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The Freedom Fighter is out of time - Terminé

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Jeu 18 Oct 2012 - 22:52
Invité
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Anonymous
Steven Grant Rogers
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] ✄ Moi c'est Steven Rogers mais plus généralement on m'appelle Steve'. Je suis également connu(e) sous le nom de code de Captain America, bien que pour aller plus vite on m'appelle Captain ou même Cap'.Je suis né(e) à/en Manhattan dans la ville de New York, aux Etats-Unis le 20 juin 1922. Ne vous donnez pas la peine de faire le calcul, j'ai 90 ans. Dans la vie je suis militaire de carrière au grade de capitaine, et leader des Avengers mais mes véritables passions sont le dessin et la boxe. Je suis actuellement célibataire. Je vous vois venir avec votre curiosité ! Mais s'il faut répondre alors... Je suis hétérosexuel et vous n'avez aucune chance ! Puisque vous insistez, voici mes traits de caractère: généreux, altruiste, courageux, loyal, tacticien, réservé, timide, charismatique, idéaliste, torturé, secret, manichéen. Heureux mélange n'est-ce pas ?! J'appartiens au groupe des Avengers et j'en suis fier(e). Oh, il paraît que je ressemble énormément à Chris Evans.


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Pouvoirs & aptitudes
Pour les mutants et héros: Steve, grâce au super-sérum d'Elskine, est devenu durant la Seconde Guerre Mondiale ni plus ni moins que l'être humain le plus parfait pouvant exister, physiquement parlant. Tout son corps est à son potentiel maximum, et le fait est que l'entraînement intensif auquel il se soumet régulièrement ne fait qu'aider à améliorer sa maitrise de cette "machine humaine" qu'il est devenu. Ainsi, tous ses sens ne souffrent d'aucune défaillance et sont aiguisés plus que quiconque. Il maitrise également plus d'une quinzaine d'arts martiaux différents, allant des plus brutaux comme la boxe aux plus subtils tels que les techniques asiatiques, permettant un style de combat totalement unique, propre à Steve et à personne d'autre. Le mieux ? Il est considéré comme le meilleur combattant de toute la Terre au corps-à-corps et dans le maniement des armes, car effectivement son expérience militaire accrue au fil du temps et de ses missions n'a fait que décupler ce talent naturel de soldat.
Atout supplémentaire à son CV de Super-Soldat, son bouclier en Vibranium, qui rend imprévisible ses frappes, ses défenses et esquives car étant une arme unique elle aussi. Ce bouclier de par sa matière absorbe tous les chocs et les vibrations quels qu'ils soient. De par ses capacités sensorielles améliorées, Steve est capable d'un simple regard de prévoir toute une série de ricochets pour lancer son bouclier, démontrant alors une adresse calculatrice impressionnante, quasiment au millimètre près. De la même manière, le sérum a boosté au maximum ses capacités régénératrices, lui permettant d'encaisser des chocs bien plus puissants qu'un humain normal, et de guérir à une vitesse bien supérieure également. Ceci dit, il ne peut ressusciter comme Wolverine. Si une attaque le tue sur le coup, il reste mort. En revanche, s'il est gravement blessé, même mortellement blessé mais pas tué sur le coup, il régénèrera et cela même si un être humain normal aurait fini par succomber aux dites blessures (hémoragie, gangrène, etc.).
Sa densité musculaire, ses articulations, tout son corps étant boosté de manière définitive, Steve est capable de courir à une vitesse hallucinante de 50kms/h presque de manière illimité. Il est en effet infatigable car ses cellules éliminent aussitôt les toxines et la fatigue, empêchant son sang de manquer d'oxygène au bout de l'effort. Il peut aussi porter l'équivalent de 360 kgs et donc exercer une pression ou des frappes avec cette même puissance, autant dire que ça fait mal. Pour finir, Steve est doté de prodigieux réflexe et d'une agilité hors normes de par le sérum certes mais surtout ses entraînements personnels quotidiens.



Votre histoire
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Les films en noir et blanc, les casquettes de velours, les bretelles par-dessus des chemises repassées impeccablement et tout aussi impeccablement rentrées dans des pantalons en toile, les premières Harley, les téléphones aussi larges que des avant-bras, les sorties dominicales après la messe à Central Park pour pique-niquer tout près du lac avec ma mère, les bagarres dans la cour de récré ou plutôt, les coups que les grosses brutes me donnaient dès qu'ils apercevaient ma frêle silhouette. Ou encore, l'odeur particulière des vieilles cartes du continent européen rougi par le nazisme, les tracés au compas, les traductions simultanées en fond de salle des renseignements extérieurs, le bruit de succion de la boue malodorante sous mes pas dans les campagnes françaises éventrées par les obus. Le bout de mine de ce crayon au creux de ma main dessinait presque inconsciemment ces bribes de souvenirs qui restaient perpétuels dans mon esprit, ignorants des klaxons et autre bavardages divers autour de moi aux tables de ce café tranquille où je m'étais arrêté faire escale depuis bientôt une heure. J'appartenais à cette époque, cette époque lointaine où les idéaux et les convictions se marquaient au quotidien face à l'horreur des journaux, où la Constitution Américaine et les grands principes de la Liberté brillaient de mille feux dans chaque coeur. Oui, j'étais de cette époque, mais cette époque n'est plus la mienne.

« Un autre café peut-être ? » Je quittai mes songes pour lever les yeux vers la serveuse qui me souriait. « Non merci, » répondis-je un peu confus, n'ayant pas plus gagné en assurance face à la gent féminine qu'il y avait une soixantaine d'années. Je plongeai la main dans la poche intérieure de ma veste en cuir marron, comptant rapidement mentalement la monnaie que j'en tirai dans ma paume. « Oh non non, laissez, c'est la maison qui offre ! » s'agita la serveuse toute pétillante en secouant sa main devant moi pour me faire arrêter mon geste. « On vous doit tous tellement vous savez, revenez quand vous voulez, vraiment, » précisa-t-elle, les yeux brillant d'admiration et de ce phénomène de groupie dont Tony ne cessait de me parler. « Ca me gêne, j'insiste pour payer, je suis un citoyen normal et je... » « C'est moi qui insiste ! Vous ne payez rien ! » répéta-t-elle souriante en débarrassant mon café sur son plateau en main, avant de repartir vers une autre table, non sans un regard vers moi.

Je me sentais mal. C'était stupide. Mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Il s'agissait d'un tout. Ces gens, tous ces gens qui me regardaient régulièrement de biais depuis que j'étais venu me poser à cette table, m'admiraient. Ils admiraient chacun des Vengeurs. Mais ceux d'un certain âge, l'ancienne génération, la mienne à vrai dire, m'admirait pour tout autre chose que mes dernières aventures au sein des Vengeurs contre Loki et les Chitauris. La différence était flagrante à vrai dire. Dans leurs regards se marquaient le respect de cette époque vécue, trouble, difficile, marquée autant d'horreurs que d'espoirs. Pour eux, j'étais un de ces espoirs. J'avais été la bannière étoilée qui s'était dressée face au nazisme. J'étais le soldat sorti de la masse, héroïque, sans peur et sans reproches, qui avait renvoyé Hitler d'où il venait. Leur respect était bien plus solennel, bien moins clinquant. Ces personnes âgées, me rendaient humble face à mon histoire. Ils me rappelaient pourquoi je me battais, bien plus efficacement que les jeunes adolescentes qui montaient des groupes sur moi sur ce que Tony appelait "feyssbouk" ou "tumblair". Quelque chose comme ça. Quelque chose provenant de ce monde déréglé dans lequel je ne me reconnaissais pas. Debot près de la table, je rangeai mon petit carnet à dessins dans la poche intérieure de ma veste et, après un regard vers la serveuse partie plus loin et ne me voyant pas, je laissai sur la table la somme due, ainsi qu'un pourboire, avant de partir. C'était stupide. Mais rien que cette insistance à me refuser ce seul plaisir de payer mon café me bloquait. Et ce qui m'agaçait encore plus, était cette façon que j'avais de tout prendre mal dans ce nouveau monde, sans jamais le montrer cela dit. J'étais vivant malgré cette chute censée être mortelle que j'avais fait droit dans les eaux glacées pour détourner l'attentat de Crâne Rouge. J'étais vivant, et pourtant je ne me sentais pas vraiment comme tel. Ni mort, ni vivant. Entre les deux, de la même manière que 'étais entre deux mondes. Un monde de souvenirs, un monde concret dans lequel je peinais à m'intégrer. Mais le voulais-je vraiment de toute façon ?

Je partis marcher dans les rues, les mains au fond de mes poches, pensif. Toujours. Je passai devant des vitrines modernes, impersonnelles, tellement peu chaleureuses en comparaison de celles que j'avais connues. Ces petits kiosques à journaux, où se vendaient en bandes dessinées les derniers exploits de Captain America en Europe pour les enfants, tandis que les adultes prenaient évidemment la presse plus sérieuse, plus crue, moins édulcorée. Terrifiante. Marcher dans les rues, je le faisais presque quotidiennement depuis mon retour "parmi les vivants". Activité solitaire destinée à me pousser à sortir malgré mon état moral, qui était tout le contraire de ce que je montrais auprès de tous les autres. J'étais Captain America, le Super-Soldat, l'homme sans failles, qui ne fléchissait jamais. Je ne pouvais laisser aucune place au doute, à de possibles coups de déprimes. Non, je camouflais tout sous mon air réservé et impassible. Mais cette activité de promenade ne donnait pas les résultats que j'avais escomptés. J'avais espéré qu'en me forçant à parcourir cette nouvelle époque, qu'en me forçant à aller la voir, la comprendre, je finirais par ne plus la voir avec indifférence, je ne finirais plus par m'y sentir si mal. Mais c'était tout le contraire qui se produisait. J'y croisais des gens, des tas de gens, tous différents, tous indifférents les uns aux autres, tous penchés sur leurs écrans tactiles, tous parlant dans leurs oreillettes ou écoutant de la musique. Isolés de leur environnement quotidien, mais sans les raisons valables qui étaient les miennes. Ils vivaient dans l'inconscience, dans l'indifférence, et cet individualisme me rebutait. Les Vengeurs avaient tenté de m'éduquer. Ils avaient tenté de m'initier à la culture Star Wars. A internet. Aux réseaux sociaux. Il me semblait que Spiderman avait créé un profil à mon nom, sur un site de rencontres. Je ne savais même pas ce que c'était, un site de rencontres. Etait-ce un lieu précis de la ville où rencontrer des gens ? Je supposais cela, puisqu'on ne pouvait pas rencontrer des personnes dans un écran. Dans mon monde, les rencontres ne pouvaient qu'être face à face. A vrai dire, je n'étais pas réceptif. Cet univers, numérisé, quantifié, me dépassait de bien trop loin. Et je n'avais pas envie de courir après lui. Pourtant, courir vite n'était en rien un problème pour moi.

Mais mon coeur n'y était pas. Il était resté coincé dans cette époque perdue. Il était resté auprès de cette mère aimante qui avait toujours su s'occuper de moi malgré notre situation plutôt pauvre, permettant à ce petit garçon que j'avais été de ne pas accorder trop d'importance à son père défaillant, sans emploi, alcoolique. Il n'était pas un mauvais homme, juste un homme perdu, sans but, sans conviction. Mais pas méchant. Juste inexistant. Ma mère me manquait, elle me manquait déjà durant mon adolescence, durant mes périples militaires de la guerre, elle me manquait depuis que je l'avais perdue à vrai dire. Depuis que la maladie me l'avait prise. Bien après mon père, ceci dit, mais sa mort à lui m'avait moins affecté que la sienne à elle. C'était atroce à considérer, mais je n'étais pas un menteur, ni envers les autres, ni envers moi-même. Ma mère avait bien plus compté pour moi que mon père. Et ma sensibilité n'avait pas aidé à me rendre fort durant mon enfance. Quand je repensais à ce que j'étais avant le sérum, il était dur de réaliser le revirement absolu que j'avais subi. Avant, petit garçon frêle, fragile, chétif, émotif, mais déjà courageux et têtu. Aujourd'hui, grand homme à large carrure et aux expressions faciales modérées, parfaitement maitrisées. Juste une carapace, celle du leader que j'étais. Ne montrer aucune faiblesse. Jamais.

Je montai dans le tramway aérien, prenant place près de la vitre pour observer le paysage au fil de mon petit voyage. Encore une fois, ce que je voyais me dépassait et ma propre solitude me désarmait pour tout dire. J'aurais pu être entouré de tous les Vengeurs en cet instant précis, que je n'en aurais pas été moins seul. J'aurais juste eu besoin d'une personne pour ne plus subir cette sensation. Si Bucky avait été là, avec moi, dans ce serpent métallique zigzaguant entre les buildings, il aurait animé les lieux avec cette façon unique qui était la sienne. Je nous imaginais dans nos tenues militaires, de ce souvenir de lui tel que je l'avais vu pour la dernière fois, à nous marrer sur cette banquette vétuste et taguée par endroit. il aurait probablement été provoquer du regard ce groupe de jeunes à quelques mètres, au look on ne peut plus louche, et j'aurais probablement du le modérer et désamorcer une énième fois la situation pour éviter une bagarre de bar, ou en l'occurrence, de tramway. Mon ami me manquait, lui aussi, plus cruellement que le reste tant nous avions été si inséparables toute notre vie, et loyaux jusque dans les tranchées de l'horreur.

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Le tramway s'arrêta à mon arrêt, et je descendis sans me presser, toujours avec cette nonchalance un peu ailleurs que mes moments de solitude me conféraient. J'essayais plus que tout, de ne pas penser à elle. A Peggy. Peggy Carter. Cette femme de la résistance pour qui mon coeur de jeune recrue de l'armée avait de suite battu bien plus vite et bien plus fort que jamais auparavant. Je sentais dans ma poche, le petit poids de ma montre ancienne à l'intérieur de laquelle trônait une photo d'elle un peu écornée en noir et blanc. On faisait ça à l'époque. Les trois quarts de ce qui gravitait autour de moi pendant cette promenade n'existaient pas. J'avais le sentiment que cela rendait les choses plus vraies. Plus authentiques, que masquées derrière tous ces artifices impersonnels modernes que je ne comprenais pas. Tout ça pour dire, qu'elle était la première femme dont je tombais amoureux, et la dernière par la même occasion. Elle m'avait donné ma chance avant que je ne prenne le super-sérum du Docteur Erskine, changeant le mioche gringalet en celui que j'étais aujourd'hui : l'être humain à son summum physique, mais pas seulement. J'avais toujours été quelqu'un de gentil. Je ne voyais aucune raison naturelle de faire le mal autour de moi. Cela ne me satisfaisait en rien de voir les gens souffrir, bien au contraire. Et j'avais un mal fou à comprendre ceux qui pouvaient s'en réjouir. Je n'étais pas naïf pour autant. Ayant vécu la pire des guerres mondiales, j'avais vu ce que l'humanité avait de pire à offrir. Peggy avait vu cette douceur en moi, et m'avait accepté tel que j'étais. Cette femme avait bouleversé ma vie. Je l'avais perdue bien trop tôt. Avant même que nous puissions aller danser comme nous nous l'étions promis. J'avais vu cette danse comme le déclencheur, je l'avais imaginée maintes et maintes fois. Elle restait inachevée, cette histoire d'amour. Elle avait figé mon coeur avec elle, dans la glace qui m'avait privé de cette vie qui aurait pu être normale après la guerre terminée. Cerclé de fantômes, j'étais un de ces vieux films restés au fond d'un carton pendant des années dans un grenier, et ressorti aujourd'hui à l'ère du numérique et du DVD. Autant dire qu'ils ne pouvaient pas lire un format si ancien, si anachronique. C'était ça, ma vie. J'étais cette pellicule de cinéma attendant que soit déniché quelque part un projecteur pour la lire, pour la faire remarcher.

Bip bip bip. Je m'arrêtai, et tâtonnai les multiples poches de ma veste et de mon pantalon à la recherche de cet espèce de biper que Fury m'avait donné. Il m'avait donné un modèle pas trop sophistiqué pour ne pas que je le détraque, et Spiderman avait alors avancé une comparaison entre moi et un certain Gibbs. Là encore, je ne savais pas de qui il parlait. Je savais juste que Spiderman était le comique de l'équipe, il y apportait de la légèreté et je ne lui en voulais pas pour ça, bien au contraire. Je lis alors sur le minuscule écran : "là-haut". Instantanément, je levai mon regard perçant d'azur vers le ciel, et plus précisément les toits des gratte-ciels autour de moi. Je ne tardai pas à repérer la silhouette sombre au long manteau noir de Fury. Je rangeai mon biper, et bifurquai sans me presser dans la première ruelle. J'entamai alors avec un léger élan un saut calculé pour m'agripper au rebord de la fenêtre du premier étage, et poursuivi mon ascension de la même manière, enchaînant avec agilité plusieurs acrobaties pour atteindre rapidement le toit du vieil immeuble en briques.

« Vous auriez pu prendre l'escalier. » « J'avais besoin de me dégourdir un peu. » « Vous allez être servi. » « Une nouvelle mission, Monsieur ? » demandai-je de mon air formel de soldat face à celui que je reconnaissais comme mon supérieur hiérarchique. « Pas en solitaire cette fois, Rogers. Nous en parlerons là-haut. » Je suivis alors Fury vers le milieu du toit où il fit réapparaître - il était sous camouflage - le vaisseau de transport du SHIELD, dans lequel je grimpai avec désormais presque une certaine habitude étant donné que j'avais, depuis l'attaque de Loki, participé en tant que Captain America solitaire et non Avengers - l'équipe s'était plus ou moins séparée en temps de paix - à diverses missions de paix sur le globe pour le compte du SHIELD. Une façon comme une autre que Fury avait trouvé pour me garder dans le coup et forcer mon intégration en m'implantant dans une activité que je maitrisais, à défaut de maitriser ce nouveau monde, à savoir la carrière de soldat. Le vaisseau atterrit sur le pont d'envol de l'impressionnant Héliporteur voguant entre les nuages, et bientôt je me retrouvai dans le bureau de Fury. « Vous êtes au courant pour l'attentat du 7 septembre dernier ? » « Oui, Monsieur. » « Cette situation ne peut qu'aller en empirant, d'un côté les mutants, de l'autre Fatalis qui refait surface, et le gouvernement qui en rajoute. Clairement, il nous faut enrayer cette foutue loi des séries ou ce qui reste à venir finira par avoir raison de nous tous tôt ou tard. » « Quels sont vos ordres, Monsieur ? » « Que Captain America reprenne du service. Non pas en tant que soldat, mais en tant qu'Avengers actif. Cette menace s'avère d'un ressort supérieur au nôtre, l'évidence est là. Et les Avengers ont été créé pour ça. Effet immédiat. La mallette de briefing a été déposé au Manoir, comme pour chacun des autres membres de l'équipe. » « A vos ordres. » répondis-je avant de quitter le bureau, pour quelques heures plus tard me retrouver à éplucher les dossiers innombrables du SHIELD sur les événements qui se produisaient au quotidien depuis le retour de Magnéto et de Fatalis, entre autres choses. Le racisme montant n'aidait pas. Moi qui l'avait vu de plein fouet en 1945, je me sentais concerné au plus haut point. Les mutants avaient droit à leur liberté de vivre, de vivre comme les autres. Pour moi, c'était une conviction limpide, mais je craignais qu'elle soit toute autre de la part du gouvernement. Voilà que je risquais déjà de me retrouver déchiré un peu plus dans ce monde, entre servir ma patrie et son gouvernement, et protéger ardemment la Liberté dont j'avais fait ma ligne de conduite depuis toujours au nom des principes de cette bannière étoilée que j'arborais. Mais probablement que le paradoxe le plus tortionnaire qui m'habitait, était que j'aspirais à la paix, que je ne souhaitais que cela au monde, et cela alors que j'étais un soldat, un militaire faisant la guerre dès que les ordres tombaient. Et je ne pouvais nier que je ne me savais pas doué pour autre chose que combattre, combattre pour des convictions morales et infaillibles que je pensais justes. Ainsi ne pourrais-je jamais concilier les deux traits de ma vie en même temps. Soit l'on est en paix. Soit l'on est en guerre. Et en l'occurrence, nous étions de nouveau en guerre. Et le soldat que j'étais venait de répondre à l'appel, bouclier déjà au bras. Comme toujours.

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Spoiler:

Codage & apparence par © SweetyBB



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Jeu 18 Oct 2012 - 22:55
Invité
Invité
Anonymous
Caaaaaptain ! :28:

Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche !
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Jeu 18 Oct 2012 - 22:57
Stark Industries
Admin
Stark Industries
♠ Classe et nom de code : + ∞
Le Captain *O*

Bienvenue parmi nous & merci de ton inscription ! Tu disposes de 7 jours pour termine rta fiche, un fois fait, viens le signaler dans la partie prévue à cet effet.

Si tu as la moindre question sur ton histoire ou le contexte, n'hésite surtout pas.

Bonne rédac :14:
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Jeu 18 Oct 2012 - 22:57
Invité
Invité
Anonymous
CAPTAIN :12:
je suis heureuse de te voir ici nous attendions ton arrivée avec impatience :7:
si tu as le moindre soucis n'hésite pas a venir voir le staff nous sommes là pour ça
merci de t'être inscris et à tres bientot pour un rp :14:
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Jeu 18 Oct 2012 - 23:04
Invité
Invité
Anonymous
    CAAAPTAAIIIN !! ♥ ♥ ♥
    Bienvenue ! :'D
    Et de la part de Thor aussi, même si j'ai pas changé de compte ♥
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Jeu 18 Oct 2012 - 23:16
Invité
Invité
Anonymous
CAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAPTAIN :28:
Tellement contente de te voir par mis nous :52: !! Mon avengers favoris >_< !! Bienvenue et bonne chance pour ta fifiche =D !! :34:
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Jeu 18 Oct 2012 - 23:20
Invité
Invité
Anonymous
Youhouuu merci à tous pour votre accueil :21:
J'essaie de finir vite cette fiche pour venir jouer avec vous dans le bac à sable des héros :36:
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Ven 19 Oct 2012 - 0:02
Invité
Invité
Anonymous
Bienvenue à toi sur Marvel Evolution Reborn
Je vais suivre avec attention ta présentation... On peut dire que je suis autant fan de Cap que l'était Wilson.
Bonne chance pour ta présentation.
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Ven 19 Oct 2012 - 0:53
Invité
Invité
Anonymous
CAAAAAAAAAAAAAAAAAAAP ! Dans mes bras mon grand ! :78: Bienvenue chez toi !
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Ven 19 Oct 2012 - 9:31
Invité
Invité
Anonymous
Bienvenue à la maison, Captain ! :34: Bonne chance pour ta fiche :28:
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