Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Catch me if you can, dearie [Johnny & Bucky]

 :: Anciennes archives Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Ven 7 Juin 2013 - 17:43
Invité
Invité
Anonymous
Catch me if you can, dearie [Johnny & Bucky] - Page 2 Tumblrinlinemhy037dzv51





Quel bonheur que celui de prendre une douche seul.
La seule chose qui brisait quelque peu – euphémisme bonjour – l'impression de bien-être qui se diffusait dans les membres douloureux du russe c'était la voix de Johnny qui résonnait depuis l'autre côté de la glasse : « Fait attention mon chaton, le grand méchant loup pourrait venir te manger...Ah, au fait. Nous ne sommes jamais rentré à plus de huit dans cette douche. » ...Chaton. Il venait de l'appeler chaton . Le Winter Soldier était plus habitué à ce que ce soit l'image du grand méchant loup qui lui soit accolé. Au sens propre. Et pas la tapette de loup européen du conte, le loup qui vit dans la taïga arctique et mange vos enfants, hein. Chaton. La mâchoire de Bucky se crispa pour lutter contre la nausée. Même Natasha ne l'avait...ne pas penser à Natasha, elle n'était plus là.

Il se secoua. Quant à huit, il en doutait fortement à moins qu'il s'agisse d'une bande d'acrobates entraînés par les Red Rooms. Quoique. Les femmes américaines avaient une tendance dérangeante à être des squelettes, alors pourquoi pas. Bucky eut une grimace pour lui-même avant de se désintéresser du Fantastique.
Bucky colla son dos contre la paroi, laissant l'eau froide dégouliner le long de son corps. L'effet était plus réparateur que tous les médecins et mises en stase possibles. Les yeux fermés, il sentait l'eau le débarrasser de la poussière des routes et villes américaines et le sang. Il ne sortit de la douche que le sang cessa de couler de son arcade et de battre douloureusement à ses tempes. La crise de migraine disparaissait, s'effaçait, rendant à Bucky l'usage de la vue, de son corps et de son cerveau. Qu'il allait éviter d'utiliser pour penser à ce qu'il venait de faire.

Le russe sortit de la douche, inondant allègrement la salle de bain du blond : tant pis pour lui. Bucky saisit son pantalon, s'apprêta à l'enfiler sans même y penser... avant de lâcher un juron qui aurait fait rougir les oreilles d'un bûcheron russe imbibé de vodka. Avec ces conneries de prendre une douche à deux, son boxer était trempé. Désagréable, collant, il allait tuer Johnny. Il aurait du le tuer il y a quelques minutes. Cette journée n'était qu'une longue suite d'erreur. Qu'on vienne donc le contrôler et lui donner des ordres plutôt que de le laisser livrer à lui-même, il n'avait pas l'habitude de la liberté.

Il attrapa une serviette pour se sécher approximativement et enfila pour de bon son pantalon. Oui, il était usé là où il avait heurté le sol et pas très propre, mais tant pis. Les poches de celui-ci contenait toujours un attirail capable de lui sauver la vie, et il ne comptait le laisser aux mains d'un américain, fut-il son ami. Et encore, pas sûr que celui-ci le soit : Bucky n'était pas assez habitué à la définition pour en être sûr. L'odeur des pancakes l'attira à nouveau dans la chambre, où, de toute manière se trouvait encore son tee-shirt, alors que Johnny l'appelait :« -Princesse, vos pancakes sont arrivés ! » ...la princesse va te jeter par la fenêtre, songea Bucky, mais les pancakes étaient son péché mignon, alors il se tut. Et en effet l'odeur était plus qu'alléchante. « Il te faudra peut-être des vêtements ? »

« - Je doute de rentrer dans tes vêtements de princesse, merci. Je dois avoir mon tee-shirt...qui traîne quelque part. »

Ceci était un pur mensonge vu que leurs carrures étaient similaires. Mais, c'était trop tentant. Surtout que Johnny était en effet habitué aux vêtements de princesse, ou du moins de diva. Pas vraiment le genre du Winter Soldier. Où était son tee-shit était une question importante : en quelques instants on aurait dit qu'une tornade avait balayé la chambre du Fantastique, même si c'était sans doute juste l'oeuvre d'une torche : le russe chercha le bout de tissu malmené du regard. Bucky attaqua un pancake – pas question qu'on les lui enlève - avant de lancer:

«-On a donc droit à un serviteur qui vous offre pancakes, douche et vêtements quand on vole une moto ? Intéressant. »
Revenir en haut Aller en bas
Sam 3 Aoû 2013 - 15:06
Invité
Invité
Anonymous




« Don't play with fire, baby »

«Bucky & Johnny»



Johnny entendit Bucky le rejoindre dans la chambre, mais ne se sortit pas la tête de l'armoire. Il continuait à chercher parmi sa garde robe un vêtement auquel il ne tenait pas trop pour pouvoir le filer au blessé. Non qu'il ne considère pas assez le jeune homme pour lui prêter n'importe quoi mais, disons, vu l'état de Bucky (bien que lavé), il préférait éviter le risque de tâcher de sang ses affaires. Surtout les quelques costumes hors de prix qu'il adorait porter devant les caméras.

- Bucky : Je doute de rentrer dans tes vêtements de princesse, merci. Je dois avoir mon tee-shirt...qui traîne quelque part.

La Torche ressortit la tête d'entre ses habits pour poser son regard sur le torse du jeune homme en levant un sourcil.

- Johnny : Mouais, tu as raison. Mes « vêtements de princesses » seraient certainement trop grands pour toi ; c'est que mes muscles prennent de la place ! rétorqua-t-il avec un grand sourire vengeur.

Johnny embrassa sa chambre du regard avant de faire une légère grimace. Il avait envoyé valdinguer pas mal de vêtements un peu partout dans la chambre, qui était à présent bien désordonné. Lui qui tenait à ce que son « chez-lui » soit irréprochable... Mais bon, on ne peut pas être parfait h 24 ! Il fini par hausser les épaules pour lui-même en se promettant de ranger plus tard. Heureusement, le plat de pancakes et le sirop d'érable avaient été mystérieusement épargnés, posés sur le bureau.

- Bucky : On a donc droit à un serviteur qui vous offre pancakes, douche et vêtements quand on vole une moto ? Intéressant.
- Johnny : Seulement quand on s'appelle James Buchanan ! Mais si ça te plaît pas... Je les ramène ! fit-il en lui prenant le gâteau des mains.

La suite se fit tout seul dans le cerveau de Johnny. OUI, il savait réfléchir. Et le plan qui venait de germer dans son esprit était machiavélique... Autant que puisse l'être un plan du Fantastique, du moins. Un large sourire aux lèvres, il posa sa main libre sur la nuque du jeune homme et l'attira soudainement à lui. Johnny fit jouer son regard pendant une fraction de seconde, son nez caressant presque celui de Bucky, avant qu'il ne l'embrasse plus ou moins tendrement. La Torche recula néanmoins rapidement, désirant éviter de se prendre un coup. On ne savait jamais !

- Johnny : Je te le rends. Tu comprends, j'en avais pas vraiment besoin ! lui fit-il, plein de malice dans la voix, en lui rendant son pancakes.

Le Fantastique se leva ensuite pour s'en prendre un, qu'il arrosa généreusement de sirop d'érable, et s'appuya sur le bureau en le dégustant. Dommage qu'ils datent de la veille ; heureusement qu'ils étaient encore bons et qu'ils n'avaient pas eu le temps de durcir !



(c) Ségo Soyana
 
Revenir en haut Aller en bas
Mar 3 Sep 2013 - 22:40
Invité
Invité
Anonymous
Catch me if you can, dearie [Johnny & Bucky] - Page 2 Tumblr-me07s0z68j1ryddha_imagesia-com_b8ma



« Seulement quand on s'appelle James Buchanan ! Mais si ça te plaît pas... Je les ramène ! » Techniquement, il ne s'agissait que d'un de ses nombreux pseudonyme; Le Winter Soldier n'avait pas d'identité propre et ne faisait que se présenter sous différents noms à chaque nécessité. Même si, il est vrai que « James Buchanan » était de loin celui qu'il utilisait le plus, et qui lui semblait le plus familier : pour un peu, le Winter Soldier se serait presque senti « James Buchanan ».Après tout, Natasha l'avait toujours appelé Bucky. Et la psychiatrie était claire sur le fait qu'il fallait bien avoir une identité pour ne pas perdre la raison... L'une des énièmes raisons pour lesquelles Bucky faisait un cas d'étude très intéressant pour les psys. Le Winter Soldier n'avait pas d'identité propre, mais s'il devait s'en choisir une...Il préférait James Buchanan à Dimitri ou Jimmy.

… Hep hep hep ! Les pancakes, ils allaient où là ? James Buchanan avait peut-être droit à des pancakes malgré son comportement … douteux, mais les dits pancakes venaient de se faire la malle. Ses pancakes étant menacés, Bucky leva la fourchette et s'apprêta à sévir; il n'était pas du genre à être violent en-dehors des nécessités dues aux missions, mais il n'appréciait guère qu'on lui enlève ses pancakes de la bouche. La fourchette s'immobilisa à quelques centimètres de la main de Johnny, l'agent russe suspendit son geste lorsqu'il réalisa que Johnny s'était dangereusement rapproché. L'instinct du tueur s'était détendu du fait de leur environnement, son esprit s'était concentré sur le vol des pancakes et Bucky Barnes était bien plus présent dans la pièce que le Winter Soldier : il n'avait pas réagit à temps et soudain la main de Johnny se posa sur sa nuque.

Ils n'étaient séparés que par les quelques millimètres qui, juste avant que des lèvres se joignent en un baiser, engendrent une atmosphère toute particulière, une tension qui annonce ce qui va se passer, une tension à savourer diraient certains. Pas Bucky, dont le cerveau venait momentanément de sauter : il y a encore une dizaine de minutes, l'homosexualité était pour lui punissable de la peine de mort, admettez qu'on parle d'un rebondissement majeur. Et puis, d'aussi près, le visage de Johnny lui rappelait étrangement... lui donnait une impression de déjà-vu difficile à combattre, plutôt. Même si son sourire canaille avait de quoi lui donner la chair de poule, et pas forcément de plaisir. Le baiser fut moins violent que la dernière fois; presque tendre. Ce qui n'était pas Bucky à garder la tête froide, il savait les tenants et aboutissements du baiser qu'il avait donné, pas de celui-ci. Avant qu'il ait pu écarter le Fantastique, celui-ci remit une distance de sécurité entre eux: « Je te le rends. Tu comprends, j'en avais pas vraiment besoin ! » Bucky émit un lourd soupir, leva légèrement les yeux au ciel avant de pointer sa fourchette vers le Fantastique dans un geste menaçant et tout à fait sérieux :

« - Garde le, garde tes mains, garde ta bouche, et va au diable. »

Sa fourchette se planta ensuite férocement dans le pancake assez violemment pour promettre un sort fort désagréable à toute partie de l'anatomie de Johnny qui oserait se mettre en travers de son chemin. Non pas que Bucky n'apprécie pas le jeune homme, là n'était pas la question. Mais... il n'était pas intéressé, et tout cela, toute cette vie de «permission », cette vie hors mission lui mettait les nerfs en pelote; il ne savait pas comment réagir à cet univers. Mais il savait comment gérer les pancakes :Il ne fallut pas longtemps à Bucky pour avaler son pancake, et pour lâcher un léger son de contentement. Ils était délicieux. Il s'apprêtait à enchaîner sur un deuxième, lorsqu'il sentit l'un de ses portables recevoir un appel.

Son portable professionnel, si l'on pouvait dire : pour vivre aux Etats-Unis, il fallait un portable, et il ne pouvait pas se permettre d'avoir sur un même appareil le numéro d'une pizzeria ou d'un civil et celui de ses patrons. Dans une poche, un Blackberry tout neuf. Dans l'autre, un portable intraçable, indétectable, en liaison directe avec ses supérieurs et les membres les plus éminents du KGB ou d'autres agents secrets. Et c'était celui-ci qui, grâce à sa connexion avec le bras et le cerveau de Bucky, le rappelait à l'ordre: un de ses supérieurs devait être en train de l'appeler, il allait avoir une mission. Il valait mieux qu'il décroche à l'extérieur du building, mais il sortit néanmoins son portable civil de sa poche, comme pour consulter un message.

« -Il vaut mieux que j'y aille. »

A regrets, le Winter Soldier déposa fourchette et pancakes, et se releva. Au moins sa tête ne tournait plus, mais les contusions qui traversèrent son corps sous le mouvement lui rappelèrent sa chute... et sa semi-nudité. Il tourna sur lui-même, balayant à nouveau la pièce du regard mais cette fois en tentant d'ignorer les pancakes et ne pas croiser le regard de Johnny.

« -Et il me faudrait mes vêtements. Si tu ne veux pas mettre les journaux et les tiens en émoi. »

Et diriger un spot sur un russe censé être la crème de l'agent secret.

Revenir en haut Aller en bas
Dim 8 Sep 2013 - 0:55
Invité
Invité
Anonymous




« Don't play with fire, baby »

«Bucky & Johnny»



Johnny esquissa un large sourire, alors que Bucky faisait mine de le menacer en pointant la fourchette en sa direction. J'te la fait fondre quand tu veux, ta fourchette ! pensa fortement le jeune homme. Quoi qu'au vu du regard assassin de son ami, le fantastique ne savait pas trop s'il était sérieux ou non ; enfin, peut importe. Cela ne vint pas entacher sa bonne humeur.

- Bucky : Garde le, garde tes mains, garde ta bouche, et va au diable.
- Johnny : Je ne faisais que te rendre ce qui t'appartenais ! rétorqua le blond, toujours sur le ton de la plaisanterie.

En tous cas, la Torche n'aurait pas aimé être à la place du pancakes, qui se prit un violent coup de fourchette avant d'être engloutit. Engloutit. Johnny venait de trouver le point faible de son ami ; il allait pouvoir le distraire lors de leur soirée, à présent. Hop, un pancakes pour Bucky, juste le temps de lui voler sa proie ! Johnny winner.

Le jeune homme vit l’amorce de mouvement entamé par Bucky vers un deuxième pancakes, lorsqu'il s'arrêta dans son élan. Avait-il peur de perdre du poids ? Il rangea rapidement sa main dans sa poche, et en ressortit finalement un portable. Il consulta un message, que Johnny tenta de regarder. Le brun fut malheureusement plus rapide que lui, et il ne vit rien du tout.

- Bucky : Il vaut mieux que j'y aille.

L'expression de Johnny s'attrista soudainement, alors qu'il lâchait un petit « Oh... », ne cachant pas sa déception. Le fantastique regarda Bucky poser l'assiette et les pancakes, se lever et tourner sur lui-même. Lui qui avait cru pouvoir le garder jusqu'au soir, puis sortir dans l'une de ces boîtes branchées qu'ils avaient l'habitude de fréquenter... Et bien il s'était trompé.

- Bucky : Et il me faudrait mes vêtements. Si tu ne veux pas mettre les journaux et les tiens en émoi.
- Johnny : Mouais... fit Johnny avec une moue boudeuse. Ton haut est foutu mon coco, va falloir que je t'en file un à moi.

Le super-héros plongea la tête dans son armoire, et lui envoya un Tshirt noir à la figure. Il referma la porte coulissante et s'y adossa, en croisant les bras. Johnny en mode « caprice de gamin » dans toute sa splendeur, pour vous servir.

- Johnny : Tu me le rendra plus tard, c'est pas grave. Il finit par soupirer, et attrapa une poche dans laquelle il fourra des pancakes. Prends ça... Et pas d'accident, hein ?!



(c) Ségo Soyana
 
Revenir en haut Aller en bas
Mar 17 Sep 2013 - 21:17
Invité
Invité
Anonymous



 « -Je ne faisais que te rendre ce qui t'appartenais ! » Les bons comptes font les bons amis, hein ? L'argument était stupide, même par rapport au niveau habituel de Johnny. Surtout que ça lui rappelait que c'était lui qui avait commencé les hostilités – ou l'intimité, d'un point de vue plus objectif – en l'embrassant le premier. Qu'est-ce qu'il lui avait pris ? Son petit doigt de métal soufflait à Bucky qu'il allait en entendre parler longtemps, de cette prise d'initiative hasardeuse.

Bucky était toujours surpris du comportement des américains à son égards. On le considérait comme … un ami. Il avait l'habitude d'être un soldat, un mentor, un partenaire, et même un petit-ami, mais les amis étaient rares aux KGB. Ici ...Lucy qui pleurait sur son épaule, Johnny qui lui servait des pancakes de bon coeur et semblait sincèrement triste de le voir s'en aller... C'était surprenant. Et autre chose, que Bucky n'avait encore pas encore identifié comme « quelque chose d'agréable » C'est vrai que Johnny et lui avait pris l'habitude de sortir ensembles...enfin, pas ensembles tous les deux, mais l'un avec l'autre. Sortir, boire un ( ou des ) verre(s), sourire aux filles et plus si affinités ( dans leurs cas, les affinités apparaissaient toujours ) …. James avait vite repris des habitudes de séducteur qu'il n'avait même pas souvenir d'avoir eu, en premier lieu. Il ne s'en plaignait pas. Il avait approché la Torche Humaine, car il était l'un des membres les plus voyants des quatre fantastiques, et sans doute celui le plus à même de lâcher des informations sensibles autour d'un verre. La tâche s'était révélée plus facile et agréable ( dans les grandes lignes, il venait quand même de se prendre un camion ) que prévu. Il ne devait cependant pas se laisser distraire de sa mission, comme venait de lui rappeler ses chefs.

« -Ton haut est foutu mon coco, va falloir que je t'en file un à moi. » Encore une chose nouvelle, surprenante... et agréable. Bucky répliqua à la moue boudeuse – âge mental : 4 ans, ils avaient peut-être le même âge physique, mais l'écart réel était vertigineux...Surtout quand Johnny se transformait en gamin – par un coup d'oeil faussement sévère, malgré son sourire en coin.

«- Si tu y tiens... Mais je ne suis pas ta petite amie à me balader avec tes chemises, n'y prends pas goût. »  

Au moins, il lui jeta à la figure un Tshirt tout simple, noir ; un court instant Bucky avait craint que le blond ne saute sur l'occasion unique de l'attifer de l'un de ses hauts ridicules, affublés d'un 4F géant ou d'une couleur à mourir de honte. Il en aurait été capable. Bucky le passa avec obéissance, sentant le regard de Johnny sur lui ; il était capable de le cramer sur place s'il n'obéissait pas assez vite, quand il avait cet air là sur le visage.
Puis, le regard de Bucky alla des pancakes, à Johnny et vice-versa, plusieurs fois. Pour une fois, le visage de glace du tueur à gages marqua la surprise ; c'était pour lui ? Il n'exprima pas la question à voix haute, son instinct lui soufflant qu'il aurait l'air ridicule – et il tenait à sa dignité et à sa réputation, même si Johnny ignorait tout de son métier et de sa nationalité réels.

«-Merci. »

«-Prends ça... Et pas d'accident, hein ?! » Bucky lui jeta un regard par-dessous ;

« - Rappelle-moi, combien d'accidents, objets cassés et femme furieuse cette semaine ? Essaie de ne pas te faire trop mal d'ici la prochaine fois. »

Et non, ce n'était pas l'hôpital qui se moquait de la charité, pas du tout messieurs dames. Il était lui- même excessivement prudent et délicat, toujours. Bucky battit en retraire jusqu'à la porte, la vraie cette fois, pas l'absurde porte-fenêtre-piste-d'atterissage par laquelle le fantastique l'avait fait passer de force en entrant, tout en passant son blouson. Il n'y avait plus qu'à espérer la furie qui servait de sœur à Johnny et qu'il ait le temps de déguster ses pancakes tout nouvellement acquis avant sa prochaine mission
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Sauter vers :
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Marvel Evolution Reborn :: Anciennes archives-