It’s a world of laughter, a world of tears It’s a world of hopes and a world of fears
Billy hochait la tête aux paroles de son homme, sa main caressant sa joue dans le but de le calmer, autant Teddy que lui-même. Mais il fallait bien qu’ils sortent d’ici, Teddy avait raison. C’est pour ça qu’ils finirent par se relâcher, et reculer d’un ou deux pas. Le démiurge hocha la tête et se mit en position de combat, prêt à faire « feu » si quelque chose tentait de s’en prendre à l’alien de sa vie. Le jeune brun le laissa devenir un mâle skrull vert et musclé pour aller défoncer la porte qui, heureusement, céda rapidement et sans dommage : rien de piégé, et pas d’ennemi en vue. Pas encore.
En revanche, ce que Billy pouvait parfaitement sentir, c’était la magie de Stephen qui n’était, semblait-il, pas si loin que ça. Et une énergie plus sombre, aussi, peut-être cette « dimension noire » dont parlait parfois le Sorcier Suprême. Le jeune brun se glissa entre son petit-ami et la porte pour passer devant lui, attrapant sa main pour l’entraîner avec lui. « J’ai senti la magie de Strange, il faut essayer de le rejoindre. ». Billy réfléchissait lorsqu’il se fit gentiment secouer par le Skree qui pensait avoir vu... Une licorne ? Le démiurge fronça le nez en s’accrochant au bras de Teddy ; « C’est possible, chéri. Mais je préfèrerai qu’on rejoigne Stephen, là-haut... »
Maintenant qu’il avait repéré le Sorcier Suprême, il le pointa du doigt avec un air déterminé, et il s’accrocha dans le dos du blondin après qu’il ait sorti ses ailes pour le guider jusqu’au Sorcier – en volant sur le dos de son amoureux, c’était tellement mieux que de prendre les escaliers. Ils furent accueillis par un sorcier leur intimant de se taire et... D’écouter. Mais Billy ne put s’empêcher de demander ;
« On est... Dans la Dimension Noire ? Vous êtes vraiment Stephen, hein ? »
A MAGIC WORLD Chapitre 2 : Une princesse dans sa tour
William Kaplan, Loki, Brunnhilde, Theodore Altman, Stephen Strange, Ashitaka Pan
Brunnhilde, Loki, Pan, tout en bas au rez-de chaussé, premier palier
Brunnhilde, Loki et Pan se retrouvent donc sur une petite plate-forme, reliée au niveau supérieur par des escaliers, tordus et partants dans tous les sens. Ils peuvent apercevoir la cape de Strange à l’étage, flottant au-dessus des escaliers et les voix de Strange, Billy et Teddy au-dessus d’eux. Il est possible de se déplacer jusqu’à eux, en volant ou par les escaliers.
Si Brunnhilde ne comprend pas ce qui se passe et ce qu’ils peuvent bien faire ici – comment sont-ils arrivés dans ce château ? Sont-ils encore dans leurs dimensions ? Pourquoi était-elle encore dans un Walhalla resplendissant quelques secondes auparavant, pour voir un semblant de réalité se dissoudre dans le rien ? Pour elle, les questions s’accumulent – pour les autres la situation est plus simple. Amora a perturbé la magie, ouvrant un portail sur leur dimension actuelle, où ils ont plongé tête baissée pour tenter de, selon les cas, la sauver ou sauver le monde. La licorne noire, si elle dresse les oreilles en entendant Pan l’appeler, ne peut les suivre compte tenu de la hauteur où ils se retrouvent. Toutefois, elle s’agite, visiblement perturbée par l’environnement et à la recherche d’une sortie que vous ne pouvez voir. Jusqu’à traverser le mur du rez-de-chaussée pour sortir « dehors » - elle traverse le mur, dont l’illusion visiblement est troublée et crépite. Pour qui observe le phénomène, il est à présent évident que tout cela n’est qu’une illusion et que rien n’est réel.
Deux choix principaux s’offrent alors à eux ( mais vous pouvez être originaux, c’est encouragé ! ) : tenter de trouver une sortie au château pour sortir dans la dimension noire et chercher un portail pour en ressortir, ou chercher à remonter vers le haut.
Au bout de quelques minutes après le départ de la licorne, le château est pris de tremblements – il se secoue dans son intégralité, comme pris d’un frisson maladif. En résultat, un escalier juste au-dessus deux s’écroule et le tissu fictionnel dans lequel Cauchemar a bâti le château s’écroule – littéralement et métaphoriquement. Juste à côté de la fine équipe, un trou apparaît dans le mur, entouré de briques à moitié brisées. De l’autre côté du mur – la dimension noire. Après un temps de latence, des sortes de tentacules d’une brume noire, visiblement magiques et irréelles en sort avec brutalité, cherchant à percuter les aventuriers d’un jour.
Billy Kaplan, Teddy Altman, Dr. Strange tout en haut, proche des portes.
Les trois hommes peuvent se retrouver facilement sur un palier commun – à côté d’eux, une porte est fichée dans le mur. Bois lourd, bardée de chaînes, elle ressemble à une porte de cachot, mais il est impossible de voir ce qui se trouve derrière. Seul Strange, sent parfaitement l’aura qui s’en dégage, maléfique, machiavélique et viciée. Parfaitement identique que celle de Loki qu’ils connaissent bien, mais de plusieurs degrés supplémentaire dans l’échelle du chaos. Strange est sensible à cette aura, tandis que Teddy ne ressent rien particulièrement – il voit cependant la porte s’agiter, comme soumise à des coups puissants. Billy quant à lui se sent au contraire particulièrement attiré par cette porte, d’où sort une petite créature haute comme trois pommes qui émet des petits sons attendrissants « Démiurge ! Démiurge ! » l’implorant visiblement d’ouvrir la porte. A quelques mètres de là, en bas d’une volée de marche se trouve une autre porte, barricadée de la même manière. Celle-ci est parfaitement calme et immobile : Strange sait qu’il s’agit d’Amora, enchaînée et emprisonnée, dans un sale état, dont on peut percevoir la respiration laborieuse.
Sous eux, ils peuvent apercevoir du mouvement – les trois silhouettes, mais aussi ensuite, les tentacules de magie et de chaos qui surgissent de l’extérieur. Ils entendent également les voix de leurs amis, audibles lorsque Strange incite au silence – si Stephen et Billy savent parfaitement qu’ils manquent trois membres de leur équipe, et qu’ils sont à la recherche de l’erreur qu’à commise Amora, essayant d’attirer la magie sur Terre avec l’aide Dormammu, ce n’est pas le cas de Teddy à l’esprit encore embrumé. Cependant, la puissance de Cauchemar n’est rien face au Démiurge et au Sorcier Suprême et c’est quelque chose de facilement réparable pour ces deux sorciers confirmés. Au bout de quelques minutes pourtant, le château est pris de tremblements – il se secoue dans son intégralité, comme pris d’un frisson maladif. Plus bas un escalier s’écroule en entier, ouvrant un trou dans la paroi ; à votre niveau, vous êtes simplement secoués – le pied de Billy ripe dans le vide, maintenant que la pierre sous lui tombe des mètres plus bas.
▬ Pour ce tour, deux personnes ont eu un bonus : Pan ne l’a pas consommé et il est tenu en réserve ! Strange lui, utilise son bonus pour savoir précisément ce qui se cache derrière les portes – à lui de voir s’il agit en conséquence, avertit ses petits camarades… spoilers : chaque solution à ses avantages et inconvénients !
▬ Le minimum de mots est abaissé à 200 mots. N’hésitez pas à faire court : il s’agit d’avancer et de privilégier la progression et l’action ! Si vous répondez en une semaine soit avant le 7 janvier, vous aurez un bonus Le PNJ interviendra soit dès que vous aurez tous répondu, soit, dernier délai, le 21 janvier. Si vous n’avez pas répondu à ce moment-là, nous passons votre tour et le PNJ interviendra quand même… avec de fortes pénalités votre personnage puisqu’il n’a pas réagi ! Restera-t-il prisonnier à jamais ? … Peut-être.
Sam 30 Déc 2017 - 14:16
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A Magic World
Nowhere, Printemps 2017
Il n'y avait plus de limite dans cet étrange nouveau monde, les plateformes semblaient se créer et se défaire sans aucune explication. Pan n'en pouvait plus de cet enchevêtrement d'horreur et de pierres sans âmes. Il avait connu des rochers bien plus causants que ces impitoyables illusions magiques. Ah, s'il n'était pas un Dieu, certainement aurait-il crier malédiction à tous ces insupportables jeux. Il fronça les sourcils en remarquant le Dieu à cornes être devenu une Déesse, mais il n'en était plus vraiment à ça près. Il regarda ensuite la main de la Dame blonde qui lui proposait de les rejoindre. Le faune regarda plus en l'air encore et vit que quelques personnes existaient dans les étages supérieures. Pendant ce temps là, lui ne savait plus même où se trouvait la droite de la gauche. Il était complètement perdu et ne savait plus véritablement où donner de la tête. Il se savait d'une extrême inutilité et regrettait chacune des secondes où il s'était dit qu'il allait jouer les héros. Ashitaka ne se serait pas douter une seule seconde que cela le conduirait à une telle aventure, auprès de personnes tellement plus compétente que lui à cette seconde précise. A quoi bon ? La Divinité ne se sentait absolument aucun lien particulier avec les deux individus qui voulaient continuer leurs routes vers le sommet. Il n'avait aucune envie particulière de les suivre. La seule raison valable qui aurait pu le convaincre était que ces deux là étaient bien plus puissants que lui et pouvait le protéger. Mais il s'en voulut aussitôt de cette réflexion de lâche.
Quand la licorne s'agita, Pan voulut se pencher vers là où elle se trouvait. Mais il ne put que l'observer foncer dans un mur jusqu'à le traverser. Se maudissant d'être monter sur cette plateforme, le satyre détourna son attention des deux indécis qui conversaient bien trop pour atterrir au rez-de-chaussé. Aussitôt que ses sabots touchèrent le sol, un profond tremblement de "terre" secoua les plateformes et le fit tomber genoux à terre. Au dessus de lui, il vit un escalier qui s'effondrait sur l'endroit où il se trouvait précédemment. Pouvait-il encore atteindre les deux dieux et revenir sur son jugement ? Rien n'était moins sûre. Surtout après qu'il aperçut aux loins des tentacules gigantesques tentant de s'élever tel une hydre de mer. Était-ce également des illusions ? Pan ne voulait plus prendre de risque. Sans attendre, il se rapprocha du mur que la licorne avait emprunté et posa ses mains dessus. Il appuya légèrement, puis plus fort, presque désespérément avant de siffler à nouveau pour tenter d'appeler la créature. Les animaux avaient cet instinct naturel qui leur permettait de trouver la sortie. Il fallait suivre les rats dans les caves pour trouver la lumière et les courants d'airs. Ici, Ashitaka était persuadé qui suivre cette licorne le mènerait à la sortie. Pouvait-il enfin traverser le mur et si oui, que pouvait-il bien y trouver, mis à part la mort et la désolation ?
Code by Sleepy
Sam 30 Déc 2017 - 14:43
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A Magic World
Nowhere, Printemps 2017
L'ambiance devenait de plus en plus trouble et chaotique, Stephen pouvait le ressentir jusque dans ses veines. Il parvient à voir au travers de l'aura des cachots. Ce qu'il parvient à apercevoir dans l'obscur le pétrifie. Cela ne lui est pas inconnu, mais c'est incommensurablement plus puissant que tout ce qu'il a pu connaitre. N'importe quel instinct crierait de ne pas s'en approcher, c'était de la survie. Strange ne dérogeait étrangement pas à la règle. Quand Billy et son ami le rejoingnit sur la plateforme, le Sorcier les intima de se taire. Chose que Billy ne parvint étrangement pas à prendre en compte dans son esprit et commença à poser des questions inutiles. Le magicien se mit alors à grogner de mécontentement et saisit le jeune homme par la manche de l'épaule et le rapprocha de lui:
- Oui et oui. Peux-tu te taire maintenant ? Ne sens-tu pas les dangereuses énergies qui dominent ici ?
C'était un euphémisme. Si l'on sentait que très peu l'aura d'Amora qui semblait plus survivre que se battre, la grande majorité du reste était à prédominance parfaitement maléfique. Stephen prit une profonde respiration et se posa en réflexion, croisant les bras et tentant d'analyser le pour et le contre, ne faisant plus attention à ses deux compagnons de fortune. C'est alors que de la mauvaise porte s'échappa une petite créature qui semblait appeler Billy, cela réveilla Stephen qui posa un bras autoritaire en travers du chemin de Kaplan si jamais celui-ci voulait s'approcher de celle-ci. En ce même temps, le magicien -qui n'avait vraiment visiblement pas envie de faire la baby-sitter- soupira entre ses dents:
- Bon sang, fais attention à ce qui t'entoure. N'écoute pas cette créature, elle souhaite t'attirer dans un piège. L'aura qui se dégage de cette porte est profondément chaotique, nous ne devons pas nous en approch- !
Un puissant tremblement de terre les saisit alors tout entier, secouant leurs plateformes et ceux qui les avoisinaient. Des pans entiers de ce château onirique semblèrent tomber et Stephen se pencha vers le vide pour vérifier que ceux-ci ne tombaient pas sur les trois pauvres compagnons qui avaient été séparé du groupe. Faire attention à tout ce petit monde ne lui plaisait particulièrement pas. Il devait prendre une décision et vite. Mais comment faire ? Il se perdait en réflexion et en tentative de prévoir absolument tous les coups de l'ennemi. Quelle était cette horrible présence au delà de cette porte sombre qui les appelait à l'aide ? Stephen ne pouvait qu'imaginer un piège de l'ennemi pour les prendre en compassion. Que se passerait-il s'il venait à être libérer, peut-être les détruirait-il tous. Quand bien même le Sorcier Suprême et le Démiurge pouvaient prendre en combat absolument n'importe qui, quel conséquence tout cela aurait sur la fragilité permanente de leur environnement ? De plus, leurs énergies avaient été drainé par la Dimension Noire, ils n'étaient pas même sur de gagner. Quand était-il d'Amora ? Et si elle se trouvait être la dernière personne à maintenir cette illusion par le biais de ces dernières forces, utilisée comme catalyseur par Dormammu ? Si la sortir de ce cachot était également la destruction de l'endroit ? Dans tous les cas, il semblait que leur environnement n'était qu'à deux doigts de la destruction. Il fallait réfléchir vite et bien, s'en sortir tous en vie. Le rythme cardiaque du magicien s'accéléra alors qu'il s'approchait du cachot d'Amora. Il retira la barricade et ouvrit la porte. Comme il l'avait deviné, la jeune femme était dans un très sale état. Était-elle véritablement la victime ou bien l'investigatrice de tout ceci devenu victime à ses dépens ? Stephen n'avait pas envie d'y réfléchir tout de suite, il ferait son jugement plus tard. Il défit magiquement ses chaines et la récupéra sur ses épaules comme un vulgaire sac à patate, il n'y avait pas de temps à perdre. Il sortit alors du cachot et regarda tout autour de lui pour assimiler un potentiel changement.
Code by Sleepy
Dim 31 Déc 2017 - 13:40
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A Magic World
It’s a world of laughter, a world of tears It’s a world of hopes and a world of fears
Le jeune mage baisse piteusement la tête lorsque Stephen le reprend : c’est vrai que le Sorcier Suprême leur avait intimé le silence et, lui, jeune homme ayant presque atteint sa majorité, avait osé ne pas respecter l’ordre de son supérieur (en tout). C’est peut-être pour ça que, malgré sa grande envie de suivre les petites créatures – il avait déjà fait un pas en leur direction – il s’arrêta net lorsque le bras du Docteur Strange se dressa sur sa route, la barrant pour qu’il ne fasse pas un pas de plus. Son esprit était attiré par cette porte, mais sa crainte du Docteur Strange était plus forte. Alors, il recula docilement, fermant net son esprit à cet appel avec toute la force de sa détermination.
Il laissa Stephen ouvrir la porte de son choix, et souhaitait reculer vers Teddy lorsque son pied rippa dans le vide ; il se rattrape rapidement à son Skree pour sauter sur un endroit plus stable, jetant un coup d’œil vers le bas pour apercevoir les autres zigotos. « Faut écouter Strange, Tee. Il sait ce qu’il fait, lui... » Pas qu’il n’avait pas confiance en Teddy, ou en lui-même (quoi que... Peut-être que si, en fait : il n’avait toujours pas confiance en lui-même), mais d’une manière générale, ils n’étaient que des bébés Avengers, et Stephen avait beaucoup plus d’expérience qu’eux.
Lorsque Stephen libéra Amora et la lança sur son épaule, Billy perçu son regard acéré observé les alentours. Déglutissant légèrement, il déposa un baiser magique sur la tempe de Teddy et revient se loger dans son dos ; « Garde tes ailes déployées, chéri, on risque d’en avoir besoin. » Et de sa mémoire, aussi – car au vu de son regard, il n’avait pas l’air d’avoir retrouvé tout ses esprits... Il avait au moins l’essentiel : Billy.
Le regard de la déesse se portait vers les hauteurs – que le dieu diablotin se retrouve au fond d’un abysse, métaphoriquement piétiné par deux abrutis portant une cape rougeoyante et s’ennuie férocement, les bras croisés sur sa tenue de cuir et forcer à grimper des escaliers interminables et instables… cela ressemblait à une métaphore chiante pour les tréfonds du chaos et l’échelle sociale magique. Contrairement à ce qu’on aurait pu croire, Loki prenait la situation au sérieux. Le ver de la peur le minait de l’intérieur, réveillant une sensation déplaisante qu’il avait ignoré depuis qu’il avait échappé à Thanos. Ses pommettes saillantes étaient tirées, ses joues creusées alors qu’il prêtait l’oreille à l’activité aux étages supérieures, les rouages de son intellect supérieur et délicat s’agitant en tous sens. Brunnhilde avait vu le Valhalla. Son royaume des portes desquelles ils avaient tous été rejetés. Lui avait vu Asgard en ruine, et son propre faciès déformé par la vilenie. Serait-ce trop asgardien-centré que d’estimer que tout cela parlait de la ruine d’Asgard et du Ragnarok, hm ? Loki se posait sérieusement la question, le menton sur son poing fermé, la cape battant sous la légère brise au-dessus du vide. Jusqu’à ce que Brunnhilde reprenne la parole.
« - Wah, es-tu en train de demander mon aide, Valkyrie ? Je suis flattée. » Loki était sincèrement surprise, les sourcils froncés et les yeux plissées. Et, aussi elle savourait le moment en venant rejoindre sa camarade divine. En réalité, Loki n’avait pas pensé une seule seconde que Brunnhilde puisse être mentalement plus défavorisée que d’ordinaire. Mais lorsqu’elle pose ses paumes les tempes de la déesse, sans s’occuper de son regard noir ( le geste n’était pas nécessaire pour un manipulateur de sa trempe, mais voir Brunnhilde bouillir de lui dire de garder ses mains pour elle était … tentant, et Loki était distraite de nature ), et que son regard vert fouillait les prunelles de la Valkyrie, la confusion de celle-ci devint claire. Loki, avec un soin maniaque, entreprit de ranger l’esprit de la déesse, rouvrant les portes closes par Cauchemar avec subtilité, avant de laisser l’esprit de Brunnhilde en paix et en place, comme si rien ne s’était passé, ses souvenirs en plus. Loki se pencha légèrement pour murmurer à son oreille, la voix douce, lui soufflant dans le coup malicieusement « - Flash info spécial : Il y a peut-être, ou peut-être pas mon jumeau maléfique à proximité, et nous avons besoin d’Amora en vie pour avancer. Je crois. Et... nous avons perdu le faune. » La déesse se racla la gorge et posa un regard peiné sur le bouqueton qui venait de retourner d’où il venait et palper le mur. Jugement silencieux.
Loki tourna les talons, et haussa les épaules « - Tu viens ou non ? » à l’intention de Brunnhilde, se matérialisant un peu plus haut dans les escaliers. Une fois, deux fois, le dieu se déplaçait par de brèves téléportations, plutôt que mettre les pieds sur l’une des pierres prêtes à s’écrouler, laissant Brunnhilde courir derrière lui. Jusqu’à la pierre disparaisse sous ses pieds, l’escalier disparaissant au même moment où ses bottes réapparaissaient sur l’escalier taillé. Loki se rattrapa à la dernière marche existante et s’y hissa avec un grognement de souffrance. Non, ses tractions n’étaient pas aussi au point que celles de son frère, merci de relever alors que la déesse roulait sur la terre, pour se laisser tomber sur le dos. Elle aurait bien aimé retrouver un semblant de dignité, pester contre les Cauchemars incapables et lui montrer ce que manipuler la réalité voulait réellement dire, et tant pis si le duel entre les deux dieux fictionnels menaient à la construction d’un univers alternatif, rose marshmalllow peuplé de licornes noires et de Strange ligoté par leur cape arc-en-ciel. Sauf qu’à la place, le dieu du chaos du jouer des jambes pour éviter l’assaut d’un tentacule sombre qui manqua de l’envoyer bouler contre le mur. Elle se releva aussi souple qu’un chat une dague se matérialisant dans sa main pour être envoyée avec vivacité dans l’une des tentacules qui cherchait à percuter les deux dieux sur leur plate-forme donnant sur le vide. Le visage de Loki se défigura un instant de colère et elle laissa échapper un grognement furieux, à l’intention de cette amie d’enfance derrière laquelle il devait apparemment toujours ramasser les dégâts « - Je vais la tuer moi-même ! ». La déesse se déporta sur la droite, une nouvelle dague en main pour éviter d’être percutée… avant de sentir une tentacule d’ombre s’enrouler en traître autour de sa jambe. « - Par Odin, pas encore. »Calme et capable de gérer ? Sans aucun doute. A bout de patience, aussi.
Mar 16 Jan 2018 - 13:30
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Team de sorciers, de dieux, bref, c'est compliqué
Magic World #2
Princesse dans sa tour
Entre le regard noir et le roulement des yeux fortement exagéré de l’Asgardienne, Brunnhilde ne prit même pas le temps de répliquer ou même de cracher son venin sur le visage de Loki. Elle n’espérait souvent pas grande chose d'elle, mais alors là ce n’était pas le moment , comme dirait un bon ami à elle, de la faire chier. Alors elle serrait poliment les dents en laissant faire la déesse en émeraude devant ses yeux. Visiblement plus fatigué de son comportement qu’autre chose sur le long terme. Bravo, elle n’était pas une Asgardienne avec des ressources magiques puissantes, en quoi c’était étonnant pour la femme en face d’elle ? Après quelques milliers d’années à se croiser, il faudrait commencer à s’en rendre compte ma belle. Enfin les portes de son esprit s’ouvrent devant elle et les souvenirs s’écoulent en elle, aussi clair que de l’eau de roche. Elle portait ses doigts à son front, comme pour analyser les informations en silence, n’ayant même pas le temps de dire un merci à sa « coéquipière » du jour qu’elle venait lui murmurer une information qui fait trépigner légèrement Brunnhilde. De dégoût ? De plaisir ? Elle ne sait même pas.
« De mieux en mieux… » Un second Loki qui ne fallait surtout pas titiller et une Amora qu’il fallait ramener en vie qui plus est. Mais l’idée de pouvoir la rencontrer et lui faire sentir qu’elle n’était rien de plus qu’une magicienne de seconde zone, c’était plutôt plaisant à imaginer. Entre la peste et le choléra, il fallait savoir choisir. Elle choisissait Loki sans grande difficulté. A l’appellation du faune, elle fronçait les sourcils pour voir la silhouette du bouc en contre bas, poursuivant une… licorne. Par Odin, que Brunnhilde n’en pouvait plus des absurdités des mages. Elle lancerait Amora elle-même dans une dimension quelconque où elle tournerait en boucle pour les siècles à venir. Sans répondre, elle suivait Loki au pas de course dans les escaliers, les dents toujours serrés, inconsciemment. Jusqu’à se sentir tomber quand les tremblements firent disparaître une partie des escaliers, obligé de tomber à la renverse pour ne pas disparaître dans les profondeurs de ce monde sans queue ni tête. Elle roulait de quelques marches avant de s’arrêter d’elle-même dans un grognement. S’en était assez maintenant. Et dommage qu’elle n’est pas assez de temps pour voir Loki se battre avec des tentacules, ça lui aurait détendu l’esprit un moment.
Prenant son élan avec quelques marches, elle utilisait la puissance de ses jambes pour sauter le plus loin possible afin de saisir la même marche sur laquelle Loki s’était appuyé pour ne pas chuter à son tour. Les tractions étant son domaine, elle se ressaisit plus facilement, genoux à terre. L’indignation de Loki aurait pu lui arracher un sourire, mais l’épée apparaissait déjà dans sa main quand un tentacule vint s’enrouler autour de sa jambe. Tranchant dans le vif pour libérer immédiatement sa consœur. Lui lançant un sourire à Loki qui savait, l’énerverait un peu. « Pour ça, il va falloir patienter un petit peu, j’ai mon ticket depuis quelques années la concernant. » Alors qu’elle arrêtait une nouvelle attaque de tentacule du plat de son épée en soufflant. Tout ceci n’était qu’une foutu illusion. « Est-ce que tu peux ressentir sa magie quelque part ? Ça nous aiderait plutôt que d’aller et venir sans aucune indication. » Loki était beaucoup de chose, mais certainement pas un mauvais mage. Elle lui faisait confiance du moins sur ça.
Ven 26 Jan 2018 - 18:55
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Magic
Difficile de dire ce qui était le plus dérangeant à l’instant présent. Le fait que tout soit toujours aussi flou ou que Billy semble parfaitement comprendre ce qu’il se passait ? Peut-être un peu des deux. Mais il lui faisait encore confiance alors il prit la décision de simple écouter. Déployer ses ailes, rejoindre ce Stephen sans poser plus de questions. Il aurait bien voulu suivre la licorne, mais tant pis. Et maintenant qu’il peut mettre un visage sur le nom de ce fameux Strange, une seule chose semble en ressortir ; il n’aime pas cet homme. Peut-être parce qu’il parle beaucoup trop mal à son compagnon. Alors, il profite d’un léger instant de calme pour glisser quelques mots à Billy, se voulant être discret mais ne l’étant pas vraiment. « Hey.. qui est Stephen au juste..? » Parce que si son homme semblait le connaître plutôt bien, ce n’était absolument pas son cas.
C’est dur d’être parmi des gens qui semblent tout savoir. Les petites créatures attirent son regard qui se pose à nouveau sur le démiurge en question. Et malgré tout, il préfère écouter Stephen à ce niveau là. Un léger cri pas du tout masculin manque de lui échapper alors que son petit ami manque de tomber et Teddy l’aide à se rattraper, plissant les yeux lorsqu’il aperçoit les trois autres silhouettes. Peut-être qu’il vaut mieux les éviter. Il hoche la tête aux paroles du jeune sorcier. Si lui sait ce qu’il fait, tout ira bien, n’est-ce pas ?
Puis il cligne des paupières tandis que les lèvres du démiurge touchent sa tempe. Tout ce qui était flou redevient clair. C’est lent, mais ça revient. Petit à petit, souvenir par souvenir. Des choses peu importantes d’abord, puis parfois certaines plus utiles. L’esprit moins embrumé, le regard moins hagard et moins perdu, il garde son compagnon sur son dos, entre ses ailes et pose ses prunelles sur le Sorcier Suprême. Cette fois, il sait qu’il vaut mieux lui faire confiance. Il ne sait pas encore très exactement pourquoi, mais il garde l’intime conviction que ça reviendra. Il l’espère fortement en tout cas.
Mar 30 Jan 2018 - 16:23
PNJ
Admin
A MAGIC WORLD Chapitre 2 : Une princesse dans sa tour
William Kaplan, Loki, Brunnhilde, Theodore Altman, Stephen Strange, Ashitaka Pan
Pan - en bas, à l'extérieur
Pan est séparé des autres, seul à la recherche d’une licorne magique. A première vue, rejoindre ses compagnons va être difficile – l’escalier et le premier « étage » se sont écroulés, tandis que le reste du château continue à trembler. Le « rez-de-chaussée » où se trouve Pan oscille sous ses pans, et le sol instable forment des vagues qui remontent et redescendent, plus semblable à l’onde liquide qu’à la terre battue et aux dalles dont le sol a l’apparence. Si tâtonner le mur ne donne rien les premières minutes, son sifflement appelle à lui la licorne, et une corne noire, suivie de deux naseaux frémissants dépasse du mur – ou plutôt le traverse. A cet endroit, il peut la suivre et traverser l’illusion du mur du château comme si la roche n’existait pas. S’il traverse le mur, il pénètre dans la dimension noire – derrière lui, un château tordu, en train de s’écrouler, des ailes du manoir se volatilisant, se transformant ou s’écroulant avec fracas. La dimension noire s’étend devant lui, à perte de vue, avec ses effondrements et effusion magiques, ciel noir d’encre, et scintillements à peine plus clairs, de violets et de pourpres.
Il peut aller et venir au travers du mur à sa guise. Libre à lui d’avertir ses camarades, faire demi-tour ou s’avancer La licorne elle, trottine devant lui, autour de lui – elle est prête à le guider, mais elle semble surtout pressée de quitter les lieux, alors que le château est pris de convulsion derrière eux, effarouchée. Plus loin, à l’horizon qui n’existe pas, des ombres naissent du tissu même de la dimension, commençant à prendre des formes encore indéfinies, mais bipèdes… Pourtant là où la licorne noire souhaite le mener, il y a un portail se dressant au loin – ouvert à première vue sur une autre dimension. La leur ?
Billy Kaplan, Teddy Altman, Dr. Strange tout en haut, Amora.
Le trio se détourne de la seconde porte, fort sagement semble-t-il, sous les ordres peu amènes de l’aînée – ils sont pourtant ralentis par les cris de douleur qui échappent à Amora, tandis que Strange la soulève sur son épaule. Un peu comme si elle était brutalement arrachée à quelque chose en y laissant une part de sa force – de sa magie en réalité. Elle est draînée de sa magie, phénomène tangible pour les deux sorciers présents, qui sentent encore le contre-coup de l’illusion sur leur propre magie. Pourtant, chez Amora, l’effet est plus violent, et son état de faiblesse n’aide pas à encaisser le choc – les particules de magie vertes quittent son corps pour se disperser dans le château.
« - Non, non, laisse-moi, pose-moi ! » La déesse n’a pas pour réputation d’être une demoiselle en détresse et elle se débat pour se remettre des debout, et les fusiller du regard. Pourtant, le soulagement ( et la surprise ) sont présents dans sa voix lorsqu’elle murmure, les observant, hébétée : « - Vous avez réussi à venir jusqu’ici…. » Elle se reprend pourtant rapidement, et secoue la tête, appuyée sur Strange pour se tenir debout, malgré un dégoût évidement, alors qu’elle cherche à reprendre les commandes et leur donner enfin les clefs pour avancer et jouer aux héros… malgré qu’elle soit visiblement que l’ombre d’elle-même : « - Nous devons partir, vite. Dormammu m’a doublé, et… »
La situation cependant est toujours périlleuse puisque le château semble s’effondrer sous eux – certes, ils n’ont pas à craindre de pierres qui leur tomberait sur la tête, mais le sol lui se défait sous yeux – les niveaux inférieurs s’écroulent progressivement, et avec eux certaines des dalles et marches sur lesquelles ils se trouvent et le sol tremble fortement – avec lui une partie de l’encadrement qui tient en place la porte de la dernière geôle. Par le trou, on peut voir une main squelettique, aux ongles vernis de noir, passer les mains et chercher à ouvrir la porte de l’intérieur, de la magie verte passant de ses doigts, aspirant un peu plus l’énergie d’Amora.
@"William "Billy" Kaplan" si tu le souhaites, tu peux aller lancer un dé ! En cas d’échec critique, tu entendras la voix de Loki dans ton esprit – l’aura hypnotique de la voix t’affaiblit et tu retrouves soudain, conscient, les mains sur la serrure de la geôle à présent ouverte. Sans en avoir aucun souvenir – à moins que Teddy ne te force à ne pas le faire à temps ? Toi, tu ne l’entends pas en tous cas, mais un sac à patates est toujours possible. En cas de réussite critique, tu entends la voix de Loki dans ton esprit : « - Ne l’écoute pas. Amora ment, a toujours menti – elle s’est retrouvée là de son plein gré, elle voulait la puissance de Dormammu. Et maintenant le glyphe va être brisé, et même si vous sortez à temps, la terre sera perdue, pourquoi n’avez-vous pas écouté Daimon, il n’est pas stupide, lui… »
Brunnhilde, Loki, au milieu
Brunnhilde et Loki sont face à des tentacules qui cherchent à les saisir et à les jeter en bas de leur palier, lui-même agité de tremblements. Une des tentacules repoussés par Brunnhilde la prend à présent pour cible, tandis qu’une autre s’intéresse à Loki, de plus en plus vindicative. Pourtant, si Brunnhilde veut que Loki puisse lancer une détection, il faut que celui-ci puisse réfléchir en paix et ne perde aucun morceau de son anatomie. Heureusement, ces tentacules, bien que magiques et plus dures à couper à chaque instant, sont blessées par la lame de Brunnhilde et sujettes aux attaques physiques aussi bien que magiques.
@Brunnhilde si tu le souhaites, tu peux lancer un dés pour savoir quelle est la résistance à laquelle tu t’exposes ; si tu obtiens un échec critique, les tentacules repoussent après avoir été coupées une première fois ( mais pas deux ) et les trois finissent par s’intéresser à toi – elles sont épaisses, durent à abattre, et énervée. Si tu obtiens un échec, même chose, mais l’une d’entre elle cherche avant tout Loki : répit pour la Valkyrie, mais cela ralentirait pas vos plans ? En cas de réussites, elles ne repoussent pas, et ne nécessitent pas plus d’un coup d’épée bien placée pour être tranchée d’un coup net.
Pour @Loki Liesmith, il s’agit de lancer un dés qui lui permettra de savoir ce qu’il sent grâce à sa magie ; dans le cas des échecs, il sent qu’Amora se trouve en haut, affablie, mais aussi que la magie des lieuxest drainée vers quatre autres points dans la dimension noire – une fuite dans le tissu dimensionnel en quelque sorte. En cas de réussite, il perçoit également la présence de son double maléfique, près d’Amora, l’emplacement d’un portail par lequel on pourrait se faufiler, et surtout que la magie qui s’évapore se dirige vers un seul lieu : Midgard. Et les trous par lesquels elle passe s’agrandissent de minutes en minutes.
▬ Le château s’écroule à présent bel et bien, et il devient urgent d’en sortir pour ne pas se retrouver prisonnier des roches. La réalité clignotante des premiers tours est devenue des roches qui tremblent et des tentacules de plus en plus tangibles qui ravagent tout l’espace du milieu du château.
▬ @Stephen V. Strange et @"William "Billy" Kaplan" si vous décidez de sonder la magie de la dimension noire, grâce à votre bonus vous percevrez forcément ce qui a été indiqué plus haut pour Loki, à l’exception de son « double », sans avoir besoin de tirer les dés : vous recevez la même énergie magique chez Loki que chez ce qui est enfermé dans la geôle, en plus négatif et vicieux toutefois, sans savoir pourquoi il s’agirait d’un second Loki.
▬ Le minimum de mots est abaissé à 200 mots. N’hésitez pas à faire court : il s’agit d’avancer et de privilégier la progression et l’action ! Si vous répondez en une semaine soit le 5 février, vous aurez un bonus. Le PNJ interviendra soit dès que vous aurez tous répondu, soit, dernier délai à la fin du mois de février. Si vous n’avez pas répondu à ce moment-là, nous passons votre tour et le PNJ interviendra quand même… avec de fortes pénalités votre personnage puisqu’il n’a pas réagi ! Restera-t-il prisonnier à jamais ? … Peut-être.
Mer 31 Jan 2018 - 12:44
Invité
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A Magic World
It’s a world of laughter, a world of tears It’s a world of hopes and a world of fears
« Attend. »
La voix de Billy est calme. Semble calme. Pourtant, quelque chose ne pas pas. Il sait que sa magie ne s’est pas totalement remise de l’illusion, qu’elle est drainée. Ce qui vient d’arriver à Amora lui fait peur, aussi, même si perdre Teddy est une inquiétude toujours plus grande. Le démiurge descend du dos de son compagnon, lui jetant un petit coup d’œil en souriant. Il voit dans son regard qu’il va mieux, et c’est tout ce qui compte, en ce moment-même, pour lui. Ça, et la voix de Loki dans sa tête, même s’il se garde bien de le dire.
Il a suffi d’un battement de paupière pour qu’il se retrouve les mains sur la serrure de la geôle que Stephen avait interdit de toucher entre ses mains. Ouverte. Billy déglutit, ne comprends pas ce qu’il vient de lui arriver, il lance un regard paniqué à Stephen, puis à Teddy qu’il s’empresse de rejoindre, se jetant presque dans ses bras, s’y agrippant presque. « Je suis désolé, je sais pas ce que... J’me souviens juste que j’étais là, sur le dos de Teddy, et... » La porte qu’il avait déverrouillée s’ouvrit – a sa grande surprise, sur... « Loki ? »
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