faisant signe à un de mes employés de venir.

« Tu te joins à moi pour manger, ça me ferait tellement plaisir. Préparer nous cette table là-bas pour mon ami et moi. Tu connais la maison fait ici comme chez toi tu es le bienvenue. »

Il faut dire que Pietro a vécu un petit moment ici comme clandestin. Je fis signe au garçon de préparer la table, une table un peu éloigner du reste des autres pour que l’on soit tranquille et que l’on puisse parler de choses personnelle et que la magie opère.




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Mar 2 Juin 2015 - 20:54
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Hey, hello dearie
   
Il est des soirs où je joue au héros malgré le fait que mon attache à la Confrérie devrait me limiter dans mes mouvements. Une entrave à l'entité la plus rapide de la planète. Non, pas de ça pour moi, je ne supporte pas de rester à ne rien faire d'autre que d’échafauder des plans à dormir debout. C'est peut-être moi, c'est peut-être les autres, n'empêche qu'écouter Raven parler, parler et parler encore me gave. Que le temps est lent et long et pénible ce soir. D'un coup d'oeil rapide à ma montre, je vois qu'il n'est pas encore 19h00. Mon dieu, combien de temps avant encore avant qu'elle ne la boucle ? Je n'écoute pas un mot de ce qu'elle raconte, probablement du budget, ou peut-être des informations importantes sur blablabla. Des conneries.

Ma soeur est absente ce soir à la réunion, le père qui m'a poussé à rejoindre les rangs de la Confrérie pour la dette qu'il me fila est parti, qu'est-ce qui me retient d'ailleurs ? Sautant sur mes jambes, tout le monde me dévisage. J'étais amorphe depuis dix bonnes minutes et cela a dû les choquer de voir le Vif-Argent beaucoup moins vif que d'habitude. Le regard torve de Raven me file des frissons. Bien qu'elle soit canon, je n'irais jamais la draguer celle-là. M'excusant ("je me sens pas bien blablabla"), je quitte la pièce à une vitesse normale avant de filer à toute allure vers ma chambre. Ouais, ma chambre, j'ai quinze ans et suis un enfant modèle. Non, je déconne, c'est juste qu'avec cette histoire de Confrérie et de robots tueurs de mutants de retour et d'attaques bizarre dans le pays, il a été décidé de se cloîtrer. La belle jambe, j'ai besoin de courir, ne serait-ce qu'un petit peu, pour me détendre. Enfilant mes plus belles baskets, je sors en faisant fit des gardes, pas assez rapides malgré leurs mutations.

M'arrêtant en bordure de la ville, je regarde la vie dans ses rues. Quelle beauté. J'adore voir cette vie de loin, voir la fourmilière qui continue malgré  le temps qui passe, malgré les horreurs qui sont commis chaque jour. 19h20. Ma soeur n'a pas prévu d'être là ce soir et je dois avouer que je suis bien perdu sans elle pour me tenir compagnie. Qu'est-ce qu'il y a à faire ?  Un pays à visiter ? Boarf, pas envie. Frapper quelques criminels ? Tout pareil. C'est alors que ça fait tilt dans mon esprit et que je revois sa formidable chevelure blonde. Mais oui tiens, faisons ça.

Repassant en trombe devant les gardes en leur déposant une glace à chacun dans les mains, je me change en vitesse, me lave aussi vite et enfile une tenue correcte pour l'endroit où je me rends ce soir. Le Burlesque, lieu qui sauva la vie à de nombreux mutants durant les horreurs de l'an dernier. Que le temps passe vite.

19h30. Je ne frappe pas, j'entre. Je m'arrête à l'entrée et demande la maitresse des lieux, du moins, je demande Miss Hagen. Me faisant attendre, je pénètre enfin dans le cabaret et peux admirer la fameuse blonde qui vient vers moi.

- A ce que je vois, tu tiens tes promesses, mon cher Pietro. La voix de la femme est douce à l'oreille et lorsqu'elle m'étreint, je sens mes sens qui chavirent.
- Tout le plaisir est pour moi, votre aide, Miss Hagen, fut des plus bienvenus durant la Purge. Je lui rend son sourire en la laissant me libérer de son étreinte. Je fus l'un des rescapés du Burlesque durant la Purge et bien que mes blessures n'aient été que superficielles, un nombre inimaginable de mutants sont encore là grâce à la bienveillance des gérantes de cette établissement. Une dette étant une dette et une promesse, une promesse, il me faut maintenant l'honorer.
- Tu te joins à moi pour manger, ça me ferait tellement plaisir. Préparez nous cette table là-bas pour mon ami et moi. Tu connais la maison, fait ici comme chez toi, tu es le bienvenu.
- C'est vrai ? Je peux ? Je pointe le bar d'un geste pragmatique et remarquant son verre, du whisky sans doute à la couleur, je fais l'aller retour en un battement de cil, portant son verre et le mien, parfaitement immobiles malgré le déplacement qu'ils viennent de subir. Mon regard s'attarde sur la bouteille qui tournoie sur la table, que je m'empresse d'arrêter d'un nouveau déplacement. Merci pour l'invitation d'ailleurs. Aaaah, la fougue de la jeunesse comme me disent les vieux mutants. Tendant mon bras en direction de la belle blonde, je prend la direction de la table qu'ils dressent pour nous puis écarte sa chaise avant de prendre place sur la mienne. J'espère ne pas vous avoir dérangée. »

Malgré les nombreuses années passées ici aux Etats-Unis, mon accent ressort par moment, je n'y peux rien, je pense que je ne le perdrais jamais. C'est d'ailleurs que je l'aime mon accent, il fait partie de moi, comme ma vitesse. Espérons simplement que mon hôte de ce soir n'en soit pas gênée.
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crackle bones
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Dim 7 Juin 2015 - 23:58
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Hey, hello Dearie
Pietro & Lorelei
« La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments. C'est de les faire soupçonner. » Jules Barbey d’Aurevilly  Salazar


Je lâche délicatement Pietro de ma savoureuse étreinte. « Tout le plaisir est pour moi, votre aide, Miss Hagen, fut des plus bienvenus durant la Purge. » Je lui offre un grand sourire en échange. Comme si m’occupé de tous ces humains avaient été une partie de plaisir. Je n’aime pas les humains certes mais je dois dire que je préfère largement les mutants. Ils sont l’évolution de ce monde pauvre et fragile. Tout comme nous leur génétique va changer pour devenir meilleur, devenir des êtres à en devenir. Grand et fort. Prêt à se défendre contre toutes les menaces que peut leur réserver l’univers. « Voyons Pietro, tu n’as pas à me remercier. C’est avec un profond plaisir que ma sœur et moi avons fait tout cela. » Comment dore autrement. Après tout cela nous a permis également de nous rapprocher elle et moi et de découvrir la cruauté humaine. Sous sa forme la plus vil et la plus destructrice. Tuant leur semblable sous une même idée, la peur de l’inconnu. Que cette espèce inférieure disparaisse au plus vite pour laisser des personnes comme Pietro ou d’autre mutant des hommes libres.

Je le regarde, contemplant qu’il n’avait plus aucune cicatrice et qu’il avait l’air de se porter à merveille. Je lui propose alors de dîner avec moi. Je n’ai pas grand-chose à faire pour tout dire, ne dormant qu’une ou deux heures par nuit grâce à ma condition d’asgardienne je passe énormément de temps entre la tour L et le Burlesque pour travailler et faire du shoping entre temps. En même temps je vais bientôt avoir un nouveau neuve qui va voir le jour il faut tout préparer pour son arriver. Et accro de tous ses petits objets midgardien autour des bébés… ça nous rend un peu dingo ! « C'est vrai ? Je peux ? »  J’ai un léger rire à sa réaction. Comme celle d’un enfant à qui on lui permet de faire la grande bêtise de tous les temps. Et à voir où son regard se tourne je comprends que sa prochaine cible sera le bar. « Bien sûr, prend ce que tu veux. » En un mouvement de cil je me retrouve avec un verre de nouveau plein, mon compagnon de dîner un verre également à la main. Il pouvait prendre ce qu’il voulait et aucune note ne serait retenue sur son nom. C’est tout pour moi.
Il retourne stopper la bouteille qui tournoie sur la table du comptoir alors que le serveur n’avait absolument rien vu de ce qui venait de ce passé à deux mètres de lui. « Tu n’as pas perdu de ta vitesse. » Lui dis-je avec un clin d’œil plutôt aguicheur.

Il me tend son bras que j’entour du mien en marchant tranquillement vers notre table qui se prépare par les serveurs. « Merci pour l'invitation d'ailleurs. Il me tire ma chaise avec une grande classe pour que je m’y assoie. Je lui souris, déposant mon verre sur la table. Installé, je lui souris pendant qu’il s’assoit en face de moi.

« C’est avec plaisir Pietro. Tu viens quand tu le désires. » Je bois une nouvelle gorgé de mon liquide d’ambre. La chaleur de l’alcool effleure légèrement mon palais comme si je buvais de l’eau légèrement aromatisé par un sirop. « J'espère ne pas vous avoir dérangée. »  je dépose mon verre sur la table, toujours le sourire aux lèvres. Je passe ma main dans mes cheveux en levant les yeux aux ciels.

« Tu vas finir par me déranger si tu continues à me vouvoyé comme un de tes ancêtres. » J’ai 3 000 ans mais quand même. Je ne veux pas être un aïeul. Après je peux comprendre que parler à Mélodi Hagen, propriétaire d’un cabaret, une personne qui nous a sauver la vie et qui travail pour le Président ça peut faire peur mais bon… après avoir soigner les bobos de Pietro et l’avoir cacher comme bon nombre d’autre personne. Je pense que le vouvoiement n’est pas vraiment de rigueur maintenant  ici. « Tu ne me déranges pas du tout. Je suis contente de t’avoir à ma table et de voir que tu vas bien. Vraiment ça me fait plaisir et je ne refuse jamais une aussi bonne compagnie. » Comme je n’ai pas grand-chose à faire je suis toujours partante pour sortir, voir du monde et surtout m’entouré de personne aussi intéressante intellectuellement et visuellement que Pietro.  Faut bien l’avoué et le dire. Je le dévore un peu des yeux.

Le cuisinier vient en personne nous apporter le menu, précisant qu’il pouvait faire tout ce que l’on voulait. Voilà ce que je n’aime pas avec les humains. Ce besoin de toujours vouloir en faire trop et plus pour ne pas être virer ou je ne sais quoi. Comme si j’étais une patronne tyrannique ?!  Je suis simplement manipulatrice ce n’est pas pareille. Je mène mon petit monde à la baguette de mes œillades langoureuses et mes envoutements. Je lui adresse un sourire en prenant la carte sans rien dire. Lui jetant un regard en signe qu’il pouvait disposer. Je dépose la carte sur la table. Connaissant le menu de soirée que j’allais prendre. « Tu prends ce que tu veux, fait toi plaisir. » Je suppose que dans son truc de mutant à la X-men ou je ne sais quoi encore comme nom ils ne doivent pas aussi bien manger qu’ici. Mais regarder moi ce petit amour, donner lui à manger où vous allez le tuer de famine ! Je plis mes jambes glissant mon doigt sur le rebord du verre le laissant glisser en rond.

« Alors, comment se passe ta jeune vie de mutant désormais ? » Curieuse de savoir si mon petit protéger ne manqué de rien et s’il allait bien dans sa nouvelle vie d’homme libre.




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Lun 8 Juin 2015 - 19:51
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Hey, hello dearie
   
- Voyons Pietro, tu n’as pas à me remercier. C’est avec un profond plaisir que ma sœur et moi avons fait tout cela. Je ne sais que répondre d'autre à Mélodie, je suis simplement que son plaisir, que leur plaisir à elle et Sarah ait été de sauver des âmes en peine durant une période difficile. Tout aurait pu être différent sans le Burlesque et sa cache.

Tandis que nous prenons place à table, je rougis légèrement à sa remarque. Que je vienne quand je veux, qu'elle ne me dise pas cela, je passerais mes soirées ici plutôt que dans l'antre de la Confrérie. Il faudrait que j'amène également Wanda ici, changer d'air lui ferait du bien. J'ai une pensée pour ma jumelle, dont j'ignore la localisation et cela n'est pas sans me laisser une ombre sur le coeur. Et s'il lui arrivait du mal ? Je sais qu'elle peut se défendre, mais je ne pourrais jamais cesser de m'inquiéter pour elle.

Mon visage déjà ravi se pourfend d'un sourire espiègle quand elle me dit désirer que je la tutoie. C'est une sale manie que j'ai ici, l'impression de devoir beaucoup à beaucoup trop de gens, ce qui me pousse à une politesse bien souvent feinte. Pas ici en tout cas, mon coeur et mon âme sont les dépositaires de Mélodie Hagen.

- Il faudra un certain temps d'adaptation, j'en ai peur. Je joue avec un coin de la serviette que le serveur a déposé sur la table pour la dresser. Bien que la compagnie de la blonde soit agréable, ma tendance à vite m'ennuyer me prend, les choses sont parfois très lentes pour quelqu'un comme moi. Essayons de nous détendre un peu, d'aller un peu moins vite, c'est ce que me dit Wanda souvent, quand elle sent que cela me tiraille de vouloir accélérer là où il n'y en a pas le besoin. Je vo... Te retourne le compliment, dit-je en relevant les yeux sur Mélodie. Il est vrai qu'entre Mystique "Butons les tous" et ses suppôts de la Confrérie, je passe rarement du temps avec des gens qui m'intéressent vraiment. Je ne parle pas de Wanda, bien sûr.

Le regard pétillant de la gérante de l'endroit me détaille et cela me mets assez mal à l'aise au final. Je n'appartiens pas à sa caste, aux gens de la haute, et son regard imperturbable me scrutant me fait penser le pire. Des compliments cachant un sombre dessin ? Ou peut-être ai-je déjà mal agi sans m'en rendre compte, ce n'est pas rare, avec cette super-vitesse. L'arrivée du cuisinier est une aubaine pour moi et mon regard se décroche de celui de Mélodie pour se fixer un instant sur le cuistot pour repartir, finalement très rapidement, sur mon hôtesse.

Mon estomac pousse un grognement de satisfaction en entendant "Fait toi plaisir." Comme pour le verre, il ne faudra pas le dire deux fois. Je retourne ce qui me sert de cerveau et la réponse m'apparait comme une évidence.

- Je prendrais ce que prendra Miss Hagen, sauf pour le plat, un goulash d'agneau, si c'est possible. Ma voix n'est pas hésitante, bien que la tournure de phrase laisse penser que j'accepterais autre chose que ce plat qui m'accompagna durant une grande partie de ma vie, l'agneau souvent remplacé par d'autres viandes, moins tendres. Je tente d'arrêter de jouer avec ma serviette pour me concentrer sur Mélodie.

- Alors, comment se passe ta jeune vie de mutant désormais ? Je hausse des épaules, n'étant pas supposé parler des activités de la Confrérie hors de la Confrérie. Un véritable fight club, sauf qu'elle existe bien, la Confrérie.
- Je m'adapte comme je peux. Il y a beaucoup de choses que je ne comprend pas dans votre pays, mais comme je peux partir comme je le veux, je ne me sens pas coincé, je me balade, profite de la vie. Qu'est-ce qui te prend, Pietro ? La prochaine étape est de parler de ton possible départ de la bande des confréristes ? Que tu souhaites retourner dans ton village natal pour élever des chèvres loin de ce bordel qu'est l'Amérique ? Mon sourire ne quitte pas mon visage, mes yeux ne quitte pas son visage. Quelle chance quand même, d'avoir réussi à se faire connaître de la gérante d'un cabaret, qui plus est, proche du président en personne.

- Et v... toi, les affaires ? D'un mouvement de la tête, je désigne la salle relativement vide. Peut-être est-il trop tôt pour venir au cabaret ? Je n'en sais rien, mes seuls souvenirs de cette salle sont une salle presque vide, et des caves remplies, remplies de mes frères et soeurs mutants blessés, mourants. Je plisse des yeux en repassant dans ma mémoire cette douloureuse période. Jamais plus je ne laisserais cela faire, même si je dois en crever. D'ailleurs, je ne vois pas ta soeur dans les parages... En me penchant en avant, mon sourire reprend son côté espiègle. En train de comploter avec le président ? J'espère que Mélodie ne prendra pas mal mon humour, j'ai déjà choqué quelques personnes, bizarrement, les gens avec un accent et mutants de surcroit non pas le droit de rire du pays qui les a accueilli. Au diable ceux qui pensent cela !
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crackle bones
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Lun 8 Juin 2015 - 23:44
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Hey, hello Dearie
Pietro & Lorelei
« La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments. C'est de les faire soupçonner. » Jules Barbey d’Aurevilly  Salazar


Je le vois rougir. Ça me fait sourire, ça m’amuse mais sans arrière-pensée vilaine. Il ressemble à la fois à un petit garçon, timide devant une femme tel que moi et en même temps à un homme puissant, capable d’enduré les pires choses et de bravé des montagnes. «  Il faudra un certain temps d'adaptation, j'en ai peur. » Je lui souris, finissant mon verre de Whisky d’une gorgée. Je ne le mangerai pas si c’est de ça qu’il a peur, je ne mange pas les humains, seulement les animaux. Sur ce je me tais car certains d’entre nous dirons humain, animaux… qu’elle différence ? Et je les rejoindrais sur certain point. La Purge, le principe même… ce n’est pas de la barbarie ? C’est ce comporté comme un animal. « Je vo... Te retourne le compliment. » Je le regarde du coin des yeux en ajoutant.

« Tu vois ce n’est pas si difficile. » Je voulais essayer de le détendre. Je le trouve un peu… intimidé. Est-ce peut-être ma prestance ? Oui je sais j’ai de la classe mais je peux me la jouer beaucoup plus cool en réalité. Je suis dans mon établissement je me dois de montré bonne figure. Sinon dans le fond je suis une grande enfant, une gamine qui ne pense qu’à jouer avec ce qu’elle trouve qu’importe les sentiments des gens bien que je me sois calmé. Mais j’adore faire des choses inconsidéré. Comment je fais pour me tenir à carreau ici ? Deux personnes … Loki, Amora. Si je déraille ils m’attendront au tournant pour me sermonner comme une petite fille de 300 ans et que c’est pas bien et blabla et blabla et puis je vous assure que la mort ça calme !

« Tu as peur de moi ? J’espère que je ne t’intimide pas… tu sais je ne vais pas te manger. J’ai soigné tes petits bobos si j’avais voulu te tuer je l’aurais fait il y a longtemps. » Je n’avais pu retenir cela de ma bouche. Je me mets à rire. Surtout me connaissant. Quand j’ai une idée en tête je suis assez buté et je fonce dedans. Je l’aurais transformé en statu de pierre, je l’aurais ensorcelé ou je ne sais quoi encore ! Il ne serait pas sorti de la cave aussi pimpant ! J’espérais finalement que mon entrain allait le décoincer. C’est l’estomac de Pietro qui me fait relever les yeux vers lui alors que je regardais le cuisinier. Je pouffe légèrement de rire laissant tombé mon dos contre le dossier de ma chaise, détournant le regard sur le sol pour ne pas me moquer de lui et de son ventre criant je veux je veux donne-moi ! Il choisit son plat, j’arque un sourcil, ne connaissant pas cette étrange appellation de nourriture… certainement quelque chose de son pays. Je me tourne vers le cuisinier « Oui tout à a fait monsieur. Et vous Mademoiselle Hagen ? – Comme d’habitude le menu de soirée. » Entre foie gras de canard, salade de st jacques et un plat de Saumon cuit j’aurais de quoi faire.

J’entame la discussion sur la nouvelle vie de Pietro. Ça doit être apaisant d’être de nouveau un homme libre. Et je sais à quel point être libre est la plus belle chose du monde. J’ai pu voir au travers du regard de Hela, ma sœur enfermé dans une cage doré, mon filleule enfermé comme une bête sauvage sans pouvoir lui porté que seul secours à manger et un peu de tendresse. De plus être enfermé dans le royaume de Hel comme une prisonnière car on est mort… je crois que c’est la pire des choses, de voir les gens que l’on aime, loin de nous… J’ai haie du plus profond de mon être Seth lorsqu’il m’a envoyé combattre mon propre peuple en envoutant mon propre corps. Je tuerai un jour ce bâtard de chien. « Je m'adapte comme je peux. Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas dans votre pays, mais comme je peux partir comme je le veux, je ne me sens pas coincé, je me balade, profite de la vie. » Je lui souris, tout simplement. Contente de savoir qu’il est heureux et qu’il se sent bien. Hé ho jeune fille commence pas à t’attacher aux gens tu sais comment ça finie après. Très peu d’homme au final reste pour sa poitrine et sa beauté au détriment de ce qu’elle est derrière cet apparat de beauté que lui a offert la nature.

« Je suis ravis pour toi. Profite autant que tu le peux, la vie est bien trop court pour ne pas en profiter ! » La mort ma rendu sage sur ce point-là. Je remarque qu’il a le sourire attaché sur les lèvres et qu’il me regarde tout du long. Je tourne légèrement les yeux vers mon verre vide, comme si j’étais un peu timide de toute l’attention qu’il me porte. Pietro est le genre de jeune homme qu’on a envie de prendre dans ses bras, de plaquer au sol, rouler par terre pour s’amuser et deux seconde après l’embrasser car on ne peut pas lui faire la tête trop longtemps. Il a ce regard espiègle et à la fois qui attend de la tendresse tout en restant sur ces gardes. Ce serait mentir que de dire qu’il ne m’est pas indifférent, j’aime les hommes qui se détachent du lot des hommes banals que je mange pour mon 4h et que je vire à grand coup de pied par lassitude. Il est le genre d’homme que j’ai toujours voulu par son détachement, sa différence mais que je n’ai jamais réussi à avoir de ma longue existence.  « Et v... toi, les affaires ? » Je jette un bref coup d’œil en direction de la grande salle encore vide. Il ne doit être que 20h et encore. Les danseuses se préparent dans les logent, ça s’actives dans les cuisines, les tables sont dressés. Nous on est à l’étage tranquille, l’espèce de coin VIP. Vu sur le Burlesque, loin des innombrables personnes qui vont venir et de tous ses hommes pleins de fric comme disent les midgardiens payant pour regarder des femmes à moitié nu se dandiner.

« Je n’ai pas à me plaindre, tout va bien. C’est pas aussi mouvement que les dernières moi mais c’est pas plus mal, j’aime pas savoir qu’il y a des gens cachés dans ma cave. Et puis avec la réputation qu’à prit l’établissement avec notre nouveau Président et les évènements… je ne peux pas dire que je suis mécontente de ma nouvelle clientèle. » Il a l’air de repenser à ce qui s’est passé. J’imagine que ce doit être douloureux… comme pour chacun d’entre eux, tout comme nous Asgardien lorsque notre monde est en guerre et que nous perdons nos proches. La mort, la peur ce n’est jamais agréable de revivre ce qui est cauchemar quand nous y avons survécu. Je dépose ma main sur la sienne, en la serrant doucement, un sourire rassurant. « Ca va aller. Je te le promets, ça n’arrivera plus jamais. » Et si je dois tuer chacun de ces humains contre les mutants je le ferai sans remords en plus ! Je sais que Loki est du côté des mutants, c’est l’évolution. Et puis je suis une proche du Président/Loki et membre de son gouvernement le premier à dire mutant avec une phrase négative il faudra plusieurs Jothun pour me barrer la route avant que mes mains n’entour son fébrile cou d’humain.

« D'ailleurs, je ne vois pas ta sœur dans les parages... En train de comploter avec le président ? » Je ne peux me retenir de rire. M’avançant également vers lui, pour lui dire à voix basse. « Qui sait peut-être ?! » Je lui fais un clin d’œil espiègle pour lui répondre avec humour. Ça leur plait ça au humain les complots, les trahisons, les vies à la super espion. Je reste accoudé sur le table et lui dit gardant mon air amusé et légèrement enfantin. « Elle est de sorti, pour affaire. C’est moi qui tiens les rênes ce soir. » Bien sûr qu’elle doit être en train de comploté avec lui ou avec un autre asgardien… ou alors elle s’envoi en l’air avec ce qu’elle a pu se trouver sous la dent. Je ne m’inquiète pas vraiment pour ma sœur. Ça n’a jamais été rose pour nous il fut une vieille époque mais je sais qu’elle ne craint rien. Elle doit certainement être à la tour L. Hum je l’imagine bien ce tapé une envie euphorisante de vêtement et s’être téléporté sur Paris ou Milan pour faire les boutiques.

« Alors tu penses qu’on est des comploteuses ? Intéressant. » Je le lance sur ce sujet, le trouvant drôle. Je suis curieuse de savoir ce que pense Pietro de nous même si je me doute qu’il faisait de l’humour. Vu son air si amoureux de reconnaissance envers moi.

Le serveur arrive avec nos entrés, qu’il dépose en face de nous. Un autre serveur arrive avec un seau de glace contenant une bouteille de champagne et une bouteille de vin rouge. Je leur fais un signe de tête pour les remercier. Je sors la bouteille de rouge pour servir un verre à Pietro ainsi qu’à moi en disant. « Tu m’avais parlé d’une sœur jumelle. Elle n’est pas avec toi ? N’hésite pas à l’amener ici la prochaine fois que tu viendras me voir. » Vous savez le genre de phrase qui veux aussi dire d’un air langoureux, parce que tu vas revenir me voir hein ? Avec des yeux brillants et tendre.




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