Les livres, mes seuls vrais ami, et même eux finissent souvent par trahir ou décevoir.
Ashley venait à peine d'arrivé en ville, mais elle était du pour se racheter de nouveau livre. Elle vendait toujours la plupart de ses choses en quittant une ville pour une nouvelle. Ça lui donnait l'argent nécessaire pour partir et c'était moins encombrant. Elle ne gardait que ses livres préféré et ce qui lui serait absolument nécessaire.
Donc, premier arrêt en arrivant, c'était la librairie. Bon, pas exactement quand même. Son nouvel appart était tellement miteux qu'elle avait passé les trois derniers entre le nettoyage et les crise d'allergie effroyable. Il y a avait de la poussière ET des moisissures partout. Elle ne pouvait pas se payer mieux cependant. Elle avait donc passé ses derniers jours à nettoyer son nouveau chez elle.
Elle était encore bien sensible, son nez complètement boucher, avec de petite salve d’éternuement vraiment dérangeante. Et en plus... on était l'été. Alors le trajet jusqu'à la librairie avait été infernale. Si seulement les anti-allergène fonctionnait sur elle. Mais non, pour avoir un effet, fallait carrément qu'elle se drogue avec eux, au point d'en être vraiment dans le cirage. Non, le seul vrai soulagement qu'elle aurait put espéré, aurait celui que lui procure sa mutation. Sauf que c'est dangereux. Et donc encore plus frustrant. Elle doit trouvé des gens qui sont seul, qui ne pourrait pas faire le liens avec elle. Elle doit faire attention de pas les vider complètement.
Un vrai calvaire, surtout qu'elle a trouvé personne pour la soulagée depuis son arrivé. Les gens sont trop entouré, il y a trop d'agent du gouvernement. Son allergie est trop forte aussi pour qu'elle puisse vraiment utilisé ses pouvoirs sans vider les gens au bout de quelque minutes. Comme elle haie sa mutation. Mais elle n'ose pas utilisé le sérum. Elle resterait alors définitivement prisonnière de ses allergies. il y a trop de risque à retirer juste sa mutation. Le reste ne partira pas, elle le sait, elle le sens.
Elle est donc dans cette libraire, à se faire regarder de travers chaque fois qu'une salve d’éternuements la prend. Et elle sont forte et longue, surtout qu'elle fait de son mieux pour étouffé ses éternuements dans son mouchoir, en pinçant son nez. Elle commence à avoir mal à la tête d'ailleurs.
Elle avise alors un livre qu'elle voulait lire depuis un moment, mais c'est juste au dessus d'un homme qui regarde les étagère. Elle hésite alors, mais l'homme ne bouge pas. Elle tend donc sa main au dessus de lui, mais c'est sans compté ses stupides allergies. Il n'y a pas vraiment d'allergène ici, mais ses voix nasale sont encore tellement pleine et irrité des trois derniers jours qu'elle n'a pas fini d'en subir les crises à répétitions.
Donc une bonne crise la prend et elle se cogne contre l'homme.
Ce matin-là, un jeune homme se réveilla en sursaut comme à presque tous les matins depuis la mort de sa femme. Il revoyait toujours les événements de ce jour néfaste. De plus en plus, il se disait qu’il n’aurait pas dû partir travailler ce jour-là. Il aurait plutôt dû rester avec elle. Pour la protéger. Ou peut-être même mourir avec elle. Oui, Sam lui avait souvent pensé à s’enlever la vie et d’aller rejoindre l’amour de sa vie. Mais il y avait toujours une partie de lui, qui lui disait de ne pas le faire, que Ruby ne voudrait pas qu’il le fasse. Mais plutôt qu’il continue à vivre sans elle. Et d’essayer de retrouver le bonheur. Ce qui serait très ardu pour lui, puisqu’il ne voulait de personne d’autre que d’elle. Quelle autre femme, le laisserait faire le boulot qu’il avait, sans le réprimander sur les heures ou il rentrait, mais aussi la façon dont il rentrait. Puisque c’était rare qu’il ne revienne pas avec au moins une blessure. Aucune ne voudrait de ce genre de vie, avec lui.
Alors secouant sa tête quelque peu, il se leva de son lit pour aller prendre une douche rapide. En faisant bien attention de ne pas s’enfarger dans une des nombreuses boites, qui parcourrait son nouvel appartement. Oui, il ne vivait plus dans la maison qu’il avait acheté avec sa femme. Par principe qu’il ne scie sentait plus chez lui là-bas, sans elle. Après une douche assez rapide, celui-ci s’habilla d’un simple t-shirt et d’un vieux jean. Enfilant par la suite, son manteau de cuire brun il alla vers la porte d’entrée. Non, il ne prit pas la peine de déjeuner, il ne faisait jamais de toute façon. Alors il sortit prendre l’air. De toute façon, il était en congé pour une fois.
Après une bonne vingtaine de minutes à marcher, Samuel se retrouva devant une librairie. Tienne quelle belle occasion de trouver un nouveau livre à lire pour lui. Puisqu’il n'avait pas mal toute lue les livres de sa propre bibliothèque personnelle. Alors il entra dans la boutique, il alla faire les ranger comme à son habitude. Ne regardant personne, ne demandant aucune aide à ceux qui travaillaient là. Lorsqu’il trouva enfin à la ranger qu’il l’intéressait, il se posta devant celle-ci et observa tous les livres. Les romans policiers, histoire vraie et tout ceci, rien de fantastique. Après un petit moment poster là, il sentit quelqu’un s’approcher de lui. Au début il ne fit rien, cette personne voulait sûrement juste un livre. Alors il continua du livre le résumer du livre qu’il avait dans les mains, jusqu'à ce que cette personne lui éternue dessus. Beurk!
Alors il se retourna vers celle-ci, qui s’excusa immédiatement. Arquant un sourcil, il ne dit rien pendant un petit moment. Enfin il attendit que celle-ci cesse d’éternuer. Des allergies sans aucun doute. Pauvre elle.
- Ce n’est pas grave. Vous allez bien?
Mer 30 Juil 2014 - 20:14
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Ashley & Samuel
Les livres, mes seuls vrais ami, et même eux finissent souvent par trahir ou décevoir.
La crise dura un bon moment, 25 éternument pour être exact. C'était quand même moins pire que quand elle était entrée dans la librairie, mais dieu qu'elle détestait sa faiblesse. Surtout qu'elle se sentait toujours aussi congestionné, et que ses voix nasale la démangeait encore atrocement. Au moins, l'homme, après son premier mouvement de dégoût, semblait patient et presque avoir de la sollicitude pour elle. ll y avait bien longtemps qu'on ne lui en avait plus témoigné. Sa colère et sa haine retombèrent d'un coup, comme une chandelle que l'on souffle. Il lui demanda même si elle allait bien. On lui parlait comme à un être humain, ça faisait du bien.
Elle lui envoya donc un regard plein de gratitude, ses simples mots lui faisait l'effet d'un baume sur sa patience, sur son âme écorchée vive. Tellement qu'un soupire triste lui échappa, elle ne savait même pas quoi répondre. Elle bafouilla donc d'une voix nasillarde et congestionné.
"Je... ça va, j'ai l'habitude... sniff... sniff... maintenant".
Elle se retourna un peu pour se moucher. Elle savait que ça ne l'aiderait en rien, pas dans l'état dans lequel elle se trouvait, mais à long terme, elle finirait pas réussir à se débarrasser un peu des allergènes. Et puis, elle n'avait pas trop envie que son nez se mette à couler de manière si peu élégante devant le premier être humain gentil avec elle depuis quelque mois.
"Je suis désolé pour ça... ce ne sont que des allergies. Je n'ai aucune maladie. Vous n'avez pas à vous inquiété de tomber malade."
Elle babillait, nerveuse, évitant son regard. Elle se haïssait tellement, elle était même pas capable d'avoir une vrai conversation civilisé avec quiconque sans avoir envie de fuir. Surtout qu'elle sentait poindre une autre crise de manière très imminente. Elle faisait de son mieux pour retarder la salve, mais elle ne se gagnerais sans doute au mieux qu'une minute ou deux. Mais elle n'avait aucune envie de laissé ses allergies gagnés. L'homme semblait gentil maintenant, mais il allait, comme les autres, fort probablement se lasser assez rapidement de discuter avec une femme qui entrait en crise presque aussi souvent qu'elle arrivait à parlé. Elle était pathétique.
Elle se pinça l'arrête du nez pour soulager un peu la pression dans ses sinus et son mal de tête. Effet bénéfique supplémentaire aussi, normalement, ça l'aidait à retarder ses crises. Par contre, le chatouillement lui ne cessait pas, même en faisant de son mieux. Elle pouvait retarder les éternuements, mais la démangeaisons continuait de s’intensifier tant que ses muqueuse serait irité, ce qui, dans le cas présent était pour longtemps.
Des que la jeune femme eut terminer ses éternuement, qui semblait s’éterniser le plus longtemps possible, Sam lui avait demander si elle allait bien. Donc il attendit la réponse, reste bien patient, ce qui était une de ses qualité, dut a son travail. Après un petit moment, elle fini par lui dire qu’elle allait bien et qu’elle avait l’habitude a présent. Alors c’est ce qu’il avait penser elle avait des allergie. Une chance, il n’allait pas tomber malade a cause de ceci.
Il la laissa donc se moucher, en détournant son regard. Il regarda plutôt autour de lui, pour analyser l’endroit. Puisqu’il avait toujours cette sensation bizarre qu’il allait devoir quand même travailler aujourd’hui, comme à chaque fois qu’il prenait un seul congé. Par la suite elle lui assura que ce n’était que des allergies et qu’il n’allait pas tomber malade. De toute façon, il ne tombait que rarement malade. Puisqu’il savait quoi faire dans ces moments-là. Alors il hocha la tête avant de lui répondre.
- D’accord. Mais je n’étais guère inquiet de tomber malade.
Après avoir dit ces quelques mots, il ne savait plus trop quoi dire. Puisqu’il n’était pas du genre bavard de toute façon. Il préférait rester dans son coin. Seul avec lui-même. Surtout depuis la mort de sa femme. Alors il regarda plutôt autour de lui une nouvelle fois. Espèrent presque quelque chose allait se produire. N’importe quoi. Même l’arrivée d’une de ses cibles serait apprécier.
Mer 6 Aoû 2014 - 19:58
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Ashley & Samuel
Les livres, mes seuls vrais ami, et même eux finissent souvent par trahir ou décevoir.
L'homme était patient, polie, gentils... et aussi beau gar¸on, car il fallait bien l'admettre. Ashley se sentit sourire et contrairement à d'habitude, elle n'avait aucune envie d'écourter la conversation. Elle rencontrait si peu de gens aimable, si peu de gens qui ne se moquait pas d'elle ou ne la jugeait pas de haut. Ça faisait drôlement du bien, et elle se sentait seule depuis tellement longtemps.
Sauf qu'elle savait n'avoir aucun talent pour faire du sociale. Elle était si peu en contact amical avec les gens qu'elle n'était même plus certaine de savoir entretenir une conversation. Vaudrait-il mieux fuir ? Mais sitôt que cette pensée la traversa, c'est tout son esprit qui s'éleva contre l'idée, se rebélla même. Elle se rendit compte qu'elle ne supportait tout simplement pas l'idée de tournée les talons et de fuir. Et cela lui fit peur aussi.
Elle se mit donc à bafouiller un peu. Son nez la démangeant de nouveau de plus en plus alors qu'une crise approchait. Elle s'était remise à renifler.
"Je... Je suis...snifff...sniff.. contente que vous... eu... ne soyez pas inquiet."
Elle se maudit mentalement, même pas capable de dire des trucs qui soit sensée. Elle était ridicule.
hum...je...suis nouvelle en... ville... snifff...aaatch...sniff... Et... et vous ? êtes-vous... sniff... snifff...aaatch... aaatch... du-aaaTCHII coin ?"
La crise était imminente, mais la mutante fit de son mieux pour la réprimer encore un peu. Elle se sentait tellement pathétique. Même pas capable de tenir une simple conversation. Elle était nulle, mais nulle, un vrai zéro.
Et les regards que lui lançait les autres clients lui donnait envie à la fois de creuser un trou et s'y cacher, ou te tous leur faire payer. La colère contre elle-même et contre les gens qui la dévisageait avec dégoût ne faisait que croître. Son malaise aussi allait en grandissant. Et plus elle se sentait mal et intimidé par le regard des autres, plus la colère montait.
Elle devait penser à autre chose. Elle n'en pouvait tout simplement plus de cette vie. Elle avait envie de jeter la prudence au ortie, de soulager son allergie sur quelqu'un, n'importe qui. Juste pour être en mesure d'avoir une vrai conversation avec quelqu'un. Juste pour que cesse l'enfer pendant un instant.
Mais ça ne servirait à rien. Elle se mettrait en danger pour quoi ? Même sans l'allergie, elle ne serait probablement même pas en mesure de tenir la conversation avec un beau gosse. Elle était tout simplement désespérante. Mais il fallait impérativement qu'elle reste calme, qu'elle ne s'énerve pas. Sinon, elle allait finir par perde le contrôle de son pouvoir et ça c'était vraiment dangereux. Non pas pour elle directement, mais son pouvoir allait tout simplement choisir une cible, ou plusieurs et bonjour la discretion. Elle se ferait repéré tout de suite.
Mais loin de l'aidé à ce calmer, ce fait supplémentaire ne faisait que l'enrager plus. L'injustice tout autour d'elle, de sa vie entière était un fardeau. Et ses derniers jours avait été tellement épuisants, et un vrai calvaire de plus, qu'elle se sentait à fleur de peau. Un rien pourrait la faire entré dans une vrai colère noire. Il fallait qu'elle garde son calme.
Heureusement, au moins, l'homme était patient et sa gentillesse l'aidait un peu. Elle devait se concentré sur ça. Oublié les autres, elle voulait s’accrocher à cette conversation. La première civilisé qu'elle avait depuis longtemps. Il la traitait comme une vrai personne.
Maintenant qu’il lui avait dit qu’il n’était pas inquiet de tomber malade, notre jeune homme espérait qu’elle allait retourner vaquer à ses occupations et qu’il pourrait terminer de lire le résumé du livre qu’il avait toujours dans les mains. Mais aussi il voulait se retrouver seul avec lui-même. Comme toujours. Il n’avait jamais été très loquace, encore moins maintenant qu’il avait perdu sa raison de vivre. Sa femme avait toujours été la plus bavarde des deux. Mais elle continua plutôt à lui parler. Il lâcha un léger soupire, presque impossible à remarquer. Elle lui demanda s’il était du coin. Il hocha donc la tête avant de lui répondre.
- Bienvenu en ville alors. Et oui je vis à quelques rues d’ici.
C’est vrai il vivait vraiment pas très loin de cette librairie maintenant de moins. Puisqu’il avait déménagé depuis la mort de sa femme. Bien qu’il n’ait jamais défait les boîtes dans son appartement. Puisqu’il n’était que très rarement chez lui. Essayant de toujours travailler, pour oublier.
Un autre silence se plaça entre les deux. Notre jeune homme regarda alors autour de lui un petit moment. Ne voyant rien d’anormal. On aurait dit qu’il voulait vraiment que quelque chose arrive. Secouant sa tête discrètement, il retourna son regard sur la jeune femme. C’est là qu'il remarqua le livre qu’elle avait pris un peu avant qu’elle n’éternue sur lui. Il reconnut toute de suite le livre. Puisqu’il l’avait lu, voilà pas si longtemps. Mais voulait-il vraiment partir une discussion avec elle? Ou pas? Donc il pointa le livre avant de dire.
-Très bon choix de lecture.
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