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INTRIGUE : La défense de New-York - Central Park

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Ven 8 Jan 2016 - 18:19
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Dans la jungle, terrible jungle, le lion est mort ce soiiir ♫




Rocket Raccoon ; Groot ; Gamora ; Bobby L. Drake ; Rahne Sinclair ; James "Logan" Holwett

CENTRAL PARK – 9h48

Après quelques mois de calme bien mérités, la vie semblait avoir repris un cours normal (pour autant qu’elle puisse l’être avec Loki à la tête du pays). Les fêtes de fin d’années se sont déroulées dans une ambiance festive, laissant place à la joie et la bonne humeur, mais le début de l’année 2016 a pris un tout autre tournant. Cette journée du mardi 12 Janvier 2016 n’a pas vu le jour se lever, pour commencer. De lourds nuages noirs ont envahie le ciel, striés d’éclairs, et une brèche vers l’espace s’est ouverte, bien connue de tous ceux qui ont vécu l’attaque des aliens de 2012, et ces mêmes aliens en sont sortis, d’abord en petit comité. Une différence, néanmoins, a pu être notée : ils ont été améliorés. Thanos ne refera pas deux fois les mêmes erreurs. Face à cette menace, les plus courageux sortent pour faire face aux aliens et tenter d’endiguer l’invasion.

Vous vous trouvez, pour une raison précise ou par la force des choses, à Central Park. Que vous vous y soyez retrouvé, à la base, pour passer du temps et flâner de petit matin avant de bonne journée de shopping, pour courir malgré le mauvais temps qui s’annonçait ou par le plus grand des hasards, vous n’avez pu que remarquer qu’aux alentours de 5h du matin, les alarmes nucléaires se sont mises à sonner et que les civils ont été peu à peu évacués. Central Park est vide, ou presque, puisque vous vous y trouver, à présent. Une grande faille a déchiré le ciel au-dessus du cœur de la ville, vous n’avez pas pu la rater.

Si les trois extra-terrestres présents savent certainement avec plus de précision que les deux mutants quelle est la menace, celle-ci n’épargnera personne. Et si vous n’êtes pas partis, c’est bien que vous voulez défendre New York, l’humanité, ou que votre égo vous interdit de fuir la menace mais plutôt de l’affronter en face ; il vous faudra certainement tenter faire équipe pour endiguer les vagues aliens qui sont les plus importantes sur Manhattan : et si, pour le moment, « l’artillerie lourde » ne semble pas encore être de sortie, vous voyez déjà se profiler l’imposante silhouette de l’une de ces espèces de baleines géantes qui ne devraient plus tarder à sortir. Surtout que les animaux du Zoo semblent s'être échappés... Et avoir raté l’évacuation.


Codage & apparence par © Elorin




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Ven 8 Jan 2016 - 20:46
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Gamora avait enfilé son bracelet, effaçant toute trace de sa peau verte pour laisser place à une jolie peau couleur caramel ce qui la rendait jolie mais aussi incroyablement vulnérable physiquement. Mais c’était le prix à payer pour se payer le luxe d’aller faire un tour en ville. Gamora appréciait particulièrement Central Park, c’était un lieu parfait pour observer les gens et tenter d’imiter leur comportement lorsqu’il lui arrivait d’avoir une interaction avec des humains. Elle n’était pas encore au point, la politesse et elle ne s’étaient pas encore totalement apprivoisés mais elle faisait de son mieux pour… Peter. N’allez pas croire des choses, elle voulait juste ne plus entendre son camarade se plaindre de devoir lui faire un briefing avant de sortir dehors comme son épée rétractable qu’elle refusait toujours de laisser à la maison. Résultat, elle se baladait dans la ville avec son épée sous un long manteau. Et voilà l’alien en route pour observer et…Et froncer les sourcils lorsqu’elle remarqua le vide, le silence et ce ciel puis soudain des éclairs et Eux. «Lui… » murmura-t-elle entre ses dents, sans plus attendre, elle retira son manteau pour sortir son épée. Elle retira également son bracelet lui redonnant son apparence naturelle, elle remarqua une présence à ses côtés mais ses yeux étaient rivés vers le ciel «C’est Thanos Préparez-vous » fit-elle d’un ton déterminé sans trop faire attention à qui était là «Battez-vous ou courez vous cacher » elle fit tournoyer son épée prête à en découdre avec ce qui arrivait vers elle, comme si c’était son combat, ignorant bien les compagnons autour d’elle C’était elle contre Thanos, s’il osait mettre les pieds sur terre alors ce serait elle contre lui et personne ne pourrait se dresser sur son chemin
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Sam 9 Jan 2016 - 0:20
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Etoiles, cachez vos feux ! Que la lumière ne voie pas mes sombres et profonds désirs ! Que mon oeil ne regarde pas ma main, mais pourtant qu'elle accomplisse ce que mon oeil n'osera regarder une fois fait !


Le réveil avait été dur pour tout le monde, il fallait croire. Le jour ne s’était même pas levé qu’une alarme effrayante s’était mise à hurler leur hideux requiem. Il fallait évacuer New-York, mais la menace n’était pas tant nucléaire qu’extra-terrestre – évidemment… Et cette sirène était celle des hommes qui, il y a presque deux ans, traquer les mutants pour les exterminer. Ou en faire des cobayes. L’ironie du sort me poussait à me méfier de nos « sauveurs », et je me dépêchais de trouver le Professeur Xavier pour savoir ce qu’il en pensait. Non pas que je sois sceptique, peut-être juste un peu

Selon lui, la menace était réelle, il fallait faire évacuer l’école, sortir ses petits camarades. Je faisais partie des plus vieilles et sentais qu’il était de mon devoir d’aider les autres ; c’est pour cela qu’au lieu de me ranger gentiment avec mes petits camarades, j’étais aller trouver Bobby (mon meilleur allié), et j’avais conduis avec eux les autres jusqu’à de gros véhicules ouverts qui nous embarqua tous pour nous faire évacuer. Mon regard se tourna vers la ville et l’orage, les nuages noirs qui s’amoncelaient tandis que dans mon sac je pensais à mon McBeth qui n’attendait que ma lecture. J’aurais pu avoir le temps, mais…

Mon regard s’accrocha bon gré mal gré à la tour Liesmith, et je pensais soudainement à Fenrir. J’espérais réellement qu’où qu’il soit, il aille bien. Je l’aimais bien… Vraiment. Même beaucoup. Enfin, mes joues se coloraient légèrement en y pensant et je lâchais un soupire. Puis je me dis… Peut-être était-ce le dernier jour de ma vie ? Alors… J’allais mourir vierge ? Oui, je sais, ce n’est pas le moment d’y penser mais, eh, je suis majeur et encore sacrifiable. Et il est… Beau. J'aurais dû lui céder, pourquoi j'ai attendu ?... Je rougis un peu plus violemment en me rendant compte que cette phrase avait passé la barrière de mes lèvres en un soupire. Certes un murmure, mais tout de même, et je lançais un regard en coin à Bobby, à côté de moi, avant de me taire pour de bon.

De toute façon, on arrivait, et les élèves étaient déjà pris en charge. J’hésitais à monter là-dedans, mais pas pour les raisons qu’on pourrait croire… Mon regard se tourna à nouveau vers la ville. Qu’est-ce que j’avais à perdre, de toute façon ?...

« Je suis désolée, Bobby. Je peux pas rester là sans rien faire, encore une fois. Je vais me battre. »

Je lui offris un sourire désolé, et me changea immédiatement en louve avant de courir à toutes pattes vers Central Park. J’étais restée cachée, pendant la Purge, alors qu’on s’activait dehors. Je voulais faire mes preuves, prouver que j’avais grandi, mûri, que j’étais devenue plus forte, qu’on pouvait être fière de moi. Que je n’étais plus la petite fille qu’on avait voulu brûler sur un bûcher. Oui, enfin, ce que je n’avais pas prévu, cependant, c’était la grande faille qui avait déchiré le ciel, et… Bordel. Pardon. Des Extra-terrestre ?... Reprenant forme humaine une fois arrivée sur place, je serrais ma croix entre mes doigts, mais aucune prière ne me viens. Jamais la Bible ne m’avais enseigné cela : les extra-terrestre, la femme verte avec son épée…

Tant pis, j’étais là. J’étais déterminée.




HRP.
° CODAGE PAR DITA | EPICODE °
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Dim 17 Jan 2016 - 16:03
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Intrigue

Oh God, why us again ?

   Pourquoi, mais pourquoi diable fallait-il toujours qu'on vienne nous tirer dessus ? Pourquoi nous, nom de Dieu ? Est-ce qu'on avait, sans nous en rendre compte, fait quelque chose qui nous avait élevé au rang de peuple à annihiler de toute urgence, aux yeux des extraterrestres peuplant notre galaxie ? Est-ce qu'un abruti avait installé un panneau lumineux indiquant la Terre avec comme texte "Venez, on adore se faire martyriser" ? En tout cas, c'est ce que j'allais finir par croire, à ce rythme. Après la première attaque alien, la Grande Purge, et j'en passe des vertes et des pas mûres, j'aurais bien voulu, comme la plus grande majorité de la population de cette planète, qu'on nous laisse respirer un peu... Mais non. Bien sûr non.

Voilà ce que je maugréais plus ou moins intelligemment, tandis que je courais à travers les couloirs de l'institut Xavier. En tant que professeur et l'une des personnes les plus âgées de l'établissement, mon rôle était de veiller à ce que tout le monde soit évacué le plus vite possible, en toute sécurité. Ce que je fis donc, attrapant les plus petits dans mes bras pour leur éviter de se faire trop chahuter par les plus grands, canalisant cette petite foule d'élèves effrayés vers le point d'évacuation le plus proche. Certains me demandaient ce qu'il se passait, avec une lueur d'incompréhension et de détresse dans le regard, mais je ne pouvais malheureusement pas leur fournir de réponse, même si j'aurais aimé le pouvoir... Alors, je tentais de les rassurer, comme je pouvais. Autrement dit, je ne faisais pas grand chose.
Le murmure de Rahne, à côté de moi qui m'aidait du mieux qu'elle le pouvait, je ne l'entendis que d'une oreille vaguement. Je n'étais pas certain d'avoir bien compris, et puis... On avait d'autres chats à fouetter, pour le moment. Mais elle allait m'entendre, plus tard.

- Qu'est-ce que... Rahne, non, reviens ! Mais c'est pas vraiiii, çaaa... râlai-je en collant le petit Timmy, dix ans à peine, dans les bras d'un agent du SHIELD qui se retrouva complètement cois. Partez quand vous aurez tout le monde, je reste pour sauver ce qui peut l'être !

Ah, j'entendais déjà les durs à cuire de l'institut se payer ma tête. Bobby l'optimiste, ce grand rêveur, qui pense toujours qu'il y a quelque chose à faire, même dans la pire des situations... Eh bien, j'assume parfaitement. Tout en me lançant à la suite de Rahne, utilisant pour cela mes pistes de glace sur lesquelles je glissais pour me déplacer plus rapidement, je me pris à songer à Phillys. Je priais pour qu'elle n'ait pas fait sa mauvaise tête, et soit évacuée... Même si j'en doutais fortement.
En rejoignant finalement la petite rouquine, qui se trouvait non loin d'une étrange femme à la peau verte déférant une épée (je ne vois même pas pourquoi je continuais à m'étonner de certaines choses moi...), je laissai échapper un soupir de soulagement... Que j'étouffai bien vite. Nom de Dieu, qu'est-ce que c'était que ça, encore... ? Les yeux levés vers un ciel déchiré dans lequel grouillait des ennemis que j'aurais espéré ne plus jamais voir, je sentis mon estomac se tordre.

- Rahne, j'espère que tu sais ce que tu fais... Parce que je ne sais pas si je vais pouvoir couvrir tes arrières en permanence. Ce qui ne manquait pas de m'énerver contre moi-même, alors que je changeais progressivement ma chair en glace. Prêt pour la bataille qui s'annonçait.


.SHADOW
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Ven 22 Jan 2016 - 20:36
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 Intrigue : défense de Central Park

Si j'avais su, je lui aurais foutu un panneau lumineux dans le cul avec une grosse flèche qui clignote comme leur décorations festives à la con  : « Venez, on adore se faire martyriser, tapez-nous, c'est pinata tous les samedis, bières et super-héros en collants offerts ».  A la Terre, le panneau, je veux dire, taille Galactus en goguette. Au cas où les gros débiles n'auraient pas trouvé par où c'était pour venir se farcir une grillade en bonne compagnie. Quoique, en général, ils n'avaient pas vraiment besoin d'aide pour trouver la localisation de la patate bleue : c'était la foire au village, à croire qu'ils croyaient vraiment qu'il y avait quelque chose d'intéressant à y foutre – moi et la Terre, et plus encore, moi et les Terriens on s'entendait pas folichon, c'était le cas de le dire.

A une époque, on aurait pu ajouter un p'tit panneau « à vendre », ou plutôt « à tabasser, promis, on sert à rien, on prends les coups en chouinant, venez vous défouler. ». Ces cornichons sans défenses qui ne savaient même pas ce qui se passait au-delà de leur système solaire, qui se déplaçait en voiture à l'aide de pétrole. Ils considéraient d'atterrir sur la lune ( satellite passablement inutile, même pour établir un simple spatioport ) comme un exploit, merde.
Sauf que, les temps ont bien changés ces dernières années – à croire que c'était Star-Lord qui limitait leur développement intellectuel à ceux là, et depuis qu'il a eu la bonne idée d'être kidnappé pour atterrir dans nos pattes, les protecteurs fervents de la patates bleues se sont fait légion – SHIELD, SWORD, super-héros en pagaille et dernièrement … nous. Les gardiens de la galaxie. Pas qu'on ait le choix, puisqu'on est cloués là, et que selon mes coéquipiers, défendre la galaxie dans laquelle on vit est un choix particulièrement perspicace ( vous entendez mon fake laugh, là, c'est bon ? ).

J'aimerais vous dire que tout ça c'est une histoire d'ego, mais dans mon cas c'est souvent 1) une histoire de thunes 2) les puppy eyes de Groot 3) Parce que sinon Gamora essaie de me tuer / Drax me fixe et va falloir lui expliquer des trucs / Quill va être chiant, mais alors chiant 4 ) l'envie de faire exploser des trucs.  Et présentement, si vous croyez que je vais louper l'occasion de botter le cul pour de bon au titan cinglé – tu vois tes fesses violettes ? Elles auront fini pourpres quand j'en aurais fini avec ton postérieur – vous êtes givrés comme sur Jotunheim.  Il est là derrière, pas besoin d'un dessin, je reconnais les minions qui tombent du ciel et l'odeur fétide ( pire que les chaussettes de Drax, bordel, même Star Lord lui a interdit d'enlever ses chaussures à bord ).

« - Mais quel bordel. »

Des putains. De . Bestioles. Partout. J'ignorais qu'il y avait un zoo à Central Park pour la bonne et simple raison que j'ai pas souvent l'occasion d'aller me dorer la couenne et lustrer le poil au soleil dans un joli petit parc parce que votre planète pue le racisme et le spécisme à outrance bande d'arriérés congénitaux. J'ai envie d'un steak – vous savez à quel point c'est dur de résister à l'envie de bouffer quand vous survolez des animaux échappés d'un zoo ? On me signale qu'une attaque alien est toujours un bon moment pour reporter le snack-time et se lancer dans un régime ( momentané ) .  En attendent, moi je vole sur mes patins motorisés et je survole le cirque ambulant – pas qu'il y en ait un qui ait l'idée d'essayer de me foutre en cage avec les machins, parce que sincèrement, là ça va mal se passer. Mais merde, c'est pas ce que vous appelez un loup ça ? Okay, j'ai vu des bébés avec plus de dents, mais qu'est-ce qui tourne pas rond chez vous ? Vous comptez foutre les bébés Thanos au zoo aussi et leur filer du pop corn quand vous aurez fini de vous faire mâchouiller le rognon ?

« BOOM J'T'AI EU »

Et un doigt d'honneur adressé à l'alien exterminé pendant que je tourbillonne dans le ciel – avant de m'immobiliser bien gentiment de manière à ce que ma tête soit au même niveau que celle de Gamora. Mon arrivée retentissante sur les lieux du futur massacre / guerre / fun a consisté en moi, atomisant l'alien le plus proche de la terre – privilège de pouvoir voleter dans les airs sans vaisseau spatial et surtout d'être (très) lourdement armé. Le machin s'écrase donc au sol dans un joli tas de débris – plus ou moins inorganique, plus ou moins organique, toujours puant, le chose plus son scooter volant ( tiens, faut que j'en récupère un ) - pas du tout reconnaissable avec la fumée et ce que je lui en ai fait.

Je ricane sombrement ( ou joyeusement, ça dépends si vous prenez le point de vue du machin crevé ou de moi. ) Moi je m'éclate, ça m'en fait tressauter les oreilles pendant que je souris à Gamora avec tous mes crocs. Jeez. On est amis, serre moi la patte ma vieille. Ou pas, j'en ai besoin pour tenir mon bébé.  Mon bébé, mon bijou, ma merveille. Mon gros, gros canon à plasma amélioré d'une bonne centaine de manières différentes pour faire un gros, gros boom. Il fait ma taille, mais qu'est-ce que ça fait mal aux vilaines trognes d'en face – assez pour leur faire un trou de plus, et un gros.

« Okay. Est-ce que quelqu'un a un plan ? Autre que leur péter les miches à coups de plasma que vous n'avez pas l'air d'avoir ? »


Moi, j'ai un gros fusil. Sérieusement, les deux gamins d'à côté sont limite en pyjama, avec leurs petites papattes dénuées toute pâlotes c'est déprimant. C'est un soulagement d'avoir déjà vu l'horreur et une espérance de vie relativement courte. Parce que sinon, j'aurais pu commencer à avoir quelques exigences vis à vis de la vie - plan retraite, bière, bonheur, pas de poils gris, pas de plan de merde pour sauver la galaxie, un vaisseau spatial rien qu'à moi et l'arbre qui danse.

Encore un plan à la con avec 500% de chances de clamser - ils ont de la chance que j'ai un côté tendre et que je me bouge les miches pour eux, vrai de vrai. J'roule un peu des yeux et frissonne des moustaches de mécontentement avant de lancer un regard à Gamora. Sauf que, derrière ma chère verte au sang chaud, qui je vois ? Mais c'est la fête, j'vais vous foutre des feux d'artifices moi !

« Heyyy Grooot ! Mon pote ! »

WILDBIRD
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Lun 25 Jan 2016 - 0:57
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Central Park, ses allées, son zoo, son invasion Alien
'Murica, Fock you, specialy.





 Comment j'ai fait pour arriver à central park, le jour de l'apocalypse? Laissez moi vous conter le plus fabuleux hasard d'une vie. Après des mois à m'isoler dans mon paradis canadien, je fus déranger dans mon retour à l'état sauvage, et l'oubli des peines sur mon coeur, par la venue de mutants: Les Archers. La petite était adorable, et une fois rétablie elle retourna dans les contrées civilisées de la grande pomme, elle m'a fait promettre de les rejoindre un de ces quatre, et un de ces quatre, c'était enfin aujourd'hui, j'avais réuni toute mes affaires, tout mes espoirs, j'avais prévenu Xavier: Je rentrais enfin à la maison. Sur ma moto, et les routes américaines, le voyage fut long et tumultueux. Depuis un certains temps il faisait plus gris, et les animaux étaient tendus. Cette tension, je la ressentais aussi, au fond de mes tripes, comme une gangrène me rongeant doucement les intestin, une pandémie intestinale, me brûlant la poitrine d'un brasier ardent.

 Je sentais que ça allait dégénérer, mais qui ne sent pas que ça va dégénérer quand il approche de New-York? Nan ça le fait qu'à moi? J'y crois pas... Mais bref, après avoir voyagé assez longtemps, j'arrivais enfin sur l'autoroute en direction de la capitale touristique quand l’oppressante sensation dans ma poitrine explosa, comme quand je débarquais sur les côte normande il y a 100 ans. J'ai eu le temps d'apprendre que cette sensation ne devait jamais me faire défaut, et encore une fois j'avais raison. Une fois arrivé à New York, je ne savais trop que faire, je suis donc partie pour Central Park, là où Charles m'avait demandé de le rejoindre pour discuter ensemble, tout les deux en marchant... enfin surtout pour moi. C'est après avoir croisé deux ours blanc, un grizzli et une carcasse de zèbre que j'ai pu estimer d'à quel point New-York était vraiment une ville dégénéré mais sûrement que l'absence de vie humaine et la cohorte de voitures en sens inverses auraient dut me mettre sur la voie. J'humais la peur, la crainte, la perte et la désolation. Quand je vis au loin les pistes enneigées de Bobby, j’arrêtais enfin ma moto, et posais pied à terre. Un pas après l'autre, et je pus apercevoir un groupe de cinglé lever les yeux au ciel, tous ensemble, les uns à cotés des autres, c'était aussi ridicule qu'idiot, puis un regard en l'air suffit à me faire regretter d'être ici, aujourd'hui, c'était pas vraiment le jour pour revenir. Mais tant qu'à être là autant aider du mieux qu'on peut. J'avais pas de plan, même pas 12% d'un plan. Mais le plus intelligent serait de prendre un de ses vaisseaux, et monter avec Bobby pour geler ce trou au  moins en partie, et faire un petit mur pour combler le trou... Mais n'ayant qu'une partie des connaissances suffisantes à propos forces en présence ce serait dur d'établir un plan à suivre, j'avançais donc vers Bobby pour lui saisir l'épaule

  "Bob? Tu saurais faire un mur là haut pour bloquer au moins partiellement cette merde?"



J'étais aussi content de le voir ici que ça me faisait ch*er de l'envoyer en mission suicide aussitôt qu'on se retrouve. La peau verte et l'arbre debout ne m’impressionnaient pas plus que le hamster à blaster, mais sans faire de commentaire je me préparait à devoir monter, puis je me suis dit:

 " Buddy, tu peux nous faire une route vers un des buildings qu'on soit au premières loges pour te couvrir le derrière?"

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD & SHADOW.
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Lun 8 Fév 2016 - 15:24
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" I... AM...
... GROOOOOOOT !!! "



New-York a vu son lot de bizarreries au cours de ces dernières années. Qu'il s'agisse d'envahisseurs extra-terrestres, d'armures volantes, de méta-humains super puissants... Bref, les habitants de la Grosse Pomme n'ont peut-être pas besoin de voir déambuler parmi eux un être mi-homme, mi-végétal, de plus de deux mètres de haut. C'est pourquoi les rares moments en extérieur que s'accorde Groot... Bah c'est la nuit. Et à Central Park. Ainsi, s'il tombe nez à nez avec quelqu'un s'il arrête de bouger, le passant peut finir par croire qu'il a halluciné. Cette fois-ci, il y sera resté bien plus longtemps, le parc étant anormalement vide de ses habituels coureurs.

Et comme bien des nuits depuis que les Gardiens ont échoué sur ce monde, l'hybride est dehors, et profite de la compagnie des ses congénères. Central Park est vraiment gigantesque, et le nombre d'arbres qui y vivent aussi. Les animaux de la Terre sont fragiles, et bien plus petits que ceux que Groot à l'habitude de voir. Mais bien plus beaux également. Sa nature biologique lui permet d'être facilement en contact avec les écureuils, les petits oisillons...  

Mais là, les grosses bestioles que le Gardien vient de voir débouler... C'est un autre gabarit. On dirait que toutes les créatures peuplant ce monde viennent d'être relâcher en même temps. Et alors qu'il se prélassait dans l'un des nombreux espaces verts du parc, Groot finit par comprendre que quelque chose ne va pas. En voyant que le ciel se déchire.

Il se redresse donc, et d'un pas lent et lourd, il décide d'aller vers... tout ça. Et cette fausse promenade le conduit à un groupe d'individus hétérogène. Il y retrouve quand même deux êtres qu'il connait plus que bien. Rocket et Gamora.

- I AM GROOT!

Une simple phrase, qui trahit ici toute son incompréhension de la situation, ainsi que son inquiétude vis-à-vis des animaux en liberté, et qui pourraient blesser des gens, mais aussi être blessés eux-mêmes dans le feu de l'action.

Il lance son regard vers les trois inconnus, qui semblent faire partie du même groupe, vu comment ils se toisent et se parlent. Qu'ils proposent des plans, lui, c'est pas son truc. Non, lui, il écoute, et il exécute, usant de sa force mais aussi de son adresse pour suivre au mieux les ordres.

Le nombre d'arbres ici présents devraient lui donner une source supplémentaire de pouvoir. Mais pour l'instant... Oh, un écureuil... Le colosse végétal laisse alors une sorte de petite branche aller à la rencontre de l'animal, histoire de lui proposer un refuge bien plus efficace que tous ces arbres - en apparence - parfaitement inanimés.



Code by AMIANTE
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Ven 19 Fév 2016 - 22:05
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Dans la jungle, terrible jungle, le lion est mort ce soiiir ♫




Rocket Raccoon ; Groot ; Gamora ; Bobby L. Drake ; Rahne Sinclair ; James "Logan" Holwett


Retenir et combattre les Chitauris s’avèrent plus compliqué que prévu. Ils vous affaiblissent, vous fatiguent, vous entraînent dans une danse endiablé dans laquelle se joue la vie et la mort, et certains sont même déjà blessé. Pourtant, ils semblent ne jamais cesser d’affluer, ne jamais cesser de vous tourmenter, ne jamais cesser de détruire et, rapidement, Central Park ne semble plus être qu’un tas de ruines fumantes sur laquelle vous vous échinez à combattre, et jonchées des cadavres de quelques malheureux animaux du zoo n'ayant pas réussi à fuir assez vite. Le ciel est noir – et percé de trous inquiétants – mais ce n’est pas l’orage qui s’abat sur vous. Pas encore. Quoi que.

Les soldats se font de plus en plus nombreux, de plus en plus puissants et, pour ne rien arranger, une baleine extra-terrestre géante volante descend du ciel en feu, vers vous, et pleines de nouveaux soldats sur ses flancs. Plus le temps s’écoule, plus vous peinez à leur tenir tête…



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Mar 23 Fév 2016 - 22:25
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Etoiles, cachez vos feux ! Que la lumière ne voie pas mes sombres et profonds désirs ! Que mon oeil ne regarde pas ma main, mais pourtant qu'elle accomplisse ce que mon oeil n'osera regarder une fois fait !


Je tournais légèrement la tête vers Bobby lorsqu’il me rejoignit, haussant une épaule à ses paroles. Non, je ne savais pas exactement ce que je faisais… Et je rougis à sa phrase. Je ne savais que trop bien qu’il ne pourrait pas toujours être derrière moi, et que je n’étais certainement pas… A la hauteur de la tâche dans laquelle je me lançais. Je sais qu’il s’inquiétait pour moi, et qu’il n’y avait pas une once de méchanceté dans ses propos… Mais je comprenais aisément qu’il s’inquiète autant : je n’étais que moi, que Rahne Sinclair, la jeune mutante beaucoup trop timide pour avancer, un pied devant l’autre, et qui venait soudainement de se jeter dans le danger pour ses convictions. J’étais irréfléchie et incompétente. Mais déterminée, malgré tout… Et malgré l’équipe de choc qui semblait nous entourer. C’est-à-dire la femme verte, le… Raton parlant, et l’arbre qui bouge. Un jour, je crois que je ne pourrais plus être étonnée de rien, bien que continuant à rougir de tout. J’adresse un léger sourire à Logan pour le saluer, sans toutefois prendre la parole. Ce n’est pas demain la veille que j’allais devenir bavarde, heureusement qu’ils me connaissaient tous plus ou moins.

Mais le temps n’était plus tant à la réflexion qu’aux actes ; les envahisseurs n’allaient pas attendre que nous ayons pris le thé pour attaquer et tout détruire. Et je suppose que nous n’avons aucune musique capable de leur faire exploser la cervelle ?... Quoi ? Ne me demandez pas comment j’ai pu tomber sur Mars Attack, et regarder ce film. Ce n’était pas vraiment mon genre… Ah, les camarades de l’institut et les efforts faits pour ne pas paraître totalement associable. Ce n’était pas un si mauvais moment, après tout… Me changeant en… Lycan – la forme entre humaine et louve, celle qui me permettait d’optimiser mes capacités tout en possédant encore la parole – j’attaquais ce qui passait à portée de crocs et de griffes. C’était un beau foutoir – excusez l’expression – avec tous ces animaux qui courait partout.

J’essayais de garder l’œil et l’ouïe alerte, et de tout surveiller tout en me battant. Ce qui était – évidemment – peine perdue. Surtout lorsqu’une de ces énormes baleines descendit vers nous. Je me battais comme je pouvais, avec force et courage (je pense, j’espère). Je voulais que Bobby soit fier de moi, pour une fois… Mais ce fut peine perdu, lorsque je sentie une brûle soudaine me déchirer les côtes et  le flanc droit. Je laissais échapper un grognement en tombant à genoux, une main dans la terre et l’autre sur ma chair brûlée à vif parce l’un de leur espèce de… Pistolet laser, ou je ne sais trop quoi. Mon dieu, ce que ça faisait mal… Il ne fallait pas que je me laisse abattre. Bobby ne pouvait pas toujours veiller sur moi, et je ne devais pas reposer sur mon entourage. J’étais déjà un poids, alors n’en rajoutons pas dans la bataille… Surtout que c’était de ma faute, si nous étions ici. Entièrement de ma faute… J’attrapais la croix qui pendait à mon cou entre mes doigts poilus et griffus, marmonnant une rapide prière, avant de relever la tête.

C’est là que je le vis. La pauvre bête. Le lion enragé, paniqué, agressif, qui… Qui courait droit sur Bobby, dans son dos, alors que celui-ci semblait déjà bien assez occupé avec nos ennemis venus du ciel. Il ne m’en fallu pas plus pour réagir ; je me changeais totalement en louve pour charger le lion, malgré ma blessure et ma douleur. S’ensuivit une bataille de crocs, et de fourrures qui volaient, de grognements et de couinements ; une vrai bataille de bête comme je n’avais, jusqu’à présent, pas eu l’occasion d’en mener… Je me démenais comme un beau diable, et – malgré toute mes réticences, je compris rapidement que c’était moi, ou lui. Je ne sais comment, je parvins à en venir à bout. Mais je n’en sortie pas indemne. A bout de force, quand le corps sans vie de l’animal – mon Dieu, j’avais vraiment fait ça ?... – me laissa enfin m’échapper, je reprenais forme humaine, titubant avant de m’appuyer à l’épaule de Bobby.

« Tu vois, Bobby... Moi aussi, je peux surveiller tes arrières. »

Un sourire tendre s’étira sur mon visage, mais je ne pus en faire guère plus. La brûlure et mes diverses blessures, toutes fraîches de mon combat avec le lion, eurent raison de moi. Je crois bien que je sombrais dans l’inconscience…





HRP.
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Dim 6 Mar 2016 - 15:16
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Intrigue

Oh God, why us again ?

   Le chaos. Il n'y avait que ce mot là pour décrire ce qui se passait actuellement. Entre les Chitauris et ces espèces de monstres semblables à des serpents de mer volants, on devait en plus prendre en considération les animaux du zoo qui avaient décidé de prendre la clef des champs. Super. Absolument génial, putain. Je ne connaissais pratiquement personne, parmi les quelques personnes que nous étions présentes sur les lieux. L'arrivée de Logan était un appui supplémentaire indéniable, mais... Ca faisait deux mutants incapables de porter des coups à distance, et donc forcés à s'exposer pour aller au corps à corps. L'avantage de Wolwerine, c'est que sa régénération accélérée ne posait pas réellement de problème avec la technique du "je fonce dans le tas". Mais Rahne... J'avais peur pour elle.

Reportant mon attention sur Logan quand ce dernier vint poser sa main sur mon épaule, je fronçai légèrement les sourcils en l'écoutant m'exposer son idée. Puis je levai les yeux vers la faille qui déchirait le ciel, estimant la taille qu'il faisait d'un coup d'oeil, et ce qui serait nécessaire pour la bloquer, ne serait-ce que quelques instants.

- Je peux essayer, Logan. Mais je te promets rien, ça fait une grande surface à couvrir. Je devrais pouvoir arriver à faire quelque chose, ceci dit. Faites attention à vous.

Aussitôt ma phrase terminée que je filai. Tout en m'élevant lentement mais sûrement, louvoyant entre les Chitauris et leurs espèces de véhicules volants, d'une main je matérialisai un chemin de glace qui permettrait au reste du groupe de gagner les toits des immeubles les plus proches, si jamais ils avaient besoin de prendre un peu de hauteur. Une fois ça fait, je pouvais me focaliser entièrement sur la tâche qui me revenait. M'appuyant sur les vaisseaux que je croisais parfois pour prendre plus d'élan, j'en profitai au passage pour congeler quelques ennemis, qui allaient se briser en une infinité d'éclats de glace en contrebas. Eh, tant qu'à y être, ce serait idiot de ne pas en profiter.
Finalement, j'atterris sur la coque d'un aéronef qui restait relativement immobile, et décidai que ne pouvant de toute façon pas aller plus haut, c'est de là que je tenterai de bloquer l'arrivée de nos envahisseurs. Honnêtement, ça faisait longtemps que je n'avais pas poussé autant mes capacités. Alors que je tentais de garder la voie close aux Chitauris, la glace craquant et grinçant sinistrement au fur et à mesure qu'ils s'écrasaient contre le mur que je maintenais tant bien que mal, je sentais comme... Je saurais pas vraiment décrire ce que je ressentais. Mais c'était différent d'ordinaire. La glace qui composait actuellement mes cellules me semblaient devenir encore plus robuste que d'habitude. Sur le coup, je n'y prêtai pas réellement attention. Surtout que du mouvement, loin au sol, attira mon attention. Les Chitauris n'épargnaient pas les autres.

- Et merde... ! pestai-je entre mes dents serrées. Ces quelques secondes d'inattention furent suffisantes pour que tout bascule. Un monstre volant se jeta de toute sa force contre la muraille que j'érigeais, la faisant voler en éclats. L'onde de choc me projeta violemment en arrière, m'envoyant m'écraser à mon tour à terre. Par chance, je suis beaucoup plus solide sous cette apparence-ci qu'en tant que simple humain, je n'avais donc aucun gros dommage à déplorer. Enfin, hormis la perte d'un bras, mais je n'avais qu'à le reconstituer.
Les idées encore embrumées et amputé d'un bras qui se reconstruisait lentement mais sûrement, je n'avais pas réalisé qu'un lion paniqué par tout ce bordel avait décidé de se payer une tranche d'Iceberg. Je n'eus pas le temps de réagir. Rahne l'avait fait pour moi. Trop choqué pour réagir, je ne pouvais qu'assister à la scène, à la fois impressionné et horrifié par ce qui se déroulait sous mes yeux. Mon instinct me hurlait de bouger, de réagir, mais pour une obscure raison, je n'y arrivais pas. Et je pestais contre ce bras, qui était décidément beaucoup trop long à se matérialiser à nouveau.
Rahne, finalement victorieuse, vint s'échouer contre mon épaule. Pratiquement exsangue, mais avec un sourire aux lèvres, comme satisfaite d'elle, contente d'avoir réussi à faire quelque chose par elle-même. Moi, encore sous ma forme de bloc de glace vivant, je la tenais contre moi pour éviter qu'elle ne glisse sur le sol. Je voulais redevenir de chair et de sang, mais... Pas moyen. La panique s'ajouta à l'inquiétude déjà élevée à un niveau beaucoup trop important pour mon pauvre petit coeur de X-Man nounours. Non non non, pas ça, pas maintenant... ! Je baissai les yeux vers ma soeur, inconsciente. Ce n'était pas le moment de se préoccuper de mes problèmes. Aussi délicatement que je le pouvais, je la soulevai d'un bras, gardant l'autre libre pour nous abriter derrière une paroi de glace, et m'adressai à ceux qui pourraient m'entendre au milieu de ce chaos.

- On n'y arrivera pas ! Ils sont trop nombreux et trop bien armés, on n'y arrivera pas !

Ca me coûtait de l'admettre, mais c'était pourtant la vérité. Même avec l'apport technologique évident que nous fournissait le raton laveur, c'était perdu d'avance. Car les Chitauris continuaient à affluer par la brèche, renouvelant leurs rangs en permanence, et de toute évidence, aucun renfort ne viendrait pour nous.


.SHADOW
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