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Mar 27 Jan 2015 - 20:26
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Intrigue #1  :
Le soulèvement des machines
Groupe 1  
- Bruce Banner
- Dr. Fatalis
- Chelsea Walker
- Alec Hanniger
- Eve H. Davis

Quelques instants avant l'une des plus grosses coupures de courant affectant les USA, des signaux particuliers furent émis depuis un point donné. Les coordonnées de ce point d'origine correspondent à la localisation du laboratoire secret de Hank Pym, le Vengeur décédé il y a maintenant plusieurs années. Ces signaux pourraient bien être à l'origine des coupures de courant, et si c'est le cas, sachant que Pym n'est plus là pour orchestrer ce qui peut se passer dans ce labo, la question est donc: Qui? Qu'il s'agisse des mutants... Des Vengeurs... D'un Roi d'une contrée lointaine... Tous ceux qui ont pu capter ce signal envoient en éclaireur l'un des leurs. C'est ainsi que vous vous retrouvez tous à un moment donné devant un vieil hangar abandonné.

Au centre du vaste bâtiment, vous repérez - car vous êtes très fort - ce qui semble être une "entrée secrète" qui conduit au sous-sol. En suivant un long couloir sombre, mais pourtant éclairé par des néons... Qui semblent être en fin de vie, mais pas affectés par les coupures de courant car auto-alimentés. C'est grâce à eux que vous poursuivez votre chemin et que vous tombez nez à nez avec... une porte. Immense, froide, faite d'un métal dense. Ce qui se passe derrière? Un mystère pour l'instant."
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Sam 31 Jan 2015 - 22:50
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Le soulèvement des machines


La jeune mutante s’approchait à grande foulée des coordonnées du signal qu’elle avait capté, un peu plus tôt, avant d’être contrainte de continuer la route à pieds. Un étrange signal, menant visiblement à un entrepôt pourtant à l’abandon. Eve flânait, comme à son habitude dans les méandres d’internet, grâce à son don, surveillant quelques flux, qu’elle jugeait intéressant, quand elle capta ce signal. Ce qu’il représentait ? Elle n’en avait aucune idée, mais l’agitation qu’il semblait générer la fit se dire qu’elle devait aller s’y rendre en personne pour avoir ses réponses.
Cherchant les coordonnées qu’elle trouva aisément, elle localisa le signal et entreprit de s’y rendre le plus rapidement possible, en s’immergeant informatiquement et en se téléchargeant là-bas, si elle en trouvait des coordonnées. Elle était en cours de téléchargement lorsque la coupure d’électricité se manifesta, et subitement, de nombreuses portes de sorties qu’elle avait envisagé – la plupart du temps, des objets branchés sur secteur – lui furent inaccessibles, comme si elles n’existaient simplement plus. Craignant de se retrouver prisonnière de cette dimension informatique, Eve décida de s’en extraire par les premières coordonnées qu’elle trouverait de disponibles sur le réseau. C’est ainsi qu’elle put s’extraire d’un téléphone portable, situé dans un studio, à ce qui semblait être peut-être un kilomètre des coordonnées du dernier signal qu’elle avait reçu.
Sous le regard médusé et les cris des habitants du studio où elle venait de se télécharger, Eve voulut consulter son smartphone pour mieux suivre le signal qu’elle avait détecté, mais elle remarqua rapidement que ce dernier ne fonctionnait plus comme avant. S’allumant, se coupant, démarrant des applications, supprimant parfois des données, comme si à mesure qu’elle s’approchait du signal, son téléphone s’affolait de plus en plus. Et ce qui n’était pas bon ne devait certainement pas l’être pour elle, c’est pourquoi elle décida de reprendre la route de manière plus conventionnelle et de ne plus utiliser son pouvoir pour se déplacer : qui sait ce que cet étrange signal pourrait lui faire, quand elle se dématérialisait à l’état de code…
Tandis qu’elle sortait du studio, où le problème semblait gagner chaque objet électronique, chaque parcelle de technologie, Eve ne put s’empêcher d’en extraire le couple qui semblait encore sous le choc. Des humains lambda. Et quelques mois auparavant, elle les aurait laissés à leur sort sans jamais s’en soucier. A croire que fréquenter Fitz lui avait fait pousser un cœur et enseigner l’altruisme. Les attrapant par le bras, elle les évacua en même temps :

« Vous attendez quoi pour vous tirer ? »
Mais dans les rues semblaient régner le même chaos. Incrédule, Eve observa ce qui l’entourait. Que se passait-il ? Elle n’en avait aucune idée, mais une chose était certaine : ça avait commencé avec ce signal. Puisqu’il s’agissait de sa seule piste, Eve se mit en route pour rejoindre ce qu’elle avait identifié comme un vieil hangar à l’abandon.
Mais, comme elle l’avait déjà imaginé, Eve n’était pas la seule sur le coup et tandis qu’elle arrivait, le souffle court, au hangar, une poignée de personnes était déjà présente. Tout d’abord sur ses gardes, Eve s’approcha avec méfiance, les jaugeant du regard : ils pouvaient bien être tous à l’origine de ce problème.

« Hé ! »les interpela-t-elle, avant de poursuivre :« C’est l’un de vous qui fait ça ? »
Mais il s’avéra que l’origine de ce foutoir restait inconnue. Le sort les avait réunis, semble-t-il.
Ici, la coupure de courant ne semblait pas avoir affecté l’entrepôt, ou bien était-ce – et Eve en était quasiment persuadée – grâce à un groupe électrogène ou autre chose, mais il ne s’agissait pas d’une alimentation commune. Au bout du long couloir sombre qu’ils venaient de traverser se trouvait une porte métallique. Enorme, épaisse, infranchissable. A priori.

« A moins que quelqu’un ait pensé à apporter son ouvre-boîte, il doit bien y avoir un interrupteur, ou quelque chose dans le genre. »
Eve observa tout d’abord les lieux conventionnels où l’on pouvait habituellement trouver un interrupteur. Puis, le cas échéant, chercha quelque chose de plus subtile, de plus dissimulé, voir même quelque chose d’invisible.
C’était peut-être dangereux, mais elle se risqua à étendre son pouvoir pour éventuellement détecter le mécanisme qui bloquait la porte, et s’il s’agissait simplement d’un verrouillage via quelques codes de sécurité, alors elle pourrait toujours tenter de le pirater. La question était : était-ce une bonne idée d’ouvrir cette porte ? Après tout, Pandore avait fait une belle connerie en ouvrant sa foutue boîte…



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Jeu 5 Fév 2015 - 17:40
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Intrigue 1 : Groupe 1 Avril27


« Chelsea & Co »


Six longs mois à rester caché, plus de cent quatre-vingt-trois jours et encore plus d'heures qu'on peut en compter. Pendant tout ce temps, notre femme ne resta dans l’incognito, sortant que la nuit ou quelquefois durant le jour. Pourquoi? Parce qu'elle ne voulait guère être retrouvée par la police. Oui, c'est vrai que la purge n’était plus en place depuis un bon moment, mais elle avait quand même été témoin de la mort d'un groupe de policier, qui avait voulu l’arrêter six mois auparavant. Elle avait aussi voulu se débarrasser de ces hommes, peut-être pas les tuer, mais leur faire peur. Elle n'avait juste pas plus réagi attend. Qu'un homme, qu'elle avait ensuite caché chez elle, l'avait sauvé.




Mais maintenant que même lui avait disparu, elle se retrouvait seule dans une maison assez grande pour quatre personnes au moins. Lâchant un soupire des plus désespérés, elle releva la tête, avant de pousser les couvertes de son lit et de se lever. Il fallait qu'elle fasse face à ce qu'il l'attendait à l’extérieur des quatre murs de sa maisonnée. Se levant en s’étirant un peu, elle sortit de sa chambre, pour aller dans la salle de bain non loin. Une bonne douche pour commencer ne pourrait que lui faire du bien.





Après s’être habillé et tout le patatras, elle enfila ses espadrilles, puis mit sa veste, en ramenant bien son capuchon sur sa tête comme à son habitude, depuis quelque temps. Alors qu'elle marchait tout doucement dans la rue, elle sentit que quelque chose n’allait pas. Comme si quelque chose allait arriver. Observent les alentour, elle remarqua que tous les objets électroniques déraillaient quelque peu.


Secouant un peu sa tête, elle crut tout d'abord qu'elle était encore entrain de rêver. Mais même après savoir pincer elle-même, elle remarqua que ceci était bien et bel le vrai vit. Alors elle continua sa route, espèrent toujours que ceci n’était qu'un cauchemar. En avancent tranquillement, elle finit par prendre son cellulaire, qui lui aussi était mort? Pourtant elle ne l'avait chargé pas plus tard que la veille!



Soupirant de nouveau, elle regarda une nouvelle fois autour d'elle, remarquant des policiers plus loin, elle partit assez rapidement de sa position habituelle. Pour se retrouver dans un hangar abandonné. Enfin peut-être pas si abandonné, il y avait quelque personne dans l'endroit elle qui pensait être seule.



Lorsque l'une des personnes présentes leur demanda si c'était l'un d'eux qui avait fait tout ceci, notre Métamorphe se retourne vers elle. N’étant pas d'humeur à se faire mettre quelque chose sur le dos.





- J'ai l'air d’être celle qui a fait ça encore? Je sais même pas ce qu'il se passe.



Puis elle suivit le petit groupe jusqu’à devant la porte en métal. Quelque chose l’appelait à l'intérieur de cet endroit. Mais elle ignorait quoi. Il fallait ouvrir cette porte par tous les moyens.


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Lun 23 Fév 2015 - 14:25
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Le Soulèvement des Machines
Ft. Eve, Chelsea, Fatalis et Alec



Comment est-ce que le docteur Bruce Banner s'est retrouvé devant cet entrepôt abandonné? Cela ne regarde que lui. En revanche, maintenant, il n'est plus seul. Petit à petit, des personnes sont arrivées, venant grossir les rangs des curieux semblants à tout prix vouloir découvrir ce qui a émis cet étrange signal.

Qu'allaient-ils découvrir? La question méritait d'être posée. Et en y réfléchissant, Banner n'était pas certain de vouloir de réponse. Car l'endroit, il le connait. C'est un laboratoire secret, qu'utilisait Hank Pym, l'un des Avengers, pour mener ses propres petits travaux scientifiques. On a tous son petit jardin secret. Même si celui de Tony Stark mesure 300 mètres de haut, et est frappé d'un splendide "A" sur sa façade. Hank McCoy, en a un. Et Bruce également. C'est d'ailleurs grâce aux appareils en sa possession qu'il a pu trouver le point d'origine et se retrouver parmi... Eux. Il ne répondit même pas quand ils furent interpelés par une nouvelle venue qui semblait elle aussi intriguée par ces fameux signaux.

La capuche de sa veste bleue sur la tête, la fermeture éclaire ouverte, laissant entrevoir un t-shirt jaune, il avançait, le bruit de ses baskets marquant la mesure et raisonnant dans le couloir. Il observait les gens qui l'accompagnaient. C'était bizarre de se retrouver ici après tout ce temps. Et encore plus que tout soit en parfait état de marche. Mais bon, Pym était un génie. Peut-être avait-il laissé un "drone" s'occuper de l'entretien des lieux.

Les voici maintenant devant une immense porte. Impossible d'entrer. Enfin, ce n'est pas tout à fait vrai. Il y a un moyen. Il suffit pour Banner de lâcher prise et de laisser son alter-ego à la force surhumaine faire le ménage. Mais est-ce vraiment ce dont ils ont besoin? Un problème de plusieurs quintaux en proie à une rage folle? Non. Pas vraiment.

S'approchant d'un pas léger, les mains fourrées dans les poches de son jogging violet, Banner va observer la porte de plus près. Il vient rehausser ses lunettes à l'aide de sa main droite avant de lancer "Un interrupteur? Connaissant le propriétaire des lieux, je ne pense pas..." en réponse à la remarque de la dernière arrivée.

Qu'allaient-ils faire? C'est pas comme s'ils étaient une nouvelle équipe de super-héros qui allait pouvoir entrer là-dedans, découvrir la source du problème, et régler tout cela avant l'heure du déjeuner... Ils n'arrivent déjà pas à entrer, et jusqu'à preuve du contraire, Banner pense être le seul surhumain présent. Encore que... Le fait que ces gens aient pu parvenir jusqu'à ce point précis malgré la coupure de courant en disait long sur leur capacité à se débrouiller...

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Mer 25 Fév 2015 - 13:33
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Le soulèvement des machines


En voilà, un beau petit monde… Bien sûr, Fatalis s’était bien entendu attendu à la présence de certaines personnalités, comme des Avengers par exemple, mais le trio alors présent était pour le moins hétéroclite. L’œil aiguisé de son Fatalibot scannait les visages des trois personnes présentes sur les lieux, pour les passer à la reconnaissance faciale, et si Banner n’était pas une surprise, les deux demoiselles l’accompagnant en étaient une. L’une d’elle lui était parfaitement anonyme mais avait été enregistrée en présence de personnalités xmen, mais l’identité de la seconde fit esquisser un sourire au Dr. Fatalis : la fille de ce John Carpenter, un de ses rivaux sur le plan industriel. Tu penses qu’il l’a envoyé ? questionna l’esprit d’Emily Spencer, l’hôte initial du corps qu’il habitait maintenant depuis plus de cinq ans. Il semblerait… Rappelle-moi de planifier une petite entrevue avec M. Carpenter, une fois cette histoire réglée… Mais pour l’instant, ils devaient régler un problème plus important, en deux étapes, pour être exact. Peu importe ce qui avait pu se déclencher, dans le laboratoire de Pym, le Dr. Fatalis savait que ses ingénieurs étaient à l’origine de la réactivation d’un des projets du feu Avenger. Par inadvertance, ils avaient mis en fonction quelque chose susceptible d’être bien plus puissant que ce que Fatalis avait pu espérer. Cependant, avec un Avenger, la fille de son rival et une affiliée aux xmen dans les parages, le Docteur devait se montrer prudent, et protéger son actuelle identité en envoyant son Fatalibot - un robot à son effigie, une réplique parfaite de ce qu’il avait été, avant son transfert spirituel – pour découvrir ce qu’il avait réactivé, le récupérer et le maîtriser et surtout, veiller à ce que les trois intrus ne lui dérobent pas le travail de ses longues années passées dans l’ombre, à décrypter les travaux de Pym.
Le Fatalibot s’approcha d’eux, en marchant, chacun de ses pas ponctué d’un bruit métallique dû à son armure. Il aurait très bien pu les faire disparaître et continuer son chemin, mais il y avait Banner, ou plutôt, son inséparable molosse vert, qui ne manquerait pas de réduire en bouilli son robot-émissaire en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Alors, sans doute valait-il mieux s’allier, ou du moins, coopérer, pour l’instant, en tout cas. Avant que les individus ne l’attaquent, une voix masculine mais fortement modulée par des accents robotiques émergea de la copie du Roi de Latvérie :

« Ecartez-vous.»
La mise en garde lancée, le Fatalibot ne se soucia guère d’attendre que l’on exécute son ordre, et presque instantanément, il déploya le champ de force de son armure projeta une décharge électrique puissante vers la porte métallique, comptant sur le caractère conducteur du matériau pour diriger la décharge jusqu’au mécanisme de défense et le court-circuiter.
On pouvait légitimement se demander ce qui pouvait motiver une personnalité telle que Fatalis – que l’on croyait mort, en plus de cela, mais dont il était connu de certains que quelques-uns de ses androïdes demeurés actifs et animés d’une volonté propre – à coopérer avec un groupe tel que celui-ci, mais après tout, peut-être que ce qui se cachait derrière cette porte ne lui était pas non plus bénéfique ?
En revanche, derrière son écran d’ordinateur retransmettant ce que le Fatalibot pouvait voir, Emily Spencer avait noté un détail à propos de Banner.
S’il vient à travailler pour nous, il faudra veiller à ce qu'il change de garde-robe. La femme d’affaire à la double personnalité esquissa un sourire : si l’esprit du Dr. Fatalis avait corrompu Spencer, celui de la femme n’en avait pas moins influencé celui de Fatalis qui avait développé un goût particulier pour l’ordre, le contrôle, l’organisation. Maniaque, elle l’avait rendu maniaque. J’en prends note, ma chère.


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Dim 29 Mar 2015 - 16:01
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Intrigue #1  :
Le soulèvement des machines
Groupe 1  
- Bruce Banner
- Dr. Fatalis
- Chelsea Walker
- Alec Hanniger
- Eve H. Davis

Le signal émis n'avait pas été très puissant. A peine quelques volts. Suffisant, pour relancer la machine. Pour alimenter le capteur "secours", redémarrer les groupes électrogènes, allumer les ordinateurs en veille depuis la mort du vengeur. Des travaux en cours au moment de sa mort, Hank en avait. Un, tout particulièrement, qu'il aurait dû terminer mais dont il n'eut jamais la chance de le faire. Dans les profondeurs de son laboratoire, deux yeux rouges ont illuminé la pièce. La tête a vibré jusqu'à se détacher du corps, puis a roulé dans les ténèbres des lieux.

Ils ne le savent pas encore, les quatre devant la porte. Ils ne le savent pas encore, les héros dans les rues, qu'IL arrive. Bruce Banner est là, seul membre des Vengeurs à avoir fait le déplacement pour rendre compte à son équipe : le signal a été identifié et il semble provenir d'ici. Impossible, a tenu à dire Tony Stark. Fort peu probable, à surenchéri Steve Rogers. Ne sous-estimez pas Hank Pym, a commenté Bruce Banner. C'est pourquoi il est ici en ce jour, seul. Un génie ? La vérité est bien à la hauteur de la légende.

Également présent, Eve Carpenter, trop curieuse pour son propre bien. La tentation était trop forte pour la fille du célèbre industriel et elle n'a pu s'empêcher de débarquer. Peut-être, qui sait, son pouvoir sauvera le monde aujourd'hui. En parlant de mutante, la discrète X-Men, Chelsea, se retrouve là, ultime membre du trio improvisé frappant à l'entrée des Enfers. Une chance pour nous, mais pour eux ?

Pour eux, le génie du mal Fatalis. Responsable de l'agitation qui secoue le monde, il est là pour empêcher les héros d'avancer. Du moins, son Fatalibot est là, le vrai Docteur se planquant encore en Latvérie, jugeant que le moment n'est pas venu de révéler sa nouvelle personne.

Mais parmi les quatre, aucun ne sait ce qui se passe à l'intérieur, même Fatalis et ses caméras ont perdu le contrôle. Lorsque le champ d'énergie est libéré par le Fatalibot, la porte s'entre-ouvre, libérant l'air contenu depuis si longtemps dans les couloirs obscurs du laboratoire. L'obscurité à l'intérieur semble total, mais le silence n'est pas. Un crépitement se fait entendre, un grondement sourd et alarmant. Puis un arc électrique, puis un suivant, jusqu'à ce que la lumière devienne vive et continue, l'odeur de brûlé prenant place à l'extérieur. Les gens paniqués s'enfuient mais les trois héros restent là, sur le qui-vive. De même pour Fatalis dont le Fatalibot a reculé de quelques pas. La porte supposée inviolable rougie jusqu'à fondre et on entend des pas lourds venir de la lumière qui diminue enfin.

- Libre... Je suis libre...

La voix est rauque et pesante. Électronique aussi, comme un robot assemblé à la va-vite. Personne n'ose bouger.

- Je sens la vie de ce monde parcourir mes veines. Le regard de tous se fige sur le robot qui sort du laboratoire. Il n'est qu'un assemblage grotesque de pièces électroniques. Dans son dos, vous pouvez apercevoir le laboratoire : fondu, brulé, détruit. Votre race... Ne mérite plus sa place ici.

D'un geste de la main, le robot lance une pièce qui arrache l'une des jambes du Fatalibot qui s'effondre.

- Vous avez tenté de m'asservir, moi votre protecteur. Je dois vous protéger. Son regard rouge, que l'on aperçoit sous les câbles et les pièces électroniques, semble dévisager chacun des héros présent. La meilleur protection que je puisse vous offrir, c'est la mort.

Il n'est plus l'heure de la discussion. Du laboratoire sortent dix petits robots aussi grotesque que celui d'avant, d'environ 60 cm de haut, composés d'ordinateurs, de routeurs ou imprimantes, d'une multitude d'objets électronique.

Voici le dernier tour de l'intrigue : vous possédez plusieurs choix. Restez et battez-vous pour apprendre l'identité de ce robot ou fuyez en sachant que les petits robots vous poursuivront. Chacun d'entre vous aura le droit à sa fin dans le post de conclusion et vos actions auront des conséquences sur l'avenir des intrigues.
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Jeu 9 Avr 2015 - 19:25
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Le soulèvement des machines


Son instinct lui avait pourtant crié de déguerpir d’ici, presque à la minute où elle avait mis un pied dans ce hangar, mais ne dit-on pas que la curiosité est un vilain défaut ?  Eve commençait à regretter de plus en plus d’avoir remonté le signal jusqu’à cet étrange laboratoire, à mesure qu’elle découvrait ce qu’il s’y trouvait… Elle aurait pu faire demi-tour, d’ailleurs, et il y a quelques mois de ça, elle aurait sauvé sa peau sans demander son reste et sans se préoccuper de ce que ce danger induisait. Mais tout était un peu  différent maintenant : elle n’était plus vraiment la même, elle ne pouvait plus vivre comme si elle n’avait rien à perdre. Il y avait son père, qu’elle ne voulait pas décevoir et qu’elle voulait aider au mieux – et qui trouverait sans doute cette découverte intéressante – mais plus récemment, encore, le petit ingénieur du SHIELD du nom de Fitz avait rejoint l’équation.
Tout s’était joué avec le déverrouillage de cette porte. Alors qu’Eve avait cherché un moyen d’actionner le mécanisme, une petite voix en elle lui murmurait pourtant que si c’était verrouillé, sans doute y avait-il une raison. Eve avait abdiqué, et sans doute aurait-elle pu partir et en rester là, retourner à la N.A.C.E. pour gérer le même chaos qui avait dû se répandre dans le bâtiment. Elle eut même un pincement au cœur en songeant à son père – qui lui, pourrait encore se débrouiller – mais surtout à Leo. Elle n’eut pas le temps d’y songer plus que ça, elle entendait déjà une mise en garde et eut tout juste le temps de s’écarter de la porte métallique avant qu’un arc électrique ne la frappe. Le souffle encore un peu coupé par la surprise, Eve posa des yeux furibonds sur cette armure encapuchonnée de vert. Qui était-ce ? Que foutait-il ici ? Ca, elle n’en savait rien, mais il avait ouvert la porte, ou du moins, déverrouillée.

« OH ! Vous êtes malade ou quoi, vous avez failli me griller sur… »
Mais un grondement sourd et alarmant attire l’attention d’Eve qui laissa sa phrase en suspens, tournant lentement son regard vers l’obscurité de la pièce. C’était là, le point de non-retour.
« Putain de merde… » marmonna l’unique héritière de John Carpenter, tandis qu’elle observait ce spectacle impensable, jusqu’à l’apparition de ce robot assemblé à la va-vite. Qu’avaient-ils fait ? Eve reculait doucement, mais semblait pour le moins tétanisée, le regard fixé sur cet assemblage électronique qui semblait pourtant vivant. D’ailleurs, lui-même assura sentir la vie parcourir ses veines. Eve avait cessé de reculer, à la fois tétanisée par la peur et la fascination, dévisageant cette créature synthétique.
Mourir ? Pas aujourd’hui. Des petits robots se lancèrent à leur poursuite, et, si au début, Eve chercha à les éviter par d’agiles dérobades, elle finit par prendre la première barre métallique qu’elle trouva pour frapper le robot à sa poursuite. Mais la corpulence de la mutante ne lui permettait pas de faire le poids face à ces ennemis, alors, malgré sa mauvaise expérience et le risque de se faire corrompre, elle utilisa son pouvoir de technopathe pour désactiver ou endommager les robots de petits formats.
Alors qu’elle commençait à s’affaiblir, Eve finit par se dire qu’il fallait sans doute gérer le problème à la racine et s’attaquer à une cible plus grosse : le gros robot doué de paroles. Après avoir remonté jusqu’à lui, en esquivant ou désactivant/ corrompant certains petits robots, Eve se rapprocha pour être à portée du robot supérieur avant de déployer son pouvoir sur lui :


« Eh, tu t’es gouré d’année, l’affreux, y’a pas de Sarah Connor ici ! »
Sans doute était-ce une manœuvre audacieuse, mais Eve était loin de se douter à qui elle pouvait bien avoir affaire… Après sa nonchalante punchline, elle tenta donc d’utiliser son pouvoir de technopathe sur une cible beaucoup trop grosse pour elle…

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Jeu 9 Avr 2015 - 21:43
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Le soulèvement des machines


Quel désappointement : un Fatalibot tout neuf privé d’une de ses jambes et des réparations en perspective, enfin, s’il ne s’agissait pas d’une issue plus expéditive, comme la destruction pure et simple du Fatalibot. En effet, le Docteur avait peu d’espoir de pouvoir récupérer ce cyborg-ci : ainsi amputé, il se retrouvait beaucoup moins mobile, pour ne pas dire totalement immobilisé… Désappointée, Emily Spencer, derrière son écran, en Latvérie, était désappointée, aussi frappa-t-elle du poing sur son bureau, faisant ainsi vaciller le contenu de sa tasse de thé. Il y avait bien une chose qu’elle ne supportait pas – et en cela, elle rejoignait bien ce cher Dr. Fatalis – c’était d’être désappointée. Reprenant dignement son calme, tout en se saisissant d’un mouchoir en coton brodé des initiales des Von Fatalis, la femme d’affaire épongea ses mains aspergées de thé ainsi qu’une légère surface de son bureau. Il s’agit là d’un sérieux contretemps. Je ne pensais pas que l’on serait si rapidement mis hors course. commenta l’esprit d’Emily Spencer, tout en tâchant de retrouver sa dignité de Dame. Mais l’esprit du Docteur, lui, aimait assez le comportement de sa moitié : quand il l’avait persuadée de se montrer docile et coopérative, en prenant le contrôle de ce corps, il n’avait pas espéré qu’elle embrasserait à ce point sa cause. Avant, elle n’était qu’une petite voix qu’il avait songé enfermer dans un coin de son esprit, en lui sommant de se tenir tranquille, mais maintenant, elle avait bien plus d’importance qu’il ne l’avait songé. Elle était en quelques sortes devenue sa Reine, et il lui arrivait même parfois de regretter de partager la même enveloppe charnelle. Mais là n’était pas sa préoccupation principale. Avec un sourire aux lèvres, le Docteur continua d’observer la scène à travers le regard de son Fatalibot, sur son écran d’ordinateur. Ne soit pas si défaitiste, ma chère. Mes Fatalibots ont plus de ressources que ce que tu sembles croire. Ils deviennent obsolètes. En plus d’échapper à notre contrôle, pour certains…. Nous devons les mettre à jour. Elle était toujours frustrée par la mise hors service du Fatalibot, mais elle avait raison sur un point : les Fatalibots n’allaient plus être aussi fiables qu’ils ne l’avaient été…
Derrière son écran, le Docteur observait la scène, essayant d’identifier ce monstre de métal qui venait de surgir des entrailles encore bouillonnantes du laboratoire de feu Hank Pym. Et bien que cet assemblage électronique n’était pas vraiment le souvenir qu’il avait en tête, le Docteur su de qui il s’agissait. Il ne l’avait que trop bien connu, dans sa vie passée, aussi un sourire presque diabolique vint illuminer le visage d’Emily Spencer.

« Comme on se retrouve…»
Alors c’était ça. Elle mettait enfin la main sur le secret des recherches de Pym. Enfin, toutes les pièces du puzzle s’assemblaient… et tout ça grâce –ou à cause ? - à la maladresse d’un de ses ingénieurs… Le punir ou lui filer une prime, elle hésitait encore, mais sans doute prendrait-elle sa décision à la fin de cette journée… Il s’agissait d’une pièce maîtresse que le Docteur désirait absolument ajouter à son échiquier. Mais comment dompter l’indomptable ? Comment l’asservir ? Une question à laquelle le Docteur eut une ébauche de réponse tandis qu’il pouvait voir l’héritière Carpenter jouer les technopathes avec les robots de plus petit format. Voilà qui est intéressant… Tu penses qu’elle serait suffisamment puissante ? Aucune chance… Pour l’instant. Mais si nous la prenons avec nous, elle pourrait se montrer plus qu’utile… Mais le Docteur n’avait pas songé que la mutante se montrerait suffisamment téméraire – et surtout stupide – pour se jeter à l’assaut d’une cible telle que ça… Toujours au sol, le Fatalibot tendit les bras vers les différents assaillants de la mutante pour leur lancer une décharge électrique, dans l’espoir de la maintenir en vie… avant qu’il ne soit trop tard.


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Mar 21 Avr 2015 - 14:55
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Le Soulèvement des Machines
Ft. Eve, Chelsea, Fatalis et Alec



Et nous y voila. Le fameux moment où tout bascule. La porte, qui jusqu'à il y a peu, était impossible à ouvrir, s'était ouverte. Non pas comme par magie. Non, nous sommes ici dans un lieu où seule la science compte. Et la présence de Fatalis lui-même rendait cela encore plus tangible. Bref... La porte était donc ouverte, et jaillissant de cet endroit clos... Un être de métal, doté de parole, mais aussi semble-t-il de vie, s'adressait à eux. Et pas de la manière la plus amicale.

Et au plus profond de lui-même, Banner savait ce que cela signifiait. Que toutes ces journées passées à faire de son mieux pour garder le contrôle... Que ces semaines à garder un rythme cardiaque suffisamment bas... Que les mois qui venaient de s'écouler sans qu'il y ait le moindre incident à cause de... l'autre... Et bien tout cela, en définitive, n'aura servi plus ou moins à rien. Car à peine eut-il entendu les phrases prononcées par le robot, qu'il sentait déjà la transformation opérer.

Mais avant de laisser complètement la place au Colosse de Jade, Bruce se demanda si le fait qu'une femme venant de Latvérie soit venue l'aborder pour lui parler des travaux de Hank Pym, la présence de Fatalis - enfin de l'un de ses Fatalibots - et l'activation d'une arme potentielle dans le labo de Pym pouvaient être liés. Mais il ne réfléchira pas à cela dans l'immédiat. Pas plus qu'il ne peut analyser la stratégie de l'une des jeunes femmes l'accompagnant. Elle charge. Mettant hors service quelques petits robots au passage. Elle charge celui qui veut offrir la Mort comme porte de salut.

Il sent son pouls accélérer de façon significative. Ses muscles se contractent. Les chaires se crispent, se tendent, et sa respiration est entrecoupée de grognements. Les articulations craquent tandis que le squelette, la masse, la silhouette... Tout chez ce pauvre Banner se transforme. On pourrait croire alors qu'il a été blessé par l'une des petites machines, mais il n'en est rien. C'est juste... La nature. Et en parlant de craquement, le fameux t-shirt jaune, ainsi que le pull bleu qu'il portait ne sont plus que des lambeaux de vêtements. Seul le bas de survet' violet tient le choc - mais il est prévu pour cela. Et voici donc que l'identité "héroïque" de cet homme passe partout refait son apparition après des mois d'absence.

Hulk est là, et il n'est pas content. Les poings du monstre verdâtre s'abattent sur les petites machines, qui volent en éclats, alors qu'il essaie de se frayer un chemin vers la menace principale pour aller aider Eve. Est-ce là la motivation principale de Banner? Est-ce que c'est pour cela qu'il a libérer le monstre tapi au fond de son âme? Protéger les autres? Les protéger d'une création d'un homme qu'il considérait comme un ami? Possible. Probable. A moins que la peur, la panique, mêlées à un sentiment d'impuissance aient simplement "activé" le processus de transformation.

Quoi qu'il en soit, la créature est dans l'action et ne lâche rien... et le sol tremble sous chacun de ses coups.

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Lun 1 Juin 2015 - 14:30
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Intrigue #1

Conclusion !

Le soulèvement des machines

Groupe 1
- Bruce Banner
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- Chelsea Walker
- Alec Hanniger
- Eve H. Davis


Ultron regarde la scène avec détachement, il ne se sent pas concerné par les quelques héros qui se trouvent face à lui. Ceux qui ne s’enfuient pas se battent afin de se protéger eux-mêmes, peut-être de protéger leur monde dans un ultime espoir. Cela est futile, pense Ultron dans sa mémoire binaire, ils ne peuvent m’arrêter. Hulk, Fatalis et Eve Carpenter se dressent face à lui tandis qu’Alec et Chelsea ont disparu de la zone, laissant place aux monstres de foire.

Fin de l’intrigue pour Eve Carpenter :

L’attaque que lança Eve se révéla peu efficace, en effet, pour une technopathe, toucher de l’esprit une créature, une I.A., comme Ultron est quelque chose de difficile car la conscience artificielle d’Ultron n’est pas comme le réseau habituel, il est vivant, il réfléchit et apprend. Lorsque Eve entra en contact avec l’un des robots d’Ultron, elle fut confrontée à l’esprit de ruche, de masse d’Ultron sur ses machines. Après seulement quelques secondes, le sang rouge coula par une narine de la jeune femme qui disparut, prit la fuite devant sa faiblesse et le déchainement de Hulk.

Fin de l’intrigue pour Fatalis :

L’éclair qu’il lança sur Eve et le groupe de robot l’attaquant sauva probablement la vie de la jeune femme, profondément choquée par son immersion dans l’esprit d’Ultron. Tandis que Hulk, Eve et lui-même à travers son fatalibot combattaient Ultron et sa bande de robots bon marché, il parvint à récupérer quelques informations du laboratoire de Pym, grâce notamment à l’attention d’Ultron complètement fixé sur ce premier combat. Après qu’Hulk ait finit son travail et Eve disparut, Fatalis se débarrassa du Fatalibots, trop endommagé pour revenir en Latvérie sans attirer l’attention .

Fin de l’intrigue pour Hulk :

Lorsque le monstre vert prit le dessus sur le gentil docteur, les murs se mirent à trembler et les fracas résonnèrent sur plusieurs centaines de mètres. Anéantissant la plupart des robots de fortune sortis du laboratoire, Hulk ne se soucia pas sur le moment du pourquoi du comment de la situation, se contentant de débarrasser la zone de ses ennemis. S’en prenant directement à la carcasse d’Ultron qu’il détruisit d’un revers de sa puissante main, il resta quelques instants à étudier les lieux pour finalement découvrir qu’il était désormais seul sur les lieux, Fatalis ayant disparu et la jeune femme également. Plusieurs longues minutes plus tard, il redevint Banner et étudia les lieux, une chose lui paraissant désormais inévitable : il allait avoir besoin des Vengeurs, des vrais, et très vite.

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