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Good morning America || Ft. James Logan Howlett, FB.

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Mar 18 Aoû 2015 - 20:27
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Good morning America ; Flashback, Feat. James Logan Howlett
Civilisation you said ? Fuck you.


La dernière fois que j'avais foutu le pied dans un aéroport, c'était pour retourner dans le Montana, chercher mes affaires d'enfant, histoire de les rapatrier à New York chez Neil. C'était il y a dix ans, presque onze, de façon approximative – je n'étais pas à une journée près. Inutile de dire que cela me faisait drôle … Et me rendait nerveuse. Je n'étais pas à ma place, entourée de tant de monde pressé, pressant, sur les nerfs. J'en venais à bouffer mes ongles distraitement pour ne pas péter un câble à mon tour, faisant le pied de grue devant la porte du terminal en prenant mon mal en patience. Je n'étais pas seule à attendre des passagers, même si le mien était certes une personne étrange et particulière. Ce n'était pas un membre de ma famille, ni même un ami proche. Une connaissance serait le mot le plus juste et pourtant … Et bien il m'avait sauvée la vie et … Il me rappelait la maison, d'une façon incongrue et inexplicable. Un sourire fugace prend place sur mes lèvres au souvenir, même si il est loin d'être joyeux sur le fond. Assez grand, des yeux sombre, un air sauvage que je n'avais jusqu'alors jamais vu – même Neil n'était pas aussi impressionnant. Une putain d'armoire à glace de muscle et de glace (et de barbe à l'époque), aussi éloquent qu'un frigidaire par ailleurs, mais il y avait au fond de cet homme quelque chose d'aussi tendre que cassé et roué de coups. J'avais décidément un don avec les gens ayant des problèmes de comportements et communication … mais au fond c'est qui nous rendait si attachant.
Inspirer, expirer. Ignorer la femme en tailleur qui consulte sa montre toutes les trente secondes en tapant du pieds, un rictus nerveux sur les lèvres – rate t-elle un rendez-vous important ? Bah. L'enfant devant moi avait lui-même du mal à se tenir, dû à l'excitation de son âge. Moi, je me contentais d'attendre sagement, aussi nerveuse qu'un drogué en manque de crack, simplement car il faisait chaud, et mes sens explosaient sous l'effet de ma nervosité. Allons, Eilis. Ce n'est pas comme si il y allait avoir une attaque terroriste, détends toi bordel !

Je secoue la tête doucement, m'ébrouant. J'ai pris mon appareil photo pour figer ce moment sur pellicule - celui de son arrivée à New-York -, lui qui n'aime pas des masses la civilisation, le voir dans la Grosse Pomme, ça s'immortalise. Après tout, l'on se ressemble plus qu'on ne pourrait le croire … C'est peut-être aussi pour ça que le courant passe si bien – enfin me semble t-il. Et cette fois je serais sage, et je laisserais mes questions de coté – enfin si j'arrive à me retenir … Au moins sera t'il content de me voir guérie et avec mes deux bras, puisque le gauche a eu le temps de repousser depuis notre première (et dernière) rencontre mouvementée dans la poudreuse canadienne. Je me demande ce que l'on fera ensuite. Manger une glace ? On a beau être en Avril, les beaux jours sont au rendez-vous en ce moment, il faudrait mieux en profiter. Bon. Peut-être aller à Central Park pour se trouver un coin tranquille ? Je ne sais même pas ce qu'il vient faire ici – même si ça ne me regarde pas – et où il va bien pouvoir dormir cette nuit et les suivantes. Je suppose qu'il doit avoir des relations, ou quelque chose du genre … Néanmoins ça serait cool qu'il reste un moment – j'aimerais lui montrer les coins que j'aime. Ce n'est pas grand chose, et rien ne m'oblige à le faire mais … C'est ma façon d'en apprendre plus sur lui d'une façon détournée. Un café sinon. Enfin plus une bière pour lui. Ah … Ca y'est. L'avion est arrivé, les passagers affluent des portes automatiques et je me pousse pour ne pas finir piétinée et noyée dans le flot d'arrivants. Je peux néanmoins percevoir sa masse se détacher du lot, et ma nervosité se dissipe en grande partie – encore quelques mètres, et il passera lui-même les maudites portes.

Sauf que … Et bien ce n'est jamais comme l'on s'attend n'est-ce pas ? Je scrute ses mouvements, je viens à sa rencontre d'un pas tranquille et assuré. Je n'ai pas de pancarte ou quoi que ce soit, je n'en ai pas besoin, même si une question reste coincée dans mon esprit torturé : me reconnaîtra t-il ? Je ne porte qu'un jean sur mes docs noires, un débardeur nuit sous une chemise à carreau rouge – j'ai tout de la gosse du bûcheron en réalité, il ne me manque que l'odeur du bois fraîchement abattu et le sirop d'érable pour faire dans le cliché - mais ua moins je suis mieux fringuée que la dernière fois. Je m'apprête à l'appeler inutilement, mon regard rivé dans le sien, sauf qu'au moment ou ma voix s'enclenche, elle est couverte par des bruits affreux à vous trouer les tympans : sorte de bip stridents, cacophonie parfaite, voyants rouges illuminant les portiques. Wow ow oh ! On est dans Star Wars ou quoi ? Tout le monde se retourne, affolé, les chuchotements commencent et les vigiles débarquent en grande pompe, ma tension augmente, mon cœur loupe une embardée et une grimace tord mon visage d'adolescente. Qu'est-ce que c'est que ce foutoir encore ? Tu es venu armé ou bien ? Bordel, j'ai pensé à laisser Roger Rabbit à la maison, ne me dis pas que tu as un rasoir ou autre chose de coupant sur toi ! Si ? Bordel James ! Le pays est à cran depuis les derniers mois (du à l'invasion extra-terrestre puis les derniers évènements) tu aurais du le savoir ! Je fronce les sourcils, lèvres pincées, m'élançant malgré tout, ignorant les avertissements des types qui tiennent plus du gorille en uniforme qu'un humain compréhensif.
« Il est avec moi ! » ma voix perce par dessus les cris, aiguë, insatisfaite, curieuse, choquée. Mec, il faudra m'expliquer, tu le sais. En attendant, il va falloir faire comprendre à ces types qui portent une arme que tout va bien et que, non, tu n'es ni un terroriste voleur d'enfants, ni un poseur de bombe et encore moins un extra terrestre à la peau bleu. Je zieute les vigils menaçants. Oh, les mecs ! On est dans un pays libre bordel ! … Youhou ? Dites vous me laissez passer ou bien ? Merde ? Civilisation et Démocratie, mon cul ! La prochaine fois, soyez en sûr, je resterais tapie dans les bois canadiens, à bouffer du castor grillé et boire de l'eau de pluie. En attendant, Logan ... Bienvenue en Amérique ?


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Mar 18 Aoû 2015 - 22:40
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James et la Grande Pomme; Rp Flashack Ft. Eilis Archer
'Murica, Fock you.




Les États-Unis d'Amérique. Voilà bien un endroit que je ne rêvais pas de revoir, et qui partageait sûrement mon avis. Le départ avait été comme toute ces fois où je prenais l'avion: Alarme et fusil, on prétend une prothèse au genou, un certificat d'un certain Docteur Xavier, et "Bien monsieur vous pouvez passer". J'étais si rodé qu'un sourire nostalgique s'installait sur mes lèvres. Le gens son heureux, malgré tout, ils sont si nombreux que je me sens à l'étroit, leurs odeurs m'agressent, je ne suis pas à l'aise. Les cris, les larmes, tout ce méli mélo d'émotions voile l'air, et mon odorat. Je pose mon sac, à toute petit gars. Une fois enfin installé, je peux plonger dans mes esprits
Je dois retrouver la petite Eilis, je me demande si elle va mieux, et qu'elle a tout ses bouts. Les nuages disparaissent alors que le coucou passe la frontière boisée. A mes cotés, une très jeune fille et sa mère, qui sont sautillent sur leurs sièges comme des puces. Je me souviens quand Deathstrike nous a obligé à sauter en plein vol. Je préférerai ne pas avoir à faire subir à cette petite famille l'horreur d'un affrontement. Je me remémore ma propre famille.
Xavier, Kurt, Kitty, Phillys, Amber... Tant de noms que je repasse dans mon esprit, vont ils bien? Je me rends compte de mon égoïsme. Atsuko, me pardonneras tu d"avoir fui alors qu"ils avaient besoin de moi? Logan respire et regarde. New-York. Plus le temps d'être le soldat de porcelaine.

L’atterrissage, les gens se pressent. Les odeurs de stress, peur, excitation... Je ne suis plus capable de sentir quoi que se soit. Dent-de-Sabre pourrait attaquer que je serai incapable de le distinguer. Ce qui me fait dire que ce voyage s'est passé trop bien, je vais avoir un problème d'ici quelques secondes. Arrivé dans ce port d'accueil, je me sens comme perdu dans toute cette civilisation, tant de monde qui s'entre bousculent, se déchirent et s'embrassent. J'ai mon sac, ma veste en cuir sur un t-shirt noir, un jean usé et la barbe taillée à grand coup de griffes. Je respire un grand coup, elle est là, toute petite dans cette marée de gens un peu trop stressés. Un peu trop effrayés, un peu trop échaudés. Je la vois, elle est stressée, agacée, à l'étroit dans ce monde, et alors que le sourire d'être arrivé à la maison s'affiche sur mon visage, le portique sonne, encore. Les gens me fuient, me regardent, les gardes civils accourent me pointent de leurs canons je pose mon sac à leurs pieds à leurs pieds et lève les mains alors qu'elle vole à mon secours, le petit poussin qui veut sauver le gros serval. Je suis avec elle, mais elle ne sait pas, pas encore, que je ne suis pas éloigné d'elle. Elle est entière et ressemble à une petite de chez moi, j'aurais put ressembler à sa famille.

"Excusez moi j'ai une prothèse au genou, vous pouvez vérifier, j'ai le certificat dans mon sac, au dessus des vêtements, je peux aussi subir une fouille."
La procédure, encore et toujours fouille, vérification, un appel à l'institut pour vérifier mon certificat. Xavier sait que je rentre maintenant, ils me rendent mes affaires, s'excusent et me sermonnent, je devrais prendre soin de parler aux gardiens des portiques plutôt que de semer la panique. Mais que voulez vous j'aime être remarqué


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Dim 23 Aoû 2015 - 13:52
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Good morning America ; Flashback, Feat. James Logan Howlett
Civilisation you said ? Fuck you.


Si je m'étais attendue à ça …. J'étais prête à me débattre pour le sortir de là, mais apparemment je n'en aurais pas besoin – quelque part, tant mieux. Une prothèse au genou ? Je hausse les sourcils, interloquée, tendue, tandis que les gorilles s'occupent de lui. Un prothèse au … J'y crois pas. Enfin, peut-être ? Je ne me souviens pas qu'il m'en ait parlé toujours, dans la cabane au fond des bois. Ceci dit, c'est personnel et l'on se connaît relativement peu, mais … Une prothèse ? Ridicule. Je me détends néanmoins lorsque la sécurité me laisse passer. Je me hâte de rejoindre mon ami, et je me dévisse le cou pour pouvoir le regarder dans les yeux, droite comme un i, plantée comme un piquet devant sa stature d'ours. Chaque muscle est tendu sur ressort et j'ai conscience d'être ridicule.
«  … Hey. » je murmure finalement, toujours un peu décontenancée. Ne pas regarder ses jambes.
Je lui offre un maigre sourire, un simple « désolée » flotte sur mes lèvres désabusées. « Tu vas bien ? Tu as fait bon vol ? » je reprends confiance en moi, ma voix est plus forte, plus assurée maintenant que je suis proche. Je le regarde, le contemple sous presque toutes les coutures sans bouger, avant de farfouiller dans la poche de ma veste pour sortir un muffin au chocolat emballé dans un sachet et le lui tendre en maigre cadeau de bienvenue. « Je ne savais pas si tu avais mangé ou quoi donc je me suis dit que tu aurais peut-être un petit creux ? C'est en attendant de trouver un starbuck » je lance, mes yeux pétillants. Inutile de dire que c'est maison et que j'ai cuisiné ce matin quand je m'ennuyais.
Je regarde autour de moi, la foule se disperse, les vigiles ont repris leurs postes … Je me détends quelque peu avant de reporter à nouveau mes yeux sur lui – son odeur musquée m’apaise, bien que ... qu'il était moins impressionnant dans la nature, étrangement. Il faisait parti du décor, naturellement. Ici … Ici il fait tâche. Enfin, dans le sens où je perçois une dissonance. J'ai désormais l'impression d'avoir à faire à un prédateur, un vrai, dangereux, et l'envie de me recroqueviller me prend. Je n'en fais rien néanmoins. «  On y va ? » Je propose. C'est peut-être le manque d'air frais qui le rend sauvage, à moins que ce ne soit mon cerveau qui débloque sous le manque d'oxygène. Claustrophobie, quand tu nous tiens … « Je suis venue en taxi. » je rajoute, m'excusant presque. J'aurais préférée autrement, en moto par exemple, celle que Neil m'a offerte en rentrant à N-Y (j'ai le permis depuis mes seize ans, une normalité aux USA) , mais ça n'était pas pratique pour le retour … Et puis de toute façon Max m'a crevée mes pneus – encore.

C'est d'un pas léger – et plus rapide que je ne l'aurais voulu – que je me retourne pour filer vers les portes automatiques donnant sur la sortie, m'extrayant sans mal de l'aéroport surpeuplé. En y repensant, je lui aurais bien fait un câlin, mais avec ce monde et cette impression de danger imminent … Je suis stupide. Mes pieds enfin sur l'asphalte bitumée, je laisse mes poumons respirer, avaler l'oxygène en grande goulées salvatrices, toussant presque, m'ébrouant. Je m'excuserais de mon attitude plus tard, je laisse la normalité me rattraper et ma main se pose sur son bras, naturellement, avec légèreté, sans s'y agripper comme je l'aurais presque fait dans le terminal. « As tu une adresse spécifique en tête où peut-on flâner un peu ? Quoi que si tu as des rendez-vous, tu es peut-être pressé … Mais ça fait du bien de te revoir. » Je jette un coup d'oeil à son sac avant de lui sourire, encore incertaine, bien que mon sourire soit plus assuré. Car que ferait un type comme lui dans cette ville ? Certainement pas une visite du MoMA. Pourtant une chose est vraie, assurée, certaine … Il m'a manquée, lui et sa présence titanesque, à contrario de la neige gelée du Canada.


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Lun 24 Aoû 2015 - 5:16
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James et la Grande Pomme; Rp Flashack Ft. Eilis Archer
'Murica, Fock you.






 Autant les gorilles peuvent croire à une jambe en bois, autant elle n'y croira jamais, et si elle connait Xavier je vais devoir lui expliquer. Pas que j'ai pas envie, mais j'ai aucune raison de vouloir lui raconter que je ne pourrais jamais faire un IRM. Je sais qu'elle ne me jugera pas, qu'elle sera même peut être heureuse que je sois "comme elle". Mais pourquoi, mon cher Logan, voudrait on être comme toi?
 Elle est stressée. La foule l'empoisonne, et le bouillonnement la presse vers la sortie. Elle essaie de parler, me demander si ça va bien. C'est sympathique de se préoccuper, j'esquisse un début de sourire, qui a l'air plus de l'ignorer, je n'arrive pas à faire mieux, faudra faire avec. Elle pétille dans l'ombre de la foule, on dirait les bougies d'anniversaires qui brillent dans les yeux des enfants. Elle met la main dans sa poche en me tendant une gourmandise. Elle sent bon, fait maison, frais. J'ai pas faim du tout, mais je ne peux pas refuser. C'est touchant, on n'avait jamais autant pensé à moi. C'est étrange cette sensation brûlante das la poitrine. Se sentir apprécié, aimé.
 "Merci." Je mord dedans et sens tout brûler, c"est bon. Je me sens heureux de sentir tout les arômes. Chocolat... Voilà bien quelque chose que je n'avais as goutté depuis des décennies. Des bribes de mémoires. Des flashs... Des boucles rousses, un sourire devant un bol de chocolat chaud...  Les souvenirs me percent le crâne, et mon visage se permet une grimace avant de voir le dehors, la foule, les voitures, l'air. Je respire puissamment et regarde la petite. C'est une tige de verre, elle pourrait ne se briser que d'un regard. Elle me rappelle tout ces bouts de femme européenne qui avait l'air de casser juste parce que la vie était trop dur, parce que l'air était trop lourd sur leur maigres épaules. Sa voix me ramène à la Terre.  Ai-je envie de repartir chez Charles de suite? Non. Je dois marcher, revoir et revisiter. Connaitre les alentours, et respirer les embruns de l'océan. Dans ma mémoire, New-York était pourri de l'intérieur, tout sentait l'horreur, et malgré tout ses "Justiciers" ne suffisaient pas à faire de cet endroit un lieu viable pour un être vivant. J'avais lu malgré tout que les non-humains étaient mieux acceptés ici qu'ailleurs, porté par un amour pour Spiderman, puis par la suite les 4 Fantastiques et un grand nombre d'autres. Je serai intéressé de voir ces gars un de ces quatre matins. Le problème, c'est le nombre d'emmerdes par jours qu'on va avoir aussi. Mais ce n'est pas le moment de s'éparpiller.
 Je regarde la poupée de verre et dit "Mes rendez vous peuvent attendre. Tu sais aller à la côtes?" Je la suis aussitôt que j'ai fini ma phrase. Où elle veut me porter, je la suivrais. J'ai pleinement confiance en elle. Voir la française géante ne me déplairait pas. J'ai juste envie de me sentir vivant avant de rentrer chez Xavier. Où tout le monde doit encore être si mort. Porter les gens ne m'a jamais déplu, mais me faire pardonner sera déjà plus dur. Ce n'est pas le regard de gens qui fait mal, mais le regard de ceux qu'on aime. Et j'ai peur de leur regard, moi, le petit Soldat de porcelaine, j'ai peur d'affronter le regard plein de reproche des enfants, et le regard de Xavier qui me dira "Que fuyais tu? ça n'a rien changé n'est ce pas?" et je répondrais que je ne sais pas, comme toujours.
En attendant je neveux plus y penser, me vider la tête en étant avec la petite. Qu'est ce que je risque de toute façon? c'est pas comme si j'avais une raison de me battre aujourd"hui.


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Lun 31 Aoû 2015 - 22:41
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Let's ride my friend.


Que faire, que faire ? Je ne vois pas mon ami être en plein trouble du à de douloureux souvenirs, trop concentré sur ce que nous pourrions visiter. « Tu es déjà venue à New-York ? » je demande soudain, pensive, avant qu'il ne me coupe dans mon élan. La cote ? Je cligne des yeux, avant de tilter qu'il accepte ma proposition. En un sens je me sens désolée pour ceux qui patienteront – inconsciente alors qu'il s'agit du professeur Xavier – mais de l'autre …. De l'autre , je suis extatique. « Tu veux aller où exactement ? Upper Bay ? Liberty Island ? » je souris, mes yeux pétillants. Je ne me souviens plus de la dernière fois où je suis allée voir la statue magnifique et géante, si élégante et gracile, si majestueuse. Elle incarne le rêve, plus que la liberté à mes yeux. « Tu veux qu'on y aille en moto ? Il va juste falloir aller les louer du coup. La mienne a eu quelques petits problèmes. » Je suis songeuse. Aller en taxi jusqu'au magasin de location, puis prendre les bécanes … Pourquoi pas ? Je me sens de nouveau pressée, et l'envie de me prends de courir, de marcher pieds nus, de sentir la terre sous ma voûte plantaire. J'ai l'impression que le temps défile trop vite, ce qui est stupide, et j'ai envie de profiter de ces secondes qui me sont imparties avec lui. Peut-être qu'au final j'oserais lui demander … Mais pas ici.
« Il s'est passé pas mal de choses depuis la dernière fois. » je souris, comme entrée en matière, ce n'est pas plus mal. « Outre le fait que j'ai de nouveau mes deux mains. » sourire de connivence, fierté. C'était imprévu mais c'est sacrément cool. Par contre, je n'irais pas de moi-même me couper autre chose pour voir si ça repousse – je ne suis ni masochiste, ni téméraire. « J'ai découvert de nouveaux quartiers, j'ai retrouvé des amis perdus de longue date et je suis dans une sorte d'école … Enfin, j'y vais de temps à autre, pas tout le temps – c'est plus des cours par correspondance … J'aime bien New York, elle bouge tellement ! Mais trop vite, parfois. Au fond, je me demande si de temps en temps la tranquillité des bois ne me manque pas. Qu'est-ce qui t'a poussée à les quitter d'ailleurs ? » je demande, naturelle, avant de me stopper, nette. « Désolée, je suis trop curieuse. Tu n'as pas à répondre si tu veux pas ... » je grimace pour moi-même, avant de m'élancer vers un taxi et faire signe. En y repensant, voir ce géant coincé dans une voiture aussi petite de plafond ça va me faire tout drôle … Je souris pour moi-même, distraite. Tellement de choses à lui montrer ! « Le taxi de Monsieur est avancé. » Je rirais presque, alors que le dit moyen de locomotion jaune criard se stoppe près de nous sur le trottoir. « Je ne sais pas combien de temps tu restes, mais si tu restes là un moment, alors je te concocterais – avec ton accord – un voyage un peu insolite. »
Insolite, oui. Ceci dit, il peut commencer dès aujourd'hui, si il n'est pas trop fatigué. Cependant, là j'ai plus envie de me détendre, les pieds dans l'eau, que visiter la vieille Brooklyn par exemple. Je m'étire, puis lui ouvre la porte avant de faire le tour pour entrer à mon tour. « A part l'une des baies, tu as une envie particulière ? » J'ai juste hâte d'arriver. « Est-ce que le Canada a beaucoup changé depuis notre départ ? »


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Lun 11 Jan 2016 - 19:49
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On the road... again




Le tourbillon de la ville, le tournoiement des idées, des personnes comme un milliard d'atomes dans le bouillon de la vie... Ou juste le nombre fou de mot à la seconde que la petite puce pouvait débiter à la seconde. C'était devenu très difficile de comprendre toutes les questions, ou ce qui s'était passé. Autant j'en comprenais les quelques lignes, et je trouvais de bonne augure qu'elle ait des amis de longues dates, et qu'elle prenne des cours, même si lui présenter Charles serait une option très intéressante, tant pour elle maintenant, que pour plus tard, et apprendre à connaitre ses capacités. Comme l'institut a pu m'aider à appréhender les miens,à l'époque. Je souris à l'idée qu'elle puisse y trouver le paradis que j'y avais trouvé moi aussi.
 La petite voiture jaune approcha et à sa réflexion, j'esquissais un sourire en coin, Wade Wilson aurait été capable de cette remarque. Et pourtant ce n'est pas un compliment... Dieu que je suis méchant pour elle, je refrène ce sourire, coupable. Je la laisse pénétrer en première et indiquer l'adresse en me disant qu'une moto serait pas de trop. La mienne est morte dans l'institut, avec toute la symbolique qui en découle. Je pense à combien j'ai sur moi, en mettant mon sac dans le coffre, je pourrais bien régler le tout, mais il me faudra trouver un boulot, ou que mr Xavier me reprenne comme gardien. Une fois installé dans l'arrière de la voiture, et enfin je pouvais répondre à toute ses questions, ce qui était très compliqué, mais le tout donnait "J'ai quitté mon petit coin pour venir voir un ami. Un vieil ami. Tu l'aimerais sûrement. Et de ce fait on retardera un peu la visite, là on va juste voir Ellis island." A la question du Canada, je me renfrognais un peu. On voyait au loin l'île volante Xenos, et son ombre pesait sur la forêt, elle rendait tout être vivant plus tendu, et l'odeur de la peur embaumait l'air. Mais comment dire sans inquiéter la petite. Je me contentais alors de dire "Et le canada... C'est une terre immortelle." Je n'aimais pas trop mentir, ou cacher aux enfants la vérité, mais avant d'en avoir parlé à Charles, il était plus sage de cacher l'inquiétude qui m'habitait.

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