Daisy Johnson ° You want full Mortal Kombat?  [U.C]

Prénom/pseudoCarreauAge32 ansCode règlement Validé par la Rouquine

Pv, scénario, marvel ou inventéPVComment as-tu atterri ici ?Petite recherche sur Google et me voilà Fréquence de connexion4/7

RemarquesICI

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

*Respire* Pensa-t-elle en vidant l’air de ses poumons. Ses yeux fermés, elle enfilant les gants tout en se concentrant sur sa respiration. *Ne pas pensée, vide ton esprit, tout va bien aller* se disait-elle en son for intérieur tandis qu’elle ouvrait les yeux et se mettait en position de combat face à cette énorme sac de combat rempli de tout ce qu’elle détestait en ce moment.


Sans plus attendre, elle enchainait les enchainements, redoublant d’ardeur contre ce poids lourd qui lui valsait, désordonné certes mais toujours là à lui résister. Cette rancoeur, cette colère, tout remontait à chacun de ses assauts. Ce n’était qu’une question de temps avant que ses vibrations sismiques prendre le dessus.


« Je savais bien que je te trouverai ici.» Lui dit la voix trop familière de son mentor, Melinda May, lui rappelant, par la même occasion, qu’il est difficile de se retrouver seule dans cette base.


« May...» Dit-elle en arrêtant le sac dans son élan, remarquant par la même occasion, qu’il menaçait de se déchirer. * Oula, j’y ai peut-être aller un peu trop fort.*


« Tu veux te défouler? Alors viens. »  Dit-elle en lui faisant signe de se diriger vers les matelas et en retirant sa veste.


Daisy avait profité de ce moment pour tenter de se calmer, se rappelant ses anciennes séances d’entraînement avec May qui l’avait mener à l’agente du S.H.I.E.L.D qu’elle est aujourd’hui. Jamais elle n’aurait cru, au tout début, que les évènements l’auraient conduit ici, vers sa vrai famille. À force d’être trimbaler d’une famille d’accueil à un autre, le sentiment d’appartenance est souvent mis à rude épreuve. Et les questions perdurent et demeurent sans réponses, pourquoi avait-elle été abandonné dans le système comme une vulgaire chaussette parmi tant d’autre?


« Alors, tu viens, je n’ai pas toute la journée? » Fut forcé de lui rappeler, celle que l’on surnomme la cavalerie.


Craquant son cou de gauche à droite tout en étirant ses bras par la même occasion, Daisy se dirigeait vers le centre tout en regardant May avec détermination.


« La première qui met l’autre au sol trois fois, gagne.»  Évidemment, que serait un entraînement sans un peu de piquant ? […]