-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

INTRIGUE : La défense de New York - Le Bronx

 :: Anciennes archives Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Lun 22 Fév 2016 - 11:16
Invité
Invité
Anonymous



Intrigue

I'm not gonna give up today

   ... Je rêvais là où je venais de me faire sérieusement rembarrer ? Eh oh, où est-ce que vous avez entendu un ordre ou vu que je jouais au petit chef, bande de *censuré* ? Putain, c'est à vous vacciner de vouloir travailler en équipe ! Soudainement, mes camarades Avengers me manquaient, mais alors tellement... Surtout que pour ce que j'en savais, les autres ne nous rejoindraient pas. Natasha, Clint et Bruce étaient je ne savais où, quant à Steve, je mettrais ma main à couper qu'il se trouvait quelque part avec Bucky, à gérer son propre groupe de survivants bras cassés. Quoi ? Ne me regardez pas comme ça, ils m'avaient contrariés, ces abrutis ! Et ce n'était pas le moment.

- Visez la tête, ou les failles dans leurs armures. Traduction : là où il y a les articulations. Si vous n'êtes pas foutus de différencier ordres et conseils, la prochaine fois évacuez avec le reste des civils. Moi je sais ce que j'ai à faire. grognai-je en reprenant mon envol pour retourner au charbon. S'ils voulaient mourir faute d'informations, grand bien leur fasse. Ouais, j'étais de mauvais poil. C'est ce qui arrive quand des relents de crise de panique que l'on croyait disparue et une peur presque viscérale vous noue et poignarde les entrailles.
Mais même si j'étais relativement instable psychologiquement à ce moment-là -pas la meilleure idée du monde, je le sais bien- et que j'étais plutôt bien remonté, je m'inquiétais quand même pour les autres. De temps à autres, entre deux Chitauris explosés ou écrasés sur un mur, je leur jetais un regard, histoire de m'assurer qu'ils s'en sortaient. La mutante qui se changeait en louve avait un certain cran, je devais l'admettre, mais si jamais elle se faisait toucher... Rien ne la protégeait. Un coup de blaster, et bam. Le corps à corps a ses avantages contre ces aliens, mais aussi des inconvénients qui peuvent s'avérer fatales.

Les minutes s'égrainaient lentement, au milieu du chaos environnant. Tenir la distance devenait de plus en plus difficile. Mon armure commençait à le sentir passer. Au fond de moi, j'avais la détestable sensation qu'on ne parviendrait à gagner ce combat... De colère, je donnai un coup de poing dans les dents d'un Chitauri qui passait par là, l'envoyant s'écraser contre le mur d'en face.

- Monsieur, les réserves d'énergie sont tombées en dessous de 25%, je vous conseille de ménager vos efforts. De plus il semblerait que le nombre de nos ennemis augmente exponentiellement.
- Dis-moi quelque chose que je ne sais pas déjà, Jarvis !
- Il serait temps d'envisager une retraite, monsieur, même si je sais que vous n'êtes pas très emballé par cette perspective.


Battre en retraite et abandonner le Bronx -New-York- à ces montres venus d'un autre monde... La solution la plus logique, la plus rationnelle. D'autant plus que je venais de lancer ma dernière roquette sur un groupe de Chitauris. Mais bordel, abandonner n'était décidément pas mon truc.

- Et merde...


.SHADOW
Revenir en haut Aller en bas
Lun 7 Mar 2016 - 14:22
Invité
Invité
Anonymous
INTRIGUE : La défense de New York - Le Bronx - Page 2 LMxS9TI


Stark et les autres étaient déjà en train de combattre ces choses tandis que Matt et Eilis étaient dans leurs bulles. Il lui caressa doucement la joue, il détestait ce qu’il était en train de faire. Ce qu’il lui demandait était juste cruel à ses yeux car il savait les conséquences que cela avait sur la santé de la jeune femme et puis retrouver la vue pendant quelques secondes risquait de le perturber grandement, voir même de détraquer ses sens si aiguisés. Et puis il aurait la possibilité de la voir, elle. La voir vraiment pas comme dans le monde en feu dans lequel il était plongé chaque jour. Il lui demandait beaucoup mais c’était un cas d’urgence. Non seulement cela était son devoir mais cela lui permettrait d’être pris au sérieux et pas juste comme le type en rouge avec des cornes qui frappe des petits dealers. «Trente secondes c’est parfait. » Il fit un signe de tête pour lui signaler qu’il était prêt et lorsqu’elle le toucha il se sentit bizarre et commença à voir. Voir trouble d’abord puis beaucoup plus nettement. Trente secondes. Il se tourna sans regarder Eilis – on verra plus tard pensa-t-il – et commença à utiliser son temps de manière à être le plus efficace possible. Tout d’abord, la brèche dans le ciel… C’était impressionnant et ce qui en sortait semblait impossible à vaincre mais heureusement ces choses immenses ne venaient pas dans leur secteur. Et apparemment la brèche n’avait pas été déclenchée sur terre. Vingt secondes. Le temps d’analyser les ennemis. Stark avait dit de viser la tête ou les failles dans les armures… Effectivement, il pouvait voir que les côtes étaient exposées, le cou et les yeux. Oui, les yeux. Planter ses bâtons dans les yeux devrait faire l’affaire, non ? Il n’y avait aucune protection à ce niveau là, c’est donc là qu’il frapperait. Ils avaient l’air forts, solides et dur à maîtriser, il tourna la tête pour voir qui combattait à ses côtés et voyait bien le niveau…Il soupira. Cinq secondes. Eilis était derrière lui et il avait cinq secondes pour décider s’il voulait la voir ou non. Il serra ses bâtons et commença à tourner la tête vers elle car…Oui ! Oui, bien sûr qu’il voulait la voir sauf que le putain de destin avait décidé que non, Murdock, tu ne verrais pas la fille dont tu es raide dingue car une de ces créatures était venue le plaquer au sol. Matt grogna, la force de l’impact de son dos contre le béton avait été douloureux et cette saloperie avait de la force. Il frappa comme il pouvait mais à l’aveugle car les trente secondes étaient écoulées. Ses bâtons lui avaient glissés des mains et il chercha à les récupérer avec se seule main de libre. « Put… » Il grogna puis sentit son bâton à portée de main et dans un reflexe presque surhumain il avait attrapé son arme et l’avait planté dans l’œil du chitauri qui hurla de douleur. Matt le repoussa d’un coup de pied tout en se remettant debout. «Au suivant. » fit-il, prêt à en découdre. « Eilis ? » il appela sa petite amie pour s’assurer que tout allait bien.
Revenir en haut Aller en bas
Sam 19 Mar 2016 - 13:32
Invité
Invité
Anonymous
Intrigue :  La défense de New-York

Let's the battle begins!
Pas le temps de vraiment pouvoir vérifier comment allait Eilis, car les Chitauris n’étaient pas du genre à vous laisser vous reposer entre deux coups pour voir si vos amis vont bien. Je ne l’étais pas non plus pour être honnête, surtout envers mes ennemis. Donc même si je voulais m’assurer qu’elle allait bien, je ne pouvais pas me permettre de perdre du temps avec cela alors que notre objectif principale était de retenir et détruire le plus de ces aliens possibles. Donc je me fais violence et retourne faire violence aux ennemis. C’est ce que j’ai toujours appris à faire de toute façon, à cause de Karnilla. Ma nature de loup me force à chasser, à tuer pour ma survie, mais la guerre, la vraie…Elle a été distillée dans mon être contre un poison dont on ne veut pas se passer. Depuis mon arrivée à New-York, tout se passait bien, mais je ne pouvais nier que la violence des combats et le goût du sang me manquaient. Sauf que je devais garder les apparences sauves ici, pour ma sécurité et celle de ma famille, pour ne pas faire de tort à grand-père Loki. Alors je faisais taire ce besoin éduqué.

Mais ici, alors que le but de la manœuvre n’était autre que de se débarrasser de la menace…C’est presque comme si je me sentais revivre. J’oubliais le reste. Je n’étais plus qu’un soldat parmi d’autres, déchirant, déchiquetant les ennemis qui se trouvaient sur ma route. Je préférais ne pas penser à ce que pouvait Eilis de moi à cet instant. Elle ne m’avait jamais connu ainsi, aussi violent et avide de sang. Quant aux autres…Tant qu’ils ne restaient pas dans mes pattes, je m’en fichais. Si aucun ne pouvait mourir dans le combat ça serait bien, mais pour le reste…

…Cette pensée restera en suspens, car je venais de me prendre un projectile d’un chitauri. Pour un humain ou même un mutant normal, un coup pareil pourrait signifier la mort dans les heures qui suivaient. Mais pour moi…C’était douloureux je ne m’en cache pas. Le cri que j’ai laissé échapper devait me trahir de toute façon. J’ai même volé jusqu’au mur le plus proche. Donc double aïe. Mais il en fallait plus que cela pour me garder à terre. Je me relevais de sous les bouts de murs m’étant tombé dessus et je grognais. Pas comme un humain, malgré mon apparence, non ; bel et bien comme un animal, tel le loup en lequel je me transformai. Au départ je trouvais cela presque distrayant, mais maintenant ? Maintenant je ne rigole plus. Je pris ma forme de loup, et fonça dans le tas du haut de mes quatre mètres, évitant les autres combattant à mes côtés. Que je ne m’inquiète pas de leur état de santé était une chose, mais ça ne voulait pas dire que me la jouais solo. D’ailleurs, un Chitauri se lança vers un de mes compagnons, et je lui donnai un coup de patte qui l’envoya à plusieurs lieues d’ici.

Le combat continuait, mais je sentais bien la fatigue et la lassitude s’insinuer en moi jusque dans mes os. Or, les Chitauris, eux, ne faisaient qu’affluer en nombre, je voyais même des êtres plus larges encore arriver par les différents portails. Mais tant qu’on ne m’avait formellement dit que l’on se retirait, je refusais d’arrêter le combat. Je ne pouvais m’empêcher de me dire que j’allais me prendre ne sacré soufflante en retrouvant mon père…
acidbrain
Revenir en haut Aller en bas
Sam 26 Mar 2016 - 13:24
Invité
Invité
Anonymous



Intrigue

How can we win ?

Je prie. Au fond de moi-même, je prie, mains jointes, yeux clos, prostrée dans le silence. Pour que tout le monde s'en sorte. Pour qu'aucun membre de ma famille ne soit blessé. Je suis qu'une gosse égoïste, j'en ai bien conscience, et nous sommes tous ainsi fais. Par pitié, par pitié, par pitié … Pas eux. N'importe qui d'autres, mais pas eux.
Mais la réalité est toujours très différente. Les souhaits, les rêves, peu d'entre eux se réalisent, surtout en temps de guerre. La guerre. La dernière fois, c'était Attilan. J'avais Neil, Sly et Leif a mes cotés à cette époque, et j'en garde encore des séquelles : mon bras recouvert d'écailles noires en est la preuve même. Aujourd'hui, d'autres alliés sont présents, mais la peur est la même, identique, insidieuse. Elle se fraye un chemin dans mes muscles, elle cherche à me paralyser, tout comme ma fatigue me transperce. Pourquoi diable être capable de guérir autrui si c'est pour ensuite tomber comme une mouche ? Je ne veux pas être inutile. Je ne veux pas …
« HATI ! » Je n'avais pas vu le Chitauri arriver, mais la voix de mon ami me ramène sur terre et je me traite d'abrutie. Reprends-toi gamine, ce n'est pas le moment de rêver. Mais je n'ai pas le temps de lui demander comment il va, même si le soulagement est bien présent. Avec Tony Stark, Erik et Hati que pourrait-il nous arriver ? Le reste de l'équipe semble très bon aussi, même si je n'ai pas le temps d'y faire réellement attention : je me place difficilement à coté de la jeune femme qui porte un flingue, comme moi, puis je me mets à tirer. Précise, rapide, efficace : voilà la jeune Eilis Archer que je connais : se battre malgré la fatigue, ne pas renoncer. Mon corps se recouvre d'écailles au fil des secondes, les pupilles de mes yeux se fendent, me permettant une meilleure vision. Je ne sais pas si mon corps sera suffisamment résistant face au tir de ces bestioles mais ça vaut le coup d'essayer. Je vise les articulations comme Monsieur Stark l'a demandé, et j'entends un juron dans mon dos : Matt est touché. Mais je n'ai pas le temps de me retourner, je ne peux pas intervenir, moi-même aux prises de nos assaillants qui arrivent en masse. Ne pas paniquer, ne pas paniquer, ne pas paniquer … Heureusement, Matt s'en sort seul – c'est Daredevil après tout, il ne pas le sous-estimer. J'ai le temps de jeter un petit coup d'oeil circulaire avant de recommencer à tirer, couvrant mon petit ami du mieux que je le peux. Hati lui-même a pris sa forme de loup, preuve évidente que ce n'est pas une simple partie de rigolade. Mais il faut continuer. On ne peut pas renoncer. On ne doit pas mourir ici.

« Je vais bien. » A la question de Matt, je me replace près de lui. Je n'ai rien, pas encore d’égratignure tout du moins pour le moment. Mais je sens les autres fatiguer. Les ennemis arrivent en masse, et au loin des énormes choses immondes descendent du ciel. Pitié, faites que tonton Neil et les autres aillent bien … La réalité me rattrape bien vite cependant, car des Chitauris fondent dans notre direction et l'un d'entre eux me saute dessus. Je sens ma tête cogner contre le sol, ma main lâcher mon arme, un cri s'échapper de mes lèvres : grognement de mécontentement et de surprise mêlée. Me voilà à me battre contre une de ces créatures à mains nues sur le sol, et de près ils sont encore plus moches que ce dont j'ai pu entendre parler. Cet espère d'enfoiré essaie par ailleurs de m'agripper à la gorge, heureusement pour moi mes écailles tranchantes l'entaillent suffisamment. Je lui donne un coup dans l'estomac pour le forcer à me lâcher, et une fois cela fait je lui fais une prise que Gamora m'a apprise, visant les points vitaux. En espérant que ces bestioles aient les mêmes que nous … Cependant, cela semble marcher. Je roule pour me dégager de lui, puis me relève en grognant car mes tempes bourdonnent et ma lèvre est fendue. Je déteste ça. Je déteste me sentir aussi faible. Je récupère Rogers Rabbit en chancelant un peu, avant de lui tirer une balle dans la nuque tandis qu'en moi, la vérité commence à apparaître, cruelle mais nécessaire. « Il faut battre en retraite ... » Je murmure, d'une voix cassée en regardant le cadavre. « On ne gagnera pas cette bataille. Monsieur Stark et Monsieur Erik, il faut fuir si l'on veut vivre ! » Je lance vers eux, pourtant calmement, avant de reporter mon regard sur les personnes que je ne connais pas, sur Matt et Hati. Je déteste fuir. Ce n'est pas programmé dans mon code génétique. Pour tout dire, on est même plutôt suicidaire dans la famille … Mais là il faut se rendre à l'évidence. Je veux vivre. Et pour cela la solution lâche est la seule possible. La question reste la suivante : comment faire pour se tirer sans trop s'en prendre plein la figure ?

.SHADOW
Revenir en haut Aller en bas
Sam 28 Mai 2016 - 1:50
Invité
Invité
Anonymous

Defense de New York | Groupe Bronx
C’est en se défendant au mieux, qu’Eliane laisse s’exprimer sa haine à l’égard de ces maudits chitauris. Cela fait longtemps qu’elle n’a pas servi à grand-chose en tant que mutante, même au sein de la confrérie et pour tout dire, parfois ça vous manque. Être professeur, c’est bien sympathique mais ce n’est pas très palpitant comme activité. Elle n’a pas un don très offensif mais elle compte bien ne pas crever tout de suite en retournant leurs armes contre eux. Ils ont tué son frère, marquant ainsi le morcèlement de sa famille. Seth avait toujours été le plus grand allié d’Eliane et ces aliens le lui avaient arraché impitoyablement. Il est impensable qu’ils puissent de nouveau venir sur terre et faire un carnage. Si au moins elle peut réduire le carnage… mais elle n’a pas grand espoir dans ses capacités. Si elle parvient à se défendre, elle n’est qu’un petit soldat et elle n’est pas certaine de s’en sortir indemne cette fois. Puis elle tourne la tête vers les autres, histoire de voir s’ils s’en sortent mieux qu’elle. Définitivement oui. Sauf qu’elle voit un jeune homme parmi eux qu’elle reconnaît avec angoisse. Que fait un de ses élèves au milieu de la bataille ? A la merci d’une créature mais Jonathan sourit alors la professeur regarde ses mains et note le carnet dans ses mains. Elle pousse un soupir de soulagement en songeant qu’il n’est pas totalement sans défense mais ce qui inquiète Eliane c’est surtout qu’il n’a pas l’air d’être lui et elle se souvient parfaitement de ce que lui a dit le gamin au sujet de son « double ». Elle frissonne et se rapproche de lui, enfin pas trop quand même. Il est sans doute plus à même de se protéger de ces monstres mais si jamais il s’en prend à un membre de « l’équipe imprévue », elle devrait être capable de stopper le jeune. Une douleur violente devrait le faire s’éclipser. Elle n’aura qu’à l’approcher. En attendant, laissons son alter ego, jouer avec les monstres. L’ennemi est trop nombreux et trop coriaces pour Eliane. Elle parvient désormais difficilement à les repousser. Même en visant la tête ou les articulations monsieur Stark. On a pas tous une armure pour se planquer derrière. Un tir qui mord votre peau sans pour autant être fatal, ça réveille. L’écossaise pose sa main sur son bras. Si elle peut soulager la douleur chez autrui, elle n’arrive pas bien à le faire pour elle. Un cri de douleur l’a fait se crisper un mini quart de secondes quand une jeune femme se place à côté d’elle. Elle est jeune, comme les élèves d’Eliane, qui la regarde du coin de l’œil avant de la voir propulser au sol. La gamine se débrouille suffisamment car elle n’a pas temps d’intervenir, elle n’en aurait pas eu l’occasion. Un chitauri est à sa portée, trop prêt pour qu’il la loupe… trop prêt pour qu’elle ne le loupe également. Elle pose sa main le bras de la créature avec un certain dégoût et lui transmet une douleur le faisant stopper un instant. Suffisamment pour qu’elle lui tire dessus. Il faut battre en retraite : cette affirmation claque avec évidence. Fuir. Ils ne sont pas à même de protéger leur ville. « Putain… elle a raison. » mais Eliane a les yeux rivés sur Jonathan. Inquiète.
AVENGEDINCHAINS
Revenir en haut Aller en bas
Dim 12 Juin 2016 - 13:51
Marvel
Admin
Marvel

Les poulets tombent du ciel, c'est bien connu




Eliane V. Rhodden ; Erik Lehnsherr ; Chelsea Walker ; Jonathan H. Chamomille ; Eilis Archer ; Matt Murdock ; Anthony E. Stark ; Hati Fenrirson



Le ciel ne cesse de s’obscurcir alors que, précisément, le soleil aurait dû briller de plus en plus dans le ciel hivernal, la journée avançant de plus en plus. Mais la mort se déverse des portails qui déchirent le firmament, en flot continue d’aliens, d’envahisseur qui semblent se laisser porter par la bise pour toujours détruire, blesser, tuer, dominer. Alors que vous pensiez, un instant, reprendre le dessus, et même si vous aviez vaincu, il faut vous rendre à l’évidence : New York est détruite. Il ne reste que des ruines d’immeubles, et les gratte-ciel, qui se sont brûlés les ailes tel Icare au Soleil, sont tombés et gisent à terre. Les dégâts sont énormes, et les troupes ennemies ne semblent jamais s’arrêter, avançant inexorablement vers vous.

Vous, fiers combattants mais tragiquement mortels pour la plupart, divins pour quelques autres chanceux qui ont moins à craindre pour leur vie ; mais vous, fiers combattants et défenseurs de New York qui commencez à fléchir à force de vous battre contre des ennemis qui ne cessent jamais leur assaut, toujours plus vigoureux à mesure que vos forces s’épuisent. Vous voyez déjà le moment où vous allez tomber, où la seule échappatoire semble ici être la fuite, le repli pour la survie, malgré – parfois – un honneur exacerbé qui vous pousse à vous sacrifier.

Pour résumer simplement : la situation est plus que critique. Terriblement, inexorablement, vous perdez du terrain. La représentation tourne mal, c’est le feu, l’incendie qui se propage à Rome en 64 et, impuissants, vous reculez. Jusqu’à ce que des Quinjets vous apparaissent soudainement, perçant les nuages, et que l’on vous ordonne à tous de monter, d’évacuer. Les ordres sont criés, vociférés, et pour les plus opiniâtres, ils sont immédiatement calmés : on n’abandonne pas New York.

On la sacrifie.

Tout le monde, sans exception, est évacué. Personne n’est laissé sur place, même si certains préfèrent tout simplement se téléporter. Les Chitauris ne comprennent pas que la Mort a changé de camp, ils ne comprennent pas ce qu’il se passe lorsque les défenseurs de New York battent en retraite, semblent fuir devant eux, leur laisse le champ libre. A plusieurs centaines de kilomètres, pourtant, l’arme terrestre de mort et de destruction est en marche ; elle va, elle court, elle vole vers sa cible. Les bombes atomiques filent au-dessus de New-York, s’engouffrent dans les failles, explosent. Malheureusement, les envahisseurs n’étaient pas si loin et, à nouveau, se font avoir, mais emporte la ville avec eux ; le souffle de l’une des bombes touche partiellement la ville.

Heureusement, les dégâts ne s’étendent pas. Les failles se ferment plus vite qu’elles ne se sont ouvertes, les Chitauris n’ont pas survécu, et les retombées radioactives endorment la ville de leur souffle mortel. Une chape de verre, certainement magique, semble contenir l’air contaminé sur la ville et protéger le reste du territoire. D’ici quelques jours, elle disparaitra, ne risquant plus d’infecter le reste de la planète. New York s’endormira pour longtemps, et la flamme de la Statue de la Liberté ne brillera plus…



Codage & apparence par © Elorin

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Sauter vers :
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Marvel Evolution Reborn :: Anciennes archives-