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Le passé n'est pas mort ; il n'est même pas encore passé. | Pv. Alexander

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Mer 11 Sep 2013 - 17:12
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« "Vous êtes chaud..." - "Ah ça, oui !" »

«Alexander & Johnny»



Ce rp se passe il y a 2 ans !

Johnny avançait dans les couloirs du SHIELD, un sourire en coin collé aux lèvres, parfois cassé par une légère grimace qui trahissait une douleur subite. Mais la pensée de ce qui allait certainement lui arriver le réjouissait ; si, la veille, il s'était battu contre quelques Fatalibots et avait écopé d'une petite (mais assez profonde) blessure sous l'épaule, le jeune homme comptait à présent sur les belles infirmières du SHIELD pour s'occuper de lui, et de son corps. Il en avait besoin. Ou, du moins, il avait l'impression et la sensation d'en avoir besoin. Se vider l'esprit, s'amuser un peu. Et puis, tout le monde le savait ; si les filles craquaient toutes pour lui, les infirmières restaient les pires de toutes. De vraies coquines !

Mais ce n'était pas pour assouvir un désir tabou ou interdit, ni aucun autre fantasme pervers que Johnny était ici (quoi que l'on aurait pu douter de ses intentions, et largement). Que ses ''désirs'' restent de l'ordre de l'onirique ne le gênait absolument pas. Il venait surtout pour vérifier ces rumeurs sur les femmes du corps médical du SHIELD et, par la même occasion, pour se faire soigner. Se rincer l’œil lui suffisait amplement.

Imaginez donc la tête de ce cher Johnny lorsqu'on lui indiqua le bureau du ''Docteur Steinberg''. Le fantastique grogna, essaya de négocier pour voir une infirmière et, après avoir fait son enfant, il finit par se rendre à la salle indiquée. Il s'adossa au mur à côté de la porte en grognant.

Johnny n'avait pas besoin d'un homme ! Daken était « mort », ou du moins porté disparu, depuis quelques jours, et il avait également apprit qu'il avait été manipulé sur ses émotions, et peut-être même sur ses désirs. Il serra les poings ; c'était pour se changer les idées, précisément, qu'il était venu là.

- Infirmière : Monsieur Storm ? Vous pouvez entrer, et attendre à l'intérieur. »

Le fantastique releva les yeux vers la plantureuse jeune femme qui venait de lui parler ; il n'eut malheureusement pas le temps d'ouvrir la bouche ni de lui adresser aucune parole. Finalement, peut-être s'était-on trompé, à « l'accueil » ? A moins qu'ils n'appellent également les femmes Docteurs. C'était certainement ça ! Johnny entra donc dans la pièce avec un grand sourire ; il venait d'avoir une merveilleuse idée en tête...

Il allait épargner au « Docteur » de lui demander de lui montrer sa blessure. C'est ainsi qu'il se déshabilla ne gardant, pour ainsi dire, que son boxer (oh, hé, on est dans une infirmerie, tout de même !), et il s'allongea en position ''sirène'' sur le lit – ou plutôt l'espèce de fauteuil allongée qu'on trouve dans les cabinets de médecins. Étendu sur le côté, la joue appuyé sur une main, l'autre le long de son corps, il attendait que la belle demoiselle revienne, un sourire des plus charmeur collé au visage. Sa blessure lui donnerai un petit côté aventurier sexy (oui, Johnny ne doutait de rien).

Et pourtant, il n'était pas au bout de ses surprises...


(c) Ségo Soyana
 
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Mer 2 Oct 2013 - 13:49
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Le passé n'est pas mort ; il n'est même pas encore passé. | Pv. Alexander Tumblr-inline-mf8qoft5vy1ry5cea_imagesia-com_c17s_large



    « Docteur ? »

    L'infirmière avait passé le seuil de la pièce avec la discrétion d'une voleuse, malgré sa silhouette disons... Confortable. L'interpellé, s'il ne sursauta pas réellement, releva brusquement la tête et se cogna légèrement la tête contre l'encoignure de l'armoire métallique qu'il était occupé à ranger – on venait de recevoir la commande de morphine, et Dieu sait que ce genre de substance était contrôlé et soigneusement comptabilisé. Se frottant machinalement le crâne, le jeune homme se retourna.

    « Hm ? »

    « Quelqu'un pour vous. Un certain monsieur Storm. »

    « Il tient debout ? »

    La plantureuse femme esquissa un sourire, sans savoir si le médecin plaisantait réellement – et elle avait raison d'en douter. C'était une vraie question, certes détournée par une touche d'humour, mais une question tout de même.

    « Je pense bien. Il est venu par ses propres moyens. »

    L'agent Steinberg hocha la tête en guise d'acquiescement puis remercia l'infirmière avant de passer dans la pièce attenante. Pièce dans laquelle l'attendait ce monsieur – attendez – Storm, voilà. La porte claqua doucement derrière lui au moment où ses lèvres s'entrouvraient pour énoncer quelque chose comme : « Bonjour, qu'est-ce qui vous amène ? », mais il se figea avant d'avoir prononcé un mot. Coi. Les yeux ronds, Alexander examinait l'individu qui avait choisi de patienter dans une posture pour le moins... Étrange. Étendu lascivement comme un top-modèle promouvant une marque de lingerie, songea le médecin. Sauf qu'il se trouvait dans une infirmerie, pas dans un studio. L'allemand parvint pourtant à s'arracher à sa perplexité pour se focaliser sur l'épaule du, hm, patient. Il avait pris un mauvais coup, pour sûr. Un sourire amusé flottant sur ses lèvres, le psychiatre choisit l'approche flegmatique, aussi appelée : « faisons comme si c'était normal ». Il s'avança de manière à ne plus se trouver qu'à environ un mètre de l'homme en caleçon et lui lança avec gentillesse – et un pétillement dans les yeux que l'on aurait pu rapprocher d'un léger rire intérieur :

    « Bonjour. Je suis le Docteur Steinberg. Pourriez-vous vous redresser un peu, monsieur Storm ? Que j'examine cette épaule... »

    C'était peut-être là le secret de la patience et du calme d'Alexander.
    Faire comme si tout était normal.
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Dim 1 Déc 2013 - 17:16
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-Vous êtes chaud...

- Ah ça oui !

Alexander & Johnny

Johnny semblait figé, avec son regard de tomber et son sourire à faire fondre un Jotun. Il attendait, son esprit désireux imaginant tout un tas de choses plus ou moins chrétiennes, que le « Docteur » arrive. Et celui-ci fini évidemment par arriver. Alors qu’il s’était tourné vers lui – oui, IL – le médecin ouvrit de grands yeux ronds. Et Johnny dû lui offrir les mêmes. Un homme. Il s’agissait bel et bien d’un homme.

- Alexander : Bonjour. Je suis le Docteur Steinberg. Pourriez-vous vous redresser un peu, monsieur Storm ? Que j'examine cette épaule...

Johnny se redressa lentement, la bouche toujours entrouverte. Il aurait mieux fait d’aller à l’hopital publique tien ! Quoi que… Il pouvait bien tenter le coup. Ce jeune homme n’était pas trop mal, il fallait se l’avouer. Oh, il ne valait une femme, surtout une femme comme celle qu’il avait vu passer, mais… Il s’en contenterait. Ses pensées se mélangent et défilent. Non, il ne veut pas « se faire » (pour parler vulgairement) le docteur. Il veut juste s’amuser, le faire tourner en bourrique et, pourquoi pas, tester son charme naturel sur les hommes. Enfin, sur un homme en l’occurrence. Allez mon petit Johnny, il est grand temps de te reprendre ! Terminant de s’asseoir tout à faire, il secoua la tête pour reprendre contenance et retrouva son sourire aguicheur ;

- Johnny : Excusez-moi, Docteur... J’ai été éblouit par votre arrivée. Je ne me présent pas, hm ?

Le Fantastique esquissa un large sourire, ne doutant de rien. Il était une star en plus d’être un héros ; il représentait les Fantastic Four et les plateaux télés se l’arrachaient. Comment pouvait-on ne pas le connaître, hein ?

- Johnny : Hm, juste une précision, Docteur Mamour. C’est pas à l’épaule que je suis blessé, mais juste là, dessous… fit-il sans se départir de son sourire, pointant du doigt, au-dessus de ses côtes.


© charney

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Sam 21 Déc 2013 - 19:28
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    Le patient avait l'air déçu. Il n'y avait pas d'autre mot. Déçu, donc, ainsi que passablement surpris. Sous le coup de l'émotion, ses lèvres s'entrouvrirent légèrement, mais se ressoudèrent bien vite en un sourire tout ce qu'il y avait de plus charmeur tandis que l'homme se redressait après ce qui semblait être un bref temps de réflexion amusée. De son côté, le médecin conserva son air de rien, vaguement perplexe, légèrement sur ses gardes, neutre au possible.

    « Excusez-moi, Docteur... J’ai été ébloui par votre arrivée. Je ne me présente pas, hm ? »

    Oh, du sarcasme à présent. Couplé à de l'étalage d'égo. Bien entendu, Alexander savait avec précision l'identité de l'individu auquel il faisait face. Johnny Storm, la Torche Humaine, le Flamboyant Fantastique, etc. Étrangement, le psychiatre se sentait assez peu disposé à offrir à ce personnage la satisfaction de quelque flatterie. Il faut dire qu'en-dehors même du fait que les Promis en général agacent rapidement le docteur, on avait déjà vu meilleur moyen de faire bonne impression lors d'une première rencontre que de s'allonger en sous-vêtements dans une posture assez peu appropriée. Le jeune Steinberg se contenta donc de hausser les épaules.

    « Inutile, en effet. On m'a déjà précisé à qui j'avais affaire... Monsieur Storm. »

    Le Fantastique, visiblement parfaitement sûr de lui, ne comptait apparemment pas se départir de sitôt de son sourire volontairement aguicheur – expression dont Alexander avait quelque habitude et lui donnait la désagréable impression que l'on tentait de le draguer hors-contexte. Chassant cette idée avec une sorte de précipitation gênée, le médecin finit par amorcer quelques pas vers son patient.

    « Hm, juste une précision, Docteur Mamour. C’est pas à l’épaule que je suis blessé, mais juste là, dessous… »

    « C'est Steinberg. »

    Les mots avaient jailli d'eux-mêmes, semblait-il. Tout comme le regard subitement réprobateur qu'Alexander porta sur son interlocuteur. Non mais, franchement, Docteur Mamour... Quelle était l'idée, au fond, dans cette attitude ? Le flirt ? La moquerie ?... Le psychiatre soupira et reprit instantanément son calme. Il n'allait pas se mettre à se formaliser... S'il entrait dans son jeu, c'en serait probablement fait de sa crédibilité. Autant se focaliser sur la fameuse blessure, que le médecin examina soigneusement en se penchant légèrement vers l'homme installé face à lui. Si, d'après un œil médicalement objectif, elle méritait bien quelques soins, elle ne présentait pour autant aucune caractéristique dramatique. Alexander se redressa en calant sa main gauche sur sa hanche.

    « Bon... Pourriez-vous m'expliquer clairement (Il pointa l'index de sa main libre vers le torse du jeune homme) ce qui a causé cela ? »
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Jeu 26 Déc 2013 - 18:37
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-Vous êtes chaud...

- Ah ça oui !

Alexander & Johnny

Le médecin ne semblait pas fondre à la vue de ses tablettes de chocolat. C’était désolant. Pourquoi, hein ? POURQUOI ? Quelle injustice. Mais cela rendait le jeu de la jeune célébrité plus amusant ; si le docteur était immédiatement tombé dans le panneau, cela n’aurait plus eu aucun intérêt. Si, quand on le connaissait, le sourire aguicheur de Johnny n’avait rien de naturel mais faisait à présent parti intégrante de sa personne, il fallait bien avouer qu’il était craquant aux inconnus…

- Alexander : Inutile en effet. On m’a déjà précisé à qui j’avais affaire… Monsieur Storm.

Les sourcils de Johnny se froncèrent légèrement, mais il préféra ne pas s’en formaliser. En revanche il se demandait pourquoi le docteur restait planté à plusieurs mètres de son patient. Avait-il peur ? Peur que Johnny le croque ? Son sourire s’agrandit alors que cette pensée le faisait rire intérieurement. Le Doc se décidait enfin à s’avancer, alors que l’impétueux blondinet l’appelait sans une once d’hésitation « Docteur Mamour ».

- Alexander : C’est Steinberg. crut-il bon de préciser précipitemment.
- Johnny : Oui, je sais. C’est écrit sur votre blouse. fit-il en posant un doigt sur la petite plaquette et en s’amusant à appuyer.

Il rata le regard passablement agacé de l’agent, et releva la tête avec un large sourire à présent innocent sur le visage. Le médecin semblait ignorer totalement ses « avances » – pour peu que ça en fût réellement – pour observer sa blessure. Johnny poussa un soupire las en s’étendant paresseusement (langoureusement ?) sur la table du médecin alors que ce dernier se redressait, posant sa main gauche sur sa hanche. Johnny passa sa langue sur ses lèvres… Pour les humidifier. Steinberg, quand à lui, pointait son index en direction du torse (parfait) du Fantastique.

- Alexander : Bon… Pourriez-vous m’expliquer clairement ce qui a causé cela ?
- Johnny : Et bien… On se battait contre des Fatalibots, et ces maudits robots étaient plus coriaces qu’ils en avaient l’air. Alors – pshiou ! – l’un d’entre eux m’a fait un sale truc, là. C’est pour ça que je viens vous voir.

Il se rassit correctement (enfin, tout était relatif), et soupira de nouveau. Lui raconter qu’en fait, s’il était venu là, c’était pour s’amuser un peu avec une infirmière et qu’à défaut de cela il n’avait eu que lui ? Non. Le médecin n’avait déjà pas l’air de l’apprécier – et il ne voyait pas pourquoi, alors n’enfonçons pas le clou. Johnny releva la tête en souriant, et attrapa précipitamment la main du médecin pour la coller contre ses abdos. Se mordant la lèvre, il releva les yeux vers lui ;

- Johnny : Mais vous pouvez toucher, vous savez. Ça n’est pas radioactif. susurra-t-il en faisant mine de caresser du pouce le dos de la main.


© charney

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Sam 15 Fév 2014 - 21:34
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Le passé n'est pas mort ; il n'est même pas encore passé. | Pv. Alexander Iat_imagesia-com_g96l_large


    Celui que l'on appelle la torche humaine a au moins eu la décence de reprendre une posture, disons... Normale. Ce n'est pas pour me déplaire, loin de là. Je ne cherche certainement pas à voir en cet homme autre chose qu'un patient, un corps brut, un organisme, rien de plus, mais... Bon. Je peux bien l'avouer. Le voir étendu lascivement sur la table d'examen, moins prude qu'un chippendale, a quelque chose de profondément déstabilisant. Je fixe la profonde entaille faite - « pshiou ! » - par le fatalibot durant quelques brèves secondes. Ça n'est pas bien grave, mais quelques points de suture ne seraient pas du luxe. Mais tout de même, il était inutile de solliciter le corps médical du SHIELD pour cela... N'importe quel infirmier civil aurait pu s'en charger. Je manque d'en secouer la tête de désappointement blasé. Je suppose qu'on ne peut pas renvoyer paître Monsieur Johnny Storm. Sans doute l'hôpital public ne lui convient-il pas. Enfin. Je n'ai pas eu le temps d'amorcer le moindre mouvement en direction du matériel de soin que mon patient s'empare de mon poignet pour aller plaquer ma main contre ses abdominaux conséquents – je ne pourrais pas en dire autant des miens. Non pas que ma condition physique soit déplorable – je suis un soldat, tout de même ! - mais, bien que solide, ma ceinture abdominale ne souffrirait pas la comparaison avec ces – comment dit-on ? - « tablettes de chocolat ».

    « Mais vous pouvez toucher, vous savez. Ça n’est pas radioactif. »

    Euuuh.Wait, what ?Le pouce de la torche humaine vient gentiment faire pression sur le dos de ma main, entre les tendons de l'index et du majeur. Je sursaute, et retire ma main. Bon sang, Alex ! Heureusement, le contact a été bref. Je tâche de ne pas me laisse pas déstabiliser – mettez-vous un peu à ma place... Et m'éloigne vivement le temps de récupérer le nécessaire à suture. Je rapproche ensuite un tabouret, m'assied auprès de mon patient, et enfile une longueur de fil dans le chas de l'aiguille. La posant près de moi, je me saisis ensuite de l'éternel, l'irremplaçable, le sacro-saint flacon de désinfectant. Et c'est sans oser accrocher le regard de la torche humaine de mes yeux gris que j'entreprends d'empêcher quoi que ce soit de contaminer la blessure.

    « Monsieur Storm, je vous serais gré de me laisser faire mon travail en paix. »

    C'est vrai, quoi. Je ne sais pas exactement à quoi cet individu veut jouer, mais cela devient sérieusement gênant. Alors, oui, le flamboyant, je sais que vous êtes atrocement bien fichu. Mais inutile d'en faire trop. Je suis le docteur, et vous n'êtes qu'un organisme. Je jette un furtif coup d’œil à ce corps dans son ensemble. … … Oui. Bon. Concentrons-nous.
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Ven 21 Fév 2014 - 20:13
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-Vous êtes chaud...

- Ah ça oui !

Alexander & Johnny

Au contact de son pouce caressant le dos de sa paume, le médecin sursauta et retira prestement sa main. Quoi ? Le jeune homme, déjà, lui tournait le dos et s’éloignait prestement, attrapant quelques affaires qui devaient certainement lui servir pour… Ah, très bientôt, puisqu’il refaisait le chemin inverse, revenant vers la Torche. Johnny l’observe s’asseoir sur un tabouret, alors qu’il s’occupe d’un fil et d’une aiguille, avant de prendre un coton imbibé de désinfectant et de nettoyer la blessure. Le blond serra les dents. J’aurais dû faire un peu de gonflette avant de venir… J’aurais été vraiment impressionnant. Il fixa un point éloigné, sur le mur, jusqu’à ce que la caresse du coton brûlant sa chaires meurtrit ne soit plus qu’un lointain souvenir.

- Alexander : Monsieur Storm, je vous saurais gré de me laisser faire mon travail en paix.

Hmpf ! Il ne répondit même pas. Et, alors, qu’il observait à nouveau le Docteur Steinberg, il remarqua le regard fuyant de celui-ci. Il lui faisait réellement de l’effet ? Nooon ! Un sourire en coin naquit sur les lèvres de Johnny, qui réfléchissait déjà à un plan d’attaque. Son cerveau ne tournait jamais aussi vite que dans le feu de l’action… Que ce soit d’une bataille, où d’un jeu de séduction.

- Johnny : Regardez-moi. fit-il soudainement en relevant son visage en le prenant pas le menton. Pourquoi est-ce que votre regard fuit ? Je vous fait peur ? demanda le Fantastique sur un ton peiné et tristounet.

Johnny le dévisagea alors, observant ses traits, et s’arrêta sur sa bouche.

- Johnny : Vos lèvres… Elles sont toujours aussi rouge, docteur, où ce n’est pas naturel ? J’ai envie de les… … Non, rien. Oubliez.

Un sourire en coin naquit sur son jeune visage radieux de la confiance qu’il avait en lui. Et ses yeux bleus pétillaient. Il laissa sa main glisser le long de la mâchoire d’Alexander avec un petit soupire, regardant ses propres genoux. Il avança finalement son visage vers le jeune homme, et posa légèrement ses lèvres sur celles du médecin. Puis, sans prévenir, serrant ses jambes contre le rebord du « lit-table-siège », il se fit glisser. Et il glissa sur le docteur Steinberg, sans séparer ses lèvres, forçant le barrage de sa langue. Ce que c’était amusant !


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Sam 22 Fév 2014 - 22:20
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Le passé n'est pas mort ; il n'est même pas encore passé. | Pv. Alexander Iat_imagesia-com_g96l_large


    « Regardez-moi. Pourquoi est-ce que votre regard fuit ? Je vous fait peur ? »

    « N-non. »

    Cela aurait été plus convaincant sans l'hésitation dont ma voix est marquée. Tant pis.

    « Vos lèvres… Elles sont toujours aussi rouges, docteur, où ce n’est pas naturel ? J’ai envie de les… … Non, rien. Oubliez. »

    Euh... Pardon ? J'ai comme un instant de flottement, dont la Torche Humaine profite pour plaquer ses lèvres sur les miennes. Je ne peux pas dire que c'est désagréable – même si je ne l'avouerais jamais – mais... Hé là, monsieur Storm, c'est une infirmerie, pas un night-club ! Je m'apprête à protester lorsque une masse me tombe brutalement sur les genoux – une masse visiblement adepte des baisers à la française. Ce dernier détail me sort de mon ahurissement, et mes bras se saisissent des épaules de mon patient entreprenant pour l'écarter de moi. Une rougeur certaine est montée à mes joues, et je me sens réellement agacé – tout en étant déçu par la fin du contact de nos lèvres.

    « Arrêtez tout de suite votre petit jeu. »

    Parce qu'il ne peut PAS y avoir une once de sérieux dans tout cela, et que ce n'est PAS drôle. Contrit, frustré par nos attitudes respectives – et vaguement énervé, bien que je prenne soin de n'en rien laisser voir (attitude professionnelle, tout ça), je me saisis à nouveau de l'aiguille accompagnée se sa longueur de fil blanc. Allez. Si monsieur le Fantastique veut bien se tenir tranquille, tout devrait être terminé d'ici cinq petites minutes.

    « Faites-moi le plaisir de ne pas bouger », lui lancé-je, tandis que mon regard, concentré, s'abîme dans l'examen de la blessure dont le soin m'a été confié. Mais, tout de même – j'ai été embrassé par la Torche Humaine !
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Sam 8 Mar 2014 - 1:07
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-Vous êtes chaud...

- Ah ça oui !

Alexander & Johnny

Les mains du médecin se posent sur les épaules de Johnny, qui esquisse un sourire sans néanmoins décoller ses lèvres de celle de sa « victime ». Mais, loin de vouloir le garder dans ses bras ou même approfondir le baiser, elles repoussent la Torche et le laisse pantois. Quoi ? Déjà ? Les joues du Docteur Steinberg sont teintées de rouge. Est-ce que s’ils les touchent, il va se brûler ? – Ah mais, qu’il est bête ! Il ne craint pas la chaleur. Qu’est-ce que Johnny devait tirer de cela ? En voulait-il plus ? D’un mouvement, il se repenchait en avant, pour reprendre le baiser.

- Alexander : Arrêtez tout de suite votre petit jeu.

Oups. Johnny se redresse légèrement en lançant un regard inquisiteur au jeune homme. Aparemment, il a tout de même apprécié, sinon son choix de mots auraient été tout autre. Mais cette constatation ne put réjouir le fantastique bien longtemps, car il semblait plutôt… Agacé par l’attitude somme toute puéril du blondinet.

- Alexander : Faites-moi le plaisir de ne pas bouger.

Johnny grogne de mécontentement. Il pousse légèrement sur ses jambes pour se redresse, et se tourna vers le « lit », offrant son magnifique fessier bien moulé dans son boxer à la vue du médecin.

- Johnny : Si on ne peut même plus passer de bon moments… grogna-t-il doucement, plus pour lui-même que pour Steinberg.

Regrette. Regrette ton geste ! pensa-t-il avec amusement, alors qu’il reposait ses fesses sur le fin matelas, restait bien droit et ne bougeait plus, selon le bon vouloir de son interlocuteur. Il hésitait entre être vexé de s’être fait rejeter, où satisfait parce que, malgré tout, il avait réussi à faire rougir le médecin. Pour la forme, il poussa un léger soupire.

- Johnny : Je vous embête ?… Si c’est le cas… Occupez-vous de cette blessure au plus vite, et je disparaîtrais.

Johnny ne mentait pas. Il se retint néanmoins d’afficher un grand sourire. Si tel était le cas… Oui, il disparaitrait. Mais pas forcément de la façon voulu, attendu où même imaginé par le médecin – par l’ensemble du corps médical. En revanche, si l’inverse se produisait, ce serait une petite victoire pour lui – et l’occasion de recommencer à le taquiner… Charnellement ? Johnny n’avait pas encore décidé. Tout dépendais de ce pauvre Steinberg…


© charney

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Mer 7 Mai 2014 - 19:07
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« Cool Down, Burning Man »

«Alexander & Johnny»



Le médecin préfère ne pas répondre directement à l'injonction de son patient, et profite du silence provisoire étendu sur la pièce pour récupérer son aiguillée de fil – abandonnée avant usage du fait d'un baiser impromptu. Alexander en contemple un instant la pointe effilée, comme une micro-méditation, avant de revenir vers le Fantastique. Un simple instant de détachement qui lui permet au moins de recouvrer son calme, tout en se préparant à un éventuel comportement... disons, plutôt déplacé, de la part de son patient. C'est donc l’œil serein que le ressortissant allemand fait à nouveau face à Johnny.

« Inutile de disparaître. Je ne compte pas vous mettre à la porte. Du moins, je n'y tiens pas. »

Le blondinet vérifie une dernière fois la longueur du fil avant de traîner une chaise auprès du mutant et de s'y installer confortablement. Il pose alors une main légère mais ferme sur le torse du dénommé Storm et rapproche délicatement les lèvres de la blessure avant d'en approcher l'aiguille.

« Bien. Restez tranquille. Ce sera bref. » ajoute-t-il d'un ton neutre avec un bref regard en direction du visage de son interlocuteur.

Quelques minutes durant, l'aiguille va et vient à travers la chair de Johnny, traversant son épiderme à plusieurs reprises en tirant derrière elle sa traîne de fil noir, dessinant une courte série de points de croix sur le torse de la Torche humaine. Alexander, silencieux et concentré, achève sa besogne par un nœud serré avant de trancher le fil : point final. Le médecin se relève ensuite le temps de se munir d'un rouleau de bandages dont il entoure sans sommation (et sans même prendre le temps de se rasseoir) le torse de son patient – histoire de protéger la suture le temps que monsieur irait jouer au héros. Le psychiatre laisse ensuite échapper un léger soupir tout en laissant courir son regard sur la pièce, à la recherche d'éléments bien précis. Car le mutant n'a probablement pas traversé l'intégralité des bâtiments uniquement vêtu de ses sous-vêtements, si ? Le jeune homme finit par apercevoir l'objet de son enquête visuelle, et s'empresse de récupérer la tenue dont s'était débarrassé le mutant quelques temps auparavant. Ne sachant en réalité qu'en faire une fois ces habits entre ces mains, l'agent se contente de les poser en tas au bout du matelas occupé par Johnny Storm.

« Vous pouvez vous rhabiller. Vous avez l'air plutôt à l'aise sans vos vêtements, mais évitez de vous promener en petite tenue à l'intérieur du SHIELD. »

Et, perdant un peu de son froid détachement, le blondinet s'autorise un timide sourire.


(c) Ségo Soyana
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