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Le gouvernement et ses mystères [PV Shanone et Erika]

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Sam 5 Juil 2014 - 13:35
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La curiosité, un vilain défaut ?

La musique à fonds dans les oreilles, je m’éclatais assise sur une chaise dans un coin bien luxueux du gouvernement, entouré de deux agents fédéraux.
Bougeant au rythme de la musique et parfois chantant (sans doute faux ou pas), les agents avaient bel et bien l’habitude, lorsque Ethan Wilander est appelé pour une réunion ou autres, il y a souvent sa fille qui vient avec lui et en rien elle n’est une gentil petite fille toute sage, mais plutôt une jeune femme qui profite de sa jeunesse.

Finalement l’un des deux agents finit par partir sans doute lassé de m’entendre chanter.¨
Puis de toute façon pourquoi on me collait toujours quelqu’un dans les pattes ? C’est tellement lassant, de quoi ils ont peur ? La dernière je suis juste allé du côté de l’informatique pour surfer sur le net et regarder les dernières tendances côté mode à Tokyo.
Je ne faisais rien de mal, je m’appropriais ce qui ne m’appartenait pas, c’était différent, il faut quand même oser, le faire aussi, puis trois heures pour me retrouver, vraiment … Et il se dise agent.

Toujours la musique à fonds dans les oreilles, le deuxième agent plus coriace me tapota l’épaule et je retirais mon MP4, le regardant comme-ci il venait de me sortir d’une affaire capitale entre la vie et la mort.
Personne ne me dérange quand j’écoute de la musique et que je me défoule!
Je roulais des yeux à son « moins de bruit s’il vous plait », puis je poussais un soupire des plus lasse, sortant un dernier gadget que Stark m’avait donné et entament une partie de Alice Madness Returns.

Combien de temps mon père allait-il encore rester en réunion ? Pas que ça me dérangeait, juste que j’aurais voulu explorer les lieux seuls, comme d’habitude.
Mon attention fit attirer par une femme sortant en mode « furie » d’un bureau.
Elle était en mode « surtout personne sur mon passage où je te défonce », ce qui me fit sourire, puis relevant la tête vers l’agent, je vis qu’il était en pleine discussion avec son oreillette … J’aime la modernité mais la mon gars, on dirait que tu causes seul c’est limite flippant.
Enfin je profitais de ce moment pour me glisser hors de son champ de vision et suivre la furie.

Votre mission miss Wilander, retrouver une femme qui a l’air d’avoir un sacré caractère, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, sans doute des informations erronées ou pas.
C’est incroyable les films que je peux arriver à me faire en peu de temps.
N’oublions pas cet élément … Je n’ai même pas pus voir l’un de ses seuls souvenirs, ah non c’est décevant, soit je ne m’étais pas assez concentré, soit c’était … Une mutante!

Je me glissais dans les couloirs, marchant d’un pas sur, sinon j’allais forcément attirer l’attention sur moi, cherchant la femme.
Personne … Elle était rapide ou c’était moi qui étais trop lente, je marchais tout de même droit devant moi, furetant discrètement, le silence dans ce bâtiment du gouvernement étant assez pesant, heureusement que j’en avais l’habitude.
Je ne me vis pas aller lorsque je me retrouvais face à face avec la personne que je cherchais.
Limite-j’eut un sursaut, je n’arrivais pas à lire dans sa tête et je n’arrivais pas à parler, bon dit quelque chose Sha!

-Oups  (dis-je avec un petit air mutin)

Ah oui parfais, bravo à moi.
lumos maxima
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Dim 6 Juil 2014 - 19:08
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Le gouvernement et ses mystères.
Shanone & Erika


- Capitaine, comprenez bien que…

Mes mains claquent sur le bureau, celui assis derrière sursaute tandis que ceux derrière moi soupirent. Il croyait me faire passer la pilule comme ça ? Trop bonne trop conne, mais pas la Morgan. J’suis aussi ouverte qu’une nonne un soir de prière quand il s’agit de se faire enfler de la sorte.

- Vous voulez me détacher de manière permanente sur Terre ? Pour faire quoi ? M’occuper de vos petits asgardiens que vous n’arrivez plus à gérer ? Nettoyer la merde que votre SHIELD n’arrive pas à nettoyer ? Très peu pour moi.

Le bureaucrate qui me fait face est écarlate. Prêt à exploser. Ouais, laisse couler mon gars, il y en a d’autres avant toi qui ont cherché à se contenir et ça s’est mal passé. Je ne cherche pas la gloire, encore moins les grades à la con qui te ramène en moins de deux minutes sur la terre ferme. J’ai passé ma vie à monter dans les étoiles, je ne gâcherais pas tout simplement pour résoudre une question politique conne. Ils n’arrivent pas à gérer les allés et venus d’extraterrestres dans leurs villes ? Alors quoi, on appelle Morgan et son équipe de brutasse, prête à faire le grand saut ? On leur retire les armes, on les fout dans des bureaux, seulement un kilo de papiers à la fois.

- Capitaine, si vous vouliez bien vous calmer…

Je me redresse, un sourire nerveux sur le visage. Un sourire dont l’on m’a déjà dit tout le bien qu’il est possible d’en penser. Plutôt crever que de venir lui lécher les bottes. Avant mon départ de la station, ils ont été clairs. Je ne reviens pas tant que l’affaire n’est pas classée. Je la classe avec brio. Le type en face de moi n’est pas mon supérieur, il ignore les vraies responsabilités du SWORD, je suis moins gradé que lui, mais j’ai une accréditation deux fois plus élevée que la sienne.

- Non, monsieur. Je ne me calme pas, vous m’avez fait quitter mon poste pour quoi, pour ça ? Je refuse, je ne veux pas de cette pseudo-promotion et des honneurs que l’on cherche à m’attribuer. Je retourne avec mes gars préparer la prochaine mission. Si vous voulez bien m’excuser, monsieur.

Je lui fais le salue. Il ne faut pas qu’il croit que je ne le respecte pas. Je sais ce qu’il a déjà fait par le passé, mais cet homme que je salue est trop profondément enterré derrière ce bureaucrate engraissé et vieux. Du pareil au même. Il le prend pour lui, c’est la vérité, en un sens. Je quitte le bureau dans un bruissement de jupe et de talon, mes deux gorilles à la botte.

« On ne laisse pas un membre du SWORD se balader sans personne dans les couloirs du Pentagone, surtout pas Erika Morgan, on a trop peur de ce qu’elle pourrait déclencher. » D’où leur vient cette peur panique de ma personne ? Je l’ignore. Doutent-ils du fait qu’en dessous de la crasse et des insultes habituelles puisse se trouver un être humain parfaitement capable de réfléchir par ses propres moyens ? Oui, ça doit être ça. Les deux bonhommes me suivent à la trace. A quoi bon, les couloirs sont de toutes manières totalement vides à cette heure-ci. Il n’y a ni alarme, ni urgence, tout le monde est en réunion ou occuper à sauter sa secrétaire. Mes habits me gênent, comment elles font pour bouger là-dedans les bonnes femmes sur Terre ? J’ai l’impression d’être à nue sous la chemise blanche et cette jupe noire serrée et s’arrêtant juste au-dessus des genoux. Je dois ressembler à ma sœur comme ça, la jumelle. Les talons claquent dans le couloir, suivi de l’inexorable bruit de pas des gentlemen faits pour m’escorter. Je ne porte ni veste ni collant. Cette tenue d’apparat sautant à la minute où les vestiaires sont face à moi. Quitte à être sur Terre, autant profiter de la gravité constante pour se faire un basket. Si la victoire des Spurs est une réjouissance en soi, le fait de ne pouvoir se faire un match avec les hommes après car la gravité artificielle est foutue sur le terrain d’entrainement est frustrant.

Sur mes jambes et mes bras sont visibles les cicatrices des blessures infligées par les combats de ma jeunesse et ceux de ma vie d’adultes. Des plus vieilles, blanchies et à peine visible, à celles encore rouge, le contraste laisse apparaître une « laideur » pour toutes les pintades qui travaillent ici. Oui, mes jambes sont couvertes de contusions, oui, mes bras portent des bleus et mes mains ressemblent à celle de vos père, mais moi, je ne me fait pas péter pour des avancements, je reste fidèle à mes principes. « Ne les juges pas trop durement, Rika. » m’a dit un jour la jumelle. « Elles ne sont pas toutes comme ça.» Peut-être, t’as surement raison, frangine, mais ça m’énerve.

Les gorilles m’agacent, je décide de m’en débarrasser. Rien de plus facile, me retournant, je pose les mains sur les hanches, un regard désapprobateur pour les juger.

- Vous ne pensez pas que je connais la sortie, que j’ai autre chose à foutre que d’aller me pavaner au milieu des incompétents ?

Ils se regardent et soupirent. Oui, je connais vos ordres, bande de cons. Ne me regardez pas comme ça, allez-y, cassez-vous, laissez-moi. Ils comprennent ce que je veux dire, ils ne sont pas si stupides que ça, au final. Je sais parler aux mecs dans leur genre, j’en ai une équipe complète prête à m’appeler « Maman » et qui m’obéissent au doigt et à l’œil en pleine bataille.

Libre, enfin, je reprends ma marche, d’un pas décidé. Je me barre, adieu Washington. Un petit détour par chez les frangines et hop, retour en apesanteur. Rien n’est malheureusement si simple dans ce putain de bâtiment géant.  En passant au détour d’un couloir, il y avait cette petite, assise bien sagement sur son siège. En partant au coude suivant, du coin de l’œil, je la vois qui se lève bien précipitamment. Que cherches-tu là ? Une espionne au palais de l’espionnage ? Comme c’est comique. Je marche rapidement, malgré les talons, que je finis par ôter, je n’en peux plus, filez moi des baskets, des bottes ou je ne sais quoi qui tiens au pied. Marchant rapidement, je me cache dans une ouverture de porte. La voilà qui passe devant moi. Un minimum musclée, nul doute qu’elle combat. J’ai donc vu juste ? On verra, quel que soit son niveau, les entraînements du SWORD sont trop violents et poussifs qu’un membre de la CIA ou du SHIELD ne rivalise avec un membre de l’équipe tactique. Nous aussi, là-haut, on a besoin de coordonnateurs et de bureaucrate. Un jolie petit Washington miniature.

Approchant à pas de loup, elle se retourne pile au moment où je fonds sur elle. La diplomatie ? Ne connais pas. Elle lâche un oups tout à fait charmant, naïf. La saisissant au col, je la repousse contre le mur. Les yeux dans les yeux, je vois qu’elle cherche quelque chose, mais quoi ? Sur Terre, tout est détraqué, impossible de savoir ce que veulent les gens.

Je souris, en demi-teinte, passive agressive. Elle n’est pas plus grande que moi mais parait beaucoup plus jeune. Une dizaine d’année, à tout péter. Je n’ai jamais été bon dans les âges, pas besoin de savoir si l’alien est majeur avant de lui faire sauter la carapace. Aucun souci de conscience pour nous.

- Tu as deux minutes pour me dire ce que tu me veux et pourquoi tu me suis. Sinon, je m’occupe de retrouver celui qui t’envoi et on va aller discuter tous les trois.

Je parle sans la lâcher, la soulevant légèrement, que son appui soit mal assuré, qu’en cas de réponse physique, l’avantage soit de mon côté.


© realised by Morphine
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Lun 7 Juil 2014 - 12:40
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La curiosité, un vilain défaut ?

Ouh-la ouh-la doucement, oui je venais de suivre cette femme par curiosité mais je ne m’attendais pas à une telle réaction.
Déjà ma première observation était validée, elle avait un sacré caractère rien qu’à voir son sourire à demi teinte et sa poigne de malade.
Puis la honte, elle me soulève par le colle comme un chat par la peau du cou, limite j’en aurais soupirer, mais valait mieux que je me retienne.
Par contre j’arquais un sourcil à ses paroles … Oui … Hum … En faite non.
N’ayant aucun appuis au sol, je fléchis une jambe l’appuyant contre le mur, ce qui me donnait assez d’élan pour donner un coup de tête à la femme en fasse de moi, qui me prenait pour je ne sais trop quoi, qui, peu importe.
Me libérant de sa poigne, j’étais en position de défense, tout en gardant mes distances.

-Ok j’ai deux minutes mais à mon avis ça ira plus vite, je suis ici parce que mon père est en réunion et que je l’attends dans cette salle d’attente ou je m’emmerde comme un rat mort, avec pour compagnie deux zozos qui tirent la gueule

Mon père m’entendrait parler, ma mère, ou une autre personne de la famille, je n’ose imaginer la tête que ceux-ci pourraient tirer, sans oublier « vocabulaire Shanone », je suis polis devant ma famille pour qu’on me lâche les baskets, mais en dehors faut pas me marcher sur les pieds.

J’avais beau observer cette femme en face de moi, je n’arrivais toujours pas à voir ses souvenirs, quelque chose arrivait à me stopper, par contre elle n’était pas une mutante, elle était une humaine ça j’en étais sur, c’était sa véritable nature.
Je penchais la tête sur le côté, c’était bien la première fois que j’étais confronté à une humaine avec l’esprit « vide ».
Si je commençais à poser des questions sur sa capacité unique à réussir me bloquer, elle allait comprendre que j’étais une mutante, j’optais pour une autre approche.

-J’étais curieuse, le fait de vous avoir vue passer aussi rapidement m’a donné envie de vous suivre, croyez pas que je suis … Vous croyez quoi en faite ?
lumos maxima
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Mer 23 Juil 2014 - 20:19
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Le gouvernement et ses mystères.
Shanone & Erika

De la ressource, un minimum. S’appuyant d’une drôle de manière sur le mur, elle pousse et tente de me foutre un coup de boule. Enfin, elle m’en colle un, mais de là à dire que ça fait mal… Disons plutôt que ça surprend, car par rapport aux gabarits habituels de ma compagnie. Sous la surprise, je la lâche, reculant d’un pas. Elle se place en une position de défense qui démontre un niveau technique assez important. Ce n’est pas pour cela qu’il peut s’avérer efficace. Le principal problème au SWORD, c’est que l’on vous apprend à faire avec tout, humains comme monstres interstellaires. Alors ouais, le kung-fu, le karaté et toutes ces merdes asiatiques, ça a de la gueule, mais mixez un peu tout ce qui peut être produit de guerrier ou de mortel sur Terre et vous obtenez que ce l’on se bouffe durant les classes et les entrainements. Arquant un sourcil, je l’écoute s’expliquer tout en restant droite comme un i. Je pousse un soupir.

- Tu suis ton papounet et quand tu t’emmerdes, tu suis une inconnue dans les couloirs ? J’dois dire… Bravo.

Mon ton est froid, de l’acier qui frappe le bout des doigts des élèves pas sages. Je ne dirais pas que la curiosité est un vilain défaut, j’ai toujours été curieuse, mais jamais assez stupide pour suivre une inconnue au milieu d’un des bâtiments contenant le plus de secrets des Etats-Unis. Par réflexe, je croise les bras sur ma poitrine. En temps normal, je pousserais une beuglante, l’insultant de tous les noms qui me passent en tête, en langage humain d’abord puis ça dériverait vers du Kree ou du Skull. Mais là, j’ai affaire à une civile, une inconnue complète. Qu’est-ce que je dois faire ? Lui plomber un genou pour lui apprendre les bonnes manières ? La ramener et interrompre la réunion du père pour lui montrer sa tendre progéniture en plein vagabondage. Aucune idée de qui est le père, mais s’il a des réunions ici, j’ai déjà dû le croiser dans un couloir en l’ayant insulté de ne pas m’avoir retenu la porte, comme ils le font souvent en me voyant arriver.

Elle continue de s’exprimer, je ne l’écoute qu’à moitié, réfléchissant à un sort correct pour cette intrusion dans mon planning qui l’a complètement décalé. Levant un une main face à elle, comme pour l’interrompre, je renonce à ce sourire qui ornait mon visage depuis tout à l’heure.

- Et si tu commençais à me donner ton nom et tes accréditations avant que je ne dise quoique ce soit.

Ma main qui s’était relevé, je la fait retomber pour la replacer dans le creux du sein qu’elle occupait juste avant. Cette gamine a peut-être de la jugeote, mais je fais la guerrière depuis bientôt vingt ans, on ne me la fera pas à moi. La seule chose dont j’ai envie, c’est de revoir les sœurs et de m’enfiler un bon jogging, un débardeur, de courir pour ensuite bouffer de la pizza et de la bière chez l’autre gros Neil.

- Au cas où tu ne le comprennes pas, je n’ai pas envie de faire la discussion, si je passais aussi rapidement, c’est que je suis un minimum pressée. Tu vas donc faire demi-tour retourner voir ton pôpa qui doit s’inquiéter de ne plus te voir et me laisser tranquille, qui que tu sois.

Elle n’est quand même pas bien cette fille, à quoi ça rime de suivre les gens car ils passent rapidement devant vous ? Tentant de ne pas faire de déformation professionnelle, j’essaye d’oublier ce crétin de cerveau qui hurle qu’elle est une espionne extraterrestre venue faire du repérage pour une invasion future. M’étant retourné pour partir, je soupire de nouveau, okay, tu gagnes, l’allumé du bocal.

- Hey, toi, j’ai une dernière question.

Croyez-le ou non, je brise encore une règle, alors que je viens juste d’être mise à pied et dans le langage le plus pompeux de l’univers connu, je m’exprime, afin de savoir si oui ou non elle est bien… Skrull.

- < Tu peux arrêter ton char, j’suis aussi de la race supérieur.>*

Voyons si elle comprend. Si oui, bye bye la gentille Erika et bonjour au meurtre à coup de poing, avant d’aller chercher le père et de lui faire subir le même sort. Si elle ne comprend pas… Je vais devoir trouver une parade. T’es intelligente Rika, mais seulement quand tu en as envie.

*Langage Skrull, incompréhensible pour ceux ne parlant pas la langue. Ne ressemble à rien de connu sur Terre.



© realised by Morphine
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Mer 13 Aoû 2014 - 16:02
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La curiosité, un vilain défaut ?

J’eu un sourire assez mesquin aux paroles de la femme.
Ouais je sais, j’ai tendance à coller mon père, mais en même temps c’est pas tout les jours qu’on va dans un bâtiment du gouvernement avec des tonnes de gadgets!
Pour moi c’est le paradis cet endroit, sauf quand j’ai eu le droit à deux gardes du corps ou nounous …
Bref … Par contre suivre une inconnus … Mouais j’avoue, seulement je n’avais rien eu de mieux à faire et bam elle arrive pile quand je cherche de l’occupation.

-Bien c’est surtout que c’est pas tout les jours qu’on peut avoir l’occasion de venir dans ce genre de bâtiment, alors j’en profite, mais les deux armoires à glace sans cervelle ce n’était pas prévu dans le plan et au moment ou vous êtes arrivez, bien j’ai pus dégager sans me faire remarquer, alors ouais j’ai suivis une inconnue

Cette femme pouvait faire peur quand même, elle avait parlé d’un ton tellement froids, sans oublier qu’elle n’avait pas l’air d’une personne qui apprécie les grandes embrassades.
Non j’y crois pas, elle croise les bras sur sa poitrine, ça me rappel mon grand-père quand il n’est pas content et qu’il veut des explications.
Bon la par contre si elle peut lire dans mes pensées, je crois que je suis mal barré, bon je le suis déjà, mais je risquais de l’être encore plus.
Enfin celle-ci me stoppe et me demande mon nom et mes acrédi ta quoi ?

-Hum Shanone Wilander, il y a aussi Valentine au début, accréditation vous voulez dire ce que je fais la ? Si j’ai un boulot ici ? Non parce que en faite je suis à l’université

Roh mais elle me prends pour un bébé ou quoi ?  Rien que la façon dont elle parle de mon père mon « popa » c’est moi qui parle comme sa, pas elle, nan mais oh!
Pour la peine je croisais à mon tour mes bras (voila je ressemble à mon grand-père qui est un ancien légionnaire), manque plus que le tabac à mâcher … Oh beurk, mais à quoi je pense ? J’ai l’esprit tordus parfois.
Toi ? Mais je viens de lui donner mon nom, je levais les yeux ciel, la regardant voulant dire « quoi ? » qu’est-ce que j’ai encore fait ?
Oh non cette fois-ci j’allais exploser de rire, c’est quoi ce vieux langage ? Enfin si il a déjà existé ou alors c’est un langage de cité ?

-Hum … C’est normal que vous me parliez comme si je venais du ghetto un truc dans ce genre ? Non parce que je comprends rien la

On dirait une rappeuse « ouh zi va chui de la race supérieur man » non vraiment j’hésitais à pleurer de rire ou me retenir jusqu’à exploser de rire.
lumos maxima
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