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 Jeu 18 Avr 2019 - 0:26 | | | Invité Invité  | Lamarckisme en quarantaine Statut du sujet : Privé feat Noa, Masson Date du rp : Quelques minutes après les attentats survenues lors du meeting pro-Liesmith Météo & moment de la journée : En fin de soiré et les jours qui on suivit. Autre : Suite au attentats, deux agents du SHIELD émerge de leurs cocons dans une base de l'organisations.
♔ Lamarckisme en quarantaine [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Métamorphose, transformation et évolution !
Quelques minutes après les attentats du Ricardo Plaza Hotel le chaos régnait tout autour des lieux, les sirènes des ambulances remontaient les rues à vive allure, alors que les rescapés titubaient ici et là sans but précis, désorienté par l’explosion. Les plus lucides décrivent difficilement les événements, un seul homme, revendiquant la liberté d'Attilan, semblait être à l’origine de l’incident. Avant même que les les secours n’arrivent, trois fourgons noirs déboulent sur les lieux, libérant chacun une équipe d’agents tout de noir vêtus. Les équipes fendirent la foule en quête d’une chose bien précise, en un temps record les unités spéciales faisaient déjà demi-tour avec les personnes ayant réagi au terrigène. Les camionnettes traversèrent de nouveau la ville avant de s’engouffrer dans une ruelle mal éclairée. Dans une série de manœuvres précise et ordonnée, les hommes sortent alors les statues de pierres des deux jeunes agents pour les déplacer en zone de quarantaine.
Dans un vacarme chorégraphier, les escouades se mirent à défiler dans la cellule de quarantaine pour y installer ‘’confortablement’’ les deux individus en pleine transition. En moins de deux, il régnait désormais, un silence absolu dans la salle aux murs blancs, même le système de ventilation se voulait étrangement silencieux. De l’autre côté de l’unique fenêtre de la cellule, une dizaine de scientifiques bombardaient de leurs regards d’experts les deux cocons de pierre. Plusieurs d’entre eux pianotent avec frénésie sur leurs claviers, afin de tout documenter, alors que d’autres analysent diverses données, en quête de réponse. Une heure passe, puis deux, mais les chrysalides ne montrent toujours pas le moindre signe d’activité. Comme s’ils étaient vides, un simple tas de pierres ‘’organique’’. Alors que le rythme soutenu des claviers diminue, un événement attire alors l'attention des scientifiques, la chrysalide de Masson venait de se fissurer brusquement de la tête au pied.
Le silence de la cellule de quarantaine fut brisé par le bruit de l’air s’engouffrant dans le cocon de l’agent Spellman. Un bruit comparable à celui entendu lorsqu'une pièce se dépressurise brutalement. Quelques cailloux chutent alors du cocon du futur inhumain pour aller choir sur le sol. Puis plus rien, une autre heure passa avant que les cocons ne s’agitent de nouveau. Par une manifestation éphémère, les débris du cocon de Masson se mirent soudainement à graviter autour de lui. À l’abri de l’autre côté de la vitre, les scientifiques tapent sur leurs claviers motivés par une nouvelle passion et les nouvelles données qu’ils enregistrent. La manifestation, désorganisée et totalement aléatoire, s’arrête alors brusquement et les débris chutent sur le sol, au même moment, Masson émergé enfin de son cocon. La gravité revenue les nombreuses parties de l'enveloppe de l'inhumain recouvrait désormais le sol.
Enfin libre et désorienté, il tituba, au travers des débris jonchant le sol, jusqu’au cocon de Noa. Une voix retentit par l’entremise des enceintes de la cellule. «Agent Spellman... Agent Spellman...» «Qu'est-ce que ça signifie ?» Il posa ses yeux sur l’unique fenêtre, un miroir sans tain, visiblement confus. «Où suis-je ?» Puis l'enveloppe de l’agent Kane se fissura à son tour. .
° CODAGE PAR DITA | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ° | | | | Lun 29 Avr 2019 - 12:47 | | | Invité Invité | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Noa Kane & Masson Spellman Lamarckisme en quarantaine
Pendant un certain temps, qu'il était difficile de mesurer concrètement, Noa resta comme inconsciente. Son corps refusait de bouger, mais avant de sombrer dans l'inconscience, l'agente avait senti quelque chose le rigidifier, comme un cocon de pierre. A partir de cet instant, elle ne sut plus ce qu'il se passait autour d'elle, et certainement pas l'équipe du SHIELD qu'elle avait appelée en renfort après l'explosion de la bombe et qui l'avait embarquée dans un fourgon, direction la zone de quarantaine de la base du SHIELD.
Combien de temps s'écoula avant qu'elle ne reprenne conscience ? Elle ne saurait le dire. Mais elle commença à reprendre conscience assez brusquement, quand son cocon se mit à se fissurer de la tête jusqu'aux pieds. Au début, Noa galéra à s'en sortir, et puis elle troua un peu plus son cocon quand une boule de feu sortit d'une de ses mains pour finir sa course contre le cocon. Le cocon se déchira complètement quand, cette fois, une boule d'eau sortie de l'autre main acheva le travail entamé par la boule de feu, et Noa en sortit, reprenant son souffle, tremblant de tous ses membres.
La salle tournait autour d'elle, et l'agente dut se poser et prendre sa tête entre ses mains pour tenter de calmer le truc, alors qu'elle entendait une voix sortie des hauts-parleurs lui lancer :
Agent Kane. Restez tranquille, tout va bien.
Question de point de vue, souffla Noa avant de relever la tête vers la vitre derrière laquelle elle pouvait voir des agents en blouse. Où suis-je ?
Elle regarda autour d'elle, reconnaissant la salle de quarantaine, et son regard se posa sur un autre agent, présent avec elle, lui faisant froncer les sourcils quand elle avisa les fragments de cocon au sol. Elle grimaça puis lança à l'autre agent :
Une idée de ce qu'il s'est passé ?
C'est à vous de nous le dire, agent Kane, répondit le scientifique à la place de l'agent. Tout ce qu'on sait, c'est que vous avez envoyé un appel à l'aide au Ricardo Plaza Hotel, et qu'on vous a trouvée, avec l'agent Spellman, dans une espèce de cocon en pierre.
Noa resta muette, laissant ses idées revenir en place plus ou moins tranquillement, s'asseyant sur le bord du lit où son cocon avait été posé et prenant sa tête de nouveau entre ses mains. Elle avait l'impression que sa tête allait exploser, les souvenirs de l'attentat étant revenus en force dans son esprit. C'était ça, le syndrome du stress post-traumatique ? La vache, c'était vraiment pas la joie à vivre cette saloperie...
Poussant un soupir, elle releva la tête vers la vitre et lança d'un ton un peu sarcastique :
Et donc, on est en zone de quarantaine parce qu'on était dans des cocons ? Vous craignez quoi, qu'on soit contagieux ?
Agent Kane, je vous en prie. Vous souffrez d'un syndrome de stress post-traumatique, probablement l'agent Spellman aussi, inutile de vous réfugier derrière le sarcasme.
Elle se tourna vers ledit agent Spellman et lui lança, sans tenir compte de ce que venait de dire l'agent en blouse :
Bienvenue dans la galère. Tu te sens contagieux toi ?
| | | | Lun 13 Mai 2019 - 6:56 | | | Invité Invité | Lamarckisme en quarantaine Statut du sujet : Privé feat Noa, Masson Date du rp : Quelques minutes après les attentats survenues lors du meeting pro-Liesmith Météo & moment de la journée : En fin de soiré et les jours qui on suivit. Autre : Suite au attentats, deux agents du SHIELD émerge de leurs cocons dans une base de l'organisations.
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La camarade de cellule de Masson finit par s'extirper de son cocon elle aussi, son réveil fut aussi brutal que le sien. Elle eut un court échange avec les scientifiques, ce qui permit au scientifique de terminer de rassembler ses idées. Dans l'échange, il apprit que c'est grâce à Noa s'ils avaient pu être évacués en sécurité, qui sait ce qu'ils leur seraient arrivés si les militaires étaient tombés sur eux. « Un homme à crier, Attilan libre et il y a eu une détonation. » Le novhumain faisait maintenant les cent pas, une habitude qui marquait un moment de réflexion intense. « J'ai été exposé à la brume qui a suivi l'explosion et ensuite, c'est le brouillard. Je me suis réveillé ici, avec l'impression d'avoir été passé à tabac. »
-Et donc, on est en zone de quarantaine parce qu'on était dans des cocons ? Vous craignez quoi, qu'on soit contagieux ?
-Agent Kane, je vous en prie. Vous souffrez d'un syndrome de stress post-traumatique, probablement l'agent Spellman aussi, inutile de vous réfugier derrière le sarcasme.
Les mots syndrome post-traumatiques eurent un effet euphorisant sur le Scientifique qui se mit à rire. La situation était digne d'un film de science-fiction, mais c'était bien arriver, il était victime d'une chose inconnue à ce monde. « Bienvenue dans la galère. Tu te sens contagieux toi ? » Le questionna sa compagne de cellule.
-Pas vraiment, je me sens étrangement… complet. Je sais que c'est absurde, mais je n'ai pas d'autres mots qui me viennent à l'esprit.
Masson finit par aller prendre position sur l'autre table, face à Noa, il ferma les yeux. D'un seul coup, il se mit à avoir le tournis, si bien qu'il dut s'allonger sur la table avant de vomir sur le sol. Fraîchement sorti de son cocon, le novhumain qu'il était devenu n'avait pas encore réalisé que sa transformation apportait certains avantages. Une faculté sensorielle s’éveillait en lui et il en subissait les conséquences. Son corps, désormais sensible au changement gravitationnel de son environnement, subissait un véritable assaut d'informations.
L'agent Spellman finit par se réveiller au bout de quelques minutes, allonger sur la table, il jeta un coup d’œil rapide à Noa. « Je suis désolé ! » Articula difficilement le scientifique, à demi-conscient. Une équipe entra finalement dans la salle de quarantaine vêtue de combinaison extravagante. On retira rapidement les restants de cocon, fit quelques analyses sanguine sur les deux agents et on leur apporta des lits plus confortables. Masson se réveilla finalement au bout de quelques heures, encore plus confus. « Est-ce que j'ai été drogué ?» Coucher sur sur le lit, il dévisageait Noa dans l'espoir que celle-ci est des réponses plus claires.
° CODAGE PAR DITA | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ° | | | | Jeu 16 Mai 2019 - 17:59 | | | Invité Invité | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Noa Kane & Masson Spellman Lamarckisme en quarantaine
Ce fut l'autre agent, Spellman, qui expliqua le pourquoi du comment, Noa restant silencieuse et tentant de remettre de l'ordre dans ses idées. Elle se souvenait, maintenant, de ce qu'il s'était passé ; cet homme, qui avait hurlé "Attilan libre" avant de faire exploser la bombe qu'il avait sur lui, causant des dégâts matériels et humains sur une grande zone. Elle, qui avait essayé de protéger un civil, avant d'appeler le SHIELD. Elle encore qui s'était mise à tousser violemment, pensant même que ses poumons allaient se détacher et sortir, avant de sombrer dans l'inconscience, juste après qu'elle ait commencé à voir le cocon de pierre autour d'elle.
Puis il répondit à sa question en précisant qu'il se sentait... complet. Elle, par contre, elle ne savait pas comment elle se sentait. Il lui manquait des informations, et elle avait horreur de ça mais d'une force... Et les scientifiques, bien planqués derrière leur vitre, n'avaient probablement pas lesdites informations. Sans dire un mot, elle se réfugia dans la réflexion, regardant du coin de l’œil l'agent Spellman qui s'était levé et s'était lancé dans une mini promenade dans la salle de quarantaine avant de se sentir mal, obligé de s'allonger sur la table et sortant Noa de sa réflexion de façon un peu brutale. Sans céder à la panique mais étant inquiète quand même, elle s'assura que Spellman ne bougerait pas sur sa table, lançant aux scientifiques :
Euh, vous pourriez descendre ? S'il vous plaît ?
Une équipe va arriver, agent Kane. Restez près de l'agent Spellman, au cas où.
Noa hocha la tête et attendit patiemment, restant près de Spellman qui finit par émerger, quelques minutes plus tard. Noa l'aida à se redresser un peu, le regardant avec une certaine inquiétude alors qu'il marmonnait :
Je suis désolé !
T'inquiète pas, ça va aller, répondit Noa, avant de voir une équipe de scientifiques pénétrer dans la salle de quarantaine.
Elle les observa ramasser les morceaux de cocon, un tas pour Spellman, un pour elle, et se laissa faire quand ils s'approchèrent d'eux pour leur faire une prise de sang, tout en surveillant son compagnon de galère qui semblait à demi-comateux. Il avait dû mal encaisser ses nouveaux pouvoirs, et elle espérait qu'elle n'aurait pas les mêmes problèmes, alors que les scientifiques remplaçaient leurs lits métalliques pour des lits un peu plus confortables, signe qu'ils resteraient ici un petit moment.
Poussant un soupir, Noa attendit que Spellman soit installé sur son lit pour se replonger dans sa réflexion ; vu son état, il mettrait sans doute un moment avant de se réveiller complètement. Nombreuses furent les questions qui se bousculèrent dans sa tête, mais trois revenaient de façon régulière. Comment se faisait-il qu'elle ait pu réagir comme ça au produit de la bombe ? Pourquoi d'autres ont littéralement souffert de douleur avant de mourir ? Pourquoi d'autres, encore, n'avaient rien eu de particulier ?
Pendant plusieurs heures, Noa resta silencieuse, plongée dans sa réflexion, avant d'en sortir en entendant Spellman se réveiller, faisant grincer son lit et amenant l'agente à venir à côté pour le soutenir alors qu'il soufflait :
Est-ce que j'ai été drogué ?
Non, tu as eu... une espèce de malaise, répondit doucement Noa. Peut-être un contre-coup de ton exposition prolongée dans le cocon... Mais ça va aller. Tu te sens comment ?
Alors qu'elle se redressait pour s'étirer, en commençant par ses bras, elle fut quelque peu surprise de voir sortir de ses mains une boule de feu et une boule d'eau qui finirent leur course contre les murs, causant quelques dégâts mineurs sur ces derniers. Surprise, elle se dépêcha de ranger ses mains dans ses poches et lança une grimace à Spellman :
Désolée, c'est... parti tout seul.
Elle pouvait presque sentir le regard avide des scientifiques sur eux... Grumpf. Pour faire diversion, elle lança :
Dites, là-haut, pardon de vous embêter encore, mais... C'est possible d'avoir de quoi manger ? S'il vous plaît ?
Ça arrive, agent Kane. Soyez patiente.
Grumpf... Elle se renfrogna et s'assit à côté de Spellman, en attendant que leur repas arrive. Ça allait être compliqué à gérer tout ça...
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