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Steven G. Rogers - I can do this all day

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Mer 21 Juil 2021 - 0:33
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feat Chris Evans

Steven G. Rogers

 

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Carte d'Identité
Captain America4 juillet 1917, Lower East Side, New York102 ans mais 35 ans environ en apparence Avenger, soldat à ses heures perduesCélibataireHétérosexuelDessin, Combat, Lecture, le cinéma lorsqu'il avait encore du temps pour cela. Héros

 
Caractère

  Tout aurait pu pousser Steve à devenir un homme lambda, voire une racaille de bas étage lorsque l’on connaissait la vie qu’il avait menée avant de devenir celui que beaucoup adulaient. Et pourtant, Steven était l’homme le plus droit que l’on pourrait croiser même après un siècle passé. Que ce soit dans un premier temps vis-à-vis de son pays, puis de ses amis et enfin de ses valeurs, il faisait preuve d’une loyauté sans faille, qui le poussait parfois à tenir tête et défendre sa cause avec fermeté. Dirons nous que l’âge l’a rendu un peu têtu… A moins que cela s’appelle l’expérience de la vie. Peu lui importait lui qui était habité par une détermination qui l’avait mené à cette vie ci. Il n’abandonnait jamais depuis son plus jeune âge. Lui qui se laissait aller dans son monde imaginaire où rien ne lui était impossible, faisait en sorte que cela se réalise.

S’il y a bien une chose que les années n’ont pas changé lorsque l’on entend parler du Captain est l’éloge de son dévouement pour la cause des plus faibles.  Même lorsqu’il n’était qu’un être  malingre, il n’avait pas peur de s’interposer entre les coups cinglants de plus forts que lui pourvu que la personne visée s’en sorte indemne. Il a toujours eu en horreur cette injustice et cette loi du plus fort. Personne n’était parfait, pas même lui et il s’évertuait à se souvenir d’où il venait et par où il était passé pour ne pas tomber dans un excès de confiance. Il avait toujours été humble et faisait tout pour le rester.

Après l’injection du sérum du super-soldat – qu’il n’avait pas mis longtemps à accepter, prêt à tout pour servir son pays – il représentait un symbole pour l’Amérique  en ce temps de guerre. Celui d’un homme intègre et patriote, fier d’afficher ses couleurs et ses valeurs. Toute cette maturité morale mêlée à ses capacités physiques extraordinaire fit de lui un leader né. C’était presque une évidence pour Rogers de mener des hommes au front, lui en première ligne. Il avait une parfaite connaissance des pratiques militaires et un esprit très tactique pour mener au mieux les combats qui se présentaient à lui. Malgré tout, il n’était pas à l’abri d’une erreur il le savait et savait également se remettre en question quand il le fallait.

Il n’avait rien perdu de son amour pour le dessin et l’art en général à sa sortie d’hibernation mais même si l’adaptation faisait partie de sa mission, il préférait largement regarder pour la énième fois « The Dictator » que ces nouveaux films bourrés d’effets spéciaux en tout genre. Il était resté très probablement vieux jeu mais qu’à cela n’en tienne, il croyait fermement que sa génération était l’une de celles qui maniait le mieux les bonnes manières et le romantisme. Même si son cœur n’était pas occupé, il regrettait parfois le bon vieux temps des bals musettes, de ces valses à quatre temps et de ces soirées où le temps s’arrêtait et les rires s’élevaient, l’esprit plus léger.  Mais quand cette douce mélancolie le prenait, Steve se rappelait à son devoir : servir son pays.

 

Pouvoirs & capacités

 Physiquement, personne n’aurait misé un dollar sur Steven Rogers lorsque ses pas le firent s’avancer vers le stand de recrutement pour rejoindre l’armée américaine. Personne sauf le général Chester. C’est pour dire que Steve partait de très loin d’un point de vue capacité physique. Mais après tout, avant d’avoir des bras, il avait l’esprit. C’est pourquoi il fût choisi pour cette fameuse « Opération Renaissance » durant laquelle le sérum du super-soldat lui fût injecté avant d’être soumis à ces fameuses radiations. En soit, il n’est pas devenu un mutant ou autre non. Il est simplement LA version améliorée d’un homme normal, sans les défauts liés à la condition physique humaine. Il combine à lui seul une vitesse, une force, une agilité et une endurance extrêmes, ce qui jusqu’à lors était impossible pour un seul et même homme.

Ces courses qu’il ne pouvait terminer avant cette transformation étaient devenues monnaie courante, le chétif Steven s’était transformé en colonne de muscles, ne calculant plus le moindre effort. Ses coups détruisaient des sacs de sable sans lever le pouce ou lui permettaient de soulever trois tonnes en développé-couché, sa vitesse pouvait lui permettre de rattraper n’importe quel être humain lors d’une course poursuite voire une voiture ne dépassant pas les cinquante kilomètres par heure. Enfin et vous l’aurez compris, n’importe quel athlète désirerait posséder les mêmes capacités. Ce sérum lui permis également d’amplifier ses sens moraux et son intelligence, lui permettant de mémoriser et d’apprendre plus aisément ainsi que de proposer des réflexions plus poussées, pour mener à bien plusieurs combats. De plus, il apprit bien rapidement à piloter des avions en tout genre ou d’autres véhicules. D’ailleurs, il ne quitte jamais sa Harley durant son temps libre, si ce n’est qu’il en ait.

Rogers dispose également d’une faculté de régénérescence cellulaire élevée, ce qui lui permet de cicatriser plus rapidement de certaines blessures tout comme de récupérer plus rapidement des efforts qu’il peut fournir. A cet avantage, se trouve bien entendu divers inconvénients : Steven est insensible à la moindre substance chimique ou moléculaire. Autrement dit, il ne risque pas d’être empoisonné ni intoxiqué. Il peut également dire adieu aux possibles gueules de bois qui ont l’air relativement à la mode dans la jeunesse actuelle. Aucune chance pour lui également de tomber malade ou d’être hypnotisé. Il était d’une imperméabilité quasi-parfaite à son environnement.

Malgré tout, Steven était un acharné du travail et il mit bien rapidement ses capacités à profit devenant ainsi un expert inconditionné du combat rapproché. Il savait manier les calibres mais appuyer sur la détente n’était pas sa passion non : Il voulait user de ses talents et de ses connaissances pour venir assener le dernier coup sans forcément être fatal. Il avait appris toute une panoplie d’arts martiaux divers et variés pour constituer son panel à lui-même. Il ne comptait plus les heures passées à s’entraîner et encore aujourd’hui, il continuait de s’infliger la même rigueur.

Mais que serait Captain America sans son fameux bouclier ? Cette arme, ronde et composée uniquement de vibranium qui fût construite pour le protéger et qui par l’usage devint une arme à part entière. Par le travail, Steven parvint à le maîtriser parfaitement tant d’un point de vue offensif que défensif à l’aide de la légèreté du matériau qui lui permet une meilleure maniabilité. Malgré tout, il constitue une véritable protection pour Rogers. Car oui, ce matériau permet au Captain d’encaisser les balles, les ondes et les vibrations diverses et variées sans risque de céder. Ajoutez à tout cela une petite touche patriotique en son sein avec le drapeau américain et vous aurez l’arme la plus sympathique dont pouvait disposer Steven.

  Derrière le masque, y a qui ?
 
Prénom/PseudoBoomerang, je reviens après qu'on m'ait jeté  :mwahaha: AgeCa ne se demande pas...Code règlement Validé par la RouqinePv, scénario, marvel ou inventéPVComment as-tu atterri ici ?On revient toujours à domicileFréquence de connexion2-3j par semaine
RemarquesRemerciez la déesse Natasha pour 1) m'avoir convaincu de revenir, 2) reprendre et poster cette fiche  Steven G. Rogers - I can do this all day 2619555490 (quel plaisir de s'auto-complimenter)

 
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Mer 21 Juil 2021 - 0:33
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  Approuvez-vous le gouvernement précédent et les décisions qui ont été prises par rapport à l'évacuation et le sacrifice de New York ? Comment vivez-vous le changement de ville, si vous venez justement de New York ? Avez-vous réussi à reprendre un train de vie plus ou moins normal, avec l'amélioration du camp de réfugié en quartier naissant nommé NY Town ? Si vous viviez déjà à Los Angeles, comment voyez-vous l'arrivée de ces réfugiés installé ici depuis un an à présent ?

 
New-York. On ne peut jamais réellement accepter la destruction de sa ville natale, peu importe les souvenirs que nous en gardions. C’est ce que Rogers comprit lorsqu’il vu qu’il n’y aurait réellement rien à faire pour sauver ce qu’il restait de son ancienne vie. Il était amer à l’idée de voir une ville entière se faire sacrifier comme un pion sur un échiquier. Mais de quoi devait-il se satisfaire ? Du nombre de vie sauvée par ce sacrifice ? Il fallait pour cela voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Et pourtant il était du parti de ceux qui pensait qu’une vie restait une vie et que toutes les autres méritaient au même prix d’être sauvées.  Rogers avait été le premier a mené les troupes là encore. Le premier jusqu’à ce qu’il se retrouve à terre, comme si la boucle était enfin bouclée. Le petit gars de Brooklyn qui retombait comme à l’époque sur les terres new-yorkaise. C’était ce qu’il s’était dit durant ses dernières pensées avant que Bucky ne le tire d’ici.

Los Angeles n’est pas un endroit forcément désagréable lorsque l’on a côtoyé les fronts durant la guerre, mais la mélancolie de son New-York le prenait parfois. Cependant, il tâchait de faire des efforts pour découvrir son nouveau lieu de villégiature, sachant pertinemment qu’il ne retrouverait pas ce qu’il avait.  


  Suite aux élections qui ont eu lieu et malgré le bilan plutôt positif de la présidence de Liesmith, c'est la candidate Ophelia Sarkissian et son jeune parti, le Free Democratic Party, qui a obtenu la victoire, faisant d'elle la nouvelle présidente du pays. Quelle est votre opinion sur cette femme et ce nouveau parti ?

 
Comme pouvait le dire Machiavel, « En politique, le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal ». Rogers n’avait pas encore choisi qui entre Liesmith et Sarkissian se trouvait être le moindre mal mais une chose était sûre pour lui : Il ne favoriserait aucune des deux personnes. Il avait déjà été utilisé comme objet de propagande et s’était rendu compte qu’il valait mieux prendre un tiers des paroles de ces politiciens pour argent comptant plutôt que de leur offrir une confiance absolue. Rien que le nom du parti politique pouvait dresser les poils de Steven et pourtant il n’avait pour l’instant fait aucun commentaire sur cette victoire. Il préférait se faire une opinion argumentée de cette nouvelle présidente et faire ce qu’il savait faire de mieux : être proche de ses amis et encore plus proche de ses ennemis… Sacré Machiavel.


• Avez-vous participé à la tentative de reprise d'Asgard ? Si oui, quel est votre opinion dessus, comment vous en êtes vous sortis ? Si non, quel est votre avis sur les Asgardiens et leur présence ?
• Durant la campagne présidentielle, l'un des meetings en faveur du candidat John Liesmith a été frappé par un attentat à la bombe terrigène, causant de nombreuses victimes. Quelle a été votre réaction ce jour là et qu'en pensez-vous ?
• Mutants : La Confrérie se regroupe et se restructure sans Magneto. On dit qu'elle a repris son recrutement actif, y compris au coeur du nouvel Institut et des infrastructures d'intégration des mutants à Los Angeles. De quel côté êtes vous ?

 
Comment aurait-il pu se regarder dans un miroir pour les jours qui lui restaient à vivre s’il n’était pas monté à bord de ce vaisseau pour aller délivrer son ami, Thor. Il avait bien traversé la Terre entière pour Bucky alors l’espace… Il n’était plus à cela près. Il ne savait pas si les forces des quelques personnes rassemblées seraient suffisantes pour mener à bien ce combat. Et malgré la lutte acharnée, les blessures accumulées, le résultat était malheureusement en demi-teinte et il s’en voulait personnellement, comprenant la peine que cela pouvait causer aux Asgardiens de voir leur terre toujours occupée. Il ne savait pas comment lui-même pourrait réagir s’il se retrouvait dans la même situation.  Enfin, les prisonniers furent libérés, voilà la seule chose dont il pouvait se satisfaire dans l’exécution de cette mission.

Un attentat durant une campagne présidentielle ? Un drôle goût de déjà vu pour Rogers. Il ne savait pas si cela ressemblait à un coup de poker du parti sortant ou bien un coup d’état du nouveau parti qui prenait part à la course politique. Steven n’avait jamais été fan de ce genre de meeting et fût presque impuissant d’assister à cette scène en direct à la télévision, s’en voulant presque d’avoir écouté ses convictions au détriment de ce pressentiment qui l’avait tiraillé quelques jours auparavant. Malheureusement il n’avait eu que  la possibilité de faire le deuil de ces victimes et de se promettre d’être plus attentif à tout ce qui pourrait être de nouveau un risque pour son pays et ses habitants.

Rogers ayant toujours un œil sur les actualités, il a bien entendu parler de la restructuration de la Confrérie des mutants. Il n’avait pas d’avis tranchés sur ces derniers si la sécurité nationale n’en pâtissait pas. Il ne laisserait pas les évènements antérieurs se reproduire ici même à Los Angeles.


 
Votre histoire

 

  Le 4 juillet n’est pas seulement la fête nationale américaine non. C’est aussi le jour de naissance de Steven Grant Rogers dans les années 1917. Il fût le fruit d’un amour entre Joseph Rogers – Militaire au 107ème régiment d’infanterie – et Sarah Rogers – une infirmière décédée en étant souffrante. Autrement dit, Rogers a eu peu de temps pour savourer la présence de ses parents face à un père sombrant dans l’alcoolisme et une mère s’acharnant au travail pour payer les dépenses de ce couple irlandais. Steven était un enfant fragile, souvent malade mais qui ne cessait de s’accrocher à cette rage de vivre. Et même si la vie le rendit orphelin très tôt, il n’arrivait pas à la détester non. Il préférait s’en éloigner, s’accrochant à son imaginaire débordant et aux mondes qu’il créait, dessinait et s’appropriait. S’il y a bien une chose que Rogers ne devait envier à personne, c’était sa force de caractère. Peu lui importait d’être le plus petit, le plus fragile, de devoir s’adonner à des inhalations de Ventoline quand il prenait ses jambes à son cou pour échapper aux brutes épaisses qui faisaient de lui leur punching-ball préféré. Non lui ce qu’il voulait c’était que la loi du plus fort ne cesse même s’il devait lui-même se faire ratatiner pour protéger autrui. Une question de valeur. Et en parlant de valeur, l’amitié naissante entre Barnes et lui-même durant ces années là fait aussi partie des preuves de l’attachement de Rogers pour ces simples vertus. Il n’avait pas beaucoup d’ami  voir même pas du tout mais il ne pouvait expliquer réellement le lien qui le reliait à Bucky, lui qui s’était interposé plus d’une fois durant des bagarres pour éviter que Steve ne se fasse écraser la boîte crânienne contre le bitume new-yorkais.  Mais ce n’est pas cette partie de son histoire que vous désirez connaître n’est-ce pas ? Quel intérêt premier porteriez vous à ce rachitique artiste en devenir qui voulait imager vos vies de bandes dessinées en tout genre ? Aucun avouez le, même lui-même aspirait à mieux durant la Seconde Guerre Mondiale.

Il avait tenté sa chance dans plusieurs villes, falsifié son dossier tant bien que mal pour tenter d’entrer dans les rangs des soldats et partir au front. Mais ce n’était pas dans le régiment qu’il escomptait qu’il fût accepté contrairement à Barnes qui fût pris dans le 107ème régiment d’infanterie.  C’était dans un programme « spécialisé » qu’un dénommé Docteur Erskine l’envoya, certain que les qualités mentales de ce jeune homme vaudraient bien plus que les gros bras de tous les autres participants du Projet Renaissance. Il ne fallut pas longtemps à Steven pour prouver son courage en se jetant sur une grenade, son intelligence en réussissant à récupérer ce fameux fanion qui lui permit de rentrer au camp au sein de la jeep et en compagnie de Peggy Carter. Il remerciait d’ailleurs ce projet d’avoir mis la jeune femme sur sa route même ne serait-ce qu’un court instant. Après des semaines d’entraînement, de dépassement de soi et d’accomplissement, Steven fût emmené pour l’aboutissement de ce projet et sa transformation en super-soldat par le Docteur aidé d’Howard Stark qui avait confectionné la machine qui allait changer la vie de nombreuses personnes si cela fonctionnait. Rien n’était forcément agréable dans cet essai pour Steven et la douleur atroce aurait pu tenter les scientifiques de stopper le processus.  C’était sans compter la persévérance de Rogers qui voulait arriver jusqu’au bout du processus, passant outre la douleur comme par habitude. Et il ne le regrettait pas, une fois les portes ouvertes… Enfin jusqu’à l’assassinat d’Abraham Erskine par un homme de main d’Hydra… Rogers venait de découvrir son ennemi en même temps que l’étendue de ses nouvelles capacités.

Mais quelle ne fût pas sa déception quand le Colonel Philips refusa catégoriquement d’intégrer Rogers en tant que Super-Soldat au front. Il avait un meilleur projet pour lui : le transformer comme objet de propagande durant cette guerre dévastatrice pendant qu’Hydra et les nazis faisaient leur petit bout de chemin sans que personne ne puisse les déranger. Steven se baladait de ville en ville, un bouclier muni du drapeau américain à la main pour déblatérer des propos sur les obligations de guerre. Rien qui ne l’enchantait guère, et encore moins lorsqu’il devait se donner en spectacle devant ses pairs du 107ème régiment d’infanterie du moins ce qu'il en restait. Peggy Carter venait déclencher un front de rébellion auprès de Rogers en lui apprenant qu’une partie de ce régiment était retenu par les nazis et que rien ni personne ne voulait actuellement les sauver.  Barnes faisant parti des détenus, c’était donc sans une pointe de réflexion que « Captain America » parti à l’assaut de la base d’HYDRA pour sauver ces troupes.  En plus d’avoir récupéré son meilleur ami, Rogers se retrouva face à ce qu’il aurait pu devenir en acceptant l’offre d’Erskine : Johann Schmidt – alias Crâne Rouge – qui avait à l’époque forcé le Docteur Erskine de lui injecter le sérum. C’est à ce moment là que Rogers comprit réellement pourquoi le Docteur apportait tant d’importance à la part de mental plutôt qu’au physique : il faisait ressortir le meilleur de Steven mais avait fait ressortir le pire de Schmidt. Rogers ramena l’intégralité des prisonniers du 107ème régiment dont son ami Barnes et n’imaginait  pas à son retour à la base que les choses allaient changer pour eux.  Le groupe d’intervention des Howling Commandos naquit avec comme ennemie prioritaire : HYDRA et ses bases. Les assauts furent effectués en masse, revenant souvent victorieux jusqu’à celui sui sonna la fin d’une époque. Le plan était pourtant simple même si Schmidt n’était pas la cible cette fois ci, ils avaient en ligne de mire un de ses biochimistes – Arnim Zola – à capturer et ramener  ainsi qu’un train d’HYDRA à intercepter. Mais qui aurait pu imaginer que cette mission aurait dérapé de la sorte ? Rogers se retrouva face à ce qui aurait du être son remerciement pour toutes ces fois où Bucky lui avait sauvé la vie. Il n’avait que sa main à rattraper mais ne put la saisir à temps. Il venait de perdre son ami au profit de sa mission mais il n’en perdit pour le moins pas l’objectif. Même si son cœur était serré lorsqu’il se trouva à bord de cet avion et en communication avec Peggy Carter, il n’hésita pas longtemps avant de le faire plonger au beau milieu de l’Arctique même s’il devait en périr. Un dernier acte de bravoure pour sauver sa patrie d’une explosion imminente et détruire le Tesseract.


L’histoire aurait pu se terminer ainsi, laissant à Rogers tout les mérites d’un conflit déjoué, des honneurs de la nation et le sentiment d’avoir réussi à faire de sa vie un modèle d’exemplarité. Howard Stark avait lancé des dizaines de missions en Arctique à partir des dernières coordonnées GPS recueillie avant le crash de l’avion, Rogers ne fut retrouvé que près de soixante-dix ans après sa disparition par le SHIELD. La mise en scène aurait pu être parfaite si la mémoire de Steve avait été touchée par les années. Et pourtant il comprit rapidement qu’il n’était pas dans le New York qu’il avait quitté et dû se faire à l’idée des changements que sa ville natale avait connu tout comme sa vie personnelle. Adieu Carter et tous ses camarades de guerre. Il aurait du lui aussi être mort depuis quelques temps ou en fin de vie et au lieu de cela il se retrouvait toujours dans la peau de ce jeune homme plein d’énergie qui avait détruit plusieurs bases d’HYDRA au beau milieu des années 2010. Il fût gardé par le SHIELD qui lui offrit la possibilité de rattraper son retard temporel, technologique et surtout un toit. Il pensait que sa vie serait vouée dorénavant au calme plat jusqu’à ce que Nick Fury Jr vienne lui demander de revêtir de nouveau le costume de Captain America pour une question de sécurité nationale. Fury expliqua le projet Avengers à Rogers qui comprit que ce qu’il pensait avoir détruit – le Tesseract – était de nouveau au cœur d’un conflit mais cette fois ci avec des extraterrestres. Les Chitauris – menés par Loki – vinrent pour la première fois envahir New-York. Prendre la tête de l’équipe fût presque une évidence pour Rogers mais les égos de certains rendirent la tâche plus compliqué. Il fallut que Loki ne vienne poignarder l’Agent Coulson en plein cœur pour faire comprendre à cette bande de super-héros que leurs différences valaient la peine d’être dépassée et mise à profit dans le but d’abattre un ennemi commun. Et pourtant là encore, la seule chose qui importait le Captain était de sauver sa ville, sa nation en évitant les dommages collatéraux. Ce pour quoi le Docteur l’avait choisi en quelques sortes. Ce jour là, Rogers comprit également que les politiciens avaient parfois tendance à vouloir sacrifier des hommes pour redorer leur image au nom du sauvetage de la nation. De justesse, la Terre fût sauvée, les Avengers formés et Rogers en prit officiellement la tête.

La population américaine eut le temps d’un instant de nouvelles personnes à idolâtrer, se sentant invincible et Rogers se promit intimement de ne pas redevenir l’objet de propagande qu’il fût durant la seconde guerre mondiale. La tranquillité dura quelques mois à peine durant lesquels Rogers accepta de travailler pour le SHIELD non pas parce qu’il leur était redevable, mais parce qu’il trouvait leur cause noble pendant un temps. Rogers avait toujours pour habitude de garder un œil sur les évènements qui pouvaient mettre en danger l’équilibre terrestre acquit lors de la bataille. Il ne pût que désapprouver la tentative de prise d’otage par la Confrérie des Mutants contre le maire de New-York, les revendications évoquées étant quelques peu égocentriques à son sens. Ce qui le marqua le plus fût l’annonce de la mort d’Hank Pim, scientifique dont le nom était revenu plus d’une fois dans les dossiers que lui avait donné le SHIELD pour améliorer ses connaissances sur le monde actuel. Et rien ne le surprit plus que de voir que l’opinion publique était en train de se scinder en deux camps distincts : les pro-mutants et les anti-mutants. Enfin non, là n’était pas la surprise pour lui. Elle résidait dans le fait que les Avengers devenaient critiqués et montrés comme dangereux pour la nation, eux qui s’étaient sacrifiés pour l’Amérique. Une fois encore, les décisions prises par le gouvernement laissaient à désirer, eux qui pensaient que de mener une politique répressive était la solution pour calmer les émeutes qui naissaient à chaque coin de la ville de New-York. Le SHIELD envoyait ses troupes pour calmer ces esprits échauffés tandis que le Sénat promulgua la loi de régulation des Mutants. Cette loi donna naissance au Projet SENTINELLES. Malgré la pression du Gouvernement qui souhaitait pouvoir bénéficier du soutien des Avengers, Rogers se montra catégorique quitte à devoir abandonner son rang au sein du SHIELD : Il ne participerait pas à cette purge et ne donnerait pas son image à cette mascarade politique. Cela allait à l’encontre de ses valeurs de justice et  de liberté qu’il défendait depuis longtemps. Pour lui ce n’était pas une action de protection que menait le Gouvernement mais c’était surtout la possibilité pour ce dernier de tenir son peuple en répandant la peur et il était hors de question pour Steven d’accepter cela. Il ne se cachait plus aux yeux de tous, contestant avec foi les agissements du Gouvernement. Pourtant cela ne stoppa pas le projet en cours, un couvre feu étant mis en place et des dizaines de sentinelles déployées partout. Rogers connaissait les déboires de la guerre et savait que cette Purge en prenait tout droit le chemin. Il avait été un temps protégé par la loi puis décrété comme ennemi de la nation tout comme ses anciens partenaires ou tout être mutant. Rogers passait son temps tantôt à se cacher tantôt à vouloir aider certains humains qu’il pensait être en danger par cette répression gouvernementale. Il avait l’impression de vivre un véritable cauchemar, retrouvant les mêmes méthodes de délation, d’attentat et de prise de pouvoir du gouvernement que durant la seconde guerre mondiale. Et quelle ne fut pas sa surprise d’apercevoir un fantôme du passé dans les rangs de l’ennemi cette fois-ci : il n’avait pas rêvé mais James Barnes était bel et bien présent au côté de la Purge, lui qu’il pensait mort il y avait de cela soixante-dix ans. Une fois encore les choses ne se passèrent pas comme prévue dans le meilleur des scénarios. Les sentinelles tiraient à tout va sur la population – qu’elle soit humaine ou mutante – et cette dernière montait un front de rébellion prête à renverser la politique actuelle. Deux longues années pour venir à bout de cette guérilla gouvernementale.

La Purge n’étant plus d’actualité mais laissant des traumatismes chez tous les citoyens américains, Rogers avait une autre mission à mener à bien, cette fois-ci plus personnelle : retrouver la trace de James Barnes. Rogers avait toujours en lui cette amertume de ne pas avoir pu le sauver de ce train en marche et il se rendit compte que toute cette rancœur qu’il éprouvait envers lui-même n’était que mensonges en réalité. Il avait besoin de réponse mais surtout de revoir son ami, le seul lien qui pouvait encore le relier à sa vie passée. Alors il avait passé des nuits blanches à faire des recherches, à tenter d’utiliser certaines de ses connaissances pour obtenir des traces de Bucky voir même de Natasha qui avait su le guider sur des possibles pistes. Mais en vain, Rogers parcouru la Terre entière à la recherche de son ami, gardant toujours un œil impuissant sur les évènements qui marquaient la vie des États-Unis. Un nouveau gouvernement mené par John Liesmith entra en vigueur avec la majorité des suffrages, promettant le retour au calme pour la nation. Les Vengeurs dont faisait parti Rogers furent remplacés par une seconde édition pour compenser l’image déplorable que le peuple avait eu d’eux pendant la Purge. Et pour faire dans l’originalité, ce groupe – qui n’avait rien à voir selon le président lui-même avec les Sentinelles dont le pays venait de se débarrasser – fut nommé les Vengeurs II. Il eut même l’impression de faire parti pour la première fois de sa vie du clan des parias et se félicita même de ne pas se trouver sur le sol américain dans ces temps compliqués. Le programme ULTRON fût découvert et  Asgard qui fût prit à son peuple. Ce n’était que quelques années plus tard qu’il revint aux États-Unis, ramenant Bucky de Sibérie avec lui dans ses bagages et lui proposant même un toit à son retour. Il voulait aider son ami à se remettre sur pied mais bien rapidement les affaires reprirent pour Rogers et les Vengeurs. New-York était de nouveau la cible d’attaques Chitauris, menées par Thanos. Cette fois-ci le SHIELD ne prit pas de risques et déclencha le plan « Anchise » pour faire héliporter l’intégralité des habitants new-yorkais. Une fois encore, Steven n’hésita pas à reprendre son bouclier et être en première ligne pour contenir les assauts chitauris. Cette fois-ci et contrairement à la première invasion, ils étaient plus nombreux, plus forts et jusqu’au dernier souffle, jusqu’au dernier coup, Rogers restait debout, ne voulant plier. Il se battait pour sa ville natale, pour sa nation et aux côtés de ses alliés. Il se pensait presque invincible et pourtant c’est la tête contre le béton, les yeux révulsés que les dernières images de ce combat s’inscrivirent dans sa mémoire.

C’était donc à plus de 4000 kilomètres et dans un manoir appartenant au seul et unique Tony Stark que Rogers reprit connaissance. Sa première peur fût qu’une fois encore soixante dix années se soient écoulées. La seconde fût que le nombre de personnes sauvées par le plan Anchise soit bien inférieur aux prévisions qui avaient pu être faite du scénario catastrophe par le SHIELD. Force est de constater que le combat qu’avait mené Rogers et ses pairs n’avait pas pu sauver New-York des mains Chitauris mais que nombreux étaient ses anciens habitants ayant trouvé refuge à Los Angeles. New York n’existait plus au grand damne de Rogers. Malgré ses capacités de régénération, les semaines de convalescence furent longues, plongeant Steve dans une soudaine mélancolie. Ce n’était pas tant les blessures physiques qui le gênaient le plus mais bien celles déclenchées par le deuil de sa ville. Il avait besoin de bouger, d’une nouvelle mission et vite, avant de commencer à douter de son utilité. Et quand il s’agissait de reprendre les armes pour aider des amis, le Captain n’hésitait jamais longtemps.
Il avait toujours mené chacune de ses missions sur Terre et celle-ci l’emmenait tout droit vers Asgard où Thor était retenu prisonnier. Le combat ne fût pas long mais vraiment intense et Rogers ne savait pas s’il se sentait victorieux lors du vol retour en s’apercevant que Thor, Frigga et d’autres prisonniers étaient installés dans le jet. Cependant la terre d’Asgard n’était pas rendue à son peuple. Dieu qu’il pouvait comprendre l’amertume de Thor…  Rogers aurait donné corps et âme pour sauver son pays de ce qu’il avait déjà subit et ce qu’il s’apprêtait à subir alors bien sûr qu’il pouvait comprendre que de voir sa terre entière au mains d’envahisseurs ne laissaient pas indifférents. Mais après tout, Rogers vit une fois de plus le verre à moitié plein plutôt que vide et se contenta de savourer la libération des otages.  A son retour sur Terre, Steven apprit également que Sharon Carter – l’une des rares à avoir eu grâce à ses yeux après sa tante Peggy – avait été abattue au sein du SHIELD et que de nombreux prisonniers ont profité du chaos créé pour s’échapper de leurs cellules. Pas le temps pour le Captain de s’apitoyer non, il préférait avoir la liste des fugitifs pour pouvoir les ramener au trou…

En parlant de trou, Rogers était prêt à mener deux combats de fronts. Le premier était de mettre à mal HYDRA et son organisation qui avait pourrit  les années d’existence du Captain depuis ses débuts jusqu’à maintenant. « Coupez une tête, il en repoussera deux autres »… Il connaissait bien leur devise oui. … Mais on ne touchait pas à ce qui comptait pour lui. Après s’en être pris à son meilleur ami, lui ayant fait subir les pires souffrances pour mener à bien des expériences sans noms, voilà qu’ils kidnappaient Natasha durant un bal que de nombreuses personnes avait infiltré mais que Rogers n’avait pas rejoins. Une fois encore, il dût aller chercher – comme par mauvaise habitude – une connaissance  des griffes d’HYDRA. Le second combat que s’engageait à mener Rogers était celui qu’il s’était déjà engagé à mener en entrant dans l’armée lors de la seconde guerre mondiale : protéger son pays de l’attaque des envahisseurs extérieurs. En gros, il gardait un œil sur le danger interne et externe…

Il en avait marre de ramasser les morceaux, de devoir réagir plutôt qu’agir mais il ne savait plus à qui il pouvait faire confiance réellement les années passées. Voilà que James fût repris par HYDRA qu’une nouvelle présidente était au pouvoir et que pour lui, les années et  les époques se suivaient et toutes se ressemblaient :

La paix n'était qu'une utopie.


Steve et Natasha cherchèrent des traces de James, toutes plus bancales les unes que les autres, jusqu’à ce que le moment de reprendre Asgard n’arrive. Steve participa à la reprise du contrôle du Bifrost, étape cruciale pour reprendre le royaume. Le bilan des missions des trois équipes composées dans le but de préparer la bataille fut mitigé, et le combat rude, mais Asgard fut enfin rendu à son peuple. Une fois de retour sur Terre, Steve reprit de plus belle les recherches du Soldat de l’Hiver. Inarrêtable.

Une autre menace plana cependant, impliquant les mutants au point d’impacter également l’équipe des Avengers : le Héraut d'En Sabah Nur. Rassemblant à ses côtés des âmes surhumaines comme Wolverine, il arracha aux Vengeurs leur géant de jade, malgré l’intervention de Stark, entre autres. Une perte qui laissa un goût amer au sein de l’équipe qui n’était décidément plus aussi soudée qu’avant. Le capitaine Rogers s’immergea davantage dans ses propres recherches mais suivit, de loin, la lutte contre les expériences faites sur les mutants et Sokovie. Lui qui prônait la liberté de tout un chacun, était heureux que le SHIELD prête main forte aux X-men pour mettre fin à ce conflit.
En parallèle, les opposants politiques de Sarkissian disparaissaient peu à peu dans d’étranges circonstances, pas assez pour alerter le commun des mortels. Pour les deux Vengeurs qui couraient après ce Soldat qui leur était si cher, c’était une pluie d’indices supplémentaires ; qui ne mènaient cependant à rien. Du moins c’est ce que pensait Rogers, car de son côté, Natasha avait mis le doigt sur quelque chose. Quelle n’était pas la surprise du Captain que de revoir le visage de son meilleur ami, inconscient, émerger du Quinjet en compagnie de la Veuve Noire et de la Sorcière Rouge. La colère gronde dans le cœur de Steve, qui en voulait à l’espionne de l’avoir autant écarté, mais ce sentiment fut vite effacé par le soulagement du retour de son ami de toujours. Il veilla sur lui depuis son retour, mis au repos forcé, une certaine espionne lui ayant expressément demandé de rester à ses côtés en son absence. Un semblant de calme s’était abattu sur Steven qui eut la sensation de pouvoir respirer de nouveau.

Prêt à remettre sur pied une équipe qui commençait à s’étioler.

 

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Mer 21 Juil 2021 - 0:55
Natasha A. Romanoff
Avengers
Natasha A. Romanoff
♠ Classe et nom de code : Black Widow
♠ Emploi : Membre des Avengers
♠ Gif : Steven G. Rogers - I can do this all day F71baf0e80c93f8841314ab62a841875ef741133
T'es beau. :drama:
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Mer 21 Juil 2021 - 0:57
Invité
Invité
Anonymous
Faut que je sois à ta (h)auteur :shipship:
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Mer 21 Juil 2021 - 8:23
Clinton F. Barton
Avengers
Clinton F. Barton
♠ Classe et nom de code : Hawkeye
♠ Emploi : Ancien artiste de cirque, ancien criminel, agent du SHIELD et membre des Avengers
♠ Gif : Steven G. Rogers - I can do this all day D0d25938684eb2b45ee28e0649aac2ed584cc029
CAPTAAAAAAAAAAAAAAIN Steven G. Rogers - I can do this all day 2838587254 :pingu: Steven G. Rogers - I can do this all day 3066824534 Bienvenue à toi. Réserve moi un lien dans ta fichette Steven G. Rogers - I can do this all day 4282798970
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Mer 21 Juil 2021 - 11:02
Invité
Invité
Anonymous
Bienvenue!
C'est la classe cette fiche Steven G. Rogers - I can do this all day 2159460562
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Mer 21 Juil 2021 - 18:43
Wanda Maximoff
Avengers
Wanda Maximoff
♠ Classe et nom de code : Scarlett Witch
♠ Emploi : Héroïne
♠ Gif : Steven G. Rogers - I can do this all day 1091f0c49f31a8368f59d0614f8cb3df3cf96a85
Promis je casse rien ! Pour l'instant... *fuit*

Bon retour parmi nous :amour:
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Sam 24 Juil 2021 - 14:49
Invité
Invité
Anonymous
Merci tout le monde Steven G. Rogers - I can do this all day 2159460562
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Jeu 12 Aoû 2021 - 20:30
Wanda Maximoff
Avengers
Wanda Maximoff
♠ Classe et nom de code : Scarlett Witch
♠ Emploi : Héroïne
♠ Gif : Steven G. Rogers - I can do this all day 1091f0c49f31a8368f59d0614f8cb3df3cf96a85
Hello o/

Ça fait plus d'une semaine qu'on n'a plus de news, tout va bien ? Steven G. Rogers - I can do this all day 3388820810
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Ven 17 Sep 2021 - 22:49
Peter Parker
Justicier
Peter Parker
♠ Classe et nom de code : Spider-Man
♠ Emploi : Etudiant
♠ Gif : Steven G. Rogers - I can do this all day 1dy7
yeah ! Bon retour Captain !!
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