1- Très sérieusement je ne prends aucune décision humaine au sérieux je ne les respecte pas et les affaires des hommes ne me concerne pas, par contre si des vies mutantes ont pu être épargné et bien... j'en suis rassuré, rassuré de voir que tout le monde à été pris en compte
2- J'ai déjà beaucoup voyagé, le changement d'air ne me dérange pas le moins du monde, d'autre n'ont pas ce caractère et sont peut être plus affecté
3- Mon train de vie n'a rien de normal...
4- Pour ma part je n'aurais pris que mes frères et soeur avec moi et maintenant regarder ou en sont les humains entassé comme des bêtes dans des camps bien précaires, typique...
1- Le SHIELD... que dire si ce n'est que cette organisation est presque en déclin, vous vous en doutez je ne suis pas un "fan" étant donné qu'ils doivent m'avoir constamment à l'oeil, je ne dirais que l'incident me fait spécialement plaisir mais au moins je les aurais peut être moins sur le dos enfin ça... ce n'est qu'une supposition.
2- Si ça ne tenait qu'a moi j'aurais déjà exterminé tout ces néo-nazis en puissance, je n'ai rien d'autre à ajouter...
1- Non je n'ai pas participé et d'ailleurs cela m'étonne que les dieux nordiques soit obligés de coexister avec nous le petit monde, ils doivent être bien désarçonné ou déstabilisé... tant mieux
2- Je n'ai rien avoir avec ça... pour une fois, donc ne me jeter pas la pierre, pour ce qui est de mon avis et bien... si il y'avait des mutants dans le lot ils méritaient très certainement la liberté.
3- Sans moi ? la cause mutante va bien au delà de ma petite personne, je suis heureux de savoir que les mutants se regroupent, je suis uniquement du côté de ceux qui cherchent la liberté et qui veulent en jouir pleinement
1941
La pluie se fait de plus en plus forte, les gouttes sont de plus en plus grosses, le froid m'agresse, j'ai peine à trouver de quoi me réchauffer, je suis assis dans la boue, un coin isolé du camp ou les soldats m'entourent dans leur tour, me visant avec leur sniper, j'entends un grésillement qui taraude, je peux entendre le métal de leurs armes, je peux presque le sentir mais je n'arrive à rien, je ne contrôle rien, cela fait maintenant quelques mois que je suis dans ce camp, je ne vois personne d'autre je suis seul, je n'ai le droit de voir personne à part ce monstre de Dr Schmidt, son sourire sadique me hante, mes cauchemars sont remplies de son visage qui m'observe, je ne dors plus, si seulement je pouvais trouver un moyen de sortir... mais je ne peux pas je ne sais pas comment ça marche j'ai beau utiliser toute ma colère, je suis trop faible, j'ai trop faim et trop froid.
Les grilles au bout du couloir barbelés s'ouvre, je me mets en boule dans un coin du camp, le Dr s'avance vers moi les soldats me tiennent en joue, de peur que je fasse un mouvement brusque ou que sais-je, il s'accroupis à mon niveau me dis que cette fois il ne me fera pas mal, il ose me toucher, je pleure mais je sais que ça ne sert à rien.
Il me parle et même le bruit de la pluie sa voix résonne plus dans ma tête que tout le reste, il me dit que cette fois si je n'obéis pas, il va être obligés d'appliquer la méthode des soldats et me mettre dans ces chambres... la peur me prends soudainement et je frissonne de plus en plus, il me dit que je finirais comme mon père la peau se détachant des os comme du beurre, une grimace de dégout se dessine sur mon visage, le grésillement dans mes oreilles se fait de plus en plus fort je me concentre dessus, je repense au coup de feu qui pris la vie de ma mère, le jour où on m'arraché à mes parents.
Autour d'eux les soldats paniquent, le Dr leur dit de ne pas bouger et de ne rien faire, mais moi je sais... je sais ce que je dois faire, le métal de leur mitraillette se retourne contre eux, leurs mains sont coincées ils ne peuvent plus les bouger, la détente se presse, tout est fini en un instant, Schmidt exulte de joie.
Le grésillement s'efface je suis trop faible, je m'évanouis, mais cette fois je sais... je sortirais d'ici et je reviendrais...pour le tuer.
1962
"Ne t'inquiètes pas je te dis que je vais la faire dévier, tu sais que je peux le faire !""Si tu en es capable je ne vois vraiment pas l'intérêt de l'exercice !"Charles Xavier, le seul ami que j'ai mis si longtemps à trouver et pourtant c'était loin d'être gagné, même si il n'approuve pas ce que je vais faire, pour le moment je préfère laisser cette histoire courir, on verra bien ou ça nous mène, jusqu'ici j'ai pas mal appris sur mes pouvoirs et grâce à son aide en plus de ça, je me suis bien trompé sur son compte, il veut le bien de tous même si je trouve cette vision utopiste un peu naïve mais ça il le sait déjà, lire dans les pensées c'est son don.
Il baisse l'arme avec un léger soupire, moi qui pensait qu'il voulait un peu d'entrainement.
"ça ira pour aujourd'hui, de toute manière on en as déjà assez fait et puis... nous devons travaillé sur le projet de Hank.""Son cérébro ? il m'en as déjà parlé il veut que je l'aide à le construire qu'est ce que c'est censé nous apporté mon vieil ami ?""Avec cet appareil on pourra trouver des gens comme nous Erik... des mutants... les accueillir à l'institut, leur apprendre à comment gérer leur pouvoirs comme nous l'avons fait ensemble !""... je n'approuve pas et qu'est ce qui se passera si le gouvernement met la main dessus ? ils savent qu'on existe désormais !""Erik... ils ne savent rien de cet endroit""Ne sois pas naïf Charles !..."Un silence s'installe, il sait que je ne suis pas aussi confiant que lui sur les humains, mais je ne tenais pas à être aussi expressif.
"Pardonne moi... j'irais voir Hank plus tard"Je rentre dans le manoir laissant Charles dubitatif.
Quelques mois plus tard
Il est en face de moi, paralysé... je revêts son casque ridicule mais néanmoins pratique pour éviter que Charles ne fasse la même chose avec moi, je tourne autour de lui tel un vautour prêt à dévorer sa proie, je ne peux m'empêcher de ressentir une immense joie de savoir que c'est enfin fini qu'il est à ma merci, que ma vengeance est enfin accomplie.
"Vous rappelez vous de la première fois que l'on s'est rencontré ? vous ne m'aviez demandé qu'une chose, de bouger la pièce et pour mon échec vous avez abattu ma mère sous mes yeux, vous avez fait de moi l'arme que je suis aujourd'hui mais je ne peux pas laisser passer ça"je retourne vers lui face à face, lui tendant la pièce qu'il m'avait jadis demandé de faire bouger.
"Voila ce qu'on va faire... je vais compter jusqu'a 3 et je vais faire bouger la pièce"A cet instant précis, je savais qu'une nouvelle vie s'ouvrait à moi, je l'attendais avec impatience, tant pis si Charles désapprouve c'est un regret que je suis prêt à accepter.
1972
"Mes frères ! Mes sœurs ! Mutants du monde entier ! entendez-moi ! Aujourd'hui vous pouvez voir ce que les hommes ont préparé pour nous ! des armes pour nous détruire ! leurs sentinelles ! la paix n'est pas dans leurs agendas ! ils ne nous considèrent pas comme leurs égaux, nous ne sommes rien pour eux à part une menace... ou que vous soyez mes frères je vous le dis ! vous n'êtes pas seuls et vous pouvez vous battre ! pour votre liberté ! Ces hommes que vous voyez derrière moi ils nous craignent ! nous méprisent ! nous isolent !... Mais nous, nous sommes l'avenir... le futur NOUS le construirons ensemble sans les humains ! Rappelez vous... vous n'êtes pas seuls."La première fois que je m'adresse à des milliers de gens via la télévision, autour de moi les gravats du stadium en font une scène d'avertissement pour tous ceux qui se mettront en travers de ma route, le président me regarde avec des yeux remplies d'incompréhension et d'ahurissement, son bunker ayant éclaté en mille morceaux la maison blanche on peut comprendre pourquoi.
J'admets que la suite aurait pu être encore plus désastreuse si Raven ne m'avait pas tiré dessus, je n'avais pas réalisé jusque-là, que je m'était adressé à bien plus de monde que je ne l'attendais... et que c'est aussi en ce jour que j'ai fait ma réputation, sans vraiment en attendre plus...
2003
"Je ne te comprends pas Charles pourquoi est-ce que tu continues à me rendre visite ?"Je déplace la tour non loin de son cavalier.
"Probablement pour un peu d'espoir"il déplace son cavalier près de la tour, il sait qu'il a perdu cette partie, je soupire sachant qu'il me laisse gagner.
"l'espoir... c'est ce dont les nôtres manque cruellement en ce moment""Cela prendre du temps mais ils s'accommoderont""Mon seul espoir est que tu ne tombe pas sur une sérieuse déconvenue mon ami"il appelle la garde notre petite partie se termine à l'heure convenue, lorsqu'il commence à partir je le prends à part.
"Que feras tu le jour ou ils trouveront ta petite école ?""Je plains le pauvre diable qui tentera quoique ce soit"Il part, je fait tomber la pièce, échec et mat
Je me regarde dans le reflet de la prison et vois le vieil homme que je suis maintenant...
...mes années de combats ne sont pas derrière moi, la bataille continue et elle sera bien plus virulente, le tunnel de plastique se rétracte derrière moi, je me demande ce que seras la suite.
2010
Mon voyage en Sokovie ne dura pas plus de quelques heures, mais une nouvelle m'est parvenue récemment, j'ai entendu dire que des jumeaux mutants avait été aperçu dans la région, je les ai cherché pendant des années, mes enfants que l'ont m'a caché.
La région est en dévastation et j'espère sincèrement que rien ne leur ai arrivé, je reste hors de vue mais je doute que les autorités feront quoique ce soit à un vieillard comme moi, après avoir entendu qu'ils étaient rescapé de gravats grâce à leur pouvoirs, ils ne doivent pas être bien loin.
Et un jour je les ai retrouvé, un fermier les avaient isolé dans une grange alors qu'ils essayaient de s'enfuir, ce dernier tenta de les achevé avec son fusil, chose qui ne fut pas le cas, si je n'avais pas été la je les aurais surement perdu tout les deux, la porte de la grange éclata derrière lui, je le figea instantanément, j'ai pu sentir sa peur et son dégout pour nous, chose que j'ai rencontré bien trop de fois, ne voulant pas les effrayer j'envoya le fermier trainer sur plusieurs dizaine de mètres le fusil scotché à ses mains.
Les deux me regardèrent comme un étranger, je ne pouvais pas leur dire grand chose si ce n'est que j'étais content de savoir qu'ils étaient en vie, alors que le plus grand tenait sa soeur dans ses bras, je leur tendais la main pour qu'ils me suivent.
"Je sais que vous ne me faites pas confiance, seulement vous devriez savoir que je suis votre père... votre vrai père, vous pouvez faire confiance à votre père non ?"2017
Beaucoup de choses ont changés, New-York à du être évacué se retrouvant isolé dans la ville maintenant devenu gigantesque de Los Angeles, Wanda et Pietro sont en sécurité et je suis content de le savoir, mais les mutants sont toujours source de persécutions, récemment le nouveau président Loki vint à moi passer un marché, je devais rejoindre les rangs de son gouvernement et en échange il faisait en sorte que les mutants soit favorisé, c'est quelqu'un de très particulier et inutile de dire que je ne lui fais pas confiance, mais il me craint et pour le moment c'est équilibre devrait tenir.
Mais je n'oublie pas que les mutants sont dehors en nombres et parfois seuls, la confrérie se rassemble, dois-je répondre à l'appel malgré les années passées ? c'est une question qui se réglera semble-t-il plus tard...