I wouldn't say no to a tuna melt... - Wong

Prénom/pseudoJeanAge25 ans, 7M, 22J, 14H, 36MINCode règlementValidé par la Rouquine

Pv, scénario, marvel ou inventéMarvelComment as-tu atterri ici ?J’ai été pistonnéFréquence de connexionAussi souvent que faire se peut

RemarquesC’est beauuuuuuu ici **

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

LA LÉGENDE

Il y a très longtemps, Kan, un instructeur et guérisseur népalais, fut attiré dans une autre dimension en passant un travers un miroir magique. La légende dit que ce guérisseur, adepte des sciences occultes et des arts mystiques, aurait rencontré un roi, le roi de la dimension dans laquelle il avait atterri. Ce roi se nommait Jehan et avait une fille, Shialmar, ainsi qu’un fidèle conseiller et magicien du nom de Vung. Le roi missionna Kan de mener ses troupes à la victoire contre les Rois Sorciers. Et tandis que Kan assurait la victoire de Jehan sur les dirigeants de la dimension, Shialmar et lui tombèrent éperdument amoureux. Kan gagna la bataille contre les Rois Sorciers dont un seul survécu et finit sa misérable vie dans les geôles du nouveau roi Jehan. Cependant, en secret, Vung désirait le pouvoir. Maîtrisant l’art de la magie, il avait enchanté un miroir faisant de l’objet un passage entre deux mondes. Il avait ensuite manipulé Kan et Shialmar arrivant ainsi à ses fins. Obtenant le pouvoir qu’il désirait après avoir tué Jehan, Vung captura les amants et les offrit en sacrifice à ceux qu’il servait : les N’Garaï. Mais avant que le sacrifice n’ait lieu, et par amour pour ce sorcier venu d’ailleurs, Shialmar s’offrit aux démons en échange de leur pouvoir, ce que ceux-ci acceptèrent de faire. Devenue la Reine des Ombres, un être puissant incapable d’aimer, Shialmar tua Vung, ramena son père, le roi, à la vie et permit à Kan de retourner dans sa dimension. De retour au Népal et après les difficiles péripéties qu’ils avaient vécu dans cette dimension, Kan se retira et devint moine. Il sombra un temps dans la dépression, culpabilisant de ne pas avoir su aider Shialmar et d’avoir servi un vil sorcier. Dès lors, il consacra sa vie et celle des fils aînés de sa descendance au service d’un sorcier œuvrant pour le bien. Il découvrit alors les arts mystiques et les spécificités aussi nombreuses soient-elles de la magie. Kan finit par trouver un jeune sorcier et avec lui, il fonda un temple, le Kamar-Taj.

LA DESTINÉE

C’est bien des siècles plus tard que l’histoire de Wong ne commence réellement. Au début des années 1970, Hamir, un sorcier au service de l’Ancien, sorcier suprême de la dimension de la Terre, présenta à la communauté de Kamar-Taj son fils aîné, fraîchement né. Dès lors, Wong était destiné à devenir l’un des maîtres de Kamar-Taj, assistant du Sorcier Suprême et défenseur de la Terre de toute attaque spirituelle et mystique. Wong fut entraîné dès son plus jeune âge aux arts martiaux. Des instructeurs s’occupaient de la lecture, de l’écriture, des mathématiques et de tout ce qui concernait l’instruction des jeunes recrues. Ils avaient tous une grande destinée et les disciples de l’Ancien, devenant tour à tour instructeur et maître, étaient chargés de les préparer à leur future mission, de les instruire sur le monde tel qu’il était géographiquement, historiquement mais aussi spirituellement.
Au fil des années, Wong devint l’un des disciples les plus remarqués du Kamar-Taj. Il était fier de son ascendance mais ne prenait rien pour acquis, il était honnête et modeste. En effet, il s’est avéré que Wong, fils d’Hamir, était le descendant direct de Kan le Légendaire. Cela faisait de lui l’assistant de l’Ancien lorsque son père, Hamir, mourut au début des années 2000. Wong prit très au sérieux son instruction et était désormais un sorcier accompli. Lui-même donnait aux jeunes recrues des cours d’entraînements aux arts mystiques. Wong était proche de l’Ancien et celui-ci lui avait confié l’instruction principale des recrues.

LA TRAHISON

Les ennemis des sorciers de Kamar-Taj sont nombreux. Wong a pu au cours de sa vie voir et apprendre tout ce qu’il fallait apprendre sur les sorciers du mal et les êtres mystiques des ténèbres tels que Dormammu. Avec deux autres maîtres, Drumm et Minoru, Wong avait été missionné par l’Ancien pour retrouver le sceptre noir, un artefact puissant volé par une mystérieuse femme. Seulement, les trois maîtres revinrent bredouille au grand détriment de Kaecilius, un autre maître qui n’appréciait guère Wong et que ce-dernier n’appréciait guère non plus. Kaecilius était impulsif, avide de savoir et de connaissance, ce que Wong reprochait. Plus tard, après avoir remarqué la disparition de Kaecilius, Wong, Drumm et Minoru partirent à sa recherche. Ils le retrouvèrent inconscient. Le sorcier avait essayé de reprendre le sceptre noir à la voleuse mais sa succès. Les quatre maîtres combinèrent alors leur force, contraignant Kaecilius à travailler en équipe, et réussirent à vaincre la voleuse et à récupérer le sceptre noir que Wong mit en lieu sûr. Peu de temps après, le Kamar-Taj fit l’objet d’une attaque par Kaecilius lui-même, perverti par Dormammu, trahissant ainsi les enseignements de l’Ancien.

LE NOUVEAU SORCIER SUPRÊME

UC.