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What happens in Glasgow stays in Glasgow

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Jeu 25 Sep 2014 - 14:19
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Eve jeta une nouvelle fois un coup d’œil au sms crypté que son père lui avait envoyé, afin de vérifier l’adresse du point de rendez-vous. Il s’agissait bien d’une distillerie, la Glengoyne Distillery, à Glasgow, Royaume-Uni. Autant dire, pas la porte à côté. La jeune femme esquissa un sourire, se disant que son paternel et elle-même avaient cela en commun, également : lier l’utile à l’agréable, quitte à choisir un lieu à l’abri des regards indiscrets, autant en profiter pour une petite dégustation de Whisky. Eve afficha cependant un léger rictus : ce n’était pas tant de voyager qui lui posait problème, après tout, elle pouvait se rendre à bon port en moins de dix minutes, grâce à son pouvoir. Non, ce qui posait problème, c’était son coéquipier, William. Elle ne pouvait pas l’emmener avec elle pour la simple et bonne raison qu’elle ne savait pas encore comment étendre son pouvoir à un autre individu. Et comme ils n’avaient pas un rond, il était hors de question d’emprunter les voies traditionnelles pour se rendre au Royaume-Uni. Elle allait devoir le laisser patienter. Et le problème était que la patience ne faisait pas vraiment parti de son vocabulaire. William ne prônait pas vraiment la discrétion, en fait, il vivait, tout simplement, et à la moindre résistance, il éclatait. Eve devait bien admettre qu’elle aimait cette puissance qui grondait sourdement en lui, avant d’exploser. Mais ils devaient encore se montrer discrets, leur heure viendrait bientôt…
Avant de partir, elle donna donc quelques indications à celui qui était devenu son homme de main et ce qui se rapprochait le plus d’un ami, lui demandant d’attendre au Bed & Breakfast où ils s’étaient arrêtés la veille, et de ne pas attirer l’attention. Elle reviendrait vite.
Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour se rendre au lieu de rendez-vous, profitant du téléphone du Bed & Breakfast pour se transférer tout droit en Ecosse, à Glasgow, à quelques kilomètres seulement de la distillerie, depuis une cabine téléphonique. Personne ne remarqua sa présence, le coin était mouvementé, à cette heure-là, les gens marchaient tels des automates pour se rendre au travail. Sans réfléchir. Des moutons, qui se suivent en s’ignorant, en ne s’accordant aucun regard. Eve détestait le commun des mortels, un peu plus chaque jour. On aurait voulu d’elle qu’elle emprunte le même schéma, étudier pour ensuite travailler le reste de sa vie et une fois vieille, elle devrait se débrouiller pour survivre et éventuellement terminer ses jours dans une petite maison de campagne. Non, impossible.
Avant même de découvrir ce qu’elle était, elle s’était toujours dit qu’elle ne vivrait pas comme ça. Qu’elle sortirait du rang pour voir le monde autrement que derrière un écran, cette vérité défigurée par les mensonges des médias. Mais aujourd’hui, elle espérait bien plus : elle n’était pas faite pour être Mouton, mais pour être Loup. D’un pas assuré, elle avança dans la foule, jouant des épaules et fusillant du regard lorsqu’on la frôlait de trop. Elle se rendit à un distributeur de billet qu’elle pirata facilement, récupérant un peu de liquide. Ça lui permettrait de prendre un taxi pour se rendre à la distillerie, et elle pourrait même s’acheter quelques vêtements. Ceux qu’elle portait souffraient de son mode de vie un peu trop nomade.
Elle ressortit d’une boutique, revêtue de la tête aux pieds, à part ses bottes de moto en cuir dont elle ne pourrait jamais se séparer. Elle portait maintenant un jeans, une veste à capuche sous un blouson de cuir noir. Elle se dit alors qu’elle se damnerait pour une moto. Mais dans le coin, ça ne devait pas être trop compliqué à trouver tout de même. Elle poussa ses lunettes de soleil sur son nez, replaçant son sac en bandoulière dans son dos.
Elle marcha un peu moins d’un kilomètre quand elle tomba sur un pub devant lequel trônait une splendide Harley, Sportster. Eve esquissa un sourire et caressa l’engin, laissant glisser sa main gantée d’une mitaine sur la selle en cuir.

«Harley, Iron 883.»

Eve tourna son regard vers l’auteur de la voix : il s’agissait d’un homme, la trentaine, peut-être quarante ans, elle n’aurait su dire. Il fumait, accoudait à l’entrée du pub. Il s’agissait probablement du propriétaire de la moto. Eve baissa les lunettes sur le bout de son nez, puis, esquissant un sourire, demanda :

«Je peux ?»

Lui rendant son sourire, il répondit simplement :

«Je t’en prie.»

Eve enfourcha l’engin comme si elle avait fait cela toute sa vie. La vérité, c’était qu’elle n’avait jamais pu, sa mère n’avait jamais accepté qu’elle monte sur une moto. Elle trouvait ça trop dangereux. Eve devait avoir les yeux pétillants, laissant ses mains parcourir la carrosserie de la moto comme s’il s’agissait de l’encolure d’un splendide étalon. Cela amusa le motard qui la sortit de ses pensées, en s’approchant.

«Tu veux faire un tour ?»

Eve lui lança un regard suspicieux : qu’avait-il derrière la tête ? La prenait-il pour ce qu’elle n’était pas ? Mais l’homme semblait sincère.

«Pourquoi tu ferais ça ?»

Il se contenta de sourire, écrasa sa cigarette et lui répondit simplement :

«Ma maman m’a toujours dit de me comporter en gentleman avec les demoiselles. »»

«Et la mienne, de me méfier des inconnus…»

Elle souriait, et n’aurait su dire pourquoi il attisait sa curiosité. Il semblait différent des autres. Il y avait quelque chose chez lui de rassurant. Il souriait également, et finit par lui tendre son propre casque. Il grimpa à l’avant et Eve l’attrapa par les hanches. Il démarra la moto dans un grondement diabolique. Elle lui dit qu’elle avait rendez-vous, haussant un peu le ton pour couvrir le bruit du moteur, mais il lui répondit qu’il le savait déjà. Eve resta surprise, mais lui fit confiance, profitant du paysage, de la sensation unique de la moto.
Rapidement, ils se retrouvèrent à la distillerie et le motard arrêta le véhicule. Eve retira le casque et descendit, se plantant devant la moto, cherchant dans le regard du motard le moindre indice :

«Comment tu sais que c’était ici ? Tu es… ?»

Il affichait toujours un sourire en coin, puis posant deux doigts à sa tempe, il lui répondit simplement :
«Mais, c’est vous qui me l’avait dit, Mademoiselle. Bon séjour à Glasgow, et avec modération, le Whisky.»»

Il lui accorda un clin d’œil avant de mettre son casque, démarrer l’engin et disparaître au loin, laissant Eve qui levait un sourcil d’interrogation mais qui ne pouvait que sourire. Voilà qui égayait sa journée, la rencontre fortuite d’un de ses semblables.
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Ven 26 Sep 2014 - 17:26
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Dans cette chaleur matinale quoi de plus agréable que de se promener ici et là au gré du vent dans le cadre d'une charmante petite ville, du moins assurément plus petite que peut l'être New York, et pour cela le choix de John s'était porté sur la ville écossaise de Glasgow où John avait pour habitude d'acheter une bonne partie de ses bouteilles de Whisky. Ce fut d'ailleurs devant cette même distillerie que fut fixé par John le rendez vous qu'il devait avoir dans la journée avec Eve, sa fille de 22 ans.


Sa fille ! John n'en revenait toujours pas qu'il puisse être père, du moins si l'on peut accorder ce titre à un homme qui à été absent de la vie de son enfant les 22 premières années de celle-ci, au bas mot il n'avait que la spécificité d'un géniteur. Mais John était bien décidé à changer la donne, cette petite avait quelque chose qui lui plaisait bien, elle avait un caractère bien trempé et John se disait que si elle était le fruit du caractère combiné de ses deux parents, ils avaient créé un monstre.  John souriait à chaque fois qu’il repensait à cette idée : une main de fer dans un gant de fer.

En attendant l’heure du rendez-vous, John flâna le long des ruelles de Glasgow faisant bon nombres d’achats pour lui mais aussi pour maintenir son nom en respect en ces lieux, en effet, quand John arrivait à Glasgow et qu’il descendait dans une boutique il pouvait dépenser l’équivalent de tous les clients quotidien sur 2 à 3 mois. Ainsi les institutions de Glasgow savaient que fidéliser John Carpenter était un signe de prospérité pour leurs établissements pour une majeure partie de l’année.

Ne voyez pas en ce geste une quelconque forme d’humanisme, de philanthropie ou encore un simple plaisir de voir tout le monde à ses petits soins et s’incliner dès qu’il passe le pas de la porte d’une boutique, la raison est tout autre. Voilà près de huit ans John était en négociation sérieuse pour implanter une succursale de la North American Computer Entertainment à Glasgow, toutefois le maire et le conseil municipal tenaient absolument à ce que les nouveaux entrepreneurs soient écossais, une idée totalement à l’inverse d’une monde actuel selon John, le monde actuel était un monde cosmopolite régit par l’inter mondialisme économique. Toutefois, ces années d’évergétisme portaient de plus en plus leurs fruits et une grande majorité des membres du conseil municipal voyait en John le symbole de la prospérité de leur ville et l’implantation de la N.A.C.E  pourrait être un moteur d’emploi.  

John regarda sa montre, il allait bientôt être l’heure pour lui de regagner son lieu de rendez-vous avec Eve, il se rendit donc immédiatement à sa voiture de location, ce n’est pas parce que l’on peut se téléporta où l’on veut quand on veut que cela veut dire qu’il ne faut pas savoir profiter d’un bon fauteuil de cuir et d’une bonne climatisation. Vers la sortie de la ville John passa devant un bar et une boutique où un motard descendait de sa moto, clope au bec.


* Tocard * ne put s’empêcher de penser John.


John avait depuis plusieurs années, voire plusieurs décennies, une réelle aversion envers les motos et les motards, cela venant principalement du fait que son père, motard et passionné de moto, lui apprenait à reconnaitre tous les modèles de moto avec une méthode bien particulière, chaque erreur correspondait à une brulure de cigarette sur la peau. Une des raisons qui explique pourquoi John ne peut supporter que des cigares et à en horreur l’odeur de la cigarette. Il jeta un dernier regard en arrière et traça la route.

Dix minutes lui fallut pour arriver devant la Glengoyne Distillery, tranquillement John se gara au parking V.I.P et se dirigea vers l’entrée.

- Mr Carpenter, bonjour, toujours à l’heure, dit le réceptionniste quand John arriva à son niveau. Comme d’habitude ?
- Pas cette fois ci mon cher Andrew, j’attend une personne très spécial et ma commande risque de différé de d’habitue avec elle. D’ailleurs, pensez vous que nous pourrions être autorisé à visiter la distillerie et à avoir une dégustation ?
- Bien sûr, je pense qu’il n’y aura pas de soucie, j’appelle Mr Glengoyne pour confirmer.

Pour toute réponse, on lui demanda de patienter, il commençait à trouver le temps long quand il entendu une voix dérrière lui.

- JOHN CARPENTER, dit un homme massif possèdant une large barbe rousse, quand j’ai su que c’était toi qui me demandait çà , je me suis dit que je devait venir par moi-même.

John fit l’accollade à George Glengoyne, le directeur familial de la sitillerie.

- George, tu n’as pas changé, comment te portes tu ? et Ingrid ?
- Ma foi, je me porte comme un charme, ingrid aussi. Elle est encore plus joyeuse que d’habitude surtout que maintenant nous allons bientôt être trois, dit-il en mimant le ventre rond d’une femme enceinte.
- Félicitation, ton père aurait été heureux d’apprendre çà, garçon ou fille ?
- Un bon p’tit gars, la relève familiale est en route.  Et toi alors ? Toujours pas de femme ?
- Non , toujours pas mais par contre dans quelques minutes je vais pouvoir te présenter ma fille.
- Tu as adopté ?
- Non non, ma fille naturelle.
- Petit cachotier, elle a quel âge ?
- 22 ans.

La nouvelle partie comme une balle de fusil et déstabilisa George.

- Oula , me faut une chaise, j’ai raté un train ou je croyais que tu n’avais pas d’enfant.
- C’est ce que je croyais avant y a quelques semaines, sa mère n’avait pas jugé bon de m’en informer.
- Je vois… ha bah tu nous réserve pas mal de surprise

La continuation continua encore quelques minutes dans le hall de la distillerie avant que John se rende compte qu’un bruit de moto approchait, quand il l’entendu il tourna la tête à temps pour voir le motard de tout à l’heure avec sa fille qui descendait de selle. Elle avait l’air tout sourire mais ce n’inquiétait pas John, la grande question était ce qui servit de bonjour, quand il l’a rejoignit devant la distillerie :

- C’était qui ?

Son ton n'était pas violent mais il était très interrogatoire.
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Ven 26 Sep 2014 - 22:56
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Son père ne tarda pas à la rejoindre, accompagné d’un homme massif à la barbe rousse. Mais plutôt qu’un sourire ravi et un bonjour chaleureux, Eve fut accueillie par un regard suspicieux ainsi qu’une interrogation presque accusatrice, les mêmes que ce que sa mère quand Eve rentrait trop tard d’une soirée avec de mauvaises fréquentations.

«C’était qui ?»

La jeune femme étira un sourire amusé en se tournant vers son père. Son père, oui. A ce moment-là, tandis qu’elle avançait pour couvrir les quelques mètres qui les séparaient, elle avait encore du mal à croire qu’il s’agissait de son père. Et pourtant il était là. Et il avait beau ne pas avoir été près d’elle durant ces vingt-deux années, sa réaction était la même que celle de Jade, celle d’un papa-poule. Eve eut un soudain pincement au cœur, en pensant à sa mère, ce qu’elle aurait pensé de sa petite balade en moto, l’attitude qu’elle aurait adopté et ce qu’elle, Eve, adolescente en pleine crise, lui aurait répondu.
Eve chassa cette pensée. Il ne servait à rien de ruminer le passé. Son père était là.

«Moi aussi je suis heureuse de te revoir, P’pa, et j’ai fait un excellent voyage, merci de t’en soucier.»

Elle le taquina d’un sourire puis retirant ses lunettes de soleil qu’elle fixa à l’aide d’une des branches à son col, elle vint poser son index sur la poitrine de son père qui attendait toujours une réponse.

«T’es de la police ou bien j’ai raté un truc ? C’était juste un type qui a proposé de m’amener, c’est tout.»

Eve se hissa sur la pointe des pieds et déposa un baiser sur la joue râpeuse de son père et en profita pour lui murmurer :

«C’était l’un des nôtres.»

Il devait comprendre qu’elle n’était pas du genre à suivre n’importe qui, et sûrement pas un humain lambda. Elle avait ses raisons. Replaçant le col de la chemise de son paternel, la jeune femme rajouta, sur un petit ton de princesse :

«Et puis, j’suis une grande fille, je sais me défendre toute seule…»

Forcément, elle ne pouvait pas savoir que le malaise venait du moyen de locomotion plus que de l’individu lui-même. D’ailleurs, Eve était loin de se douter que son père avait la même aversion que sa mère pour l’engin. D’où tenait-elle cette passion, allez savoir, ces choses-là sautent sans doute des générations.

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Ven 26 Sep 2014 - 23:48
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Ce monde devenait vraiment de plus en plus étrange, maintenant on rencontrait des mutants à tout les coins de rue, c'était quand même une sacrée coïncidence... John se promit de faire quelques recherches pour trouver l'identité de ce motard en pirater les caméra dans les rues de glasgow et en choppant sa plaque d'immatriculation.

Quand à Eve elle se comportait comme la digne fille de son père et de sa mère, elle ne se laissa pas faire et tena son père en respect juste avant de l'embrasser et corriger son col de chemise.  John se demandait qui était le parent et qui était l'enfant. En tout cas çà faisait longtemps que personne ne s'était occupé à remettre le col de John, çà lui manquait un peu et il apprécia le moment avant de se rendre compte que George était toujours là.

John passa une main dans ses cheveux un peu gêné et se reprit. Il se pencha et fit la bise aussi à sa fille.

- Je ne pense pas que tu ne sait pas te défendre, je te fais assez confiance pour çà. Je suis content de te voir.

Il prit quelques instant à la regarder, elle ressemblait vraiment à sa mère John aurait aimé parlait d'Eve avec Jade... que d'années gachées ...
John inspira et reprit le cour de ses pensées, il attrapa Eve par  l'épaule et la dirigea vers George.

- Eve permet moi de te présenter George Glengoyne, digne héritier de ce domaine et du breuvage qui en sort .

Il se tourna vers George qui souriait encore de la situation de retrouvaille entre John et Eve et lui présenta sa fille. Mine deux, il était fier d'avoir une fille à présenter et surtout une fille de cette trempe même si John n'avait pas plus connu Eve que çà.

- George je te présente ma fille, Eve Davis.

.
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Sam 27 Sep 2014 - 12:45
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Si Eve n'avait jamais eu le loisir de se faire broyer les os par un boa constrictor, elle eut un bref aperçu de la sensation lorsque Georges, bon gros bébé d'un mètre quatre-vingt-dix-huit pour un bon quintal, si ce n'est plus, l'enlaça de ses énormes bras pour la saluer. C'était une démonstration d'affection à laquelle Eve n'était absolument pas habituée. Perdant presque son souffle, les yeux exorbités, la jeune fille resta muette l'espace de quelques secondes, prise au dépourvu. Finalement, elle finit par expirer entre ses dents, avec un peu de difficulté :

«J'ai l'impression d'être la blondasse dans King Kong...»

Ses pieds touchèrent de nouveau le sol tandis que le géant la reposait au sol. Gênée par ce genre de comportement qu'elle ne recevait jamais, et surtout pas sans son consentement, Eve épousseta ses vêtements, afin de récupérer toute sa contenance. Non pas qu'elle était du genre coincé, simplement que la vie et ses aléas l'avaient rendue un peu froide et distante, pas démonstrative, en tout cas, pas avec de parfaits inconnus. D'ailleurs, la seule raison pour laquelle elle ne s'était pas débattue et montrée vulgaire, c'était pour son père qui connaissait visiblement bien ce géant.  

«Hrem... Enchantée. ... Même si vous avez essayé de me tuer.»

C'était plus fort qu'elle, lorsqu'elle se sentait mal à l'aise, elle ne pouvait s'empêcher de placer quelques traits d'humour. John, même s'il connaissait à peine sa fille, devait comprendre ce qu'il se passait chez la jeune fille, après tout, c'était ce qu'il avait ressentit lorsqu'il n'avait su comment réagir avec elle, la première fois. Eve se sentait en terrain miné : les interactions sociales n'avaient jamais été son fort, c'était d'ailleurs pour ça qu'elle prenait toujours un ton désinvolte, intouchable, au fond, elle fuyait peut-être la compagnie en se faisant une carapace. Comme elle l'avait toujours fait. Après tout, mieux vaut n'avoir rien à perdre, car perdre un être aimé, c'était beaucoup trop douloureux...

Eve resta un moment silencieuse, laissant son paternel discuter avec le fameux Georges Glengoyne, de tout, de rien, du passé, du présent, à vrai dire, Eve n'écoutait que d'une oreille, un peu perdue dans ses pensées.

«Alors c'est vrai, LE John a une fille ! Tu es ravissante, une vraie petite femme, tu dois être fier, John. Alors dis moi, tu fais quoi dans la vie ?»

Eve glissa un regard à son père, un sourire figé en coin. Eh merde, elle ne savait pas trop quoi répondre à ça. Ce qu'elle faisait dans la vie ? Elle ne pouvait tout de même pas dire qu'actuellement elle cherchait à mener une croisade en la faveur des mutants pour que son espèce puisse un jour prendre le contrôle et écraser la race humaine. Elle devait réfléchir vite.

«Je travaille pour mon père, j'ai un certain ... talent pour l'informatique, héhé.»

«Aaaah, les chiens ne font pas des chats, hein, John ? La relève, c'est bien ça ! J'espère que tu aimes le Whisky comme ton père. Une visite te tenterait ?»

La jeune femme semblait s'être un peu plus détendue, s'accrochant au bras de son père, elle sourit malicieusement en répondant :

«Le Whisky est une passion commune. Avec plaisir, pour la visite.»

Et elle emboîta le pas de son père et du géant écossais...

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Lun 29 Sep 2014 - 2:12
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John  était assez amusé de voir sa fille au prise avec son ami George, à son tour d'être gêné... apparemment le contact n'était pas dans les coutumes de la famille Carpenter. La famille ... et si elle posait des questions sur ses grands parents ? Devait-il dire la vérité ou encore une fois de plus il tisserait un fil en plus sur la grande toile du mensonge ? Qu'importe, il n'aura qu'a éluder la question et passer à autre chose.


«Je travaille pour mon père, j'ai un certain ... talent pour l'informatique, héhé

«Aaaah, les chiens ne font pas des chats, hein, John ? La relève, c'est bien ça ! J'espère que tu aimes le Whisky comme ton père. Une visite te tenterait

La relève ? Evidement cette question n'était pas encore arrivé dans l'esprit de John, pouvait-elle constitué la relève de son entreprise, de ses ambitions ? Elle qui était si jeune ?

* Tu n'étais pas plus vieux qu'elle quand tu as pris possession de la partie majoritaire des actions de la N.A.C.E * lui dit une petite voix dans sa tête.

John se dit que c'était différent, ces actions là il les avaient obtenu par la menace , la torture et le meurtre... çà fille n'aurait pas à passer par là (fort heureusement pour elle) mais la question n'est pas si elle avait les capacités nécessaire pour diriger une entreprise, la question était de savoir si elle voulait le faire. C'était là une question qui jamais n'avait été abordé, et pour cause le nombre de rencontre entre John et Eve pouvait se compter sur les doigts d'une seule main. Mais même si la question ne se posait plus du fait de ce facteur à élucider il n'en restait pas moins que John y avait pensé et maintenant cela ne le quitteras plus jusqu'à ce que ce soit réglé.

La question de son successeur devrait être réglé, non pas seulement celle de l'entreprise mais de toute les possessions de John, s'il venait à mourir il ne voudrait pas que le fruit de son dur labeur qui lui avait voler son temps, sa famille, son bonheur, ses sentiments... ne finissent vendu au rabais dans une vulgaire vente aux enchères. Il devait faire de Eve son successeur testamentaire pour tout ce qui le concernait, ses propriétés, son entreprise, ses actions  un peu partout, ses laboratoires, ses laboratoires plus officieux, ses comptes en banque officiels et officieux ...

John suivit en silence sa fille et George dans l'entrée de la distillerie, George s'était proposé pour faire visiter la distillerie, cela était  généreux de sa part mais contrecarré les plans de John... cela pouvait s'arranger, pendant que George montrait des photos de sa femme Ingrid enceinte à sa fille, il pianota sur son téléphone ordinateur et le rangea dans sa poche.  Quelques instants plus tardle téléphone de l’accueil sonna , Andrew répondit avec sa petite voix fluette puis une fois raccrocher se dirigea vers George et lui murmura quelque chose à l'oreille, une chose que John savait.

" Mes amis, je suis désolé un investisseur de dernière minute vient de nous contacter pour un contrat juteux dans 45 minutes et j'ai presque 40 minutes de voitures pour m'y rendre ... à moins que .. John tu vois ..." dit George en abaissant la voix pour pas que Andrew entende.

A quoi John  lui répondit que comme à son habitude le fait de venir directement en Ecosse le fatigué énormément et que sa capacité était temporairement instable,ce qui était totalement faux mais le patron de la distillerie n'en savais rien.

" Ah oui, j'oublie toujours ce détails, bon bah je me met en route, John je te laisse faire la visite à ta fille tu connais les lieux... Mademoiselle Eve je suis ravi de t'avoir rencontré "

Fort heureusement il était bien trop pressé pour presser Eve entre ses bras volumineux. Quand celui ci quitta les lieux John sourit à sa fille et l'invita à le suivre.

" ahle whisky... savez tu que son nom vient du gaelique écossais uisge beatha qui signifie littéralement "eau de vie", quel nom approprié pour un tel breuvage , non ? Son goût et son caractère en on fait un produit mondialement connu, on en vend meme en chine, en étiope et même au Kazastan, et bon nombre de pays en fabrique. Le whisky est tellement répondu que l'on peut dire que tout les types forment.. disons un peuple... "

Passant par l'extérieur devant  le silos John pris une poignée de céréale d'un bac pour la montrer à Eve :

" Vois tu ma fille, cette distillerie est un poème vivant, une maxime de tout les jours qui doit guider nos pas... "

John fit un petit sourire empli d'une intelligence machiavélique qui le rendit encore plus calculateur.

" Première leçon : Savez tu qu'ici on choisit principalement cette céréale pour le whisky, c'est une céréale qui pousse moins bien que les autres, qui donne un rendement plus faible et qui demande beaucoup d'entretien.. alors pourquoi la choisit-on ? Pour sa qualité, on préfère prendre son temps et donner un maximum d'effort pour obtenir des individus parfait, moins nombreux certes, mais de si bonne qualité qu'aucun grain de céréale ne peut contaminer l'autre même s'il commence à vieillir. Son nom : la promesse dorée, la promesse d'une production de meilleur qualité aux résultats inespérés. Comprend tu cette étape Eve, cette étape nécessaire à chaque chose, toujours choisir de bonne base, de bon produit.. ? "
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Lun 29 Sep 2014 - 18:31
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Avait-elle bien entendu ce qu'elle venait d'entendre ? Eve questionna son père du regard mais garda ses lèvres scellées, après tout, elle n'avait pas à intervenir, son père faisait bien ce qu'il voulait. Elle fut néanmoins ravie par l'odieux mensonge qu'il servit à son "ami" : comme si les mutants étaient de simples moyens de locomotion ! Elle n'arrivait pas à comprendre la confiance que John accordait à ce simple humain. Comment pouvait-il lui confier un tel secret ? Non pas qu'elle cautionnait le fait de devoir cacher sa véritable nature, après tout, elle voulait vivre au grand jour ce qu'elle était réellement. Non, ce qui l'horripilait, c'était ce pouvoir qu'il avait placé dans les mains de cet humain. Qu'il cafarde au Gouvernement, et elle le retrouverait pour l'anéantir...

«Ah oui, j'oublie toujours ce détails, bon bah je me met en route, John je te laisse faire la visite à ta fille tu connais les lieux... Mademoiselle Eve, je suis ravi de t'avoir rencontré.»

La voix de Georges la tira de ses pensées, elle le salua d'un hochement de tête accompagné d'un sourire de façade qui s'estompa à l'instant même où il leur tourna le dos. Il était aisé, pour John, de voir que sa progéniture se méfiait de ce nouvel individu, peut-être à tort, mais il devait bien comprendre qu'Eve ne comptait plus sur personne. Les yeux plissés, Eve observa le géant roux partir jusqu'à ce qu'il quitte son champ de vision.
Ce fut son père qui la tira une nouvelle fois de ses pensées, l'obligeant à se recentrer sur le moment présent et à laisser ce pauvre Georges partir. John lui souriait d'un air bienveillant, probablement amusé par le comportement sauvageon de sa fille. Il l'invita à le suivre et Eve lui emboîta le pas, l'écoutant attentivement.
Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi il commençait à lui parler du Whisky, mais soit, elle le laissa continuer, par politesse. Et enfin, elle vit la métaphore filée se tisser au fur et à mesure du discours de son père.

«Première leçon : savais-tu qu'ici, on choisit principalement cette céréale pour le whisky, c'est une céréale qui pousse moins bien que les autres, qui donne un rendement plus faible et qui demande beaucoup d'entretien... alors pourquoi la choisit-on ? Pour sa qualité, on préfère prendre son temps et donner un maximum d'effort pour obtenir des individus parfaits, moins nombreux certes, mais de si bonne qualité qu'aucun grain de céréale ne peut contaminer l'autre même s'il commence à vieillir. Son nom : la promesse dorée, la promesse d'une production de meilleure qualité aux résultats inespérés. Comprends-tu cette étape Eve, cette étape nécessaire à chaque chose, toujours choisir de bonne base, de bons produits... ?»

L'allusion était on ne peut plus claire. La promesse dorée, c'était eux, les mutants. Eve esquissa un sourire complice, prenant une céréale dans sa main, la faisant rouler dans sa paume.

«Je comprends, oui. En revanche, il y a une chose que je ne comprends pas... Pourquoi sait-il ?»

Elle parlait évidemment de Georges, et faisait visiblement l'impasse sur cette confidence importante qu'elle jugeait dangereuse. Elle remit la graine avec ses semblables et se planta face à son père, les bras croisés :

«Je veux dire, je vois où tu veux en venir mais... A quoi ça rime ? Peux-tu vraiment lui faire confiance ?» Elle poussa un soupire et repris :«Bref... Pourquoi tu m'as appelée ?»

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Lun 29 Sep 2014 - 19:04
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John regardait Eve avec amusement elle était encore bloquée sur le fait que George, un simple humain soit au courant pour lui, plus précisement il n'était au courant que de la téléportation et non du reste mais celà sa fille ne pouvait pas le savoir, elle commença à lui poser des questions:

«Je comprends, oui. En revanche, il y a une chose que je ne comprends pas... Pourquoi sait-il ? Je veux dire, je vois où tu veux en venir mais... A quoi ça rime ? Peux-tu vraiment lui faire confiance ?» Elle poussa un soupire et repris :«Bref... Pourquoi tu m'as appelée ?»

John continuait toujours de sourire.

" cela encore cette distillerie te l'explique, vois tu les collines là bas, au début du XIXe la chambre des lords décidèrent de faire passer une loi, une loi taxant la production d'alcool, une taxe vraiment pénible à vivre si bien que chacun se sentait épié, contrôlé. Alors les distillateurs se cachèrent clandestinement dans ces collines, loin des yeux du gouvernements si bien que celui-ci ne put presque plus les trouver. Alors il eut une idée, pour continuer à obtenir l'argent des distillateurs, il laissait la tache mais le cout pour être distillateurs était plus souple, moins oppressant. Petit à petit les personnes dans l'illégalité sortir de leurs cachettes et se mirent à vivre en plein jour, comme çà en acceptant le gouvernement et ses lois. C'est comme çà qu'en 1833 cet établissement vit le jour, et tu sait ce qui est drôle dans cette histoire ? C'est qu’officiellement les personnes dans l'illégalités étaient maintenant d'honnête citoyen qui dirigeaient cette fabrique or l'histoire nous a prouvé qu'il n'en était rien, la distillerie était tenu par des citoyens honnêtes mais les collines regorgé encore de producteur invisible qui en léguant un secret contre un service on pu vivre pratiquement 1 siècle dans l'ombre, attendant leur heure pour sortir, c'est ce qu'ils firent et beaucoup avec bien plus qu'ils avaient investie au début. Pourquoi lui, car c'est un homme qui a toujours rêvé de connaître plus que son simple quotidien, un homme qui veut rêver à un monde fantastique où les hommes puissent voler ou se téléporter... qu'est-ce que la révélation d'une toute petite partie de mon secret quand derrière j'ai obtenu des parts dans la plupart des entreprises locales, un pied à terre ici et la possibilité bientôt de créer une succursale de la N.A.C.E ici ? Et puis un homme comme çà qui est tout juste marié et bientôt père pense trop à sa famille pour tenter de la mettre en danger en trahisan un homme qui peut en quelques instant pénétrer sous son toi égorger sa femme et son enfant. Non ma fille je ne lui ai pas donner d'outils qui peut jouer contre moi,je lui ai donner l'outils qui me permet de jouer avec lui, n'oublie pas que nous autres mutants sommes ceux qui sont choisi par la nature pour persister et contrôler le monde, nous ne devons jamais avoir un coup de moins que les humains, tout est une partie d'échec... fais moi confiance. "

Quelle longue tirade , John s'était emporté dans son argumentaire et avait durer un peu .

" Suis moi"

Ils partirent vers les cuves et alambics , une fois le bruit couvrant leurs paroles et étant sur qu'on ne puissent pas lire sur leurs lèvres il reprit.

" Connais tu le laboratoire Osborn? J'ai besoin que tu t'y introduit pour glaner quelques info notamment informatique"
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Mar 30 Sep 2014 - 10:47
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Eve ne manqua pas de bouder face au sourire amusé, presque condescendant de paternel, qui ne pouvait que se divertir de l'entêtement de sa fille. Les yeux de John brillait d'une lueur maligne qu'Eve ne pouvait expliquer pour l'heure. Il avait ce regard, le même qu'elle accordait à ses adversaires aux échecs. Il prévoyait plusieurs coups, mais la jeune mutante étant trop bornée, elle n'arrivait pas à deviner d'elle-même ce qu'il pouvait y avoir de positif à accorder son secret à un humain lambda...
Jusqu'à ce que son père reprenne l'histoire de la distillerie là où il l'avait laissée. Adolescente dans l'âme, ou du moins, encore jeune adulte, Eve leva les yeux au ciel, se résignant à écouter l'histoire peut-être barbante de cette fabrique de Whisky pour en comprendre la seconde lecture. Les bras toujours croisés, Eve s'adossa au mur pour écouter la longue de John qui s'emportait dans sa métaphore filée.

Néanmoins, la jeune femme sembla beaucoup moins barbée lorsque son père en vint aux faits.

«Non ma fille, je ne lui ai pas donné d'outils qu'il peut jouer contre moi, je lui ai donné l'outil qui me permet de jouer avec lui. N'oublies pas que nous autres mutants sommes ceux qui sont choisis par la nature pour persister et contrôler le monde, nous ne devons jamais avoir un coup de moins que les humains, tout est une partie d'échecs... fais moi confiance.»

Elle comprenait mieux où il voulait en venir, semblant tout de même en pleine réflexion. Il est vrai que du fait de son jeune âge et de sa fougue, elle n'avait pas pris le temps d'envisager les choses de la sorte. Comment avait-elle pu songer que son géniteur aurait pu manquer de discernement et de prudence. Non, ce calculateur et manipulateur était à la base de son héritage génétique. Tout ce qu'elle était, venait de lui. Eve esquissa un sourire satisfait, songeant que sa pauvre mère aurait eu bien du mal à gérer le père et la fille.

«Suis moi.»

Eve emboîta le pas de son père qui la conduisit jusqu'aux cuves et alambics, un décor plutôt bruyant, et Eve comprit que c'était ici que le véritable objet de leur visite allait être dévoilé. Son père ne l'avait pas fait venir pour redessiner le monde en buvant du Whisky. Non, elle savait ce à quoi elle était destinée, et elle l'acceptait. Une fois à l'abri des regards comme des oreilles, John s'adressa à Eve en ces termes :

« Connais-tu le laboratoire Osborn? J'ai besoin que tu t'y introduises pour glaner quelques info', notamment informatiques.»

La jeune mutante se rappelait distinctement de sa première visite, à la N.A.C.E., dans le bureau de John. C'était en lisant le titre d'un dossier, "Oscorp", qu'elle s'était faite repérer. Elle savait que son père enquêtait, pour ne pas dire espionner, la corporation. Elle s'était un peu plus penché sur le sujet lorsqu'elle s'était retrouvée seule, en comblant sa curiosité par des recherches sur la nature de la corporation.
Aussi connue sous le nom d'Oscorp Industries, il s'agissait d'une multinationale basée à New York et tenue par le scientifique et businessman Harry Osborn. Les recherches y ayant lieu étaient essentiellement relatives à la chimie et au génie électrique. Du moins, officiellement...
Eve sembla subitement plus attentive et esquissant un sourire plein de malice, elle s'avança vers son père :

«Ce sera un jeu d'enfant. Tu peux compter sur moi. Qu'est-ce que je dois chercher, exactement ?»

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Jeu 2 Oct 2014 - 2:41
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tel qu'il l'espérait de sa fille,elle avait tout compris et était àsa disposition pour ce qu'il lui demanderais de faire, très bien il avait besoin d'elle.

- J'ai besoin de la liste des actionnaires de Oscorp et de leurs clients ainsi que toutes leurs adresses, leurs comptes, les  achats etc.. tu vois le topo ? Avec le tout si tu peux chopper quelques unes de leurs fichu projet je t'en serais grès.

John savait qu'elle ferait tout pour combler ses désirs mais une pensée lui vient à son esprit.

- Eve, fait attention Oscorp à des ressources et des défenses très dangereuses, promet moi que si tu sent le moindre danger tu prendra la poudre d’escampette, je ne voudrais pas te perdre alors que je viens juste de te découvrir et que j'ai tant à apprendre de toi...

John s'étonnait lui-même d'avoir parler avec tant de douceur, lui qui souhait toujours paraître aussi inébranlable que la mort elle même. Mais ses sentiments étaient véridique il avait tant de chose a savoir sur elle, il ne pourrait jamais rattraper le temps perdu mais s'il pouvait participer plus activement dans la vie de sa fille il aurait le sentiment de ne plus être un étranger pour cette fille.
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