| Invité Invité | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]James Buchanan Barnes Sebastian Stan Identité Prénom(s) & Nom: James Buchanan Barnes Nom de code: Winter Soldier Date & lieu de naissance: Shelbyville, Indiana le 13 décembre 1922 Âge: 87 ans Emploi/occupation: vétéran de la seconde guerre mondiale & espion & assassin du KGB Centres d'intérêts: retrouver la mémoire & Steve, les vieux films, la moto, les femmes, l'alcool, le sport, sa patrie, danser, les gadgets technologiques, les armes Statut: Célibataire Groupe: Super-vilains
| Caractère Rusé, intelligent, fidèle, patriotique, courageux, impatient,honnête, tolérant, généreux, tête brûlée, imprudent, têtu, loyal, assuré, moqueur, sujet à un léger vertige. |
Capacités & Mutations Excellent soldat, il est entraîné aux combats au corps à corps. S'il est particulièrement bon en tant que sniper, il maîtrise toutes les armes à feu. Il utilise également des grenades et couteaux. Fin stratège, il se révèle être redoutable dans l'analyse du terrain. Acolyte de Captain, sa réputation lors de la Seconde Guerre Mondiale est connue de tous en tant que Bucky, compagnon d'arme de Captain America. En ex-URSS et dans le monde des agents, le Winter Soldier a également une réputation de tireur d'élite et de tueur à gages.
Il a reçu une variante du super-sérum, ce qui lui assure sa longévité. Acrobate exceptionnel, c'est un athlète de niveau olympique. Il parle couramment anglais, russe et allemand
Son bras gauche est un bras cybernétique, plus fort et résistant qu'un membre normal. Le bras brouille les détecteurs de métal et les machines à rayon X, en émettant de petites charges électromagnétiques. Détaché de son corps, le bras fonctionne toujours, mentalement contrôlé par Barnes. Eh toi là, t'es qui en fait ? Prénom/pseudo ♦ Elvire / Elorin Âge ♦ 20 ans Scénario ou inventé ♦ Scénario Comment as-tu atterri ici ♦ ME Fréquence de connexion ♦ 10/7 Remarque(s) ♦ … Prière de me supporter encore une fois, moi et la folie de mon perso Code règlement ♦ Validé par Tasha Raconte-moi une histoire [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]The life of Bucky Barnes Né dans l'entre-deux guerre, James Buchanan Barnes ne tarda pas à devenir orphelin : sa mère mourut seulement quelques années après sa naissance, et son père, vétéran de la première guerre mondial mourut lorsqu'il était adolescent. Cela aurait pu être un mauvais départ dans la vie si James n'avait pas été doté d'un optimisme débordant et de toutes les qualités pour s'en sortir. Et si, surtout il n'avait pas fait, du même coup, la connaissance de Steven Rogers. Les deux jeunes gens devinrent rapidement inséparables, malgré – ou à cause – de leurs différences, flagrantes au premier regard. Qu'ils se complètent ou qu'ils ne soient pas si différents que ça, la chose était sûre : ils n'avaient été séparés que par deux choses : les dames, puis, plus tard, l'armée. Et encore, pas vraiment. Autant Steve avait des problèmes pour aborder les dames, autant Bucky aurait pu en faireu n métier; un sourire, une danse, un verre, un cinéma et hop les dames se pâmaient dans ses bras. Parfois un seul de ces éléments suffisait. Mais jamais, au grand jamais, Bucky ne serait sortit sans celui qu'il considérait comme son frère : ses dames avaient toujours une amie, c'était même une condition essentielle.
Entre les sorties, les bals, les heures à admirer l'intelligence et le talent pour le dessin de Steve, la jeunesse de James passa comme l'éclair. Il n'avait jamais vraiment réfléchit à ce qu'il voulait faire plus tard, à part la perpétuation de cette jeunesse joyeuse. La guerre l'empêcha définitivement d'y penser. Steve et Bucky se portèrent tout deux volontaires pour aller au front. Si le chemin de Steve pour y parvenir fut semé d'embûches, Bucky fut nommé sergent dans la 107e – où avaient servis leurs pères respectifs .
James était décidé à suivre la voie de son père, à servir fièrement son pays, profiter du prestige de l'uniforme aux permissions, et, au passage se battre de la part de Steve – il se battait bien pour lui dans les ruelles sobres, pour pas en Europe ?- Si dans un sens, il était content de voir que Steve restait à l'abri, il fit de son mieux pour le réconforter à l'aide de son indécrottable optimisme. Sauver le monde, revenir en héros, ne pas mourir, et ne pas voir sa gueule d'ange trop abîmée. Il n'avait pas vraiment peur en partant – Il était plus inquiet pour Steve que pour lui, à l'origine.
La guerre avait été terrible, évidemment. La 107e était mutée sur les fronts les plus risqués. Ils étaient un groupe hétéroclite de têtes-brûlées, rapidement des frères d'armes et prêt à tout pour en découdre d'avec les nazis. Bucky s'y était rapidement fait une place : il était à la fois intelligent, souriant, séducteur, bon camarade, loyal et optimiste... et avait une certaine capacité à faire rentrer quelques denrées supplémentaires à l'intérieur du camp en contre-bande. En outre, il se révéla rapidement un excellent sniper.
Ils étaient partis défendre Azzano. 150 hommes y étaient soit morts, soit s'étaient fait capturés, comme Bucky. Ils se firent capturés par ceux qu'ils pensaient être des nazis, et qui étaient en vérité des homes de RedSkull, des membres d'Hydra. La guerre était douce, par rapport avec cet emprisonnement: entassés dans des cages, ils observaient ces individus vaquer à de sinistres et mystérieuses occupations. De temps en temps, des soldats étaient prélevés, emmenés dans un quartier d'isolement dont on ne revenait pas. Cela n'aidait ni à estomper le malaise ambiant, ni à calmer le détermination à en faire voir de toutes les couleurs aux nazis. Bucky avait toujours été une forte tête imprudente: il s'était mis à répliquer, o insulter ses geôliers, à poser des questions, à essayer de s'enfuir...
Il avait rejoint les disparus du quartier d'isolement.
La douleur. La souffrance. La souffrance, qui ne cessait jamais, qui ne faisait que l'assaillir parmi les vagues de fièvres. Bucky délirait, par moments. A moins que cela soit tout le temps, et que ce qu'il prenait pour des instants de lucidité n'était qu'une douleur intense qui envoyait son esprit sur les roses. Alors il répétait. Il répétait inlassablement son numéro de matricule, comme pour ne pas l'oublier, comme pour ne pas se laisser avoir par tout ça. De quoi souffrait-il le plus ? La soif. La douleur. La torture. Les injections. La solitude. La déchirante impression d'avoir échoué. L'abandon qui lui déchirait les côtes d'une douleur intolérable. L'isolement. L'antichambre de la mort. Les allemands, en blouse, qui tournaient autour de lui, à longueur de temps. Leurs visages étaient devenus flous, inhumains. Il avait été trop brave, trop insolent, trop stupide, il ne savait même plus ce qu'il fichait là. Des explosions autour de lui. Dans sa tête. Dans ses souvenirs. Comment savoir ?
Un matricule. Les chiffres, gravés sur ses plaques militaires luisaient faiblement sous les halogènes défectueux. Il n'était même plus un numéro. Rien. Un américain perdu derrière les lignes allemandes. Mort au combat.
Bucky avait fait la guerre. Il n'avait jamais arrêté. Y était-il toujours ? Il sentait encore la sueur et la crasse qui collaient à ses vêtements, à sa peau, à son âme. Les cris, les hurlements. De peur comme de rage. La volonté d'en finir, de se battre jusqu'au bout. Quoiqu'il en coûte.
Ils avaient été pris, par les boches. Plus que de la douleur, c'était de cela qu'il souffrait. Le bris de l'illusion. Ils avaient échoués. La valeureuse 107e s'était faite prendre comme un rat. Au-delà de l'odeur du sang, il avait un arrière-goût désagréable dans la gorge. Ils s'étaient battus, ils avaient été battus. L'uniforme, le pays, l'honneur, la fierté, tout cela avait volé en éclats. Il n'était pas parti à la guerre seul. Il était parti à la guerre avec Steve, pour Steve. Il avait échoué. Ils leur étaient tombés dessus, et toute la vaillance américaine n'avait servi à rien face à l'enfer.
Sanglé sur une table, ses blessures non soignées rejointes par des nouvelles, pas d'autre horizon que le docteur Zola, penché au-dessus de lui. Des injections, des expériences. Il était déjà considéré comme mort, il était le parfait cobaye.
Jusqu'à ce que Steve le tire de là. Grand, fort, musclé, engagé Steve. Capitaine Steve.
Steve. Le visage de Steve, couvert de crasse, mais comme une lumière dans la nuit, dans la souffrance. Bucky referma les paupières avec un gémissement de douleur. Que faisait-il là ? Comment était-il arrivé à la guerre ? Il ne devait pas être là, ce n'était une place pour personne. Il sentit des mains, des bras, l'enlacer, le soulever. Il devait se lever, être brave, soutenir Steve. Il se redressa, difficilement, s'accrochant à son vieux camarade. Ne pas l'abandonner, pas une nouvelle fois. Tout explosait, y compris son crâne. Rouge feu. Était-ce dans ses tempes, dans les bâtiments ? Ses jambes. Handicapées, faiblardes, inutiles, mais elles avançaient. Un pas devant l'autre.
Captain America, sorti de James ne savait où, réussit à le sortir de cet enfer. Il le fit même passer par un pont de fer branlant, qui couplé à un saut sur un train en marche finit par engendrer un léger vertige chez le Winter Soldier.
Ils revinrent au camp américain, accompagnés de tous les hommes prisonniers. Au-de là de ses retrouvailles avec Steve, Bucky fit la connaissance de Peggy Carter. La charmante et formidable Peggy. James avait toujours aimé les dames, et aurait beaucoup aimer séduire l'agent. Mais 1) il avait beaucoup trop de respect et d'admiration pour elle 2) elle regardait Steve. Oui, James avait un peu son amour propre blessé, à se faire ainsi snobé. Mais il était surtout fou de joie pour son ami : une jolie fille était intéressée, et en plus elle était parfaitement à la hauteur de son ami d'enfance. Bucky fit de son mieux pour les faire se lancer, pour les titiller et les embêter un peu. Ils se tournaient autour en se lançant de ses regards ! James lui, était assez occupé avec les infirmières de camp.
Captain America, Bucky et un groupe de tête brûlées réchappées de l'HYDRA, mais prêtes à y retourner formèrent un groupe d'élite, dont la mission était de mener la vie dure aux allemands. Ils avaient tous envie de se venger, et s'étaient déjà crus morts. Menés par Captain America, ils firent des dégâts et menèrent la vie dure aux Nazis autant qu'aux hommes de l'HYDRA, qui se mirent à les craindre. Bucky suivait en meilleur ami, de la même manière et avec la même loyauté qu'auparavant. Il suivait Steve, pas Captain America, mais il l'aurait suivit au coeur de l'enfer. C'était plus ou moins ce qu'il fit, multipliant les missions à ses côtés. Partenaires, ils se battaient merveilleusement bien ensembles.
Jusqu'à la dernière mission :à bord d'un train. Steve et Bucky durent combattre une armure de l'HYDRA armé grâce au tesseract, au bord d'un wagon. Ils auraient pu s'en sortir, ils ont failli s'en sortir. Leur partenariat marchait bien, et Bucky eut même l'honneur de porter le bouclier de Captain – une façon de le rendre fier et des se montrer à la hauteur, plutôt qu'une tentative de prendre sa place . Une de parois du wagon avait explosé sous le choc du combat, et Bucky fut projeté à l'extérieur, avant que Steve pu réagir. Une barre de métal au bord d'un précipice européen en plein hiver ? Pas suffisant pour retenir une chute.
La dernière vision de James Barnes avant de mourir, fut le visage de Steve, accroché comme il pouvait à la porte du train, essayant de le tirer de là. C'était devenu un habitude ces derniers temps, que le petit Steve protège ses arrières et le tire d'un mauvais pas, et Bucky ne disait pas non. Il n'avait pas eu le temps de saisir la main de Steve, la barre à laquelle il se tenait comme si sa vie en dépendait avait lâché, et lui avec : il était tombé au milieu des profondes gorges européennes, des centaines de mètres plus bas. Disparu au combat. Tombé au champ d'honneur. Présumé mort.
The Winter Soldier
Présumé mort Il était tombé dans l'eau, plus précisément : la température de l'eau ne lui permit pas de mourir de ses blessures immédiatement. Gravement blessé, inconscient et plus ou moins mourrant, il fut repêché par des soviétiques. Ils le tirèrent de l'inconscience, et sans doute de la mort, en lui injectant une dose d'adrénaline en plein coeur. Il fut, par la suite, placé en stase cryogénique, jusqu'à ce que, en 1954, le gouvernement soviétique lui trouve une quelconque utilité. Jusqu'à ce que le Département X lance le projet Winter Soldier.
Lorsque Bucky fut tiré de son sommeil artificiel, il ne se serait pas reconnu : les cheveux longs, un bras cybernétique de la meilleure technologie greffé à la place du sien, perdu dans sa chute. Sauf que se voir ne causa pas le moindre choc à James. Il ne se reconnaissait pas car il ne se connaissait pas. L'impression de se regarder dans un miroir pour la première fois. Il avait, dans son accident, perdu la mémoire. On avait retrouvé, autour de son cou, une chaîne et des plaques d'immatriculation militaire : une infirmière qui devait le trouver à son goût les lui avait discrètement remis. Il n'y avait pas grand mal, l'eau les ayant rendu presque illisibles et il ne s'était jamais soucié de les examiner, se contentant de les porter, par habitude. Sa vie commençait maintenant, il n'avait que faire de ce qu'il était auparavant.
Pas de mémoire, mais les mêmes capacités, la même intelligence, qu'auparavant : il n'était pas Captain America, mais il avait tout de l'agent idéal et dévoué. Bucky devient le Winter Soldier après avoir été endoctriné et entraîné; des implants cérébraux, des séances de privation sensorielle, un bourrage de crâne anti-occident, il eut tout le panel de tortures et d'endoctrinement que les soviétiques avaient en réserve, et cela finit par effacer James Buchanan Barnes au profit du Winter Soldier, assassin, agent dévoué et capable de tout pour sa nouvelle patrie.
Dans le contexte de la guerre froide, le travail ne manquait pas : il alterna les missions d'assassinats stratégiques et les opérations secrètes avec des phases de sommeil cryogénique durant lesquels il était mis « en pause », lorsqu'inutilisé. Au programme de l'éveil du Winter Soldier : espionnage, assassinats, sabotages, entraînements d'autres agents. Discret, intelligent, efficace, mortel.
James finit cependant par développer des troubles du comportement, et par devenir instables: sa première personnalité et son passé commençaient à remonter à la surface, pour se heurter à son conditionnement, qui à lui seul, avait de quoi rendre fou. Dans les années 1970, il n'accomplit pas l'une de ses missions, et disparut quelques temps jusqu'à être retrouvé en train d'errer à New York, marmonnant des phrases sans que ni tête. Une fois ramené manu militari en URSS, ses employeurs décidèrent de raréfier ses missions et d'augment ses temps de stase, pour éviter qu'il ne perde la raison et qu'il retrouve la mémoire, deux possibilités qui l'aurait rendu totalement inutile pour le gouvernement.
Current days
Mais ces dernières années, le Winter Soldier a été remis en circulation. L'invasion des Chitauris, la mise au jour de l'initiative avengers changea en effet la donne. Des extra-terrestres et des mutants, cela ne posait aucun problème. Ce qui posait problème, c'était le fait que les USA se taillent la part du lion et se positionnent en sauveur et défenseur de la glorieuse humanité. Cela ne plaît ni à l'Europe, ni à l'Asie, et encore moins à la Russie qui se considère toujours comme l'ennemi personnel des Etats-Unis, et le reste du monde se mit à faire pression sur le gouvernement américain, et au-delà sur le SHIELD et affiliés. Les services secrets russes en parlèrent à qui de droit, qui en parlèrent au président russe, qui en parla au président américain, qui en parla à qui de droit qui qui qui... le Conseil fut informé et dut agir, légèrement influencé par une menace de guerre nucléaire : Comme tous les organes de pouvoir, autant envoyer un missile nucléaire sur sa propre population, ça les dérange pas des masses, autant à partir du moment où c'est une nation étrangère, c'est un affront irrémédiable.
Bon et puis, l'excuse de « c'était ça où des extra-terrestres moches nous envahissaient » ça marche une fois, pas deux : « James » fut envoyé pour « s'inspirer des méthodes de protection et du modèle de l'organisation américain » Soyons clair, personne n'a jamais été dupe dans cette histoire : cela a juste été un moyen d'envoyer le Winter Soldier sur le territoire américain sans avoir à tromper les pointilleuses douanes américaines. Et lui accorder une certaine immunité diplomatique, toujours bien pratique dans son domaine d'activité. Ambassadeur des forces non-américaines, il n'est qu'un diplomate et technicien, uniquement suspecté d'être un agent sous couverture, suspecté d'être le Winter Soldier, sans la moindre preuve autre que la paranoïa américaine..
Il n'est pas là pour avoir accès à quoi que ce soit d'officiel, de toute manière : vendre ses services d'espion et de tueurs à gages, espionner, contre-carrer l'initiative avengers, étudier de plus près les mutants et les rumeurs sur le Projet X : tout cela peut-il être utile, peuvent-ils utiliser, façonner, et créer des mutants à leur guise ? Sont-ils dangereux ou bien sont-ils adaptables à des programmes tels que celui de la Veuve Noire ou du Winter Soldier ? Personnellement, Bucky est plutôt favorable et ouvert aux mutants : il en admire les effets à titre personnel, bien que se devant de garder un oeil sur tout risque de dérapage. Les super-héros ? Pas impressionné pour un sou. Et puis, sa venue sur le sol américain lui permettrait de savoir ce qui était arrivé à la veuve noire : celle qui était à l'époque sa petite-amie et son amour est partie effectuer une mission aux Etats-Unis, des années auparavant et n'en est jamais revenue. Saletés d'américains.
Le seul petit détail consiste dans l'instabilité mentale de Bucky : en théorie, il est toujours le parfait petit soldat. En pratique, c'est plus compliqué, entre les migraines, les cauchemars semblant appartenir à une ancienne vie, il semble devenir fou, ou du moins instable. Pour compenser cela, le KGB, ou du moins sa version moderne, lui a implanté de quoi le contrôler à distance : à tout moment, ses employeurs se réservent la possibilité de de prendre le dessus sur lui et de le contrôler. La distance et surtout la proximité avec son pays natal troublent Bucky : ses cauchemars se font de plus en plus présents et réels, lui apportant des bribes de souvenirs de sa vie en tant que James Barnes. Certains souvenirs de James se mêlent à ceux du Winter Soldier : la seconde guerre mondiale, l'emprisonnement et les expériences par le docteur Zola... Il se contente de les refouler et de se mentir à lui même : bien sûr qu'il a combattu durant la seconde guerre mondiale. Dans le camps russe. Bien sûr qu'il a été modifié, pour devenir le Winter Soldier. Il a une mission à accomplir, et il est un assassin professionnel, après tout.
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