Lou - Ennemies de la rebelle, prenez gardes ! (délai : 4/3/16 Sly)

Prénom/pseudoICIAgeICICode règlementICI

Pv, scénario, perso marvel ou inventéICIComment as-tu atterri ici ?ICIFréquence de connexionICI

RemarquesICI

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Apud has gentes, quarum exordiens initium ab Assyriis ad Nili cataractas porrigitur et confinia Blemmyarum, omnes pari sorte sunt bellatores seminudi coloratis sagulis pube tenus amicti, equorum adiumento pernicium graciliumque camelorum per diversa se raptantes, in tranquillis vel turbidis rebus: nec eorum quisquam aliquando stivam adprehendit vel arborem colit aut arva subigendo quaeritat victum, sed errant semper per spatia longe lateque distenta sine lare sine sedibus fixis aut legibus: nec idem perferunt diutius caelum aut tractus unius soli illis umquam placet.

Loubna naquit au Liban, dans la paisible ville de Beyrout. Elle vécut dans cette capitale pendant une bonne partie de sa vie, de son enfance jusqu’à son adolescence. Elle a toujours fréquenté les milieux français, faisant partie de ces riches familles qui vivent dans le luxe. Il faut savoir que la langue française est couremment parlé dans ce pays, surtout à Beyrout, et appris dans les écoles. Mais dans les quartiers francophones, les institutions avaient un meilleur niveau d’éducation, et puisqu’ils suivent à peu près le système français, ils parlent cette langue à la perfection, sans le moindre accent. D’ailleurs, la capitale est souvent appelé la deuxième France, en raison de l’architecture des batiments et des rues qui rappellent ce pays, mais aussi l’ambiance, avec le même type de cafés, les boulangeries, les restaurants, et les magasins.
La jeune fille avait toujours été en avance par rapport aux personnes de son age. Déjà, elle commença l’école très tôt, à l’age de 2 ans, car elle était déjà prête, sachant aller aux toilettes toute seule et être aussi bavarde qu’une pie. Puisqu’elle fut née en fin d’année, elle put débuter la maternelle en janvier. Elle fut alors après au CP à l’age de 4 ans et demi. Elle apprit donc à lire et à écrire, en français comme en arabe. La langue arabe était évidemment la langue nationale du pays, donc il était important que tout le monde sache la maîtriser dans toutes les écoles, françaises ou non. La LV2 était soit l’anglais ou le français selon les écoles, et pour la LV3 c’était pareil.
La brune fut une petite fille assez turbulente et agitée. Sous les recommandations de ses professeurs, ses parents l’inscrivirent à un club de gymnastique où elle pouvait y mettre toute son énergie là-dedans, ce qui lui permettait d’être plus calme une fois rentrée ou lorsqu’elle allait à l’école...
Pendant la primaire, elle sauta deux classes : le CE1 et le CM1, car comme elle était dans une classe de CE1/CE2 et CM1/CM2, elle arrivait à suivre deux niveaux en même temps. D’ailleurs, la petite libanaise n’était pas la seule, il y en avait d’autres aussi dans sa classe qui étaient pareils. Sans parler qu’elle faisait partie de ces familles qui n’accordaient pas trop d’importance à la primaire, dont les parents faisaient tout pour “accélérer” l’éducation de leurs enfants, afin qu’ils puissant vite avoir leur diplomes universitaire et travailler.
Elle arriva donc au college à l’age de 7 ans et demie. Mais comme la petite demoiselle n’était pas la seule, il y en avait quelques uns qui étaient dans son cas, ce ne fut pas tellement un choc pour les autres. Ce fut d’ailleurs à cet age-là qu’elle découvrit ses premiers pouvoirs. Elle se retrouva un matin à projeter des petites aureoles de lumière. La petite Orientale garda cette révélation secrète, ne montrant même rien à ses parents, par peur de se faire rejeter ou gronder. Depuis ce jour, elle se sentit différente des autres, et avait peur de se faire rejeter par ses camarades ou de se retrouver avec des jaloux. Mais cacher ses pouvoirs était chose difficile, car elle n’était pas en mesure de les controler. Loubna se sentait attirer par la lumière et les couleurs, arrivait parfois à faire des étincelles en cours ou changer les couleurs des objets, sans réussir à leur redonner leur nuances originales.
Le college fut évidemment pour elle un grand bond, par rapport à la primaire. Toutefois, étant travailleuse, la petite fille réussit tout de même à s’en sortir, ce malgré ses difficultés à retenir ses pouvoirs. Elle n’était pas non plus une surdouée et n’avait pas non plus les meilleures notes de la classe, mais elle arrivait à avoir un peu plus de la moyenne, c’est à dire 14/20. Dès son plus jeune age, les matières scientifiques et les mathématiques étaient son talon d’achille, c’est ce qui faisait baisser sa moyenne. La libanaise avait toujours été assez littéraire et art, malgré son côté un peu garcon manqué. D’ailleurs, à l’age de 10 ans, elle s’inscrivit à un club de karaté où elle y allait deux fois par semaine, mais elle prenait un malin plaisir à s’entraîner tout les jours..
La brune fit alors ses premiers pas au lycée à l’age de 11 ans et demie. Etant donné que le lycée est connu pour être le lieu de la puberté, où tout le monde batifole avec des histoires d’amour, elle ne s’intéressa à ces choses-là qu’un peu plus tard, en raison de son jeune age. Morphologiquement elle n’était pas encore dans le domaine de la puberté car elle avait encore un corps d’enfants. Même physiquement, au niveau des traits de son visage, la petite bourgeoise faisait encore petite fille. Donc aucun garcon ne s’intéressait vraiment à elle.
Niveau sociabilité, elle arrivait toujours à se faire des amis, car elle avait le contact facile. Cependant, étant donné son jeune age, elle se trouvait assez en décalage par rapport aux autres. La petite demoiselle n’avait pas les mêmes interêts. Les jeunes autour d’elle ne pensaient qu’aux soirées et au sexe, quand à elle, ce fut livres, mangas, coloriage, et dessins animés. Elle avait d’ailleurs cessé de jouer au Barbies uniquement à partir du lycée. Il y en a beaucoup qui se moquaient d’elle à propos de tout cela, et ce depuis le college, la prenant pour une sainte petite Nitouche et une surdouée puisqu’elle avait sauté deux classes, la jalousant au passage. Ses pouvoirs aussi lui jouait un mauvais tour parfois, comme par exemple la couleur de ses vêtements qui changeait tout d’un coup, les tirs de lumière qu’elle projettait par accident lorsqu’elle se mettait en colère ou des tourbillons de couleurs éclatantes qui donnaient la nausée à celui qui l’avait mérité, etc. On ne pouvait s’empêcher de la trouver bizarre.
Ce fut seulement à partir de ses 13 ans, donc en Terminal, que Loubna commença à comprendre ce qu’est la puberté. Son corps commençait à se transformer en celui d’une femme. Mais niveau garcons et histoire d’amour, cela se révéla à être un grand échec. Car ceux qui étaient autour d’elle avait entre 17 et 9 ans et la trouvait trop jeune par rapport à eux, ce malgré qu’elle était quand même assez mature pour son age, et ceux qui avaient 14-15 ans, elle les trouvait trop gamin pour elle. C’était comme si la jeune fille était entre deux mondes: mentalement, elle commençait à devenir adulte, et morphologiquement, elle entrait dans l’adolescence. Cela crééa beaucoup de frustrations chez elle, qui se réflétèrent dans son comportement plus tard.
La jeune adolescente commença à travailler à ses 13 ans, qui était l’age légale du travail au Liban. Mais ellefit bien éventuellement des petits boulots, du genre assistant de vente ou caissière dans des boutiques locales, qui étaient tenues par les amis de ses parents.
Lorsque la demoiselle termina le lycée, elle s’était inscrite à plusieurs universités, dont celle de Colombie, à New York. Elle avait toujours été attirée par les Etats-Unis, à cause des films qui se passent à New York et des légendes de super-héros qui l’avait marquée depuis sa tendre enfance. D’ailleurs, l’université de Colombie l’accepta tout de suite, impressionnée par son jeune age et sa capacité à avoir réussi le bac aussi tôt. Ils lui offrirent même une bourse d’études, la prenant pour une surdouée. Ses parents ne furent pas difficile à convaincre de la laisser partir étudier là-bas, connaissant son sens de la débrouillardise et ayant de la famille là-bas, la brune pouvait loger chez eux. Ce fut ainsi qu’elle se retrouva du jour au lendemain à New York. Ayant découvert sa passion pour la photographie au lycée, et son intéret pour tous ce qui touche les medias, elle entra en faculté de photojournalisme.
Toutefois, en débutant sa première année, elle rencontra une difficulté auxquelle elle ne s’y était pas vraiment attendue: la barrière de la langue. Bien que la jeune photojournaliste maîtrisait bien l’anglais, puisqu’elle l’avait appris depuis la primaire, qu’elle regardait beaucoup de films américains dans leurs versions originales, et qu’elle avait pas mal voyagé dans les pays Anglophones, elle n’avait pas non plus le niveau universitaire dans cette langue. Alors elle dût arrêter les études pendant un an, pour pouvoir se concentrer uniquement sur l’anglais et améliorer son niveau d’écriture.
La libanaise rentra alors à l’université à l’age de 15 ans et demie et termina ses études à 19 ans, puisque les études durent 4 ans aux Etats Unis. Malgré le fait qu’elle vivait chez son oncle, elle ne comptait pas uniquement sur lui pour pouvoir gérer ses propres dépenses. L’adolescente continuait de travailler à mi-temps, en plus de ses études. Tout d’abord dans une boutique d’accessoires de mode et de maquillage, dans le babysitting puis publicatrice dans une imprimerie, ensuite postière au guichet, et enfin assistante bibliothécaire dans la grande bibliothèque de New York. En plus de cela, elle travaillait à son propre compte comme Photographe de mariage pendant les vacances. Socialement, sa situation s’était nettement améliorée. Elle se faisait des amis plus facilement car les étudiants étaient plus matures qu’au lycée, malgré qu’ils étaient assez surpris de son jeune age, ils l’appréciaient comme elle était. La bourgeoise réussit même à se trouver un petit-ami avec qui elle fut en couple pendant 4 ans, dont elle vécut avec lui pendant 2 ans.
Cependant, à peine quelques mois qu’elle sortit avec lui, elle découvrit que son petit-ami faisait partie des super-vilains et des gens sombre de New York. La belle se retrouva embarquée dans ses histoires. Par amour pour lui, elle le suivit dans le même chemin, malgré qu’elle ne supportai pas vraiment ses idées. Depuis son arrive à New York, la jeune Orientale n’avait pas intégré d’institut afin d’apprendre à améliorer l’utiliation de ses pouvoirs, car elle était méfiante à leur égard, et son petit-ami lui avait dit du mal d’eux. Elle s’entraîna alors seule et aussi par le biais de son petit-ami et de sa bande qui l’aidèrent grandement.
Lorsque la jeune Photographe termina ses etudes, cela prit du temps pour elle de trouver du boulot dans son domaine. Elle continua de travailler comme bibliothécaire mais à plein temps et de faire son petit business pendant presque un an. Puis, par le biais de quelques contacts, elle put entrer dans la chaîne de CNN et travailler comme photojournaliste à mi-temps, où elle pouvait choisir ses heures, c’est-à dire de 7h30 du matin jusqu’à 15h30, trois jours par semaine. Pour la Fille du Sud, c’était le meilleure moyen de mener la belle-vie, travaillant sans stress et mieux et obtenir plus de temps libre pour elle. Sans parler que la chaine de CNN payait gracement. Elle put donc négocier pour un salaire de 90 000 dollars par an.
Toutefois, à peine que la jeune artiste mit les pieds dans la boîte, que son petit-ami mourut, tué par un super-héro. Depuis, elle se venge en publiant de sales articles ou photos sur les super-héros et sur tous ceux qui coopèrent avec eux ou les supportent…
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