"Mais qu'est-ce que tu crois? Tout est tracé l'avance, on a pas le choix!" ♪ Zoey

Prénom/pseudoLenaAge19 ansCode règlement :43: [Ok Bambi]

Pv, scénario, perso marvel ou inventéInventéComment as-tu atterri ici ?Grâce à mon papa Fréquence de connexionJ'essaye tous les jours, mais quand je suis vraiment pas dispo c'est surtout le week end

RemarquesJ'ai hâte de RP avec vous

Je vous avoue que, j'ai peut être 19 ans, mais je ne me sens pas encore tellement concernée par la politique. En fait, je trouve ça super compliqué, et pour moi, peu importe qui se trouve au pouvoir, c'est tous des hypocrites qui veulent juste avoir encore plus d'argent qu'ils en ont déjà. Alors bon, même s'ils font des trucs bien comme mettre fin à la Grande Purge, pour moi, ils ont tous quelque chose derrière la tête et leurs intentions seront toujours malhonnêtes. Donc non, je n'approuve pas ce gouvernement plus qu'un autre, mais je ne vais pas pour autant me mettre à protester contre. D'une façon ou d'une autre, je suis assez neutre, et je laisse les choses se faire pour l'instant. Après, ce n'est pas dis que mon avis change.

Oh oui que ça me dit quelque chose. Les gens que je considéraient comme mes amis à l'époque me l'ont même sortis comme insulte quand je leur ais dis que je me rendais à l'Institut Xavier après avoir accidentellement disparue dans l'ombre. Je dois vous avouez que je l'ai assez mal pris. Mais bon, maintenant, avec toutes les anormalités qui se passent, on insulte d'inhumain un peu n'importe qui, et pour moi, ce mot n'a plus vraiment de sens. Surtout qu'on est tous humains au fond de nous, certains plus que d'autres peut être, mais ça ne change pas le fait que nous le sommes, même si on vient d'une autre planète. Du coup pour moi ce mot n'a tout simplement plus aucun sens en vue des circonstances d'aujourd'hui, de notre histoire et du monde dans lequel nous vivons. Il devrait tout simplement être rayé du dictionnaire une bonne fois pour toute.

Je n'étais pas sur place au moment de l'attaque, et bien heureusement. Mais après coup, je l'ai très mal vécue. J'avais passée une grande partie de ma vie à New York, pour ne pas dire la totalité. Et c'était aussi la seule ville qui me donnait encore un véritable lien avec ma mère. Alors quand j'ai appris que je ne pourrais plus y retourner... Et bien, j'ai pétée une crise. Je me suis mise à pleurer toutes les larmes de mon corps en insultant le monde entier et le destin qui avait un malin plaisir de s'acharner sur mon sort. Puis j'ai finis par me calmer. Et même si New York me manque, je me dis que c'est seulement temporaire et que les choses finirons peut être par changer dans un futur assez proche. En tout cas je l'espère.

     Je vais d'abord vous parler de mes parents, avant de vous parler de mon histoire, parce que c'est quand même important, sans eux je ne serais pas là! Ma mère s'appelle donc Allison, et il faut bien l'avouer, c'était une très belle femme, et en plus elle était très photogénique, quelle chance! Dommage que je n'ai pas un peu plus hérité d'elle de ce côté là. Mon père lui, s'appelle Michael et... C'est un vrai rat de bibliothèque! Enfin, pas vraiment au sens propre du terme, mais il adore lire, et il m'a d'ailleurs transmit cette passion pour les livres, mais ceux en papier hein, pas les liseuses, je déteste ça! Je n'étonnerait personne d'ailleurs en vous disant qu'ils se sont rencontrés en fac de lettres, là où ils faisaient leur études. Et même si ce n'était pas vraiment gagné au début, ils ont quand même finis par se rapprocher et par tomber amoureux. Ils se sont même mariés d'ailleurs! Comme quoi rien n'est impossible.

C'est donc avec la plus grande joie que le 5 septembre 1996, ce petit couple adorable a accueillit son premier et seul enfant. Oui, je parle bien de moi, en effet. Une petite fille blonde toute mignonne. Enfin, sans vouloir me vanter, j'adore juste les photos de moi quand j'étais petites, même si certains de mes fringues craignaient assez, mais je pense juste que ma mère aimait jouer à la poupée avec moi et me faire essayer n'importe quoi. Du coup je ne lui en voulais pas, et de toute façon j'allais certainement faire la même chose avec mes enfants, si j'en ais un jour! Mon père vous l'a peut être déjà dit, mais j'étais une petite fille sans problèmes, obéissante et tout ce qu'il faut, avec tout un tas d'amis. J'étais heureuse, oui, ça c'est sûr. Mais la roue finit toujours par tourner et je m'en suis rapidement rendue compte.

C'était l'année de mes treize ans, une journée tout à fait comme une autre, où je m'étais rendue à l'école, rêvée quelques minutes en cours, discutée avec mes amis, et où j'étais rentrée vers seize heures, comme pratiquement tous les jours. Mon père était d'ailleurs à la maison, et je m'étais installée sur le plan de travail pour faire mes devoirs tandis qu'il buvait son café, comme souvent. Puis il m'a fait la remarque que je devrais peut être penser à ranger ma chambre. Et là... Je sais pas, je devais être mal vissé le jour là, ou je m'étais peut être levée du pied gauche, allez savoir! Ca m'a mis en colère, cette histoire de rangement de chambre, surtout que je ne la trouvais pas tellement en bazar, il n'y avait que quelques trucs qui traînaient par terre, mais sans plus. Sauf qu'on peut nettement pas piquer une crise de colère à ses parents, surtout pour si peu. Et du coup... J'ai littéralement disparue dans l'ombre du mur juste à côté de moi. Et le pire c'est que je ne m'en étais même pas rendue compte. En tout cas, mon père a eut le temps de le remarquer, même si ça n'a pas durer bien longtemps.

Après tout ça, on a tout raconté à ma mère dès qu'elle est rentrée, et on est tous les trois tombés d'accord sur un point: je ne pouvais pas rester vivre ici au risque de créer une catastrophe. C'est donc en parfait accord que mes parents ont procédés à mon inscription à l'Institut Xavier. Bien sûr, je n'allais pas partir sans prévenir mes amis, et je leur ais d'ailleurs donnés rendez vous pas très loin de chez moi pour tout le expliquer et leur dire que je devais partir, mais qu'on pourrait toujours garder contact. Sauf que je me suis littéralement fais jeter comme une chaussette, et qu'ils m'ont tous traiter de monstre. Autant vous dire que je l'ai très mal pris, et que j'en ais même pleuré sur le chemin du retour. Je partais vivre dans un nouvel endroit, et j'avais perdue tous mes amis. Super, vraiment.

Je me suis donc assez rapidement rendue à l'Institut et mon intégration s'est plutôt bien passée. On avait tous à peu près la même histoire, au niveau de nos pouvoirs, alors c'était assez facile de se comprendre, et puis, à part certains avec qui je ne m'entendais pas spécialement très bien, ça pouvait aller. On ne peut pas aimer tout le monde de toute façon, et avec mon caractère, je ne pouvais pas faire semblant, quand je n'aimais pas quelqu'un, je le lui faisais savoir, comme ça on était tous fixés. En tout cas, les gens avec qui je m'entendais bien aimaient autant faire des farces que moi, et on hésitait pas tellement pour en faire d'ailleurs! Le directeur a même faillit appeler mes parents une fois pour mes "problèmes de comportement" mais j'ai réussis  à l'en dissuader en disant que je ne recommencerais plus. Ce que j'ai fais pendant un petit moment avant de recommencer, mais plus discrètement cette fois. Je ne pouvais pas m'empêcher de faire des blagues, c'était plus fort que moi!

On peut dire que je me suis bien adaptée à ma nouvelle vie, même si être aussi loin de mes parents était assez dur au début, j'ai finis par m'y habituer. Ils venaient d'ailleurs me rendre visite de temps en temps quand ce n'était pas moi qui rentrait à la maison pour le week end ou les vacances. Et puis, je dois bien l'avouer, ça faisait un peu du bien d'être loin d'eux, ça me donnait un certain sentiment de liberté, et puis, les retrouvailles n'étaient que meilleures, et je trouvais qu'on profitait beaucoup plus des moments passés ensembles que par le passé. Donc cet éloignement avait quand même des bons côtés.

Tout a commencé à vraiment dégénérer dans ma vie en mars 2012, pendant l'attaque de Chitauris. Enfin surtout après. J'avais été tenue au courant de l'attaque à l'Institut, et je savais que mes parents y étaient peut être, mais je ne savais pas s'ils allaient bien ou pas. Jusqu'au moment où j'ai réussis à contacter mon père... Et qu'il me dise que ma mère avait été tuée. J'ai très mal vécue cette perte,ce qui est normal je pense. Je tenais énormément à ma mère, et on a toujours été très proches toutes les deux, c'était comme recevoir un coup de poignard en plein coeur. Et mon père le vivait encore plus mal, en même temps, il venait de perdre la femme de sa vie. J'ai été autorisée à quittée l'Institut pour me rendre à l'enterrement, et j'aurais vraiment voulue rester plus longtemps pour soutenir mon père, mais il fallait que j'y retourne. Heureusement que j'avais mes amis pour me soutenir, sinon je ne sais pas vraiment comment j'aurais pus avancer avec ce deuil. J'envoyais aussi régulièrement des lettres à mon père pour le soutenir, et prendre de ses nouvelles. Je dois avouer que j'avais peur qu'il fasse une bêtise pendant mon absence, alors je veillais sur lui comme je le pouvais.

Le moment le plus difficile pour moi a été la Grande Purge. J'ai dus arrêter de contacter mon père pour le protéger. J'avais déjà perdue ma mère, et je ne comptais pas le perdre aussi, même si j'avais dus couper tout contact avec lui. C'était pour le protéger, et ce n'était pas plus mal, même si je n'étais pas tout à fait certaine qu'il pétait la forme, au moins il était en sécurité et ne risquait pas de se faire tuer par ma faute. Puis il y a eut l'attaque à l'Institut. J'avais bien crus que j'allais y passer, surtout que je ne maîtrisais pas encore assez bien mes pouvoirs pour me défendre, ou même m'enfuir. J'étais en panique totale, vraiment. J'avais presque acceptée ma mort, en fait. Jusqu'à ce qu'une certaine Laura Kinney me sauve la vie. Grâce à elle, je m'en suis sortie avec seulement quelques blessures. Je pense que je ne la remercierais jamais assez pour ça, et que j'ai une dette à vie envers elle. Le lendemain, mon père est arrivée à l'Institut pour voir si j'allais bien, et j'étais tellement contente de le revoir que j'ai littéralement pleurée dans ses bras. J'avais bien crus l'avoir perdu pour toujours, et c'était une grande joie de le retrouver et de savoir qu'il était sain et sauf.

Après tout ça, l'Institut a été déplacé à New York, et j'en étais bien contente. J'avais enfin retrouvée ma ville, et en plus ça me permettait de voir mon père beaucoup plus souvent que par le passé. Au moins maintenant je pouvais vraiment veiller sur lui. Pour les fêtes de fin d'année, on s'était d'ailleurs rendus au Texas chez le reste de la famille de mon père. Famille que je n'avais pas vue très souvent depuis mes treize ans, et j'étais plutôt contente de passé du temps avec eux. On était même restés un peu plus longtemps que prévu pour en profiter et... On a plutôt bien fait! On a apprit par la suite que New York avait été attaquée et que tout l'Institut avait une fois de plus été déplacée, à Los Angeles cette fois.

J'avais peur de devoir y aller seule et de laisser mon père rentré à New York, mais il a finalement décidée de s'installer à Los Angeles lui aussi. J'en étais d'ailleurs ravie. Depuis les choses se sont un peu calmés, et j'ai pus reprendre une vie un temps soit peut normale. Mais je ne me fais pas d'illusions, tout ça ne va pas durer. L'Institut avait déjà été forcé de changer de place deux fois et... Il n'y a jamais deux sans trois. Du coup, depuis tout ça, j'ai tendance a rester sur mes gardes, et a m'entraîner le plus possible pour réussir au mieux à maîtriser mes pouvoirs, en espérant que tous ces efforts seront nécessaires.
     

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