Clea ✩ Baby, the Shadows Shine Bright ✩

Prénom/pseudoMaléfiqueAGE29Code règlementValidé par la Rouquine :O Hey! Qui est passé par là!?!

Pv, scénario, marvel ou inventéMarvelComment as-tu atterri ici ?Je cherchais du pain.Fréquence de connexionUne fois par siècle. Sans déconner, une à deux fois par semaine.

RemarquesIci, ça semble sympathique!      

Parlons de la politique Américaine! Attendez-suis-je dans la bonne dimension? Ce n’est pas le président Trompette de la Dimension Tartares-Unis! Ou de Justine Tructeau du Caramba! Clea adore la politique de la plupart des univers, mais en tant que Princesse Rebelle de la Résistance de la Dimension Noire, elle se garde une certaine réserve de juger les choix des autres personnalités politiques.


Certes, à la suite d’une contemplation plus ou moins concentrée des événements violents des dernières années, Clea approuve le sacrifice de la ville de New York. Clea n’est ni native de New York, des États-Unis ou bien de la Terre. Ce qui explique qu’elle ne soit pas affectée d’un sentiment de perte face à la tragédie qu’était NY. Cependant, son mentor Stephen Strange pourrait en être affecté gravement de ce sacrifice et elle ressentirait de la compassion à son égard. Le train de vie actuel de Clea est plus ou moins affecté par les événements récents : étant donné ses capacités de téléportation entre les deux dimensions. Sa destination peut être le camp de réfugié de NY Town.  

POUVOIR AUX FEMMES! POUVOIR AUX PRINCESSES!?! POUVOIR AUX PRÉSIDENTES DES ÉTATS-UNIS! QUOI!?! Les majuscules sont inappropriées pour le narrateur de cette présentation? Mille pardons, revenons à nos moutons. Clea a d’abord nommé Madame Présidente Ophelia la Reine Madame Ophelia des Étatszunis.


Après s’être ridiculisée amèrement devant des sorciers terriens, l’héritière du trône de la Dimension Noire a enfin compris la définition du mot président accordé au féminin. Au grand regret du héros Stephen Strange, Clea a d’abord remarqué le manque de style, l’éclat gras de la chevelure et le maquillage en contour sur abusé chez la nouvelle présidente. Donc, sa première impression était une faute à l’hygiène corporelle : sans compter des promesses aussi riches qu’une flatulence de mots incompréhensibles tirée d’un poème romantique d’une pré-adolescente.


Quant à ses actes récents, le SHIELD semble devenir le mouton noir pour la première bergère présidente : Clea ne s’en fait plus avec ça pour l’heure, elle profite du rabais de 15% pour aînés chez Sephora instauré par une campagne publicitaire du parti politique de la nouvelle présidente*… En effet, Clea a désormais une fausse carte d’identité lui permettant de dévoiler l’âge outrageant de 65 ans. Qu’est-ce qu’une femme ne ferait pas pour abuser du FDP?


*Fait inventé par un narrateur non omniscient. Ledit fait pourra être retiré si qui que ce soit le demande (Je suppose que ce sera la personne qui a volé le code du règlement plus haut sur cette page :O)

Hélas, Clea fut écartée de la reprise d’Asgard car elle avait rendez-vous avec le coiffeur… Sur une note plus sérieuse, elle était préoccupée par la Résistance et la chasse au trône. Alerte au spoiler : Dormammu a gagné.


Et Strange est pas mal nul pour mettre à jour ses ex-copines qui vivent dans une autre dimension. Depuis sa dernière visite sur la Terre, Clea a remarqué le refuge qu’a offert la Terre aux Asgardiens. Cette touche de compassion et d’entraide lui paraît très touchante. Malgré les plaintes de certains capricieux toujours affamés de bouffer des taxes au petit-déjeuner, la princesse continue de ressentir une grande empathie à l’égard des Asgardiens.


D’ailleurs, en parlant de problèmes politiques, ce qui est arrivé à Liesmith est tellement précipité que Clea en était presque survoltée  lorsque les nouvelles ont traversé les tympans de sa projection astrale à son corps dans un bain parfumé à la bombe de bain Dark Dimension dans la Dimension Noire et un trio boîte de chocolats, rosé et redbull.


Certes cet accident terroriste qui a mené à sa désinstitutionalisation semblait truqué. Mais, l’est-il ou non? Soyons sceptiques comme Clea. Un poids émotionnel lui a pesé sur le cœur en écoutant le nombre de victimes.

La première pièce était glacée, sombre, épurée : mais, nous allons dans une autre pièce aujourd’hui. La pièce rappelait la personnalité disciplinée du Prince Orini avec ses murs miroitants – presque autant que son crâne sans le moindre cheveu. L’un des derniers Mhuruuks restants après le ravage de Dormammu et d’Umar l’Indicible. La pièce ne possédait rien de spécial, à l’exception d’un portrait du Seigneur Dormammu, le roi de la Dimension Noire. Rien ne s’était déroulé dans cette pièce : des plans pour Dormammu, des livres sur les savoirs interdits, des vêtements aux tons pourpres, des archives sur ses origines.
Ce que cette pièce s’apprêtait à vivre cette nuit : c’était un spermatozoïde qui faisait la fête avec un ovule.


Vierge, Umar l’Indicible offrit ce cadeau au chef des disciples de Dormammu qui en profita largement. Le prince Orini en compagnie d’Umar l’Indicible : une histoire sans lendemain qui ne laissa que du dégoût dans le cœur de la Faltine de sang pure. Cette expérience la hantera à tout jamais, cette danse de la chair faite par la sienne avec celle d’Orini.


Cependant, Umar l’Indicible déposa une surprise à la demeure du Prince Orini une fois six cycles noirs passés : Clea, une hybride, et de surcroît, une princesse. Renié par sa mère qui ne pouvait plus retourner à sa forme physique de Faltine, ce nouveau-né demeurait dans le secret et l’obscurité. Clea connut comme premier visage celui du Prince Orini : un être distant, froid, obsédé par la souveraineté de Dormammu. Le Saint, Seigneur, Tyran Dormammu. Les cycles de la Dimension Noire passèrent avec une lenteur extradimensionnelle, très loin des siècles terrestres.


Clea grandit lentement sous le regard de son père implanta dans son cerveau le désir d’être un disciple de Dormammu à son tour. Dans l’ombre de son père glacial, dans le vide de sa mère sans visage, Clea atteignit l’âge adulte en tentant constamment de servir le Seigneur Dormammu au mieux de ses capacités. La magie lui fut une surprise amère : pire, elle ne put qu’essayer d’aiguiser le talent brut de ses pouvoirs sans pouvoir les comprendre. Son père ne put lui offrir des réponses, refusant de lui avouer ses origines malgré les changements qui se produisaient dans son jeune corps.

Dès lors, le souverain Dormammu décida de superviser l’apprentissage de la Princesse Clea, véritable héritière du trône, afin de pouvoir régner en manipulant la Princesse selon sa bonne volonté dans l’avenir. Malgré la conquête et la tyrannie, Clea fut charmée pendant les premières décennies sous la tutelle de Dormammu : peut-être un sentiment de familiarité, peut-être le seul lien dans sa vie qui put lui permettre d’effleurer son identité Faltine qui lui était inconnue depuis sa naissance.


Elle s’adonna aux exigences du souverain, toujours en créant une distance de plus en plus sévère avec son père. Comme un mirage, Orini disparut de sa pensée : croisant sa fille dans les corridors du palais, et ne pouvant voir que d’un œil trouble l’identité de sa fille se forger sous la main du tyran Dormammu. Évidemment, toute la vie de Clea orbitait autour du souverain Dormammu : en particulier, sa loyauté envers lui.


Je crois que je vais arrêter la narration ici. Je crois qu’il est déjà mortellement prétentieux de prétendre que ma vie est une histoire qui se mérite un narrateur omniscient : donc, je, Princesse Clea de la Dimension Noire, vais prendre la relève. Je suis déjà prisonnière de cette sous-dimension dans une prison qui me prive de tous mes pouvoirs : alors, je vais élaborer sur la rencontre qui a ruiné ma destinée de gouverner le trône de la Dimension Noire. Cette personne est celle qui hantera mes jours jusqu’à ma mort, cette personne est celle qui a volé la vie de mon cœur pour se l’approprier, cette personne se nomme Stephen Strange.


Maintes fois, Strange a affronté Dormammu afin de l’empêcher de conquérir la dimension de la Terre. Leurs combats continuaient de plein feu, et ils se téléportèrent dans la Dimension Noire afin de continuer leurs péripéties. Première témoin de cet affrontement, je me précipitai devant le héros afin de tenter de le dissuader d’affronter le Roi. Dormammu était le Sorcier Suprême de la Dimension Noire : il était trop puissant pour quiconque. Je ne voulais pas voir cet étranger mourir dans mon royaume sous les mains tyranniques de Dormammu. Je tentai au meilleur de mes capacités de le convaincre de retourner dans sa dimension, mais le Souverain de la Dimension Noire reprit les devants en jetant une offensive au sorcier terrien.


J’avais l’habitude réfléchir à mes actes, à m’assurer d’effectuer les bons choix afin d’arriver à mes fins, mais ma stratégie m’a joué un tour. Mes mains ont jeté un sort contre le Roi : ouvrant une voie de sortie à Strange pour prendre la fuite et demeurer en vie.


Aussitôt, Dormammu se retourna contre moi pour m’emprisonner pour haute trahison envers la couronne. À cause de mon erreur, je me retrouvai prisonnière d’une sous-dimension isolée de la Dimension Noire. Chaque jour, j’attendis la suite sans avoir une seule once de lumière. Je me sentais comme un outil brisé : je n’avais pas servi mon Roi au moment opportun, j’avais penché du côté d’un sorcier humain. J’étais tombée dans la folie, c’était certain.


Pendant un long moment, rien ne se produisit : je commençai même à méditer dans un vide si profond qu’aucun vent de ce désert de glace ne me causait plus de souffrance. C’est ainsi que Dormammu apparut pour me ramener dans la Dimension Noire. À ses côtés, je découvris le terrien. Sans comprendre pourquoi mon emprisonnement était interrompu par cet échange, je tentai de parler, mais le Roi prit d’abord la parole.


« Je jure sur mon honneur de ne plus conquérir la dimension de la Terre. »


Le regard de feu du Roi perçait les iris du sorcier suprême de la Terre qui regardait toujours les actes de son ennemi avec suspicion. Je devinai que Strange avait forcément aidé mon Roi dans un combat difficile pour voir une telle alliance sous la lumière du Soleil Noir. Ensuite, Dormammu déposa son attention sur moi :


« Regarde, Sorcier. J’ai tenu ma deuxième promesse. Femelle, tu es libérée, mais tu ne seras plus ma protégée à présent. Je n’oublierai jamais ta trahison. »



Sans un mot, je ne pouvais pas combattre les souhaits du souverain. Strange se téléporta dans sa dimension, et je sombrai de nouveau dans les affres de ma vie royale dans la Dimension Noire. Mon père ne m’adressait plus la parole suite à ma trahison, mes servantes n’osaient plus discuter de leurs secrets en ma présence. Je créais le froid dans la salle de réception par ma simple présence. Je devins sourde et muette, presque aveugle quand le Seigneur Dormammu prétendait que j’étais un animal de compagnie. Les cycles de la Dimension Noire continuèrent de tourner, mais l’espoir vain de revoir ce terrien sommeillait en moi. Derrière l’humiliation d’avoir trahi la couronne pour suivre une impulsion vulgaire, celle d’avoir un sentiment de justice.


Mais, Stephen Strange revint dans la Dimension Noire une deuxième fois. Et, une fois de trop, je choisis de faire alliance avec lui malgré mes doutes, malgré ma foi en Dormammu et en mon paternel. Je brisai tous mes serments à l’égard de la couronne en ne quittant plus les côtés du Sorcier Suprême de la Terre. Un combat à la suite de l’autre, je pris le parti de Strange devant ma famille et mes sujets. Je ne compris pas comment, mais le sorcier sembla prendre pitié de ma personne en me prenant sous son aile. Un lien étrange se créait entre nous, et d’être en sa présence me donnait un état maladif en permanence.


Éventuellement, Umar l’Indicible apparut dans la Dimension Noire afin d’usurper le trône de Dormammu. Cette occasion fut possible suite au bannissement de Dormammu dans une sous-dimension isolée de la Dimension Noire opérée par Stephen Strange. Umar ne possédait pas de forme Faltine, et je m’intéressai à sa condition. Mais, je n’eus jamais l’occasion de la questionner à la suite de la haine féroce qu’elle m’adressa sans une seule parole échangée. De plus, Umar me prit en otage sans difficulté. La princesse en détresse, c’est un cliché dans le monde humain, je le sais bien. Je compris lors de ma capture par Umar que la sœur de Dormammu désirait prendre vengeance sur Strange. Avec tout son courage, Strange put me secourir des griffes d’Umar l’Indicible.


Ainsi, Strange voulut me protéger d’Umar qui voulait à tout prix ma mort. Lors d’une discussion avec son mentor, Strange conclut que m’envoyer dans une des sous-dimensions de la Dimension Noire serait la stratégie la plus sécuritaire pour ma protection. C’est ce qu’il fit l’heure suivante, non sans joindre ses lèvres aux miennes dans la terreur « de ne plus jamais me revoir. » Je m’évaporai, je me sentis me décomposer. Mais, je demeurai malade de lui – de retrouver sa présence.


Je repris conscience sous le regard enflammé de magie de Dormammu. Je tentai de m’échapper, mais il fut plus rapide. Je redevins sa prisonnière. Le souverain banni préparait déjà son retour dans la Dimension Noire en préparant des plans maléfiques de conquête.


C’est alors que je compris que mon Roi avait une âme sombre, noire, liée aux forces mystiques de la Dimension Noire elle-même. Il me témoigna de notre différence, et refusa de me partager ses motifs d’avoir favorisé mon éducation pendant ma croissance. Strange revint me secourir de Dormammu en déjouant tous ses plans. Dormammu demeura haineux dans sa solitude et ses manigances au creux de cette sous-dimension glaciale de la Dimension Noire. Strange réussit à dissoudre l’essence magique de Dormammu en le divisant au cœur de plusieurs sous-dimensions prisonnières d’autres dimensions.


Puis Strange m’emmena dans sa dimension, la Terre. Pour la première fois. Il m’invita, ou plutôt m’obligea, à vivre avec lui au Sanctum Sanctorum pour me protéger des autres membres de la royauté de la Dimension Noire. Comment pouvais-je résister à l’appel de mon âme à l’égard de Strange?


J’étais malade de lui, malade pour lui : l’appétit et le sommeil m’avaient quitté, les sorts s’enchevêtraient, les souvenirs de lui resurgissaient avec agressivité dans ma tête pour me créer une obsession envers lui. Mon état ne parut guère inaperçu: Strange m’offrit l’occasion de devenir son disciple. Et, au fil des semaines du temps terrien, je commençai lentement à guérir de ma maladie en compagnie de Strange. Ce qui m’aida fut son toucher : il commença par me prendre la main, par prendre possession de mes lèvres. Au final, il se rendit jusqu’à ma virginité. Et je ne dépeindrai aucun détail là-dessus. L’imagination des murs de cette prison doit être suffisante.


Au fil de notre relation qui se créait, évoluait, ma maîtrise des arts occultes se perfectionna au point d’égaler presque les compétences de mon mentor et partenaire. Lors de nombreuses missions, j’accompagnai Strange pour lui offrir mon support et mon aide contre ses ennemis. Tout mon thorax semblait vide quand je le quittais pour passer du temps seule. Pire, je m’aperçus de cette dépendance assez tôt : Strange était un terrien, mais ma fidélité envers lui était plus forte que celle que j’avais envers ma famille, ma propre dimension. Je me servis de ma faiblesse pour la contrecarrer : je m’isolai dans l’indépendance, refusant de partager ma chair avec celle du Sorcier qui semblait tant aimer les actes charnels.


Voir mon indépendance croître au sein de de la dimension de la Terre, Strange voulut m’apprivoiser de nouveau pour me rappeler mes origines, mon passé de princesse en détresse. Mais, je refusai un jour après l’autre de le retrouver dans ses quartiers : je voulais être seule... Ma deuxième raison était certaines trouvailles suspicieuses : des bijoux, des sous-vêtements, des rendez-vous bloqués sur son agenda. Étaient-ils des hallucinations? Je ne réussis jamais à deviner ces objets, mais le sentiment amer laissé dans ma poitrine me poussa à rompre ma relation avec mon mentor, avec mon Amour. Une nuit charnelle de folies passagères sembla rassurer Strange sur mes intentions, mais la lettre que je lui laissai à son réveil révéla la cruauté de mes désirs les plus profonds : libérer mon peuple de la tyrannie d’Umar l’Indicible.


Je me téléportai dans la Dimension Noire pour mettre en plan la Résistance. Dès lors, la levée des Rebelles commença. Je travaillai durement à rassembler des sujets pour former une armée, et je réussis à mettre dans mon clan mon père Orini grâce à l’aide de Strange. Lors de leur retour, Strange semblait sombre. Je découvris la vérité plus tard : pour l’heure, je devais combattre Umar l’Indicible un contre un. Je possédai la victoire et le trône un court instant, à peine une minute pour frôler la couronne et le pouvoir des Flames Faltines, car Umar déjoua mes plans en créant le retour de Dormammu.


Aussitôt, Dormammu mit à feu et à sang la Résistance. Je retournai en exil sur la Terre, pendant que mon père Orini fut placé en prison dans une sous-dimension de la Dimension Noire. Encore aujourd’hui, je n’ai plus de nouvelles de lui. Incapable de supporter les sentiments surprotecteurs de Strange, je m’exilai de lui et du Sanctum Sanctorum. Je pris congé des troubles de la Terre, de la Purge, de leurs troubles politiques, de leurs fins du monde répétées, de leurs nouvelles sensationnalistes comme de leurs dépressions.


Je trouvai une sous-dimension dans la Dimension Noire, l’Edelweiss, complètement vide de vie et véritable désert de glace pour la survie. Je m’y cachai un temps pour trouver l’apaisement : mais, Strange me retrouva. Strange me brisa. Le Sorcier Suprême de la Terre me révéla la vérité sur ma famille : l’identité de ma mère, l’identité de mon oncle. Je bannis Strange à partir de ce moment : même si j’étais malade de lui pour la vie, je ne pourrai plus supporter de le voir.


Revenant éventuellement sur la Terre pour admirer de loin les exploits des Avengers, je revêtis des vêtements normaux pour me fondre dans la foule. Dès ma première journée de liberté, ma respiration devint plus lente, plus légère : je rangeai mes grimoires au profit de vrais livres sur les sujets de la culture des humains, je découvris les joies du shopping, des arts des besoins fondamentaux de l’être humain : respirer, boire et manger, éliminer, se mouvoir et maintenir une bonne posture, dormir et se reposer, se vêtir et se dévêtir, maintenir son corps dans les limites normales, être propre et soigné et etc…


Je n’étais qu’une apprentie terrienne, mais je voulais oublier la Dimension Noire. À présent, j’acceptais ma défaite avec la Résistance : j’étais une princesse en exil de son propre royaume soumis à la tyrannie d’Umar et de Dormammu…Ma mère et mon oncle… Non, je ne dois plus y penser. Déjà, il est temps pour moi de quitter mon Edelweiss. Mon quart de travail commence bientôt dans un des restaurants les plus huppés de NY Town : leur spécialité est la cuisine italienne. Je me téléporte dans une ruelle vêtue en terrienne, prête à reprendre l’identité d’une autre Clea, celle qui a vécu sur Terre dans une famille normale et paisible, celle qui n’est pas malade d’un terrien…Celle qui sourit tous les jours sans se soucier du futur de la Dimension Noire.


Je devrais m’acheter un animal de compagnie. Je pensais prendre un petit cochon. Qu’en pensez-vous?