| Invité Invité  | Un labo, deux amis et des retrouvailles Statut du sujet : Privé ft. Leopold J. Fitz Date du rp : Flasback – juin 2015 Météo & moment de la journée : début d’après-midi, il pleut mais on ne s’en rend pas compte car nous sommes dans un des laboratoires du SHIELD. Autre : Laboratoire de Leopold J. Fitz au SHIELD à New York, Bobbi est de retour après une mission de courte durée.
Les missions de routine du genre surveillance basique dans un coin perdu d’Amérique Centrale à la recherche de trafiquants de produits dopant aux effets surprenants à plus d’un titre étaient du genre à m’amuser. Enfin, ça me changeait surtout de ce que je faisais habituellement. Pas d’infiltration, pas de couverture. De la simplicité et de l’action en mode bourrin. Ca défoulait et ça faisait du bien.
Après mon retour, j’étais en mode paperasse. Je n’aimais pas trop ça mais c’était nécessaire. J’avais des informations à partager qui pourraient éventuellement être utilisées par d’autres agents. Donc même si c’était rébarbatif, je n’avais pas le choix et il fallait se montrer précis.
Entre deux formulaires, je décidais de faire une pause et quoi de mieux que de rendre visite à un copain de laboratoire ? Il ne me fallut pas longtemps pour traverser toute une série de couloirs d’ascenseurs pour me rendre dans le monde des fouines.
C’était un surnom amical que je donnais à mes homologues scientifiques qui travaillaient pour le SHIELD. Ayant été à leur place il y a de nombreuses années je connaissais leurs impératifs et la pression qu’ils vivaient eux aussi. Beaucoup d’agents de terrain n’avaient aucunes idées de leur travail et les méprisaient. C’était dommage car toutes les spécialités étaient importantes.
Bref, me voilà en route pour retrouver mon fameux Léo Fitz le roi du gadget de haute technologie du SHIELD. Ca tombait bien, mes battons de combat avaient besoin d’une petite mise à jour et j’étais quasiment certaine que Léo aurait de supers idées à me proposer.
En passant devant le distributeur de boissons je pris un petit quelle que chose pour lui et moi histoire de ne pas arriver les mains vides.
Arrivée près de la zone où il travaillait je dû présenter mon badge à la borne de contrôle. Par chance j’avais un niveau d’accréditation suffisant pour me permettre d’aller à peu près où je voulais. Encore heureux, vu mon ancienneté ici.
La plus par du temps j’arrivais à éluder les questions piège du type : depuis quand je suis agent, quand suis-je née avec un « désolée, je ne peux pas répondre c’est top secret ». Le top secret à souvent très bon dos.
J’avais de la chance, il était là. A travers la vitre je pouvais le voir sur sa table en train de travailler sur je ne sais quelle machine de son invention. La création d’appareil ou la réparation était quelque chose que j’avais du mal à appréhender. Je préférais les choses plus vivantes.
Je frappais à la porte, souriante.
Coucou Léo.
Ca fait un bail qu’est-ce que tu deviens ?
Caféine ? Dis-je en lui tendant un café chaud. |
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