- Allen D. Levy - Amber Willson - Azraël J. Vehuelson - Einar Mortensen - Ezekiel Warxston - Ronan addams
New-York. Vous vous trouviez dans les rues de New York, comme tous les jours, rentrant chez vous, prenant un café en terrasse, allant en ville ou au travail quand la coupure d’électricité a eu lieu, plongeant l’ensemble de la ville dans le noir. Peut-être vous êtes-vous demandé quelles en étaient les origines, mais rapidement, votre attention a été retenue par des anomalies des plus étranges : tous les objets contenant des parties électriques semblent s’animer comme des démons.
Dans les rues, les voitures les plus récentes pleines d’électronique s’affolent, piégeant et parfois attaquant leurs conducteurs, les feux rouges déraillent, tout appareil électronique ne semble plus obéir à son possesseur. Ce qu’il se passe et pourquoi, vous n’en avez aucune idée, mais vous savez au moins une chose : ce soulèvement des machines vous met en danger et vous devez vous protéger.
Ven 30 Jan 2015 - 1:56
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Intrigue #1; Are you fucking kidding me ?
Feat. Allen & Amber & Einar & Ezekiel & Ronan
Une journée d'accalmie dans ce monde de fous. Pour la première fois depuis un temps sans âge, j'avais fait la grasse matinée, épuisé que j'étais après ma semaine de malade. Entre la disparition de ma petite nièce de coeur, les recherches sans toujours aucun résultat, le boulot (être l'un des diplomates et l'agent de relations publiques de Loki ... Enfin Liesmith n'est pas de tout repos) … Je m'étais écroulé comme un loir à 4h36 du matin après quasi une semaine sans dormir – ce que je ne ferais pas pour Neil franchement –, tout cela pour ne me réveiller qu'à 11h avec les balises moins présentes sous mes yeux. Le temps de me réveiller dignement, prendre une douche, me fringuer et avaler un café, il était treize heure lorsque j'étais reparti en ville faire quelques recherches supplémentaires. Bon, soit. Des recherches mais également de quoi préparer une surprise pour mon colocataire / amant / petit-ami / futur fiancé / insérer ici un surnom mielleux digne de ce nom pour le beau blond qui partageait mon appart', mon lit, ma cafetière et ma vie. Cela faisait désormais une année qu'il me supportait, et bien que pour les humains se soient aussi long que pour nous dérisoire je tenais à marquer le coup. – Avec tout ce bordel je n'avais pas eu le temps de trouver du temps pour lui – pour nous deux – dernièrement. Je n'avais pas non plus trouvé de cadeau digne de ce nom à lui offrir, optant de ce fait pour une demande en mariage en bonne et du forme. C'était là la seule preuve que je pouvais lui donner pour prouver mon changement, pour demander son pardon après tout ce que nous avions traversé ensemble comme séparément. Une sorte de promesse. Il n'y aurait pas forcément de grosse fête, au minimum nous deux. Au mieux Neil (avec Allen et Eilis bien évidemment) que je souhaitais en témoin avec Lorelei, Thor, Loki … nos amis communs, et intimes. Enfin, ça c'est si il disait oui. En attendant, je sortais du magasin Armand Thierry avec mon nouveau costard sous le bras, m'évertuant à rester calme sur le chemin éclairé qui me ramènerait à la maison. Ne pas triturer la bague qui se trouvait dans ma poche était quelque chose de difficile présentement, comme me contenir de ne pas partir en vrille au milieu des gens – bien que je restais un ancien mannequin fort connu, je préférais rester planqué derrière mes lunettes de soleil et ma casquette pour le moment. Il ne me restait qu'à passer chez Neil pour voir où lui et Allen en étaient, puis rentrer préparer un petit dîner digne de ce nom – j'avais heureusement tout ce qu'il me fallait à la maison – avant d'attendre Fandral en me rongeant les sangs comme l'abruti fini que je suis.
… Seulement … Rien ne se passe jamais comme prévu, pas vrai ? Ainsi donc le temps de dire ouf et traverser une nouvelle rue tout en évitant un passant trop pressé sur le trottoir parmi la foule de promeneurs déjà présents, voilà que le noir se fait subitement. La lampes s'éteignent toutes sans une exception, les lampadaires, les magasins, les feux, tout y passe. Je cligne des yeux sous l'ahurissement général. Qu'est-ce que … Les new-yorkais sortent des immeubles ou de chez eux pour venir voir ce qu'il se passe, et bientôt la panique s'empare peu à peu de la populace. La ville entière semble plongée dans le noir durant quelques minutes, avant qu'un lampadaire ne se mette à grésiller sourdement. Bientôt les voitures présentes se démarrent d'elles-mêmes, une à une, les feux de circulation également et passent du rouge à l'orange, ou clignotent des trois couleurs. La vitrine en face de moi, emplit de télés et autres objets électroniques dernier cri débranchés pour la plupart, s'anime subitement de couleurs à son tour et je me surprends moi-même à faire un bond alors que certains câbles sont désormais dotés de vie et dansent derrière l'écran en verre. J'en lâcherais presque mon sac, notamment lorsque ces mêmes câbles fondent vers ma personne et s'abattent sur la vitre jusqu'à la briser et me faire prisonnier avec autant de force qu'un boa constrictor. Bordel de merde ! Heureusement que je suis mi asgardien mi jötun! Je m'en dépêtre comme je le peux, avec la force brute de mon peuple, préférant ne pas utiliser mes pouvoirs pour le moment …Tout du moins c'est ce à quoi je pensais – après un « bande d'enfoirés mon costume neuf ! », avant de voir d'autres câbles menaçant s'agiter vers d'autres personnes. Foutu pour foutu … Je ne peux tout de même pas laisser des innocents se faire déchiqueter, n'est-ce pas ?
Fandral, chéri … J'espère que tout ira bien pour toi de ton coté. Et que je ne perdrais pas ma bague dans la bagarre parce que quelle que soit l'issue de cette merde, je compte bien te demander en mariage ce soir, qu'Odin le veuille ou non..
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD & SHADOW.
Lun 2 Fév 2015 - 20:04
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« Well, that's just my luck... »
Perdu. J'étais totalement perdu. En colère, aussi. Très en colère, même. Contre le monde entier qui semblait se faire un devoir de haïr ce qui était un tant soit peu différent, contre la Purge qui pourtant n'était plus qu'un mauvais souvenir qui s'éloignait de jour en jour, contre chaque personne que je croisais dans la rue et me lançait un regard que je n'appréciais pas, contre les ronces qui envahissaient peu à peu mon appartement, sans que je parvienne à les chasser ou les faire mourir. Contre Neil, aussi. Pourquoi n'avait-il pas voulu écouter ce que j'avais à dire ? Pourquoi n'avait-il même pas essayé de comprendre que je n'avais rien du monstre qu'il m'accusait d'être ? Et surtout, j'étais en colère contre moi-même. Je le savais. Je le savais que c'était une mauvaise idée de laisser quelqu'un s'approcher à ce point, je le savais que ça n'allait pas durer, que la réalité allait me rattraper, et que j'allais en souffrir. Je le savais, et pourtant je n'avais pas pu m'empêcher d'espérer. Ce que je peux être naïf ! J'avais pris la fuite, après avoir été forcé de lui raconter la vérité, m'étant coupé assez méchamment à la main et ne voulant donc pas prendre le risque de l'empoisonner par accident. Si j'étais resté, il m'aurait tué. Et dire que je pensais qu'il tenait à moi...
Depuis, j'avais perdu goût à la vie. D'autant plus qu'avec la Purge dissoute, la perspective rassurante de pouvoir me venger de que ces monstres m'avaient fait subir dans leur laboratoire s'envolait. Il ne me restait rien. Pas même Eilis, puisque Neil avait été très clair. S'il me surprenait à rendre visite à sa nièce, il me logerait une balle entre les yeux. Alors oui, j'avais la Confrérie, mais... L'envie n'y était plus. Honnêtement, je me demandais même ce qui me retenait de me foutre en l'air. Sûrement le fait qu'Eilis avait disparue - je l'avais appris par le biais d'Azraël-, et que j'essayais de la retrouver, de mon côté, usant de mes relations acquises durant le règne de terreur de la Purge. En vain. Oui, mais avant ça, vous me direz ? Je n'en sais rien...
Il fallait que je sorte prendre l'air, ça devenait urgent. Les ronces qui rongeaient mon espace vital commençaient presque à me voler mon oxygène. La nuit était tombée depuis à peine une heure. Enfin, en tout cas je le pensais. Ces dernières semaines, la notion du temps me filait entre les doigts, tout comme mon inspiration musicale. Il faut dire que lorsqu'une marmotte dans mon genre ne dort plus que trois à quatre heures par nuit là où elle en dormait plus de dix, il y a de quoi être décalé. Et décalqué, aussi. Je marchais un peu hasard dans les rues, sans me soucier des vitrines devant lesquelles je passais ou des gens que je croisais. Soudain, la réalité se rappela à moi de manière brutale. Le noir complet. Je me figeai et plissai les yeux pour tenter d'apercevoir quelque chose, le temps que je m'habitue à l'obscurité. Puis, c'est le chaos. Toutes les technologies semblaient être soudainement dotées de vie, et se mettaient à attaquer tout ce qui bouge. Je retiens un juron, dents serrées, en plongeant la main dans ma poche pour lancer mon portable aussi loin que possible, celui-ci commençant à montrer des signes d'agitation. Autour de moi, certaines personnes se font attaquer par divers câbles, ou bien prendre en chasse par leur propre voiture. Bordel, mais... Qu'est-ce qui se passait ?! Que les choses soient bien claires, je ne comptais pas aider le moindre Humain. Pas après ce qu'ils m'avaient fait. J'allais faire volte-face pour trouver un endroit où je serais à l'abri, lorsqu'un gros 4x4 dernier cri s'encastra dans le mur juste devant moi, manquant de peu de m'aplatir contre les briques. A l'évidence, si je voulais m'en sortir en vie, il allait falloir que je laisse le gentil Allen au placard... D'un geste de la main, je fis pousser d'épaisses ronces, avec lesquelles j'immobilisai le véhicule rebelle, avant de passer derrière lui pour courir plus loin. Il fallait comprendre à quoi tout ce bazar était dû si on voulait avoir une chance de l'arrêter. Est-ce qu'un Mutant maîtrisant l'électronique avait perdu la raison ? En tout cas, si tel était le cas, il n'appartenait pas à la Confrérie... Je me serais souvenu d'un don pareil.
... Oups. Voilà ce qu'il se passe quand tu as la tête dans les nuages, Allen. Tu te retrouves devant une boutique multi-média dont les pensionnaires nouvellement animés ont décidé qu'ils en voulaient à ta peau. Bien joué.
Une journée de repos, une seule petite journée tranquille sans le moindre incident, était-ce possible de l'avoir ? Apparement non.... Ronan regardait le spectacle apocalyptique qui s'offrait à lui... décidement et finalement non!
Quelques heures plus tôt Ronan avait décidé de se rendre au muséum d'histoire et d'archéologie afin de revoir tout ces objets qui ont bercé sa longue vie dans le but, peut-être futile, d'éprouver un peu de nostalgie et surtout pour ne pas oublier. Il était toujours important pour lui de ne pas oublier ce qu'il a été, ses différentes vies, ses erreurs comme ses réussites, ses amis, ses ennemis, sa femme... celle qui animait encore son coeur et celle qui hantait ses nuits...
De retour du musée, Ronan avait eu la bonne, ou malheureuse idée de se rendre à pied jusqu'à chez lui. Ainsi se trouva t-il dans la rue quand les évenements précedement cité ont commencé à se dérouler. Bien sûr, Ronan n'était pas sans savoir les disfonctionnements dans les réseaux éléctriques ces dernieres semaines, étant reconvertit depuis plusieurs décennies en informaticien pour le coté professionnel et en hacker pour le plaisir ces derniers inconvenants étaient des plus agacent que ce soit pour l'une ou l'autre de ses activités mais la panne qui se produit à ce moment là annoncer un présage bien plus funeste...
Tout commença avec l’extinction des feux tricolores puis comme une partition invisible les feux clignotèrent, les klaxons prirent placent dans le concerto alternant grave et note aigu. Tout un coup, tout partie en crescendo allant de plus en plus dans une harmonie cacophonique, quelle belle oxymore que voila et cette allusion dans la tête de l'immortel personnage le fit légèrement sourire.
Les machines étaient devenu folle , les cables attaquaient les gens , les voitures roulaient sans conducteurs etc..
- Je le savais !!!
Ronan était deçu que son ami Steve soit mort, lui et Ronan avait parié dans les années 50 qu'un jour les machines se rebelleraient et aparement c'était devenu une réalité.
* J'en ai marre d'avoir toujours raison* se dit ronan.
Jeu 5 Fév 2015 - 17:57
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Encore une journée de passée. C'est ce que je me disais, assis sur mon banc de Central Park, à regarder les joggeurs maintenir leur forme, solitaires ou en groupe, alors que les New-yorkais se détendaient dans l'herbe après une journée de travail.
On ne vivait plus dans le même monde, eux et moi. Ce soir, ils iraient retrouver leur famille, chez eux, dans la plus grande simplicité, comme un dû que l'on ne pouvait leur retirer, mais j'étais bien placé pour savoir que c'était faux. Rien n'est acquis dans la vie, ni le respect, ni l'amour, ni nos droits, et de les conserver est un combat de tous les instants. Certains auront l'occasion de s'en rendre compte bien assez vite, alors que d'autres, privilégiés, ne se douteront jamais de rien, peut-être grâce à leur bonté et à la joie de vivre qu'ils auront su partager, ou bien parce que leur pognon les autorisera à se conduire en fieffés connards, taisant la colère et l'intégrité de leur entourage. Je n'était en tout cas pas bien placé pour en parler, puisqu'il me fallait trouver un nouveau squat pour la nuit, et donc bouger avant que le soleil ne se couche, car ce n'était de toute évidence pas sur Manhattan que j'allai trouver un coin d'ombre où m'abandonner. Construire quelque chose de durable lorsque l'on vit au jour le jour, sans aucun autre objectifs que de trouver à manger et un coin où dormir, sinon de pouvoir se laver et ne pas faire trop pouilleux, était loin d'être une évidence.
Mais bon, ce n'était pas parce que je n'avais plus de chez moi que je n'avais rien à quoi me rattacher, et la simple pensée de pouvoir à nouveau serrer ma fille dans mes bras, un jour, sans avoir à me cacher, ni à lui faire honte, suffisait à m'interdire de baisser les bras. Sur terre, on ne pouvait pas tout avoir, en effet, mais si l'on se battait assez, l'on pouvait obtenir certaines choses. Pourtant, l'idée de me présenter au nouvelle école pour mutants, même si elle me semblait la meilleure que je puisse avoir pour m'en sortir, me terrifiait, et je n'osais toujours pas me présenter à la porte des frères et sœurs de certaines de mes victimes de guerre. La Purge n'excusait rien, et n'arrivant pas à me pardonner, je repoussais la confrontation, inlassablement. Moi qui était il y a quelques années, mais pour mon esprit si longtemps, un agent des forces de l'ordre, un type courageux et bien droit dans ses bottes, je me pissais aujourd'hui dessus, guère moins pitoyable qu'un chien errant, prêt à mordre la main qui lui serait tendue, par faim et par bêtise plus que par choix rationnel.
Encore une coupure de courant ! L'extinction totale des feux me prit au dépourvu, même si dernièrement ces dysfonctionnements devenaient fréquents, et plus d'une boîte avait coulé à cause de données effacées, ou de transactions interrompues par ces pannes jusqu'alors inexpliquées.
Seulement, le retour de la lumière fut bien plus brutal que je l'aurai imaginé, après quelques longues secondes à patienter dans le noir complet, avec mes concitoyens, muets devant ce black-out. Les feux de signalisations commencèrent à s'emballer, dans un enchaînement de combinaisons erratiques, alors que les lampes, les plafonniers et autres lampadaires semblaient pris de “spasmes”, s'éteignant et s'allumant dans le chaos le plus total, aveuglant les sens des passants, qui ne savaient plus que faire. Mais ce fut le rugissement des voitures qui m'inquiéta le plus, alors que klaxons et moteurs hurlaient leur rage, certaines personnes se trouvant piégées dans l'habitacle de leur propre véhicule, la plupart à l'arrêt, bien que d'autres ne se soient lancé dans un concours funeste d'auto tamponneuses, écrasant des passants, s'emboutissant les unes les autres, avant de s'écraser contre les immeubles, qui dans une boutique, qui contre les murs des buildings.
La peur remonta, comme une douleur sourde qui se réveillait. Cela faisait bien sept mois que je ne m'étais pas senti aussi mal, et m'accrochant solidement à la première échelle de secours venue, tentant de me mettre à l'abri, j’observais le carnage des machines à l’œuvre, impuissant.
Cependant, voyant en contrebas une main paniquée se tendre en ma direction, je l'attrapais fermement, aidant l'inconnu à rejoindre ce refuge de fortune, alors qu'un bain de sang se dessinait sous nos yeux agressés par les flashs lumineux.
“Vous n'avez rien ?!”
Sam 14 Fév 2015 - 1:36
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IMG OU47
Sam 14 Fév 2015 - 12:10
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C'est dans le noir que vit nos plus grands Cauchemars.
ft. Allen, Amber, Azraël, Einar & Ronan
Au début c’était une journée tout à fait normale. Je passais mes journées a dormir en décalé et me réveillait toujours dans les coups des 17h. Travailler de nuit c’était assez compliquer mais on était très vite habituer avec le temps. Pour moi ce n’était pas un problème, j’avais toujours fonctionné ainsi. Mais ces temps ci j’avais un petit souci, comme tous les habitants de New York. Mais pour ma part c’était vraiment frustrant. Ces coupures de courant habituelles pouvaient aisément tuer mon commerce. Les boissons fraiches perdent de leurs gouts ou leurs bulles si je perds ma chambre froide. Puis comment faire marcher une discothèque s’il n’y a ni son ni effet de lumière ? Enfin tout ceci m’agaçait au plus haut point et j’étais constamment sur les nerfs avec toutes ces histoires.
La nuit venait de tomber, et moi j’étais déjà dans mon lieu de travail afin de préparer la future soirée. En fait on commençait déjà les préparatifs quand toute cette merde commença… On était plongé dans le noir, mais pas vraiment en panique car à force on y était habituer. On entendit surtout un lourd bourdonnement de latitude parmi les employés et moi qui commençais à bouillir au fond de moi, marre de cette connerie. Lorsque la lumière revint je cherchais du regard tous mes employés. Il m’en manquait deux…. Ou étaient-ils ? Je le savais déjà…. En fait c’était un couple, lui Barman et elle danseuse. Les deux étaient disons… des animaux ne pouvant retenir leurs pulsions. Alors que je hurlais à mon videur de me suivre pour les chercher il toute la lumière commença à s’affoler et la musique faisait elle aussi ce qu’elle voulait en cassant les oreilles de tous. Faisant évacuer vite fait le bâtiment, ne pouvant pas assurer la soirée avec ce problème, je continuais de chercher le couple. Arrivant alors devant la chambre froide je l’ouvris et les surpris en pleins ébats dégoutant. Je n’employais que des mutants, surtout des confréristes. Mais ils avaient surtout peur de moi et n’osait user de leurs dons contre moi. L’homme tenta de s’expliquer mais d’un mouvement de bras je manipulais son ombre afin qu’il se torde la nuque de lui-même et tomba raide mort aux pieds de sa compagne qui hurlait son nom. Ne perdant pas une seconde je jetai mon couteau papillon vers elle et la força à le prendre avec mon don. Faisant alors des flexions et extensions avec le bras je l’obligeais à se poignardé d’elle-même. La rage me consumait, encore, et je n’avais aucun remord à cela. Mais mon videur, qui était pas le télépathe habituel vit la colère dans mes yeux. Levant les bras vers moi comme pour rassurer un enfant il eu le malheur de me toucher…. Dans un mouvement de bras je le fis glisser dans la chambre froide avec un ‘’Oh toi ta gueule !’’ et ferma à double tour la porte derrière lui. L’entendant hurlait mon nom et demander de l’aide je m’éloignais de ce bâtiment qui m’était chère à mes yeux mais que je pensais maudit ces temps ci…
Sortit dans la rue je remarquais avec stupéfaction que ce n’était pas que dans ma discothèque ou ce fut la merde et pensa à une seule et unique chose, Amber. Elle était devenu Autonome, cela était très bien mais ou elle pouvait être à présent ? Alors que la ville devenait dangereuse pour autrui je ne pouvais me soustraire à de mauvaises images. Il est vrai qu’elle est une puissante mutante mais j’avais quand même peur pour elle. Courant dans la rue en tentant de trouver Amber je me dirigeai vers la maison par instinct lorsqu’une voiture folle me coupa la route et s’encastra dans un mur en emportant un lampadaire avec elle. Alors que mon regard fixait la lumière encore allumer alors qu’il n’y avait plus de branchement je restai bouche bée jusqu’à ce qu’un bruit de vitre briser m’extirpa de mes pensées. Revenant alors à moi je vis Amber qui tentait de sortir le conducteur de la et ce de l’autre coter de la voiture, elle ne m’avait sans doute pas encore vu mais je vis très distinctement le lampadaire glisser dangereusement vers eux. Sautant alors sur le toit de la voiture j’usais à nouveau de me don pour faire faire un bond en arrière aux deux personnes sauvant ainsi Amber et sa victime. Alors en tenant la position, main grande ouverte avec le bras tendu, qui montrait que j’étais à l’origine de ce déplacement non volontaire des protagonistes j’eu un léger sourire, soulager et amuser par ce danger. Cette nouvelle politique un peu trop joyeuse pour nous m’ennuyait un peu parfois…. J’avais besoin d’action et c’était le moment d’en avoir. Alors je lançais fièrement à la femme qui partageait mon lit.
- Dis donc Chani, il faut faire plus attention la prochaine fois !
- Allen D. Levy - Amber Willson - Azraël J. Vehuelson - Einar Mortensen - Ezekiel Warxston - Ronan addams
Chacun s'organise comme il peut face au chaos et au désordre dans les rues. Il faut sauver ceux qui sont faibles, ou simplement se sauver soi-même. Dans n'importe quel cas, la situation est critique. Tout ce qui contient de l'électronique devenant fou, incontrôlables ou se détruisant, il faut trouver un endroit qui soit isolé au maximum de toute cette électricité et cela, au milieu de New-York, autant dire que les chances sont minimes, à moins de se trouver à proximité de Central Park, et encore, il reste encore les lampadaires fous.
Dans cette foule effrayée et folle, nos héros s'en sortent comme ils peuvent et certains étonnamment mieux que d'autres. La rue est longue, mais je peux vous garantir qu'ils sont tous dans la même. Un mouvement de masse provient d'ailleurs du haut de la rue tandis que l'on entend les cris hystériques et désespérés d'hommes et de mutants qui ne demandaient rien d'autre qu'un retour à la normal après les horreurs de la Grande Purge. Il n'est pas tard, mais le soleil est déjà bas dans le ciel et suite aux fluctuations d'électricités et aux hausses de courant, la plupart des ampoules dans les lampadaires, phares de voitures ou néons d'enseignes ont fini par éclater. La foule descend la rue, obligeant nos héros à suivre le mouvement, mais un simple regard en arrière leur permet de comprendre ce qu'il se passe. Les ondes qui permirent aux objets de s'éveiller ont évoluées, recherchées un autre moyen de faire des dommages et dans le ciel, vous pouvez voir que des Sentinelles apparaissent. Elles ne sont pas complètes, leur manquent un bras, ou tout le bas du corps. Des sanglespendent encore de part et d'autre de leurs épaules, prouvant qu'elles étaient sur les chaînes de désassemblages.
Vous pouvez cependant sentir que quelque chose cloche, lorsque les Sentinelles se posent en haut de la rue, elles visent humains et mutants sans distinctions. Le manque de lumière vous permets de voir l'éclat rouge dont brillent leurs yeux, et aux plus sensibles d'entre vous, vous entendez une voix qui s'élèvent part les radios des voitures accidentées ou des vitrines. Une voix grave et rauque qui répète : « Libre... Je suis libre... Libre... Je suis libre... »
Dans la rue, il semble que vous soyez les six seuls "Super" présents, personne d'autre n'est présent pour arrêter les trois de Sentinelles à moitié disloquées qui s'en prennent à tous les habitants. Votre choix est simple : dressez vous face à ce fléau d'une époque que vous pensiez résolue ou prenez vos jambes à votre cou... Mais pourrez-vous courir assez vite ?
Mer 11 Mar 2015 - 18:30
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Intrigue #1; Are you fucking kidding me ?
Feat. Allen & Amber & Einar & Ezekiel & Ronan
You and I be safe and sound
La débandade. Le chaos total. Ce n'est pas non plus comme lors de la seconde guerre mondiale ou encore la bataille de Jotünheim, mais ce n'était pas triste non plus. Le boulevard s'étend devant moi, les cris de panique fusent, des centaines de personnes hurlent, fuient, tentent de rester en vie ... et alors que je me dégage fermement des liens qui m'enserrent avec l'aide de ma glace en congelant les fils en entier - tout en faisant attention de ne blesser personne m’entourant, j'entends une voix grave qui me file la chaire de poule. « Libre... Je suis libre... » Je lève les yeux pour voir d'où vient cette voix étrange, faisant face à la marée humaine qui déferle et manque de m'emporter de peu, avant d'enfin remarquer une tête bien connue que je n'ai pas vu de puis une semaine et que je n'aurais jamais pensé croiser ici à quelques mètres de moi. Allen ... Ce n'est pourtant pas le temps de prendre de ses nouvelles ni de lui proposer des biscuits et du thé. Voir même de lui proposer d'assommer Neil pour ses conneries. Non. Je hurle pour l'appeler, mais le soleil d'un rouge sanglant fait étinceler un métal qui s'accroche à mes pupilles, m’éblouissant. Un acier étrange qui m'est trop bien connu et que j'aurais préféré ne jamais revoir. Des Sentinelles.
Un juron s'échappe de mes lèvres. Il ne manquait plus que ça ! Car si nous étions déjà la panade, face à trois sentinelles - même sacrément amochée - nous sommes carrément dans la merde. D'ailleurs, leur réaction me donnent raison, alors qu'elles commencent à s'attaquer à tout ce qui vit. Et si j'ai beau bien connaitre ces engins pour les avoir vu à l’œuvre plus d'une fois, je ne suis pas Thor et je sais pertinemment que mes pouvoirs ne pourront que les ralentir un temps. Ceci dit, je suis vieux et rusé - et sacrément suicidaire, aussi. De quoi faire pencher la balance en notre faveur - tout du moins je l'espère. Je n'ai que ça à tenter après tout. Utilisant ma glace comme je sais si bien le faire, je me m'envoie en l'air au sens premier du terme, matérialisant de fines et solides ailes qui me portent. Je me fiche pertinemment que quelqu'un me reconnaisse pour l'heure, et si j'envoie en l'air ma couverture médiatique et celle de Loki. Cela fait depuis un temps sans âge que je n'ai pas dignement créer quelque chose à mes pouvoirs, ni même que je ne me suis pas battu mais quand il faut y aller ... J'espère simplement que je ne serais pas le seul à tenter de sauver la population. Je ne peux que prendre un peu de hauteur pour avoir une meilleure vue d'ensemble, échappant ainsi aux câble pour un petit temps. L'endroit où les sentinelles se trouvent semble déblayé sur leur passage, ce qui me laisse assez de place pour agir sans risquer d'attenter à des vies. Il n'y a plus qu'à espérer ...
M'approchant par les airs quelque peu, je me laisse retomber au milieu de la rue sans encombre, sur l’asphalte nue, craquelée et désertée. « Hey, les boites de conserves ! » Je tente de les amener à se focaliser sur moi plutôt que sur d'autres innocents, me remémorant les heures et les heures d'entrainement que j'effectuais sous les yeux d'Odin il y a de cela quelques centaines d'années. « Retournez donc à Asgard voir si j'y suis. » Je laisse la glace s'échapper de mon corps pour qu'elle gèle le sol et s'y ancre, la laissant foncer droit sur les pièces détachées aux yeux rouge. Elle rend glissante le sol qui se trouve sous leurs pieds lourds, transformant le petit périmètre qui entoure les sentinelles en une patinoire géante. La glace, assez épaisse pour qu'elle les fasse chuter, se brisera lorsqu'ils tomberont, et j'aviserais alors. En attendant, je me contente de geler en prime les chaînes qui les maintiennent, les fragilisant. Je ne suis pas Loki. Je n'ai pas besoin de la cassette pour utiliser la glace, même si elle est certes moins puissante ainsi. Je compte sur ma maîtrise plus ancienne et bien plus redoutable, ainsi que sur Allen. Je prie pour qu'il utilise ses pouvoirs pour mettre la population en sureté - tout du moins pour entourer de ses ronces la scène du massacre et donner quelques minutes de répit à la population.
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD & SHADOW.
Jeu 2 Avr 2015 - 18:57
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« Well, that's just my luck... »
La situation virait au chaos le plus total. Les gens paniquaient -à croire qu'ils ne savent faire que ça, courir en hurlant dans tout les sens et surtout pas le bon- comme si ça allait les aider d'une quelconque façon. Et dans la cohue, certaines personnes chutaient, et se retrouvaient impitoyablement piétinées par les autres. Triste fin. Mais qui ne faisait que confirmer l'idée qui peu à peu faisait son petit bonhomme de chemin dans mon esprit, ces dernières semaines. Les humains sont tous les mêmes. Leur petite survie personnelle est tout ce qui les intéresse, et ils ne portent d'attention aux autres que lorsqu'ils pourraient en retirer un quelconque profit. Stupides créatures...
Usant de mes dons pour créer une sorte de mur contre la vitrine du magasin devant lequel j'avais atterri quelques instants plus tôt, j'avais ainsi réussi à prendre la poudre d'escampette sans me retrouver avec plusieurs dizaines d'appareils électro-ménagers de toutes sortes aux trousses. Ceci dit, ça ne signifiait pas pour autant que c'était la fin de mes ennuis, bien loin de là... Sans que je n'y prête réellement attention, la foule était devenue plus dense, et bientôt je me retrouvais emporté vers le bas de la rue, sans que je puisse m'y opposer. Certes j'aurais pu écarter les gens avec mes pouvoirs -et d'ailleurs je pense que certaines personnes ne passèrent pas la nuit, ayant été en contact avec deux ou trois coupures que j'avais déjà sur l'une de mes mains- mais ce n'était pas le moment de faire des dépenses d'énergie superflues. D'autant plus que... Les choses allaient mal tourner.
- ... Non. Non non non non... Non ! crachai-je entre mes dents serrées, les yeux levés vers le ciel. Et pourtant... Si. J'aurais eu beau prier, implorer, ça n'y aurait rien changé. Les silhouettes de trois Sentinelles, plus ou moins en morceaux, se découpaient sur les nuées de ce début de soirée. Leurs yeux vides luisaient de cette horrible teinte écarlate, et cette seule vue suffit à faire remonter tout les mauvais souvenirs que j'avais désespérément tenté d'enfouir au plus profond de ma mémoire.
Le peu de contrôle que j'avais encore sur moi disparut totalement. Les mains tremblantes sous l'effet d'une colère que je maîtrisais mal, tout sembla ne plus exister autour de moi. Je n'entendis pas cette voix étrange, je ne vis pas Azraël, rien... Sans plus réfléchir, je lâchai la bride à mon pouvoir. Autour de moi, le bitume fut arraché sur le passage d'innombrables branches de ronces qui fondaient sur la Sentinelle la plus proche, l'enserrant dans un étau qui pour un être vivant, aurait été mortel. Oh, j'étais encore suffisamment conscient pour savoir que ma mutation n'était pas idéale pour lutter contre ces cauchemars ambulants, mais il était hors de question que je fuis.
Alors que je tentais de réduire la machine en pièces, morceau par morceau, une vague de froid m'arracha un frisson. Déconcentré, je baissai les yeux... Pour voir que la route était recouverte de glace. .... Bordel, Azraël ! Ton foutu gel n'aidait en rien mes pouvoirs ! Ce fut cette erreur d'à peine quelques secondes, mais la Sentinelle défaillante ne l'était pas suffisamment pour ne pas saisir cette opportunité. Elle arracha les plantes qui la ligotaient de son unique bras -étant parvenu à lui en retiré un- et fit un pas pour s'élancer vers moi. La véritable patinoire qu'était devenu l'asphalte la fit chuter dans un bruit sourd, et les éclats de glace volèrent tout autour. C'était ma chance. Rassemblant mon énergie, je lançai une nouvelle offensive. Sous mon commandement, les ronces se réunirent pour former des pieux qui se fichèrent dans le corps métallique. Certains cassèrent, d'autres ricochèrent, mais il y en eut qui atteignirent leur cible. Ca ne suffirait pas pour mettre cette machine du diable hors d'état de nuire, mais c'était déjà un progrès.
... Les civils ? Navré, Az', mais je m'en moque totalement. Qu'ils meurent, ça nous fera davantage d'oxygène.