HELA LOKIDOTTIR ϟ See you in Hel

Je suis bien évidemment au fait de la réelle identité du Président de vos Etats-Unis. Vous pensez avoir élu un de vos congénères humains ? La simple idée de penser l’avoir élu est déjà une erreur en soi. « La souveraineté du peuple » en laquelle les humains croient est le rêve dans lequel ils dorment. Oui, je suis au courant que John Liesmith est un Dieu. Loki est mon père. J’ai d’abord été surprise qu’il décide de n’être que le dirigeant éphémère de moins de la moitié d’une seule planète, lui qui avait voulu gouverner les Neufs Royaumes. Mais je connais mon père, et je ne prétendrais jamais savoir tout ce qu’il a en tête. Il est le Dieu de la Tromperie, Loki sait sans aucun doute ce qu’il fait.

Ce n’est pas un problème pour moi, ça ne l’a jamais été. Une raison de plus que vous vous donnez pour vous entretuer davantage. Je ne suis malheureusement pas en charge des âmes mortes au combat, ce sont les protégés des Valkyries. J’ai donc regardé cette guerre de loin, jusqu’à ce qu’elle donne à mon père l’occasion de s’imposer un peu plus comme votre dirigeant, apaisant vos querelles et vous offrant la paix.

Cette idée aujourd’hui répandue chez les humains m’interpelle et attise mon interêt. Vous avez pourtant un jour su la vérité sur les Neuf Royaumes, sur les divinités qui habitaient vos étoiles, Odin était un nom que vous respectiez et craigniez. Et au fur et à mesure que vous découvriez l’immensité de votre propre planète et de l’univers auquel vous apparteniez, vous avez étrangement fait le choix d’oublier et de vous croire seul dans cette infinité… Jusqu’à ce que vous tombiez malade ou que les longues années de votre vie ne s’écoulent, et que vous soyez soudain saisi par le doute : « Mais si nous sommes seuls, que vais-je devenir ? Vais-je simplement disparaître, retourner au néant ? » et c’est alors que j’apparaît pour répondre à vos questions. « Je suis là. J’ai toujours été là. Je t’ai attendu. Pourquoi l’avoir oublié ? »

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Et est admodum mirum videre plebem innumeram mentibus ardore quodam infuso cum dimicationum curulium eventu pendentem. haec similiaque memorabile nihil vel serium agi Romae permittunt. ergo redeundum ad textum.
Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Et est admodum mirum videre plebem innumeram mentibus ardore quodam infuso cum dimicationum curulium eventu pendentem. haec similiaque memorabile nihil vel serium agi Romae permittunt. ergo redeundum ad textum.
Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Et est admodum mirum videre plebem innumeram mentibus ardore quodam infuso cum dimicationum curulium eventu pendentem. haec similiaque memorabile nihil vel serium agi Romae permittunt. ergo redeundum ad textum.