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Non ce n'est pas une soirée pyjama ! [pv Amo]

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Jeu 5 Juin 2014 - 15:25
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Non ce n'est pas une soirée pyjama
Je ne suis pas une cachottière. Souvent, je mens parce que j’estime que ça me permet de me protéger mais c’est vrai que je n’ai pas évoqué ma rencontre au Burlesque avec Ezekiel. Je sais parfaitement qu’il n’approuverait guère mon choix. Simplement parce qu’il a suffit d’une fois, d’une mauvaise journée pour que je revienne sur mes pas, que je me détruise un peu plus. Ce cauchemar n’est pas fini mais je ne peux qu’aller de l’avant désormais, seulement si Ezekiel veut me protéger, il ne se rend pas compte que c’est à moi de marcher seule comme je l’ai souvent fais auparavant. J’ai le droit de prétendre à être aidée et ce n’est pas une honte : j’ai bien compris le message… mais il oublie souvent que je me crée mes propres barrières et si je ne vais pas au devant alors je vais simplement les esquiver en me disant qu’un autre sera la pour prendre la relève. La solution de facilité ! Alors non, je ne lui ai pas dit que j’ai enregistré un autre numéro que le sien dans mon répertoire et que je compte bien revoir cette personne. Il s’en rendra sans doute compte à un moment où un autre mais pour le moment, je ne veux pas l’effrayer plus qu’il ne faut. Il a déjà pas mal de souci à se faire avec les histoires dans lesquelles il est impliqué. Je n’ai donc pas soufflé un mot quand j’ai reçu ce message, il y a deux jours à peine. J’ai souri naturellement, ce qui est assez rare et j’ai lu le mot qui m’était destiné. Il venait d’Ernessa, dont je connais également l’autre nom : Amora. J’avoue avoir appris, après notre première vraie entrevue, à faire quelque recherche. Elle m’avait dit que les livres parlent parfois d’elle mais même si j’ai lu quelques trucs à son sujet, je préfère amplement me forger ma propre opinion. On ne connaît pas quelqu’un en lisant sa biographie : les seuls vrais détails sont les données classiques dont on sait qu’elles sont exactes. Le nom des parents quand on a les informations par exemple. Le reste n’est jamais que fabulations d’auteurs alors au diable les avis divergents, je suis d’avis que découvrir les autres est bien plus amusant. C’est d’ailleurs ma curiosité qui m’a poussée à aller la voir au début et qui me pousse encore à accepter de retourner là-bas de nouveau. Je sais que c’est risqué car je me mets dans des situations où je n’ai pas le contrôle mais c’est justement « le but des opérations » : dépasser les limites que je m’impose. Je ne vais  rien dire, même si cela peut déclencher les hostilités avec mon locataire, j’en suis consciente. Parce que ce soir, je vais passer la nuit dehors et je ne lui dirais qu’au dernier moment, histoire qu’il ne trouve pas un moyen de m’en dissuader. J’ai dit à Amora que je viendrais et je tiens ma parole : au moins nous pourrons discuter tout notre soûl.

Oh je dois dire que j’ai un peu hâte, c’est vrai. Je suis devenue une vraie petite curieuse vis-à-vis de cette femme, de son univers que je ne connais pas et du mien qui m’est également un peu étranger. Le monde et ses mystères, ça m’embrouille totalement et même si l’homme avec qui je vis m’a expliqué pas mal de choses, avoir un avis différent m’intéresse. Surtout que celle qui se fait appeler Ernessa en connaît un rayon et elle semble être suffisamment posée comme personne pour que je puisse discuter avec elle tranquillement. Elle ne juge pas malgré mon ignorance sur la plupart des faits courants de la vie. Je n’ai appris que récemment à utiliser un minimum ces téléphones portables bourrés de fonctionnalités, encore que le mien est des plus simplistes : pour éviter que je me perde trop dedans. J’ai au moins réussi à lire ce message et répondre que je serais présente. Bref, je suis retournée au Burlesque en marchant dans les rues en évitant de penser à ceux et ce qui m’entoure. Je suis un peu paranoïaque sur les bords et pourtant insouciante, inconsciente. J’ai toujours été comme ça finalement, certains points n’ont pas changés : avant je me retrouvais dans des situations périlleuses et même en étant trouillarde, cela ne m’a jamais fait prendre une autre voie. Je ne saurais dire pourquoi, tout comme j’ai quelques doutes vis-à-vis de cet intérêt que je porte à cette femme. Le fait que j’ai principalement côtoyé des hommes depuis la mort de ma mère, excepté Abby, me fait penser que, peut-être, je vois en Amora un substitut à la présence féminine d’une mère. Sauf que ce serait bien trop glauque alors je suppose que seul ces histoires de Dieu m’ont donné envie de pousser la porte une fois encore.

Je retrouve le lieu avec un certain plaisir finalement mais à peine la porte franchie, je sens déjà combien l’ambiance est différente de la dernière fois. Je reste un instant figée sur le seuil observant l’endroit, ne sachant pas exactement où arrêter mon regard. Il y a plus de monde que je ne le croyais au fond. J’ai la sensation étrange d’être retournée dans le passé, dans une version plus distinguée. La musique résonne mais je ne connais absolument pas ce que c’est. Ma culture générale est plutôt limitée je dois l’avouer alors c’est sans nul doute normal que je me sente un peu perdue. Mon passé n’est pas forcément emplie de gloire, mais plutôt de délinquance. La débauche de la jeunesse. Je marche finalement vers le bar, là où j’ai demandé après Amora pour la première fois. Je la cherche un peu, je sens des regards se poser sur moi. C’est vrai que niveau vestimentaire, j’ai vraiment l’air d’une adolescente gothique plus qu’autre chose. J’aurais peut-être du y réfléchir à deux fois avant de venir habillée de la sorte mais bon ça c’est à cause de mon compagnon… lui et sa mode !  Je ne vois pas de traces d’elle alors je questionne le barmaid. « Où pourrais-je trouver Ernessa, je vous prie ?». Il n’a pas bien entendu et je dois forcer ma voix pour lui faire comprendre ma requête mais il finit par pointer une direction et je tourne mon regard vers celle-ci. Je m’apprête à me rapprocher mais je m’arrête finalement et me tournant vers celui qui vient de me répondre, je le remercie. C’est une habitude que je dois prendre. Il paraît que ça évite que les gens vous montre ensuite de l’animosité parfois. Bon ben je vais faire de mon mieux. Maintenant je peux aller saluer cette femme.

- Bonsoir Ernessa ! Comme prévu, je suis bel et bien venue.  

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Jeu 12 Juin 2014 - 13:17
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Non ce n'est pas une soirée pyjama !

Vous aussi vous avez des moments ou, en sortant de la douche vous avez envie de chanter en tenant votre brosse à cheveux comme-ci c’était un micro ?
Allez soyez honnête qui l’a déjà fait ?
Enfin pour en venir au fait que ce matin en sortant de ma douche, j’avais décidé de devenir chanteuse au plu grand malheur de mes voisins de chambre.
Il faut aussi savoir que je ne connais pas les paroles des chansons, donc je dis n’importe quoi, mais heureusement que j’ai mis la musique à fonds, comme-ça on évite de trop m’entendre chanter … Faux ?
Il est vrai qu’il est dur pour moi de sortir du lit, mais une fois que j’en suis sortis, beaucoup de personne on envie de m’y remettre … Oups, dit comme-ça on peut penser à autre chose.

Donc après avoir fait le tour de ma chambre en dansant, chantant, me déchaînant telle une tornade, je suis retournais dans ma salle de bain pour finir de me préparer.
Le vendredi soir, le Burlesque était plein à craquer, pour moi c’était le moment d’en profiter pour aller à la chasse, enfin j’ai plutôt tendance à jouer puis laissant ensuite les hommes sur leur faim, c’était tellement amusant de voir leur petit air bien frustré.
Me défouler sur la piste de danse, boire, rire, danser, draguer, envoyer valsé, voila les vendredi soir au Burlesque, sans oublier le samedi soir, le week-end est égal à faire la fête, c’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde.
Ce qui faisait aussi que j’étais plus qu’heureuse ? Bien j’avais contacté Amber, une jeune mutante qui visiblement n’avait pas souvent l’occasion de sortir et s’amuser, en même temps, avec cette purge…
Il y avait le couvre-feu … Mais quand un certain Mr Liesmith est dans les parages, étonnamment le couvre-feu ne compte plus aux yeux de la purge, ah oui, les pots de vin ça aide pas mal aussi.
Les mortels … Tellement facile à acheter.

J’avais donc envoyé un sms à Amber lui proposant de venir ce soir au Burlesque, j’allais assurer sa sécurité, tant qu’elle était avec moi, Ernessa Jane Elenwe Co-gérante du Burlesque, elle ne risquée rien.
Avec mon faux nom j’avais réussis à me faire une petite réputation, pas aussi grande que celle de Mr Liesmith, lui il avait atteins les présidentiels, non, puis je n’aimais pas la politique, mais j’étais vue pour être une femme qui en aucun cas ne se laissait marcher sur les pieds, puis qu’il ne valait mieux pas énerver, bien oui, si vous êtes dans mes petits papiers, vous ne risquerez pas de mourir empoisonné.

Amber avait bien sur répondus présente, alors je me préparais en vue de cette soirée au Burlesque.
Robe rouge, mes cheveux … Bon allait je les laisse dans leur couleur naturelle, un blond cuivré, maquillage, honnêtement je n’ai pas besoin de plus, je suis magnifique au naturel, oui je suis narcissique et je l’assume.

La journée c’était passé tranquillement, puis petit à petit des clients avaient commencé à faire leur entré.
La nuit tombe, le soleil part se coucher pour laisser place aux étoiles et l’astre lunaire.
La musique bat son plein, les danseuses commencent le show et c’est partis!

Assise au bar j’avais commandé un cocktails à base de fruit tropicaux et d’alcool léger (restons simple pour commencer la soirée).
Ma sœur devait sans doute commencer sa chasse, c’est une déesse de charme tout de même, quand à Loki, en ce moment je le voyais de moins en moins, sa double-identité lui prenant pas mal de son temps.
Skurge était comme à son habitude avec les livreur du Burlesque, il vaut mieux avoir des personnes bien musclé et en chair pour virer les imbéciles et ivrognes.
Tout en sirotant mon cocktails je remarquais une jeune femme habillé dans un style très sombre, mais qui avait de la personnalité.
Je fis un sourire en direction de Amber.

- Bonsoir Ernessa ! Comme prévu, je suis bel et bien venue.  

-Oui je suis ravis de te voir, commande quelque chose c’est moi qui offre et si tu veux ont peur rester ici ou aller dans les salons, c’est plus calme pour discuter

J’appelais un serveur lui faisant signe de venir ici en priorité et celui-ci ne réfléchit pas deux fois à mes ordres.
J’attendais que la miss passe sa commande, regardant les alentours, oui, il arrivait qu’il y ait des hommes de la purge, visiblement ce soir ce n’était pas le cas, mais la nuit n’était pas finis.

-Comment va tu ? Je n'ai pas pus te contacter plus tôt, c'est la folie ici
lumos maxima
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Sam 14 Juin 2014 - 0:30
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Non ce n'est pas une soirée pyjama
Le Burlesque devait bien être l’un des rares endroits où la Purge n’avait pas d’emprise sur le couvre-feu car il restait ouvert malgré tout. Il faut dire que se divertir était bien difficile ailleurs quand tout était en permanence contrôlé par ces hommes sans pitié. J’en étais bien consciente et rien qu’à l’idée que je puisse croiser ses tarés, je sentais des frissons parcourir mon échine. Heureusement, j’étais arrivée en un seul morceau sur ces lieux festifs et quand bien même on me reconnaîtrait là-bas, je me sens déjà bien plus en sécurité dans un lieu bondé que dans la rue. Je sais pourtant qu’au final, je serais autant en danger mais la situation serait différente. Et puis Amora serait présente et bizarrement, ce détail me faisait me sentir bien plus à l’aise que je ne l’avais été depuis longtemps. Autrefois, je marchais d’un pas bien plus léger et droit sans jamais me soucier des regards qui pouvaient s’accrocher dans mon dos et les jugements des autres m’importaient peu mais dans ces années difficiles, chacun coup d’œil devenait une menace potentielle alors je me méfiais. Il fallait pourtant que je prenne l’habitude de ne pas me faire du souci en permanence, mais c’était difficile. Et quand je fus arrivée au milieu de la foule, je sentis une certaine pression mais je devais l’évincer. J’avançais donc jusqu’à demander où je pouvais trouver celle que je cherchais et m’avance sereine vers elle tandis qu’elle m’a reconnue et me sourit. Un visage familier et amical, c’était rare pour moi alors j’en profitais un peu.  Je me sentais un peu plus normale, un peu plus ouverte en sa présence. Je m’assis donc à ses côtés et commandait une boisson en la remerciant ainsi que le serveur qui avait été extrêmement rapide à accéder à cette requête. Efficace comme autorité. Je regardais le verre : de l’alcool, vous vous doutez bien. Je ne peux pas m’en empêcher. Elle me proposa aussi d’aller parler plus tranquillement ou bien rester ici. Il était encore assez tôt pour le moment et les visages que je croisais ne semblant pas réellement hostile, je ne vis pas d’objection à rester ici mais c’est vrai qu’on ne pourrait pas aborder des sujets très pointus si on restait entourés de tant de gens. Je posais mes prunelles sur elle, penchant la tête légèrement sur le côté. Elle était si élégante dans sa robe rouge et si bien apprêtée que je me sentais d’autant moins femme. J’avais tout d’une gamine mais j’étais également plus jeune qu’elle sans nul doute possible. La seule chose qui m’inquiétait un peu s’était de me dire que les gens pouvaient jaser parce qu’une femme d’un statut tel qu’Amora, enfin… Ernessa, ne se lie avec une jeune femme au style décadent. Je sais parfaitement que l’apparence compte bien plus que ce qu’on en dit et je sais que les clients de ce soir doivent se demander ce que je fais ici. Je n’ai clairement aucun lien avec un lieu pareil mais j’aime pourtant l’endroit.

- Je suis aussi ravie. Pour le moment, je préfère rester ici, cela fait du bien de voir les autres s’amuser un peu. Pendant un moment, ça permet d'oublier...

Oublier que tout va mal, qu'on ne peut plus retourner dans le passé mais qu'il reste de bons moments à venir. Je bois une gorgée et observe le spectacle se déroulant un peu plus loin : des danseuses… Cela me rappelle Abby, je n’avais pas compris, que c’était une des danseuses. Je l’avais simplement vue avec Matthias et James alors j’en avais déduit qu’elle était une « amie » mais elle était plus âgée que moi et je n’avais pas vraiment tilté. Que j’étais naïve et insouciante à cette époque et dire qu’à ce moment ci, Ezekiel nous surveillait déjà… sans qu’aucun de nous ne s’en doute. Abby venait exceptionnellement se joindre à nous : je crois que je n’ai jamais su son vrai prénom mais peu importait : elle venait, buvait avec nous, dormait avec nous et repartait le lendemain. Je ne posais pas de questions à cette époque, je vivais les choses comme je le voulais, j’osais et je me fichais des conséquences. Aujourd’hui, j’ai mis des freins à ce laisser aller mais quand je vois cette femme, elle me rappelle cette époque.

- Je vais bien, je suis toujours … en vie. Je comprends bien… ça ne doit pas toujours être de tout repos comme boulot. Je suppose que ça fait du bien de prendre un peu de temps pour soi. Cela fait tellement d’années que je n’ai pas mis les pieds dans un endroit festif. Je… je me rends compte que j’ai oublié pas mal de chose.

Notamment : comment s’amuser un peu. En présence d’Ezekiel, j’ai retrouvé le sourire et mon côté joyeux et enfantin mais en dehors de cela, je redeviens une jeune femme angoissée et sauvage. C'est vrai que mon passé est empli de défauts et de mauvais moment mais parfois je regrette certaines choses : tout était simple à l'époque. Je sirote doucement mon verre avant de poser mes bras sur le comptoir du bar et me tourner de nouveau vers elle. Je repense à ce que je suis, à ce qu'Ernessa est réellement et je décide d'en parler en pesant bien mots.

- J’ai… finalement suivi votre conseil et me suis un peu renseignée sur vous. Je doute que tout ce qui soit dit soit vraiment très éclairant mais ça me donne une petite idée. Je ne savais pas…je n’imaginais pas que le monde puisse être à ce point empli de mystères. Du moins si… mais c’était loin de l’idée que je m’en faisais. Les récits exagèrent peut-être cependant…


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Jeu 26 Juin 2014 - 16:44
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Non ce n'est pas une soirée pyjama !

Comme d’habitude il y avait foule, seulement je commençais à en avoir assez de faire de la figuration au sein même du Burlesque.
Gérer le Burlesque, il n’y avait aucun problème, de plus j’étais aidé par pas mal de monde, non ce n’était pas la gestion du Burlesque qui me posé problème, c’était surtout de devoir rester inactive.
La journée je sors, du moins je tente, je fais du shopping, il m’arrive aussi de fouiner dans les dossiers du SHIELD, mieux vaut prévenir que guérir, seulement je commençais à me lasser de cette routine.
Maintenant je connaissais l’art du combats, les arts martiaux, l’informatique, la technologie, l’espionnage … Oui depuis mon arrivé sur Midgard j’ai énormément fait de sport et travaillait mes capacités au combat, je me suis renforcé, cela est même devenus une habitude, j'adore m'entraîner, je peux m'évader dans mon monde.
Je connais aussi n’importe qu’elle arme, j’aime les manipuler, me déchaîner, dans le fonds, j’avais quand même du sang de Valkyrie.
Il était donc normal après tout que je m’intéresse davantage aux mutants et autres anormaux.
Cette purge qui déroute tout le monde, cette guerre, je voulais participer et me battre, je n’avais pas vraiment de camp, je fais que suivre mes intérêts, mais au moins je pourrais me défouler et peut-être alléger le nombre d’âme qui se meurt.
Héla était d’ailleurs de retour sur Midgard pour trouver un moyen de redonner le bon chemin aux âmes, seulement c’est tellement le chaos, que les âmes se dispersent partout.

M’enfin, pour le moment je suis avec Amber, une jeune mutante qui n’a pas la vie facile et qui mérite bien de relâcher la pression.
Rien de mieux que de boire un verre et de se sentir en sécurité, au lieu de regarder de chaque côté pour voir si nous ne sommes pas des cibles.
Je repensais encore à cette attaque dans le Central Park, visiblement ce n’était pas moi qu’on visé … Mais tout de même, j’avais été attaqué et cet homme, Alex, il m’avait vraiment intrigué, sympathique même pour un humain lambda.
Tout en regardant les danseuses effectuer leur spectacle je hochais la tête, sirotant mon cocktail.

-Aucun problème, normalement ce soir j’ai fais venir aussi des acrobates, je tente de varier les spectacles

Lorsque Amber repris la parole, je compatis au fait que cela lui faisait du bien de sortir, se changer les idées et voir des gens rires, au lieu de voir des morts à chaque coin de rue, puis elle aborda le sujet de la gestion du cabaret.

-Je suis aidé heureusement, mais disons qu’avec la purge il n’y a pas que la gestion du Burlesque qui est compliqué, enfin la gestion du Burlesque n’est pas compliqué … C’est surtout cette guerre, depuis mon arrivé je n’y ais jamais été confronté, je n’ai eu aucun problème, alors je n’ai pas vraiment fait attention … C’est limite on ne peut plus sortir, puis rester enfermer pour moi, c’est juste impossible

Je suis plus qu'hyperactive et il faut dire que je suis très rancunière, même si je n’étais pas visé, j’allais mener ma petite enquête.
Pour la miss cela devait être dur aussi, d’ailleurs je ne l’avais pas demandé si elle avait au moins une personne auprès d’elle, un toit sur ou loger.
J’étais au courant pour sa période ou elle restait cacher dans les égouts, mais c’était tout.

-Comment vie tu exactement ? Tu as des amis pour t’aider ou tu reste vraiment solitaire ?

Voyant déjà au début comment elle avait eu du mal à me faire confiance, je me demandais du coup si elle arrivait à avoir des amis pour l’aider et même pour le soutien moral, ça compte énormément.
De mon côté je n’avais pas à me plaindre, j’avais ma « famille », même si en ce moment je me sentais un peu à part.
Nous avions tous nos occupations mais le passé me manqué parfois, c’est quand on erre longtemps seul qu’on comprends que la famille c’est important.
Je souris une nouvelle fois à Amber, celle-ci avait donc suivis mes conseils.

-Oh que oui, les récits sont déformés, parfois même exagérés ou c’est inventé, en faite, dans chaque livre il y aura une version plus ou moins exacte

lumos maxima
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Lun 30 Juin 2014 - 23:14
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Non ce n'est pas une soirée pyjama

C’est pénible d’avoir l’air d’une paumée dans la vie et pourtant c’est exactement ce à quoi je ressemblais : une jeune femme larguée dans un univers où elle ne trouve pas sa place ! Je devais faire des efforts pour retrouver ce qu’au fond je suis mais je ne sais absolument plus. Je me cherche encore alors que je devrais savoir vers où me diriger mais je me sens étrangère à ce monde.  Sans famille, sans connaissance. Je n’ai pas ma place et j’essaie de me la créer, ce qui est encore plus difficile de nos jours car le monde n’est pas très indulgent. Je sais que je dois réapprendre certaines choses et c’est ce que je viens chercher en fréquentant cette femme : je me sens un peu plus vivante quand je discute avec elle. Boire un verre et parler en observant un lieu si vivant de nuit. Être là au milieu des autres sans qu’on ne me voit comme une mutante dangereuse, une criminelle. J’appréciais de n’être qu’une personne parmi tant d’autres, de paraître sociable. Les spectacles, je n’en avais pas vu depuis… oh bien trop longtemps pour me souvenir que c’était si impressionnant, parfois même envoutant. Elle était figée sur les mouvements devant ses yeux, observant avec attention les performances. Des acrobates ? Je ne savais pas ce que cela pouvait donner mais j’étais bien curieuse. Je ne pus que hocher la tête quand elle me parla des spectacles : je n’y connais rien en gestion de cabaret mais ça doit être assez sympathique d’organiser des choses pareilles. Je lui disais combien ça faisait du bien de se changer les idées mais la pauvre ne devait pas être très intéressée par ce genre de détails saugrenus même si elle se montrait toujours aussi avenante à mon égard. Je lui trouvais un côté très ouvert qui me surprenait encore cette fois. Je lui parlais de son boulot car je ne connaissais pas le monde du travail mais il m’était simple de supposer que ça ne devait pas être aussi aisé que cela à gérer. Elle sourit en apprenant qu’Amora avait en fait de l’aide. Une bonne chose. Cependant question guerre, je ne pouvais pas trop saisir étant donné que les seules fois où j’avais tenté de mettre un pied dehors, j’étais tombée dans les ennuis. Contrairement à elle, alors si elle voulait voir ce que ça donne, qu’elle vienne faire un tour à mes côtés….

- Alors qu’il s’agit de l’inverse pour moi, je croise ses conflits à chaque pas que je fais mais je n’aime pas non plus l’idée de me retrouver confiner chez moi comme dans une cage dorée sous prétexte que c’est moins dangereux... Vous… Tu, pardon… tu peux tout de même sortir comme tu le souhaites non ?

Je bus un peu en soupirant, c’est étrange d’avoir une existence effacée pour tous sauf pour les miliciens. Et ce soir, je me sentais bien et pour une fois, les regards finirent par ne plus me porter la moindre atteinte. Et au moins je savais que celle qui se faisait nommer Ernessa connaissait la part la plus honteuse de mon passé : ma vie dans les égouts. Le reste bien entendue, je ne lui en avais pas touché mot. Je ne raconte pas ma vie pourrie à tous les gens que je croise. D’ailleurs, elle aborda rapidement le sujet de savoir où je vivais. Je tapotais le comptoir du bout des doigts ma tête posée sur mon autre main. Si j’ai des amis… ce serait très risible vu comment je me comporte avec les autres mais elle ne peut pas le savoir. Je ne suis même pas sûre de comprendre la notion d’amis. Ceux que je croyais avoir à l’époque… n’en étaient certainement pas des vrais encore que Jeff s’apparentait le plus à l’image d’un ami. Alors oui j’étais plutôt solitaire, en général mais bon avec lui c’était compliqué… D’ailleurs je ne lui avais toujours pas dit où j’étais et il devait être furieux à défaut de s’inquiéter. Je savais que cela me causerait des ennuis mais j’avais besoin de cette libération. Je me mordis brusquement la lèvre puis répondit franchement.

- Je vis avec un homme. Il est là si j’ai besoin d’aide… mais je n’ai que lui, je n’arrive pas à accorder ma confiance aux autres. Il est devenu ma seule famille à défaut d’une vraie. Je ne sais même pas à quoi ressemblent une famille et des amis. Tu trouves que c’est normal ? Tu préfères quoi les amis ou la solitude ?

Difficile de comprendre les autres quand je ne sais pas si ce que je fais, ce que je suis est quelque chose de courant, de correct. J’ai bien compris pourtant que parfois je suis à côté de la plaque, notamment au niveau émotionnel mais je ne fais pas facilement la part des choses. Alors non, les amis je n’en avais toujours pas. On dit que c’est important d’être entourée, moi je ne compte que sur ma propre personne et même Ezekiel, qui veut m’aider… je lui fais confiance mais je ne lui demande jamais quand j’ai besoin d’aide.  Mais c’est vrai que c’est dur de parfois se sentir si seule. Je n’ai parlé de mes cauchemars qu’à Ezy et j’en fais toujours autant au point de craindre de le blesser dans mon sommeil. Je ne sais pas me tourner vers autrui.
Concernant les récits nordiques, oui je m’étais renseignée parce que j’étais intriguée par cette femme. J’avais lu tant de choses qu’il m’était délicat de démêler le vrai du faux dans tout cela mais elle disait que c’était plus ou moins exact alors je fronçais les sourcils. Ça n’avait rien de très rassurant dans ce cas. Je restais un instant bouche-bée, la musique me parut brusquement plus sourde et je réfléchissais Est-ce que cela est indiscret et est-ce qu’Amora désire parler de ce qu’elle est ? Et surtout : est-ce que je voulais vraiment en savoir plus ? Parce qu’au fond, quelque chose me murmurait qu’elle et ce télépathe atroce était de la même race. Dans ce cas… ce ne serait pas une bonne nouvelle pour moi. Préférant boire un peu, elle s’attarda un moment sur son verre. Je suis curieuse et je veux la connaître mais je ne sais pas si c’est bon pour moi et ma santé.

- Que dois-je retenir comme vrai dans ce cas ? Qu’est-ce qui est imaginé ? Les récits sont tellement fantasques mais la vie surprend parfois tellement que je ne sais pas quoi penser.  Es-tu de si loin et as-tu réellement été exilée ? murmurais-je prudemment. … Dis-moi, vous êtes nombreux ? rajoutais-je en m’inquiétant déjà de la réponse.
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Jeu 17 Juil 2014 - 21:37
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Regardez moi ces hommes de la purge qui fument le cigare en regardant les acrobates, un verre de whisky à la main, des costumes de grand luxe, bien sur les membres de la purge ne sont pas tous ainsi.
Nous avons aussi ceux qui préfèrent rester discret, qui restent dans une vie simple, plutôt que frimer dans les cabarets et autres lieux à étaler leurs fortunes.
Il existe bel et bien des membres de la purge étant plus simple, avec un salaire raisonnable, quoi ? J’avais prévenus que je piraté les ordinateurs du SHIELD et de la purge, pour toute autre organisation secrète, le FBI, la CIA, non ces deux derniers étaient bien plus connus.

Pour Amber, les ennuis venaient à elle, à croire que parfois le destin aime nous mettre des bâtons dans les roues (n’Est-ce pas les nornes).
De même que j’avais attiré des problèmes à Asgard, surtout quand j’avais décidé de devenir l’enchanteresse et de dépasser Karnilla.
A cette époque oui j’avais attiré les problèmes, mais ayant était toujours sur de moi, cela me faisait de la distraction plutôt qu’autre chose, être immortelle, c’est que parfois on s’ennuie.
Puis il est tellement plus facile d’espionner quand on est une déesse magicienne de Asgard, si il y a des guerriers forts au combat, la magie ça ne parait pas, mais c’est aussi quelque chose de très grand et puissant.
Combien de fois Thor et ses amis c’étaient moqué de Loki parce qu’il utilisait la magie, pourtant si il ne l’aurait pas fait lors de certaine bataille, Thor et ses fameux amis seraient morts.
C’est beau de se moquer quand on ne cherche pas à comprendre et qu’on fonce tête baissé.
Je souris légèrement à son hésitation entre le « tu » et le « vous » puis repris.

-Oui je peux sortir quand je veux, seulement je dois faire attention de ne pas attirer les regards, je dois bien me comporter pour assurer une bonne protection à ma famille, alors parfois je me tais et ne dit rien devant des imbéciles uniquement pour être sur que personne ne viendra fouiner dans mes affaires, j’ai remarqué que des humains s’y connaissaient très bien dans le chantage et si on approche ma famille … Je crois que je ne pourrais plus me cacher, donc pour éviter les catastrophes je reste ici la plupart du temps

Une cage dorée pensais-je amèrement comment l’avait cité Amber un peu plus tôt.
Avoir une famille … Des amis … Moi aussi j’avais beaucoup de mal à vraiment faire confiance, ou alors j’allais dans la simplicité et j’utilisais mes dons de télépathie.
Qu’est-ce qu’une famille et des amis ? Je réfléchis.

-Il est bien d’avoir des amis, car on ne choisit pas sa famille, mais nos amis si, d’ailleurs ils sont ma famille, seulement comparé à toi, ça fait des siècles et des siècles que j’ai eu le temps d’apprendre à les connaitre et encore, ils ne sont pas nombreux, la solitude c’est sécuritaire, on est sur que personne ne viendra faire de mal à nos proches mais en même temps qui n’a pas envie de retrouver quelqu’un le soir ? Une personne qui nous offre du réconfort, des blagues, des rires ? Vivre seul c’est pesant, cela m’est déjà arrivé … Mais regarde, je suis venus vers toi, il est rare quand je le fais, je ne sais pas si c’est mon instinct qui m’a dicté de venir et toi, es tu heureuse avec cet homme ?

Ouh que pouvais-je dire de moi ? Si je commence depuis le début, on y est encore pour la semaine et sans faire de pause bien sur.
De plus il y a des choses dont je ne suis pas très fière.

-Je te propose un 50/50 je te dis un secret sur ma vie divine et tu me dis l’un de tes secrets sur ta vie, ça marche ?

Bien oui je suis joueuse ou je ne m’appelle plus Amora.

lumos maxima
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Mar 22 Juil 2014 - 20:31
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Non ce n'est pas une soirée pyjama

Je parlais des ennuis que je semblais m’attirer sans le vouloir et j’observais discrètement ces hommes bien revêtu. Des proies très intéressantes quand on cherche à dérober des objets de valeur mais je me tenais à carreau car ses personnes étaient bien trop dangereuses. J’avais repéré un visage déjà aperçu apparemment : je ne les avais croisé qu’une seule fois mais désormais cela me suffisait amplement pour les garder en tête. Heureusement pour moi, ils étaient trop plongés dans le spectacle pour m’avoir vue et c’était étrange de se savoir si près sans que la situation soit critique. L’idée était dérangeante et je sentais la colère qui sommeillait en moi gronder sourdement. Recherchée, je devais faire attention à ne pas causer de souci à celle que tout le monde nommait Ernessa. D’autant plus que je ne me déguisais plus autant qu’avant et avec mon physique, je ne passe pas totalement inaperçu. C’est sûr que ça doit être sympa d’avoir une couverture comme cette femme en fait : certes elle doit faire attention à ce qu’on ne la repère pas mais pour le moment elle peut se balader sans être fichée comme une ennemie. Enfin c’est vrai que les couvertures ne sont pas infaillibles. La preuve, je connais sa réelle identité et si jamais cela m’échappait… ? Une information pareille entre les mains de n’importe qui pouvait être comme une bombe à retardement mais bien entendu, je n’étais pas du genre à propager ces renseignements. Même les bourdes m’arrivaient rarement. Le seul moyen qu’on le découvre… Je grimaçais : ce serait de lire en moi. C’est vrai que ça c’était légèrement plus ennuyeux mais oublions ce détail. Encore une fois on en revenait au sujet de la famille, un concept que j’avais bien du mal à saisir. Mon père avait toujours été un inconnu pour moi, ma mère et moi ne nous entendions jamais et j’ai fais de sa vie un vrai enfer, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus le supporte. Quant à ma famille de cœur, ils m’avaient trahi… je ne pouvais voir les choses qu’avec amertume à l’époque. Encore que je n’en voulais pas à tous mais ça c’était une autre histoire.

- Le chantage, oui. Certains sont assez doués dans ce domaine. Un vrai fléau. C’est tout de même dur de devoir se cacher… je n’ai fais que ça.

Quant à la famille, j’attendais vraiment une réponse de sa part. Savoir ce que cela pouvait signifier pour les autres. Un point de vue différent du mien. Oui , elle avait choisi ses amis, pendant sa jeunesse et ses choix avaient été désastreux, la menant à cette vie recluse dans les égouts. Elle était d’accord : vivre seul est pesant mais sécuritaire. Je ne pouvais pas m’empêcher de lui sourire parce qu’effectivement, elle était venue vers moi et je lui en étais reconnaissante. Vive son instinct si c’était bien lui qui l’avait guidé vers elle. Ce qui me surprit le plus fut cette unique question qu’elle me posa à ce moment. Est-ce que j’étais heureuse avec cet homme ? Je suppose que oui : j’ai eu très peur mais j’avais tort.

- Oui… je le croyais mon ennemi en réalité mais c’est lui qui avait les clés pou comprendre et m’aider. Je pense que je suis heureuse de l’avoir rencontré.

Bon encore une fois, elle ne répondit pas vraiment à ma question et préféra me proposer un jeu. Cela me fit rire de bon cœur car justement cela me rappelait Ezekiel avec qui j’avais fait la même chose, en ajoutant l’alcool à notre partie. Et s’il y avait bien une chose que j’aimais c’était jouer tant que cela ne m’était pas ma vie en danger. Enfin quand j’étais adolescente, je jouais ma vie sans souci, contrairement à maintenant. Je jetais un coup d’œil me sentant observée. L’un des hommes de la purge nous fixait avec méfiance.

- D’accord, je suis tout à fait partante mais nous devrions faire attention, cet homme est d’une curiosité maladive… Je te laisserais poser la première question.
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Jeu 24 Juil 2014 - 22:39
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Non ce n'est pas une soirée pyjama !

J’avais pris l’habitude de me cacher depuis mainte et mainte siècles.
L’enchanteresse est plus que connus dans les neuf royaumes du à ses nombreuses tromperies, enchantements, trahisons et coup de couteau dans le dos.
Je n’ai rien d’une sainte et j’en n’ai parfaitement conscience, d’ailleurs je l’assume assez bien, pourquoi irais-je renier ce que j’ai fais ? Oui j’ai trahis, j’ai mentis, j’ai tué, mais qui n’a jamais fait l’un de ces trois actes ?
Parfois on me connaissait sous d’autre noms, comme Amora tout simplement, Bloody mais la c’était extrêmement rare, Ernessa depuis que je suis sur Midgard, puis évidemment j’ai eu des périodes ou je n’avais pas de nom du tout.
J’étais vue comme la femme mystère.
Ici je devais faire attention, évidemment il y avait peur de risque qu’on découvre Amora l’enchanteresse, j’étais surtout vue comme un mythe.
Par contre si je tombais sur Thor, c’était sur que celui-ci allait me reconnaître.
Après je ne devais pas utiliser mes pouvoirs au grand jour, ne pas dire de chose incohérente par rapport à ce monde, éviter aussi le langage trop soutenus, les humains ont une façon de parler qui … Parfois laisse à désirer, après c’est une question d’habitude.
Vivre cacher n’était plus un secret pour moi, mais je comprenais qu’à la fin on s’en lasse.

-Je crois que tout le monde possède une identité secrète en ces temps sombres, beaucoup se cache sous des faux visages, le danger règne la peur aussi

J’eu un petit sourire aux lèvres par rapport à la façon dont Amber parlé de cet homme.
Elle avait citée les mots « ennemi » , « heureuse »  et surtout le « je pense que » , pour moi cela signifiait qu’elle hésité encore à dire ce qu’elle pensé vraiment de cet homme, ou alors elle n’ose se l’avouer.
Cela fait du bien d’avoir une personne sur qui compter, une personne qui nous attends, ça nous donne davantage de raison de faire attention pour ne pas se faire repérer par la purge.
Cela nous donne davantage de raison pour rester en vie.
Même si j’aurais voulut m’effacer de cette vie, je ne le ferais pas, pourquoi ? Parce que j’ai mes neveux, mon filleul, ma sœur, Loki … Je ne pourrais jamais les abandonner, j’ai grandis avec Loki et Lor’ , j’ai aussi connus Thor, par la suite j’ai vue mes neveux naitre avant qu’Odin ne les bannissent, nous avions vécus de chose ensemble, que c’était impossible de penser à les abandonner, se serait lâche, je ne suis pas lâche envers mes proches.

-Tu pense ? Comment tu l’a rencontrais ce garçon ?

Dis-je avec un petit sourire en coin.
Je détournais la tête vers le direction que m’indiquait Amber, alors comme sa nous avons un purgiste trop curieux ?
D’un geste vague de la main, j’englobais Amber et moi dans une bulle de silence.

-Il suffit de demander, entant qu’enchanteresse je peux faire pas mal de chose, tu peux parler autant que tu veux et aussi fort que tu veux, nous sommes dans une bulles de silence

Et pour lui prouver, je fis un sourire charmeur à l’homme curieux

-N’est-ce pas imbécile ?

Mais vu qu’il ne m’entendait pas, il se contenta de me faire un clin d’œil coquin avant de retourner à son verre et ses collègues.
Je regardais alors Amber victorieuse.
Les serveurs avaient l’habitude de voir mes tours au Burlesque quand je voulais parler en paix.

lumos maxima
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Lun 28 Juil 2014 - 2:02
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Non ce n'est pas une soirée pyjama

En effet, une identité secrète, c’était peu de le dire. Si ce que j’avais pu glaner comme informations dans les livres était vrai alors elle cachait drôlement bien son jeu et puis il faut dire qu’elle se faisait appeler Ernessa et non pas par son nom d’origine. Elle jouait donc un double jeu. Je n’en étais pas rendu à me forger une autre identité, je préférais simplement me faire oublier, ne pas faire parler de moi mais chacun ses moyens et méthodes pour échapper aux ennuis. Je me suis caché tellement longtemps que j’ai bien du mal d’ailleurs aujourd’hui à réapparaître : j’ai l’air encore plus louche quand j’essaie de paraître normale et je suis tellement habituée à jouer les pickpockets que je dois faire un effort considérable pour me tenir à carreau à ce sujet. Non franchement, ce n’est pas simple tous les jours mais elle doit être dans le vrai. Beaucoup doivent se cacher. C’est le seul moyen que l’on a de survivre parfois mais on ne peut pas se cacher éternellement. On finit toujours par se faire débusquer d’un moment à l’autre et ça, j’en savais quelque chose. La peur c’est un sentiment tellement puissant capable de vous détruire si violemment… qu’évidemment vous chercher à vous en protéger. Aujourd’hui c’est un peu délicat d’y parvenir, alors on essaie de s’inventer des boucliers : une nouvelle vie par exemple. J’opinais doucement de la tête. Tout à fait d’accord là-dessus. Nous discutions tranquillement en fin de compte. De tout et de rien d’ailleurs. C’était cependant plus délicat de trouver les mots justes concernant mes sentiments envers Ezekiel. Je crois que cela me gêne et que j’ai encore un peu peur de ce que tout cela engendre aussi. « Tu pense ? Comment tu l’a rencontrais ce garçon ? » Résonnait dans ma tête à plusieurs reprises et je devins alors un peu rouge. Disons que pour comprendre toute l’histoire, il fallait remonter dans mon passé mais je pourrais faire une petit résumé ou… je ne sais pas. Le souci c’est que notre rencontre… ce n’était pas très… je ne trouvais même pas les mots pour qualifier ma pensée mais j’allais lui répondre. Doucement, je me tournais vers la gérante du Burlesque et m’attelais à ma « mission » de la soirée. J’avais décidé de lui faire confiance au fond alors je comptais lui raconter vraiment les choses.

- D’accord, si c’est ta question. Disons que c’est un peu étrange, je l’ai rencontré parce que j’étais au bord du gouffre et parce que j’ai tenté de lui faire les poches … Je ne l’aurais jamais fait si j’avais vu son visage, il avait les mêmes expressions, les mêmes traits que mon ex. C’était son grand frère. Il savait tellement de choses sur moi et j’avais si peur de lui. Je l’ai croisé plusieurs fois avant qu’il me force à sortir de mes égouts.

Je ne lui avais cependant pas expliqué que j’avais plongé mon ancien petit ami dans le coma, qu’il était peut-être mort à ce jour et d’ailleurs, je l’espérais fortement. Je n’avais pas dit non plus que la première fois que j’avais vu Ezekiel, je lui avais collé une droite, qu’il m’avait rendu le coup aussi : la rencontre était particulièrement bizarre pour rentrer dans les détails. J’avais déjà évoqué le fait qu’en gros : j’étais sorti avec le petit frère et qu’aujourd’hui, je vivais avec le plus grand. Il y a de quoi se dire que c’est un peu spécial comme relation.

- Une question à la fois : Vous êtes nombreux à venir de là-bas ? Ta famille de cœur … ?

Je me doutais qu’elle n’était pas seule mais qui était venu avec elle sur notre terre. J’aurais aimé en savoir un peu plus. Est-ce que tout ceux qu’elle considérait comme sa famille avait été exilés avec elle ? J’avais envie de lui en demander plus mais il fallait que je ne la harcèle pas de questions. Chacune son tour, avait-on dit. J’avais hâte de sa réponse mais cette affaire de miliciens m’avait légèrement refroidi sur le moment et Amora regarda dans leur direction. Elle prétendit créer une « bulle de silence » et me le prouva en insultant l’inconnu. Trop content de voir Ernessa lui sourire, il lui répondit d’un clin d’œil absolument obscène et retourna à sa soirée. J’en restais sur le cul : cela faisait donc partie des pouvoirs que pouvait exercer cette femme. Je ne pouvais pas nier que j’admirais ce tour plus qu’utile.

- Super pratique pour insulter la Purge… Excellent ! Je ne savais même pas que c’était possible, j’adore l’idée.
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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Lun 11 Aoû 2014 - 21:23
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Non ce n'est pas une soirée pyjama !

C’est méchant et fourbe, mais qu’est-ce que ça peut faire du bien parfois de parler fort devant des abrutis et que ceux-ci n’entendent rien.
Peut-être que cet homme avait crus que je le complimenté sur ses vêtements chics et de luxe, son charme inexistant ? Sa tête d’hypocrite ? Ah oui je pouvais dire tout ce que je pensé, mais parfois il ne faut pas trop jouer avec le feu, à force on s’y brûle.
Si Amber avait bien lue une partie de mon histoire ou mes histoires, elle devrait savoir que je suis une enchanteresse, une sorcière, enfin ce genre de pouvoir rends la vie plus facile.
Commandant une nouvelle vodka j’écoutais Amber me parler de sa rencontre avec son colocataire.

-Les rencontres en faisant les poches ça offre pas mal de chose, je t’ai rencontré alors que tu avais tenté de voler dans un magasin, c’est étrange parfois c’est dans des circonstances à laquelle on s’y attends le moins qu’on rencontre une personne importante

J’avais des questions qui arrivaient dans ma tête, des questions qui avaient pris la file d’attente.
Ce garçon ressemblait à son ex … Ex petit copain sans doute … Et il savait pas mal de chose sur elle, visiblement des choses qu’elle ne voulait pas que l’on découvre, d’ailleurs elle me disait qu’elle avait peur de ce garçon, à ce point ? Dans ce cas cela devait vraiment être grave, puis elle c’était caché dans les égouts jusqu’à ce que visiblement il la prenne sous son aile.
Bon j’aurais le temps de lui poser des questions par la suite, maintenant c’était à mon tour et comme promis j’allais jouer, sinon ce n’était du jeu …

-Nombreux … ça dépends de ton point de vue, comparé aux habitants de Brooklyn nous sommes à peine une petite poignet de personne

Je sirotais mon verre de vodka de nouveau bien rempli regardant les clients du Burlesque.
En passant par les jeunes riches qui ne savent pas comment dépenser leurs argents, aux touristes, aux hommes d'affaires qui ont des rires gras ... Des hommes de la purge, des espions ... Je doutais pas du tout qu'il y ait des espions, bien au contraire, ces trucs la on en voit partout.
Des trafiquants peut-être ? Pourquoi pas! C'était bondé ce soir, comme tout les soirs.

-Donc tu as peur de ton coloc’ ? Il possède des secrets qui tu ne veux pas qu’il révèle aux yeux du monde ?

Dis-je un sourire en coin.
lumos maxima
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