Qu'est-ce qui pouvait bien abattre Jörmugand, le serpent de Midgard, et Sleipnir, monture d'Odin capable de courir sur Yggdrasil ? Ils étaient après tout, les enfants de Loki, et semblaient à bien des égards plus féroces que leur parent commun. Indice : La même personne qui avait abattu et torturé le dit parent il y a maintenant quelques années de cela. Après avoir conclu un marché avec Thanos, Loki lui avait bien involontairement failli et l'invasion Chitauris avait échoué. Et le Titan fou n'était pas du genre à laisser aller ses serviteurs rebelles comme si de rien n'était. Le dieu échappant pour l'instant à sa main mise et à ses vengeances, il avait choisi de prendre pour cible ses enfants.
Vous avez été kidnappé, immobilisé, attrapé, sans avoir eu le temps de dire ouf. Vous vous réveillez, tous les deux, dans une même pièce... dans une pièce qui n'a rien a voir avec le design midgardien ou même asgardien. Il s'agit d'une petite salle – geôle – d'un vaisseau spatial actuellement posé dans la dimension chitauris ou ce qu'il en reste. A son bord ? Des chitauris, et diverses espèces aliennes soumises au bon vouloir de Thanos lui-même. Celui-ci compte d'ailleurs vous « parler » dans les plus brefs délais et à fait garder la porte.
Ordre de passage : Au choix ! Le PNJ interviendra par moment pour vous mettre en difficulté, vous apporter un nouvel élément ou épicer votre rp !
Qui l'aurait cru ? Qui pouvait croire que quelqu'un aurait la puissance et le courage de s'attaquer aux enfants de Loki, terreurs d'Odin et fléau du Ragnarok ? Qui ?! Les Chitauris bien sur... Tout ce que je me souvenais c'etait le fait que je sentis l'eau de la mer grimper en température autour de ma tête. Levant mes yeux reptiliens vers le ciel je gagnis vite le rivage d'une ile abandonné et repris forme humaine. Je compris alors que ce halo me suivait, enfin ce n'etait pas une lumière basique et normal qu'on pourrait voir dans les films d'aliens des humains, mais plus comme une sensation de rayon de chaleur uniquement focalisé sur sois. En fait pour faire simple c'etait seulement les particules d'airs qui se frotaient les unes contre les autres. Cherchant a comprendre ce qui m'arrivait je crus premièrement a un dérèglement sur mes capacités de Jotun. C'est vrai qu'habituellement je ne sentais pas ce genre de température. Mais je compris vite que ce n'etait pas moi la cause car le rayon se fit plus visible a l'oeil humain et je me fis comme aspirer par lui, transplaner ailleurs.
Je ne savais pas combien de temps j'etais rester inconscient. Mais je repris peu a peu connaissance des lieux en sentant un air factise sur ma peau, quel etrange sensation... Ouvrant peu a peu les yeux je découvris tout une nouvelle culture et architecture. Me demandant d'abord ou j'etais je compris bien vite que je n'etait ni sur terre ni sur Asgard, mais ou ? Observant les murs comme essayant de trouver un échappatoire je tomba le regard sur le corp d'un autre garçon a mes cotés, lui aussi enfermer dans cette prison étrangère avec moi. Ne pouvant rien faire et ne voulant pas gaspiller de ma force pour rien je me posant dans un coin, dos contre le mur. Posant un pied a plat sur le sol je mit mon avant bras sur mon genou en attendant patiemment mon heure...
Fermant parfois les yeux en cherchant une quelconque stratégie d'évasion ou même a comprendre qui pourrait bien nous en vouloir moi et cette silhouette dont je ne voulais pas bouger afin de découvrir qui il était, et puis a quoi bon ? Cela me servirait a rien de toute façon, sauf peut etre a comprendre la situation, mais je saurais tout tot ou tard alors... Patience etait mon maitre mot sur ce coup. Et en parlant du loup, non pas de Fenrir bien sur, je sentis la présence de nos gardes, enfin, et me permis de lire en eux. Bien sur ils ne parlaient pas ma langue, mais je compris leurs mots, dans le subconscient de chacun la langue est un peu universelle pour nous télépathe... C'est alors que je compris ce qui m'arrivait. Découvrant la nature de nos ravisseurs ainsi que ma raison d'etre ici. J'observais la silhouette devant moi et chercha a savoir, ils venaient de dire "les enfants de Loki", donc cela supposait que de Un, on es etait la simplement par vengeance envers la rupture de contract de notre Pere avec les Chitoris et de Deux que cet homme était l'un de mes deux freres... Ce n'etait pas Fenrir, je savais connaissait parfaitement sa structure physique, c'etait donc Sleipnir. Mon grand Frere dont mon Pere en est la Mere. Sentant le reveil de Sleipnir je colla mon crane contre la paroie de ma nouvelle cage en observant silencieusement la situation et prenant parole devant mon frere afin de briser de suite la glace et éviter toute forme de panique de sa part, je ne le connaissais pas vraiment plus que cela alors je ne savais pas comment il réagirait dans ce genre de situation.
- Te voila parmi nous mon Frere. Ne t'inquiète pas, nous sommes seulement prisonnier des ennemis de Pere... Enfin Mere pour toi il me semble. Mais on a l'habitude de ce genre de chose hein, on s'en sortira... Faut juste trouver notre créneau de sortie. Patience Frere.
Comme a mon habitude et tel le serpent que je suis je resta totalement stoique, ne bougeant pas un seul centimetre en observant silencieusement tout ce qui m'entourait, cela pouvait en perturber beaucoup au point ou je savais Fenrir nerveux lorsque j'etais ainsi, en pleine méditation sur un plan.
code byPANICK!ATTACK
Lun 4 Aoû 2014 - 18:35
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Quête extra-galactique ♞ Jörmungand & Sleipnir
Quelle frustration parfois que de regarder la Terre et de se dire que ses habitants sont si étroits d’esprit. Sans cesse, il fallait que je fasse attention à ne pas dire quelque chose d’étrange, à ne pas faire quelque chose de suspect. Comment les autres se fondaient-ils si bien dans la masse ? Tout cela m’avait profondément épuisé au point que je n’avais même plus l’envie de me défouler, ni même d’être curieux. Je m’étais simplement allongé sur mon lit en me demandant si j’irais faire un tour au Burlesque, voir si je pouvais être utile ou bien simplement être en présence des personnes plus compréhensives. Toujours est-il que j’avais fini par m’endormir, m’assoupir sans prévenir.
Je ne sais pas comment j’avais pu m’endormir si vite, ni même à quel moment nous étions dans cette journée quand je commençai à émerger de mon sommeil. Je sentis que je n’étais plus dans l’appartement mais dans ce cas ou ? Clignant des yeux, je m’aperçus qu’encore une fois… j’étais totalement paumé. Le lieu n’avait rien de commun avec ce que je connaissais déjà : Midgard n’avait pas une architecture aussi poussée et je n’étais pas de retour sur Asgard que j’aurais sans doute reconnu. Dans un sens, ce dernier point me rassurait : je n’avais aucune envie de me retrouver de nouveau condamné à être une vulgaire monture. Alors que j’observais la pièce avec une grande méfiance, je vis que je n’étais pas tout seul. Il y avait assis contre l’un des murs un autre homme qui me fixait. Pas le temps de réagir ou même de prendre la parole que ces mots me percutèrent de plein fouet. Son frère… Je me devais de réfléchir un peu à ce qu’Héla m’avait dit d’eux. Il était évident qu’il n’était pas ce loup au fort tempérament. Il avait l’air beaucoup trop posé, calme et réfléchit : Jörmungand. J’étais content de le rencontrer, très content mais… j’aurais préférer le croiser avant, sur Midgard pas dans des circonstances aussi étranges. Pourquoi étions nous réunis ici tous deux ? Prisonniers des ennemis de … Mère ? Mais qu’est-ce qu’il s’était donc passé pour qu’on lui en veuille à ce point ? Je me levais lentement et comment ça à m’approcher d’une des parois : c’était quoi ces ennemis… ? Oui nous avions l’habitude d’être des prisonniers mais j’avais patienté suffisamment d’années pour ne plus supporter qu’on m’enferme dans une cellule, un box, appelez ça comme vous voudrez. Je n’aimais pas me sentir privé de liberté et j’étais furieux d’être là. Pire j’étais là avec un frère. On osait toucher à notre famille. De la patience ? Il en avait de bonnes… ce n’était pas une qualité que je possédais.
Je commençais à marcher, à faire les cents pas plus précisément avant de me rapprocher de la porte, gardée évidemment. Le problème c’est que je ne connaissais rien : de mes ennemis et pas grand-chose de ce qu’il s’était passé avec mère ? Enfin qu’une partie des événements.
Mon Frère… Comment peux-tu rester aussi impassible ? Tu comptes attendre de voir ce qu’on nous veut ? Je ne pense pas avoir ta patience. Les ennemis de mère... qui sont-ils ?
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