Kang Moon - Got Ice In His Veins

Prénom/pseudoMumuAge26 ansCode règlementValidé par Bru

Pv, scénario, marvel ou inventéInventéComment as-tu atterri ici ?GoogleFréquence de connexionle week end surtout

RemarquesJ'ai hâte de commencer !  :7:

La destruction de New-York a beaucoup attristé ce jeune mutant, mais il comprend que parfois, il est inévitable de faire des sacrifices dans ce genre de situation. Moon ne peut donc qu'approuver les décisions qui ont été prises pour sauver les citoyens de New-York, car sans cette évacuation, il ne serait peut-être plus de ce monde à l'heure qu'il est. Il n'apprécie pas spécialement de vivre à Los Angeles, mais s'adapte quand même très bien à son nouvel environnement. Qu'il habite New-York ou Los Angeles, Moon n'a rien changé de ses habitudes et ne pense pas que son train de vie fut réellement affecté par ses changements puisqu'il sort que très rarement de l'institut. Selon lui, il n'y a que le décor qui n'est plus le même et il vit très bien avec cela. Moon est néanmoins très inquiet pour ses parents, car resté sans nouvelle depuis l'attaque.

Moon n'a jamais fait confiance à la politique et ne s'y intéresse pas. Il n'y a que lorsque les mutants sont personnellement touchés par les décisions qui sont prisent par le gouvernement qu'il s'y intéresse vraiment. Mis à part pour la purge et l'attaque de New-York, il est toujours resté très neutre dans ses opinions et cela ne change pas. Il a sa propre façon de voir les choses et vit sa vie selon ses propres valeurs. Il est vrai que la présidence de Liesmith a fait de bonne chose, Moon en est conscient. Mais est-ce que cela fait de lui un adepte ? Bien sûr que non ! Quant à ce qu'il pense du Free Democratic Party, il est difficile pour lui de se faire une opinion, car il lui faut beaucoup plus que de simple promesses pour croire en quelque chose.

Moon n'a pas participé à la tentative de reprise d'Asgard, mais se souvient vaguement en avoir entendu parler. Tout comme la politique et l'explosion au cours d'une soirée mondaine, il reste neutre. Souhaitant plus que tout retrouver ses parents, il est davantage préoccuper par ses recherches que par tout le reste. Il serait donc juste de dire que Moon reste concentré sur son objectif et ne se soucie de rien d'autre. Il arrive parfois que notre mutant s'inquiète, mais il refuse de laisser ce genre d'accident l'atteindre. Beaucoup dirons que Moon n'a pas de coeur parce qu'il reste impassible, mais il faut s'y attendre, car ce n'est pas la première fois que notre mutant manque d'empathie. Quant à la Confrérie qui se regroupe et recrute, Moon n'a aucune envie de s'y joindre. Il croit en la liberté, mais n'est pas d'accord avec les méthodes qui ont été employés pour l'obtenir dans le passé.

MANHATTAN, NYC

16 MARS 2012

Je n'ai jamais voulu d'un journal pour mon anniversaire, mais ma mère semble penser que cela peut m'aider à faire le vide dans ma tête. Je n'avais pas du tout l'intention d'utiliser son cadeau et pensais le jeter dans un recoin poussiéreux de ma penderie, mais n'a pas eu le cœur de le faire. Mis à part mes parents qui ne comptent pas, je dois admettre n'avoir aucun ami à qui je peux me confier. Je crois qu'un livre, c'est toujours mieux que rien quand on n'a pas d'ami. Ayant toujours eu beaucoup de difficultés à exprimer ce que je ressens avec des mots, je ne sais trop quoi écrire sur ses pages blanches qui me narguent depuis bientôt une heure. Peut-être que décrire ma journée en un seul mot pourrait m'y aider ? Pourquoi ne pas commencer avec le mot ''dégoût'' ? Dégoût que je ressens vis-à-vis de moi-même et envers les autres ? Je crois que tout a commencé lorsque j'ai vraiment pris conscience de ma différence. Je n'ai jamais fait attention à ce qui me différenciait des autres jusqu'à ce que j'entre au secondaire. Mes parents m'ont toujours accepté tel que je suis et sans porter le moindre jugement, alors pourquoi aurais-je dû m'en soucier ? Je suis né avec le ''gène x'' et cela fait de moi un mutant. Quand on est gosse, on est encore trop jeune pour comprendre ce que ça veut dire. Mis à part mon insensibilité au froid et mon apparence physique des plus singulières, il n'y avait rien d'extraordinaire chez moi. Je vivais une vie banale, dans un quartier banal, entouré d'amis banals. C'est quand on a quitté Brooklyn pour s'installer à Manhattan que tout a changé dans ma vie. Je me retrouve maintenant à fréquenter une école que je n'aime pas et où je ne me sens pas à ma place. J'ai essayé de me faire des amis, mais personne ne semble être prêt à m'intégrer dans leur petit groupe. J'en ai marre d'essayer et préfère maintenant rester seul. Je n'ai plus envie de me casser la tête à impressionner des gens qui se moquent de moi et de mon physique pour me ridiculiser. À force d'écouter les insultes qui me sont lancés à la gueule chaque jour, je dois dire avoir perdu toute confiance en moi. J'ai cru que changer mon apparence m'aiderait à me fondre dans le décor, alors je me suis teins les cheveux et porte des verres de contact. Mais rien n'a changé, je suis toujours le looser de la place de qui on aime se moquer que ce soit en classe ou dans les couloirs de l'école. Je ne sais pas ce que j'ai fait pour mériter les moqueries des étudiants de mon école, mais j'ai besoin que ça s'arrête.

18 OCTOBRE 2012

Pourquoi suis-je venu au monde quand mon existence est tout ce qu'il y a de plus pathétique ? Je ne cesse de me poser la question et j'aimerais bien trouver quelqu'un pour y répondre à ma place, car je n'arrive pas à trouver de réponses satisfaisante à cette question qui a beaucoup d'importance pour moi. Je sais qu'il n'est pas normal de remettre en cause l'importance de sa vie quand on a que 14 ans, mais voilà que je me retrouve quand même à porter très peu d'importance à la mienne. Je crois que j'ai commencé à craquer lorsqu'on a fait de moi une cible à l'école après avoir fait mon coming out l'année dernière. Je n'ai rien dit à mes parents, car je ne veux pas les inquiéter et j'ai honte de me montrer aussi faible face à mes ravisseurs. J'ai l'habitude d'être le sujet de moqueries de mes camarades d'écoles, mais je ne pensais pas que tout cela irait si loin. Je ne saurais dire quand est-ce que les attaques verbales ont été remplacés par de la violence physique, mais je me souviens clairement de la première fois qu'on m'a collé un poing dans la gueule. Je me fais pousser dans les couloir, on me lance des choses en classe, on me plaque contre les casiers et me fait tabasser dans la cour d'école. Ma mère me demande très souvent d'où proviennent ces bleus qui recouvrent mon corps, mais je me refuse à lui dire la vérité. Jusqu'il y a quelques mois de ça, je n'aurais jamais osé mentir à mes parents. Mais parce que je suis incapable de leur dire la vérité, je ne fais plus que cela et crois d'ailleurs être devenu très doué pour trouver des excuses et mentir sur la provenance de mes blessures. Je me sens perdre pied et ne sais plus a quoi me raccrocher. Je n'arrive même plus à sourire ou ressentir quoi que ce soit. Je ne comprends pas pourquoi, mais la température de ma peau semble refléter cette froideur que je ressens dans mon coeur. Quand je suis seul dans ma chambre et que je me laisse aller à ma tristesse et à ma colère, tout ce que je touche se recouvre de givres. Mon corps ne dégage plus aucune chaleur et il arrive aussi parfois qu'une fine buée s'échappe d'entre mes lèvres lorsque je respire. En classe, plusieurs élèves qui se sont assis à côté de moi se sont plaints de la froideur que je dégage et on commence à me regarder bizarrement. Il y a des rumeurs qui circulent à mon sujet dans les couloirs comme quoi je serais un mutant. Va s'en dire que je suis rapidement devenu le freak de la place. Je garde cependant le silence et ne révèle rien sur ma nature, et ce, bien qu'il me soit maintenant de plus en plus difficile de le cacher. Je ne sais trop pourquoi, mais mon propre corps m'a trahi. Je crois qu'on commence à avoir des soupçons et ça me fait peur, car je suis conscient des tensions qui règnent à l'extérieur entre mutant et le gouvernement. J'ai souvent pensé prendre le sérum depuis qu'il a été lancé, mais quelque chose m'empêche de passer à l'acte. Ai-je réellement envie d'être comme tout le monde ?

23 MAI 2013

Mon très cher journal,

Il se pourrait bien que ce soit la dernière fois que je me confis à toi. J'ai commise une très grave erreur aujourd'hui et cela risque peut-être de me coûter cher. Je n'ai pas dit un mot quand je suis rentré chez moi et me suis tout de suite planqué dans ma penderie. Je ne sais pas ce qui m'a pris de faire ça ni comment j'y suis arrivé, mais je présume devoir commencer par le commencement pour y voir plus claire. Il n'y avait rien qui sortait de l'ordinaire lorsque j'ai commencé ma journée, tu sais ? Je me suis levé, j'ai pris mon petit-déjeuner et suis allé à l'école comme je le fais à tous les matins. Une fois que j'ai franchis les portes de cet enfer, je me suis tout de suite dépêcher d'aller chercher mes affaires pour mon tout premier cours de la journée qui s'avérait être celui de mathématiques. Je me suis bien sûr fait bousculer et insulter, mais ayant appris à ne plus faire attention aux insultes et au coup que l'on me donne, j'ai continué mon chemin comme si de rien n'était. Je me suis présenté a tous mes cours cet avant-midi, je suis allé à la bibliothèque pendant les pauses et j'ai dîné seul dans les toilettes. Il s'agit après tout de ma petite routine quotidienne. À la pause dîner, je me suis rendu dans la cour d'école pour y lire un livre, mais suis tombé sur mes bourreaux qui m'ont tout de suite remarquer. Ma première réaction fut de me sauver dans le petit boiser derrière l'école pour m'y cacher. Je dois dire avoir souvent joué à la cachette avec eux dans ce boit. Parfois il me retrouve, d'autres fois non. Il s'avère qu'aujourd'hui, ils m'ont trouvé. Ils m'ont tout de suite encerclé et commencé à me bousculer et m'insulter. Je ne me suis pas défendu sur le coup et je les ai laissé faire. Je n'ai rien dit ou fait et me suis contenté de serrer les poings pendant qu'ils me ridiculisaient. Je ne saurais dire quand mon poings est partie, mais je me souviens avoir ressenti beaucoup de satisfaction quand mon poing a percuter le visage d'un de ces connards. J'ai frappé très fort et avec beaucoup de précision. Je ne me suis jamais défendu auparavant, mais ça ne veut pas dire que je ne sais pas me battre. Je dirais même le contraire, car je suis des cours de Karaté, Hapkido et Taekwondo depuis que j'ai huit ans. Néanmoins, j'ai toujours été un pacifiste qui n'aime pas utiliser la violence sans avoir de bonne raison de le faire et je n'ai jamais voulu m'abaisser au même niveau de ces grosses brutes sans cervelles. Mais bon, ils étaient cinq et j'étais seul. Je ne me souviens plus qui m'a attaqué en premier, mais je rappelle être tombé par terre et m'être fait ruer de coup. Je n'ai pas eu d'autres choix que de me rouler en boule dans l'espoir que cela me protège, mais en vain. Ils étaient brutal et sans merci. Je crois d'ailleurs que c'est la première fois qu'ils ont fait preuve d'autant de violence vis-a-vis de moi. J'étais terrorisé et en état de panique. Je ne ressentais plus que de la peur, de l'angoisse et du désespoir. J'avais du mal à respirer et une buée épaisse s'échappait d'entre mes lèvres. Ils ont arrêté de me frapper que quand ils ont pris conscience de l'herbe sous moi, celle-ci s'étant recouverte de givres. Il était peu probable que cela ait pu se produire de façon naturelle, car il fait chaud et le printemps touche bientôt à sa fin. Je n'ai pas bougé et suis resté en position fœtal. Je tremblais de peur et refusais d'ouvrir les yeux. Je m'étais rendu compte de rien, car j'étais toujours en état de choc. Je crois avoir entendu quelqu'un appeler mon prénom avant qu'on ne se penche vers moi, mais je n'en suis plus très sûr. Une main était sur le point de se poser sur mon épaule, mais je ne voulais pas être touché. Je m'en suis donc saisi avant qu'elle ne m'atteigne et dois admettre ne jamais avoir entendu quelqu'un crier de cette façon auparavant. J'ai tout de suite lâcher prise et j'ai relevé la tête. Je n'ai alors porté attention qu'à celui qui avait essayé de me toucher et non pas à ses amis. Tout comme moi, ils avaient tous une expression livide sur le visage. Nous avons tous vue la main d'Alexander qui arborait maintenant une teinte bleuté. Je me suis relevé et j'ai tenté de m'approcher, mais Alexander s'est reculé et m'a regardé comme si j'avais été le diable en personne. Il a ensuite commencé à crier sur moi et m'a demandé ce que je lui avais fait, car il disait ne plus rien sentir et ne plus pouvoir bouger les doigts. Je ne savais pas quoi lui répondre et j'ai paniqué de nouveau avant de prendre la fuite.  Vais-je pouvoir retourner à l'école après ça ? Comment je vais expliquer à mes parents ce qui s'est passé ? Comment va la main d'Alexander ? Qu'est-ce qui va se passer si jamais je lui ai bousiller un membre ? Quel en sera les conséquences ? Maman, j'ai peur !


INSTITUT XAVIER, NYC

14 SEPTEMBRE 2013

Très cher journal,

Je dois dire être très heureux de ne pas avoir à t'écrire de ma penderie cette fois. Je me trompe peut-être, mais tu dois sans aucun doute te demander ce qu'on est venu faire dans cet institut toi et moi. Tu te souviens de cette histoire que je t'ai comptée ce jour la ? Et bien voilà la raison de notre présence ici. Je ne connais pas tous les détails, mais après avoir fait une petite visite à l'infirmerie de l'école, Alexander a dû se rendre à l'hôpital et s'est fait amputer la main. Je crois m'être imaginer beaucoup de choses, mais jamais je n'aurais cru être capable de causer des engelures aux gens au point qu'ils aient besoin de se faire amputer. Je dois dire m'être senti extrêmement coupable et craint maintenant les contacts physiques. Je ne veux pas que ça se reproduise et je crois n'avoir touché personne depuis cet accident. J'ai dû tout raconter à mes parents quand la direction et les parents d'Alexander ont contacté les miens. Je me suis bien sûr fait renvoyer de l'école, car juger trop dangereux pour fréquenter un établissement public. Mes parents ont essayé de prendre ma défense, mais le mal avait déjà été fait. Il est fort probable que ce qui se raconte dans les médias au sujet des mutants ne m'a pas aidé. Je me souviens même que ma mère a presque attaquée la directrice de l'école quand elle a dit qu'elle allait me rapporter aux autorités et j'ai bien sûr été traîner en cours par les parents d'Alexander. Heureusement que j'avais un très bon avocat qui a réussis à prendre une attente avec le procureur qui s'occupait de mon cas. Il me plaisait plus ou moins de devoir quitter ma famille et me faire enfermer dans un institut. Mais bon, ce n'es pas comme si on m'en avait donné le choix. Quelle autre option avais-je ? Je préfère ne pas trop y penser avec ce qui se passe à l'extérieur... Je me suis donc retrouvé à l'institut Xavier. Je dois admettre que cet endroit est toujours mieux que mon ancienne école. Je suis arrivé en juillet et j'ai dû m'adapter à ce nouvel environnement. Un tantinet perdu, il m'a pris du temps à comprendre comment les choses fonctionnent ici et ne suis pas habitué d'être entouré que par des mutants. Pour être tout à fait honnête avec toi, je ne pense pas avoir déjà été en contact directe avec des gens comme moi jusqu'ici. Je dirais que ma vie a changé pour le mieux depuis que je vis ici et ça me rend parano. Je crois que c'est parce que je me suis trop habitué à me faire insulter, juger et frapper, que ça me perturbe d'être maintenant traité différemment. Je commence tout doucement à m'y faire et me suis même fait ami avec mon camarade de chambre. Il y a bien longtemps que je n'en ai pas eu et cela me fait tout bizarre de pouvoir à nouveau considérer quelqu'un comme tel. Il ne m'en a pas voulu quand je lui ai geler le poignet par accident. Heureusement pour lui, il a pu garder sa précieuse main...


CALIFORNIE, L.A

JUIN 2018

À mon tendre et très cher ami que j'ai laissé de côté,

Non, je ne suis pas en train de parler du mec qui est en train de ronfler dans le lit juste à côté du mien, mais bien de toi petit journal qui m'a toujours été précieux. Je sais que cela fait très longtemps que je n'ai pas écrit et je m'en excuse. Tellement de choses se sont passés dans ma vie qu'il me fut impossible de trouver du temps pour toi. Je ne sais pas par ou commencer, si ce n'est que par la grande purge. Tu ne le sais sans doute pas, mais on a attaqué l'institut en février 2014. Je n'aurais jamais cru dire cela un jour, mais j'ai vraiment crains pour ma vie ce jour-la. Je me souviens m'être enfuis dans un tunnel en compagnie de mon ami et d'autre étudiant de l'institut. Je ne me suis pas battu comme l'a fait plusieurs autres mutants, car je n'étais pas assez fort ni assez expérimenter pour combattre. Je me suis donc caché et fait profil bas jusqu'à ce que les choses se tasse et doit dire que cela a pris beaucoup de temps, la purge ayant pris fin qu'en septembre. Je suis bien sûr retourné à l'institut quand ils ont rouvert leur porte et j'ai continué mon apprentissage. Je dois dire que mes pouvoirs ont beaucoup évolué depuis le temps, mais cela ne veut pas dire que ce fut une bonne chose en soit. Avoir plus de pouvoir veut aussi dire avoir plus de puissances. Une puissance que je n'arrive pas toujours à contrôler et qui fait parfois de moi un danger public quand je me laisse emporter par mes émotions. Il n'est plus question que de simple engelure qui, dans le pire des cas, ne font que mener à l'amputation. Il est donc très important que j'apprenne à contrôler mes émotions pour ne pas que je me laisse influencer par elle, mais cela n'est pas toujours à faire quand on est instable. Je ne sais pas du tout jusqu'où ça pourrait aller si jamais j'en venais à perdre l'entière contrôle sur ce que je fais. Mais bon, il n'y a pas que du mauvais. J'arrive maintenant à produire de la glace avec laquelle je peux faire des structures et des objets. C'est plutôt sympa, avoue ! Malgré le semblant de plaix qui règner pendant un temps, je suis triste de dire que ça n'a pas durer. Cependant, et comme le dit si bien le dicton, toute bonne chose à une fin... Avec beaucoup de regret, je me dois de t'annoncer la fin tragique que fut celle de New-York.  Comme beaucoup d'autres civils qui se sont fait évacuer, je me suis retrouvé à L.A. Malgré que je me sois bien intégré à la ville, cela va bientôt faire plus de trois ans que je n'ai pas de nouvelle de mes parents et ça me rend dingue. Je ne veux pas y penser, mais seraient-il possible qu'ils soient tous les deux morts ? ... C'est à suivre !