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I'm not mad, I only want the silence [Pv. Jonathan]

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Dim 22 Mar 2015 - 11:58
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I'm not mad, I only want the silence...
Dylan Collins & Jonathan Chamomille
- FLASHBACK -


J’ai l’impression de revenir d’entre les morts, peu à peu. Je m’éveille d’un sommeil sans rêve, sans cauchemars, avec difficulté. Ma vue es encore brouillée, et mon corps entier semble ankylosé, douloureux, comme si je ressortais d’une machine à laver. Incrédule, je regarde autour de moi, cherchant à me redresser sur mon séant pour mieux identifier ce qui m’entoure, mais je remarque rapidement qu’en plus de n’avoir aucune putain d’idée d’où je me trouve, mes mouvements sont entravés par des bracelets de cuir à mes poignets et mes chevilles. Maintenant que j’y prête attention, j’ai mal aux articulations, comme si j’avais forcé comme un bœuf pour m’en libérer. Un instant, j’ai un gros doute, je me demande si tout ça c’est réel, et vu comment j’ai l’impression de planer, sûr que l’on m’a administré un sédatif ou un truc du genre. Pas besoins de lire dans les pensées pour le deviner. Mais qui ? Une silhouette en blouse blanche marche autour de moi, avec un calepin en main, et je maudits ses putains de talons : le bruit de ses pas résonnent dans ma tête, faisant écho au bourdonnement persistant.
Ma gorge est sèche et j’ai du mal à déglutir, mais tandis que je bouge doucement mes doigts tout en les observant, je demande d’une voix faible : « Où est-ce que je suis ? » Un instant, j’ai l’impression qu’elle ne pas entendu, que je n’ai pas parlé assez fort, mais bientôt la silhouette revient vers moi, se faisant de plus en plus distincte, et l’infirmière me colle une lampe torche dans l’œil, pour contrôler mon état, j’imagine. Je grogne, en cherchant à fermer les yeux mais elle me maintient les paupières ouvertes – elle a de la chance que je sois entravée, sinon, elle en aurait pris une. Mes yeux ne sont pas encore habitués à la luminosité ambiante, alors, c’est assez dérangeant. Tout en me contrôlant, elle me répond, professionnelle : « Vous êtes au Centre Psychiatrique de Manhattan, vous avez essayé de vous tuer, il y a deux jours. » . Ça me revient doucement, maintenant, au-fur-et-à-mesure que je regagne ma lucidité. La mission sur Centuris Prime, le Capitaine qui descend le Synapse, et le tandem psychique. Mes visions horribles de la Ruche… Les rendez-vous chez le psy’… Et mes capacités psychiques qui étaient parties en vrille… J’en pouvais plus, alors pour retrouver le silence, j’ai voulu me coller une balle. Le reste est trouble, mais voilà que je me retrouve complètement stone dans une maison de dingues.
« Tout semble bon. Vous êtes encore sous sédatif, mais les effets ne tarderont pas à se dissiper. » qu’elle me dit, tout en libérant mes poignets encore endoloris. « Vous allez pouvoir aller vous dégourdir, dans quelques instants, dès que vous aurez pris votre traitement. »
Je masse mes poignets, en me redressant sur mon séant, observant un peu la chambre dans laquelle je me retrouve : la vache, j’ai l’impression d’avoir la plus grosse gueule de bois de l’histoire de l’humanité. Sceptique et encore vaseuse, je regarde le petit gobelet en plastique que la toubib me tend, avec un sourire affreusement et faussement conciliant.   « Mon traitement ? » Je ne suis pas malade, alors je me demande un peu ce qu’elle compte traiter. S’il existait une pilule pour rompre ce putain de lien psychique entre moi et une espèce extra-terrestre, ça se saurait. Nan, moi je pense plutôt que personne ne me crois, qu’on me prend pour une dingue possiblement dangereuse et que l’on préfère me farcir de calmants pour pas que je fasse de vagues. L’infirmière tentent de m’expliquer dans son jargon médical que c’est bon pour moi, mais je pipe rien, tout ce que je retiens, c’est que ça devrait me détendre assez pour limiter mes ‘hallucinations’, et mes visions. Ça m’évitera sans doute de perdre le contrôle sur mes capacités psy’, c’est peut-être pas si mal. Non sans un grognement, j’avale cependant les cachets, et elle me tend un gobelet d’eau, pour que ça coule mieux. « Parfait ! Vous trouverez de quoi vous habiller  juste ici, Mademoiselle Collins. Je vous accompagne jusqu’à la cour, dès que vous serez prête. »
Un putain de pyjama de dingo. J’ai l’impression de vivre un cauchemar. J’ai gardé le silence pendant toute la visite avec la toubib, j’ai même pas mangé le truc qu’elle m’a fait apporter, tout à l’heure, j’ai pas faim. J’ai encore du mal à réaliser ce qu’il se passe. J’ai préféré m’exiler dans un petit coin, dans la cour. L’infirmière m’a raconté comment ils ont dû me maîtriser, à mon arrivée ici, comment j’ai effrayé les pensionnaires les plus impressionnables, et comment j’ai pété le nez d’un personnel médical. Apparemment, ils ont eu besoin de m’administrer une dose de cheval, pour me calmer. Des images me reviennent un peu, mais je dois avouer que c’est un peu flou. Je fixe, l’air un peu absent, le petit bracelet médical, à mon poignet, juste au-dessus des bandages que l’on m’a fait pour couvrir les dégâts que je me suis fait, avec les lanières de cuir en me débattant.


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Mar 24 Mar 2015 - 19:54
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I'm not mad, I only want the silence
Dylan, Hamich & Jonathan

Laisse moi sortir de là ! ✻✻✻ Cette époque la n’était pas vraiment évidente pour lui. Accepter le fait qu’il vivait avec un psychopathe en lui n’était pas vraiment une chose qu’on acceptait facilement. Et pour Jonathan c’était vraiment dure de croire qu’il avait ce mal en lui. Depuis qu’il avait prit la connaissance d’Hamich le jeune mutant avait prit tout son temps, son argent et son énergie pour pouvoir mettre fin à son calvaire. Mais les choses ne se présentaient pas aussi bien qu’il aurait pu espérer. Pour tout vous dire il avait vraiment du mal à prendre le dessus sur Hamich. Hamich était le prénom de son oncle strict et un peu trop le délinquant de la famille. Ce fut en honneur de sa mort que les parents de Jonathan lui on donner ce deuxième prénom. Mais lui il n’aimait pas vraiment ce nom et il le donna à sa double personnalité plus que mauvaise afin de le désigner comme une totale tiers personne. Pour Jonathan il y avait vraiment deux personnes en lui, il crut même pendant un temps qu’Hamich était le fantome de son oncle, mais il était bien loin de la vérité. En réalité Hamich n’était autre que le fruit de son esprit, ni plus ni moins. Une sorte de système d’auto défense qui lui permet de se justifier pour ses mauvaises actions et ses penchants un peu trop sanglant. Mais il est vrai aussi que le petit Jon’ n’était pas vraiment pour la violence. Alors serait ce due à un quelconque pouvoir ou malédiction ou alors Hamich était il le fruit de son imaginaire ?

En tout cas peut importe la réponse Jonathan avait déjà prit la décision de se faire interner de son propre chef se jugeant dangereux par ses pulsions. Ce qui ne s’attendait pas a découvrir ce fut qu’Hamich ne soit pas vraiment enclin à tout ceci. Alors bien avant de rentrer dans sa prison psychologique il prit le contrôle une dernière fois de Jonathan et attaqua un hôpital.  Bien sur il avait pris soin d’effacer toutes les traces de lui dans la vidéo surveillance et puis quand on a la capacité de créer des tueurs alors il n’y a pas d’empreinte sur les lieux de crimes ni même de témoins qui survivent pour en parler. Ce qui était dérangeant c’était que Jonathan n’était pas vraiment sur de ce qu’avait fait Hamich et pensait surtout que ce n’était qu’un cauchemar. Mais bien plus tard, lorsqu’il entra dans ce fameux Hôpital il eu l’occasion de discuter avec Hamich et comprendre qui il était. Bien sur Hamich se gardait de lui dire ce qu’il avait fait cette nuit là mais il se débattait toujours pour prendre les devants et l’ascendant sur Jonathan. Ce fut comme un combat sans fin pour le jeune mutant qui tentait tant bien que mal de lui résister un minimum.

Mais ce jour là était plus que violent que d’habitude. Alors que les apparitions d’Hamich se firent des plus rares voila qu’une nouvelle arrivante fit son apparition dans la structure médicale. Jonathan avait le droit de circuler librement à ce moment là mais ce n’était pas vraiment une bonne idée. Lorsqu’il vit la violence que faisait preuve cette femme il se demandait si il était lui aussi dans cet état lorsqu’il perdait le contrôle. Cela lui fit peur et il se remit en question pendant une fraction de seconde, une seule et unique demi seconde lui suffit pour reprendre le contrôle, oui on parlait bien d’Hamich cette fois ci. Le regard noir, le sourire en coin qui en disait long sur son imaginaire sadique. Lorsqu’il posait le regard sur la jeune femme blonde il vit alors un espoir de mettre le chaos ici. Alors Hamich suivit d’assez loin la scène jusqu’à ce qu’elle se fit enfermer.

Suivant la jeune femme quelques minutes plus tard vers la sortie donnant sur la cour Hamich observa les lieux et pris une pierre au sol. Se cachant de tout regard il dessina un petit bonhomme humanoïde sur le mur et le fit prendre vit en toute discrétion. Il lui donna un but à ce dessin, celui de récupérer discrètement le passe d’un gardien absent. ‘’ Tous des Abrutis ici’’ se disait Hamich. Car lui il savait que tous les passes électroniques étaient dans le sas de sécurité à l’entrée. Et lorsqu’un gardien ne travaillait pas il y laisser son passe, une carte magnétique. Donc Hamich avait, par le passer, fait en sorte de mettre hors d’état de nuire un gardien au hasard afin qu’il ai accès à sa carte. Pourquoi l’avait il pas fait par le passer ? Simplement parce qu’Hamich avait des projets pour Jonathnan. Il voulait le faire croire libre pour qu’il puisse sortir en toute légalité, afin de ne pas être poursuivit et de pouvoir commettre encore ses méfais. Mais il avait quand même pris des précautions pour ce qui était d’un éventuel plan B.

Donc pour le moment Hamich se contenta de laisser faire son œuvre et alla prendre contact avec cette femme… Il savait pas très bien ce qu’elle avait mais elle savait se battre au vu de son agression sur les gardiens aujourd’hui… Et se faire un allier puissant pourrait être utile non ? Donc il devait l’aider par tous les moyens. Mais c’est en arrivant d’un pas héroique vers la demoiselle qu’il se présenta comme si il était parfaitement normal.

- Bonjour… Est-ce que ca va ? Vous n’en avez pas l’air. Enfin après tout vu ou on est je vous comprends, je ne suis pas très mode moi non plus mais cette tenue me donne une envie constante de me gratter.

Il tentait d’avoir de sa sympathie mais psychologiquement il y avait Jonathan qui frappait la porte à l’intérieur de lui. Hurlant et criant à la demoiselle de fuir, de ne pas lui parler et encore moins de lui faire confiance. Mais Jonathan ne savait pas qui elle était ni encore moins ce dont elle était capable. Alors serait elle en mesure de comprendre cet appel d’urgence ?  

✻✻✻
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Mar 31 Mar 2015 - 22:41
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Dylan Collins & Jonathan Chamomille
- FLASHBACK -


Les effets du sédatifs se sont dissipés, mais les cachets que la toubib m’a filé semblent avoir pris le relais. Je me sens vaseuse, comme après un lendemain de cuite, et je perds le fil de mes pensées. Mais au moins, ça semble calmer mes capacités psychiques… Ou plutôt engourdir mon cerveau. Au moins, c’est le silence, et c’est plutôt appréciable. Je fixe mes mains : elles tremblent un peu, ou alors c’est ma vue qui s’embrume à cause des cachets ? Une voix masculine me sort de ma contemplation : le fait que je sois assise me force à lever les yeux pour distinguer la personne qui s’adresse à moi. Il a beau tenir un discours qui semble correct, et sourire de manière sympathique, il n’en porte pas moins le même petit pyjama de dingo que moi. Je lève un sourcil interrogateur : il essaye de faire ami-ami ? Dommage pour lui, il ne trouvera pas en moi le compagnon idéal. D’une voix légèrement enrouée et cynique, je réponds à sa question en me prenant le front entre les mains :

« Merci, Sherlock, ton diagnostique va changer ma vie… »

Le civil n’y est pas pour grand-chose, à vrai dire, j’ai la tête en vrac, il y a encore des zones obscures sur la question de ‘comment j’suis arrivée ici’, et le fait qu’il vienne me parler de choses évidentes m’exaspère un peu. Je ne suis pas du genre très social, de base, alors dans cette maison de fous, j’vois pas comment ça pourrait changer.
Une migraine soudaine me prend, ainsi qu’un bourdonnement sourd, lointain, depuis que le civil est arrivé. Rah, Collins, regarde-toi, t’es plus soldat, ça ne sert à rien de l’appeler le civil, au final, tu l’es autant que lui, maintenant… Je me prends toujours la tête entre les mains, en grognant, mais ravale subitement cette douleur, par fierté, et parce que merde, je suis un soldat, la douleur, c’est mon quotidien. Le visage crispé, les sourcils froncés, un reliquat de cette douleur est visible sur les traits de mon visage. Je lève une nouvelle fois les yeux vers le patient qui m’a abordée, l’air un peu suspicieux : on dirait qu’il est à la base de cette migraine, comme si ses pensées étaient étouffées, comme si les médocs embrumaient suffisamment cerveau pour qu’il soit incapable de discerner les pensées. Et pourtant, le patient en question a l’air calme, souriant. Je l’inspecte toujours, après avoir dégagé mes mains de mes tempes.

« T’as pas d’autres copains à aller voir, Sherlock, parce que, t’as pas tiré le bon numéro, là…» .

J’ai bien vu les regards des autres pensionnaires : ils sont fous mais pas tant que ça, ils ont été témoin de mon arrivée des plus… musclées. Certains ont peur, d’autres me fuient tout simplement, et au final, c’est pas plus mal : j’ai pas envie de me confondre dans la masse, parce que je sais ce que je suis, et je ne suis certainement pas dingue. Je sais que ce que je vois est réel. Je sais que la Ruche est là, dans ma tête, à surveiller mes faits et gestes. Mais je sais aussi que je deviens un danger pour les autres et pour moi-même… Et pourtant, ce petit gars-là, il vient me parler, tout sourire. Il doit avoir dans les 20-25 ans, et bien qu’il semble sain d’esprit, il y a forcément une raison pour son internat, ici. Malheureusement, les médocs m’empêchent de le savoir : je ne peux pas lire dans ses pensées, la seule chose que je puisse entendre, c’est ce bourdonnement sourd et puissant, quand je me concentre sur ses pensées.
Je le dévisage un instant avant de lui annoncer, repartant dans la contemplation de mes mains et de mes pieds, et surtout du néant :

« Ecoute, j'ai pas besoin d'un compagnon d'asile, j'ai déjà mes problèmes à gérer alors si tu voulais bien... »

Une façon polie de demander au petit dingue de dégager... Mais au final, entre lui et moi, c'est qui le plus dingue ? Il n'y a qu'à voir la façon dont les autres te regardent... Tu leur fais peur. C'est toi, la folle, pour eux...


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Mer 14 Oct 2015 - 3:48
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Dylan, Hamich & Jonathan

Laisse moi sortir de là ! ✻✻✻ Hamich eu alors un léger tic avec sa tête, comme quand un insecte vol autour de votre tête et que vous avez les mains prises alors vous tentez de secouer votre cerveau afin de les faire fuir… Sauf que la c’était Jonathan qu’il voulait faire taire. Le mutant en avait marre de son double et fit en sorte que ce dernier se taise du moins pour un bon quart d’heure, le temps de prévoir sa petite fuite, ou de mettre un peu plus de chaos dans ce monde de taré. Intérieurement Hamich tua trois fois la demoiselle pour son air hautain et ses paroles. Mais il prit sur lui avec une grande inspiration et se posa a ses cotés sans rien lui demander.

Alors que le mutant leva un doigt en l’air comme si il allait démarrer un grand discours il fut stopper par la douleur soudaine de la demoiselle. S’il voulait arriver a ses fins alors il devrait de la jouer Jonathan pendant un temps, du moins pour attirer la sympathie de la jeune femme en tout cas. Alors qu’il osa poser ses mains sur ses épaules il lui murmura calmement.

- Reeeespire… Calmement… Voila.

Il se moquait pas mal de ce qu’elle pouvait dire car il était sur d’avoir trouver la bonne, celle qui lui donnerait sans doute ce petit moment de satisfaction en créant un gros bordel en ce lieu. Il voulait prouver sa force même s’il n’avait pas de publique. C’était juste une satisfaction personnelle. Et après ce dernier coup il se ferait silencieux jusqu’à la sortie de Jon’… De ce fait il souriait malicieusement à ses paroles et il reprit avec un léger ton de défis.

- Sinon quoi ? Tu va me faire aussi mal qu’aux gardiens ? Cela te mettrait plus dans la galère voyons… Alors que moi… Je peux te faire sortir d’ici, mais il faut qu’on travail ensemble ok ?

Ayant bel et bien un plan pour sortir Hamich ne mentait pas. Mais il ne voulait pas sortir avec elle, du moins pas comme ça. Il voulait sortir libre alors il ferait juste en sorte de se faire pincer à la dernière minute et laissa seulement la demoiselle partir sans lui vers la liberté. Il créerait un boxon monstre et pourquoi pas une futur allié qui sait ? Du moins si elle n’est pas si folle qu’elle en a l’air. Il ne savait pas ce qu’elle allait exactement mais il serait prêt a l’écouter s’il le fallait. Se replaçant donc calmement a ses coté il garda un ton de voix assez bas et observa les gardes au loin…  

- Tu sais je peux parfaitement comprendre ce que tu peux endurer. Mais pour que cela marche il faut que tu me dises exactement ce que tu a, je te demande juste de me faire confiance…


✻✻✻
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