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Left for dead [pv Ronan]

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Lun 27 Oct 2014 - 11:51
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Précédemment...
La douleur eut l'effet d'une électrocution, coupant le souffle de la jeune femme tandis qu'elle se sentit comme suspendue dans les airs. Une brûlure vive, de la chaleur dégoulinante et bientôt, un fourmillement dans le flanc droit. Eve n'avait jamais été blessée à ce point, même adolescente, elle n'avait jamais rien eu d'autre que des éraflures.
Avant de sauter, la mutante s'était dit que sa chute ne prendrait qu'une poignée de secondes et pourtant, elle avait l'étrange sentiment que le temps s'était suspendu. Elle n'avait pas songé à ce qu'elle ferait pour ralentir sa chute, elle avait compté sur son sens de l'improvisation pour réagir en une fraction de seconde. Peut-être en s’immergeant dans un de ces concentrateurs internet reliés aux câbles... A vrai dire, elle n'avait pas eu le temps de prendre sa décision que des fragments verres vinrent se planter dans son flanc droit tandis qu'une déflagration venait lécher sa peau. La douleur lui coupa le souffle, l'empêchant de hurler de douleur.
Un vertige. Ironique, compte tenu du fait qu'elle était en chute libre...
Elle se sentait partir, mais elle se ressaisit juste à temps : elle ne pouvait pas finir comme ça, elle devait ralentir sa chute, sinon elle allait repeindre l'esplanade d'Oscorp, et au revoir, petite Eve...

Dans un dernier élan de lucidité, elle trouva la force de dégainer son smartphone. Alors qu'elle avisait un arbre en contrebas, elle amorça son geste, espérant que cela fonctionne. Elle lança son smartphone en direction de l'arbre tandis qu'elle s'immergeait à l'intérieur de ce dernier au moment même où il quittait sa main.
L'immersion fut douloureuse. Eve savait qu'il ne lui restait plus beaucoup de temps avant de s'évanouir, et rester dans le téléphone était dangereux. Si ce dernier était détruit alors qu'elle se trouvait à l'intérieur, alors... L'heure n'était pas à l'imagination de ce qu'elle adviendrait. Au final, elle ne resta qu'une poignée de secondes dans son smartphone, s'extrayant de ce dernier alors qu'il dévalait de l'arbre qu'elle avait visé. La chute d'Eve fut ralentie par chaque branche dans lesquelles elle ricocha, avant de tomber au pied de l'arbre salvateur, tandis qu'elle s'évanouissait.

Combien de temps s'était écoulé ? Quelques minutes ? Elle n'en savait rien, mais ce qu'elle savait, c'était qu'elle devait partir d'ici.
Chaque geste n'était que douleur, de ses bras endoloris par sa réception dans l'arbre jusqu'à sa plaie ankylosée par l'apparente hémorragie. La jeune mutante grogna de douleur, des larmes glissant sur ses joues, tout en se dressant maladroitement sur ses jambes après voir cherché son smartphone à tâtons et l'avoir récupéré.
Sa vision était troublée, tandis qu'elle disparaissait dans une ruelle, boitillant et cachant sa blessure comme elle le pouvait...
Elle devait trouver un endroit pour se cacher...
Elle devait se soigner...
Elle devait...

La jeune mutante s'écroula dans le local à poubelle, au fond de l'impasse dans laquelle elle se retrouvait.

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Lun 27 Oct 2014 - 14:35
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BIP BIP BI BIIIIIIIIP BIP BIP BIP BIIIIIIIP

*Foutu réveil de merde*

Ronan ouvrit les yeux, il était allongé dans son lit.

* Et merde je suis encore vivant !*

Fort était de constater qu'il était vivant et même plus en excellente santé, comme toujours, tout les jours... tout le temps... même en hiver ... encore et encore il se réveillait ne pleine forme.

BIP BIP B..... CRAC !!

Tel était le dernier son d'un valeureux réveil acheter chez K-Mart et qui dans un dernier envol était venu plus intime avec le mur de la chambre, mais parfois l'amour fait mal et comme beaucoup de cœur c'est en morceau qu'il reposait maintenant au sol.

*Hum... la paix* pensa Ronan avec joie, il se tourna et commença à se rendormir quand soudain... Dies Irae du Requiem de Mozart s’éleva avec force dans l'appartement...

*Putain d'enfoiré de sa mère la chienne! Qui peut envoyer un message aussi tôt ?*

Ronan se précipita vers l'ordinateur, l'écran était devenu noir et vert, juste des lignes de code avaient apparu. Il lança le programme de décryptage, il attendit quelques secondes et une fenêtre s'ouvrit et traduisit le code . "Nouvelle important de la purge dans l'après-midi, restez connecté !  signé ShadowOfNemesis"

Des nouvelles de la purge ? Pourquoi pas? Après tout il fallait qu'il se renseigne sur ce qu'il se passait dehors même s'il y avait peu de chance que çà le concerne. Il regarda son écran : 06h21. Long bâillement, grognement... Ronan se dirigea vers le frigo pour boire un verre de lait... plus rien... nouveau grognement, juron.

Bon, il semblerait qu'aujourd'hui soit un jour particulièrement pourri alors qu'il n'avait même pas commencer, au moins se dit-il il pourra prendre l'air en allant au magasin. Il ouvrit la porte, il pleuvait ... nouveau grognement. Il s'habilla, long manteau imperméable, casquette de football américain noir et c'était partie pour la galère : ce mélanger au monde.
A peine eut-il passer le pied en dehors qu'un pressentiment vint lui lécher l'échine, il frissonna, il avait comme l'impression qu'une grosse poisse aller lui arriver, quelque chose de terrible comme une tempête ou un grand bouleversement. Il hésita a rentrer et commander du lait ne livraison mais non il en avait envie tout de suite pas à 11h, il rassembla tout son courage et sortie entièrement.

La pluie n'était pas si mal tout compte fait, personne ne sortait dans les rues, les gens n'étaient pas d'humeur à discuter et préféraient rentrer le plus vite chez eux. Quel joie d'être dans ces rues quand personnes y ai, Ronan arriva au magasin acheta un bidon de 5 litres de lait, un cigare et une bouteille de vin.

Pour rentrer il préféra changer de chemin et passer par la ruelle prés de chez lui, là où  y a toujours les drogués qui vendent les cam, avec un peu de chance il aurait de quoi fumer un petit joins en rentrant à l'appartement. Malheureusement personne n'attendait sous la pluie.

Soudain une forme, un popotin, un beau popotin d'ailleurs, suivit par des jambes et le corps d'une jeune fille allonger dans les poubelles. Ronan secoua la tête, se droguer dans les poubelles quel manque de savoir vivre... ces humains...

Il parcouru son chemin et s'arrêta, devait-il regardait si la jeune fille allait bien ? Non ce n'était pas ses affaires ... Mais si elle avait fait une surdose ? Et alors, un humain de moins... Mais si elle pouvait encore être sauvée?

Ronan grogna, il détestait aider les gens. Il s'approcha de la jeune fille et la secoua.

- Mademoiselle ? Mademoiselle ...

C'est en la bougeant le coté qu'il l'a vit, une marre de sang sur ses vêtements et sur les poubelles. Ce n'était pas une overdose qui l'avait conduit ici, Ronan sortie son portable tapa le 91.... il referma son claper... ce n'était pas une entaille de couteau ou une balle de pistolet, ce pourrait-il que ... non ...

Au loin une sirène de police, il ne fallut pas longtemps à Ronan pour prendre sa décision, il prit le portable que la jeune fille serrait dans sa main, le mit dans son manteau posa ses sacs et prit la fille avec lui, heureusement pour lui qu'il habitait un appartement en sous sol d'un bâtiment, il était plus facile pour lui de descendre la fille à son appart que de la monter... à l'appart pas elle.

il l'a posa comme un sac dans la baignoire pour éviter de tout saloper avec le sang et ressortit chercher son lait.

De retour à l'appart il l'a déshabilla, la laissant en sous vêtement, elle était bien amocher et la plaie couler encore. Il l’ausculta un peu, bon elle était bonne pour un nettoyage en règle et des points de suture. Pendant qu'il s'attelai à la recoudre il sourit en repensant à l'époque où on cicatriser avec la pointe de son épée brûlant, quel grosse poillade, çà criait, grognait, les autres rigolaient et çà sentait le cochon grillé. La bonne vieille époque quoi.

Une fois fait il nettoya la plaie, fit un pansement en règle, la banda et nettoya le reste du corps de la jeune fille couvert de terre, de sang et d'ordure.. bon les endroit intimes elle s'en occupera plus tard. La vie lui avait appris que les filles était plus sensible à se faire laver quand ils étaient inconscient que les hommes, par respect pour çà il ne préférait pas tenter l'expérience.

Il la posa délicatement sur la tablette de baignoires encastré pour pour pouvoir la sécher, elle avait les sous vêtement mouillé... bon bah .. il lui enleva la sécha entièrement , vérifia les bandages et l'installa dans son lit. Il regarda son lit, lui qui voulait retrouver l'odeur de fleur d'oranger de ses draps, ce n'était plus possible... bon bah PC !

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Mar 28 Oct 2014 - 23:34
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Combien de temps s'était écoulé depuis le moment où elle avait pu se traîner jusque dans le local à poubelles dans lequel elle s'était évanouie ? Impossible de le dire. Une musique aux consonances électroniques la tira de son sommeil tandis qu'elle grommela comme s'il s'agissait simplement de son réveil, lors d'un matin comme les autres...  Tandis qu'elle roulait instinctivement vers le bord du lit, toujours somnolente, à la recherche du fameux réveil, une petite voix dans sa tête se demandait tout de même pourquoi diable elle aurait choisit une alarme aussi hideuse, elle qui n'aimait pas ce genre musical, préférant de loin le rock, le blues et la musique classique. Bon éventuellement, le dubstep, parfois... Mais là n'était pas la question. Cette musique était en train de lui vriller le crâne, ou bien d'entretenir une migraine déjà présente, et alors qu'elle atteignait le bord du lit, elle s'appuya sur son flanc droit : c'était douloureux, ce qui lui fit ouvrir les yeux subitement.
Il lui fallut une poignée de secondes pour que sa vue cesse d'être troublée, une poignée supplémentaire pour comprendre qu'elle n'était pas dans un endroit connu, et une dernière pour noter qu'elle était nue sous ces draps parfumés à la fleur d'oranger. Une odeur agréable, soit dit en passant : les Bed & Breakfast qu'elle avait fréquenté en compagnie de William étaient plus misérables les uns que les autres, aussi, cette petite touche de confort était plus qu'appréciée.
La jeune mutante souleva lentement le drap, observant ses plaies fraîchement recousues sur son corps nu. Tout lui revenait peu à peu : Oscorp, le cinglé en pyjama rouge et noir, le fou furieux en planeur, l'explosion, la chute... On l'avait donc trouvée et soignée. Elle savait, rien qu'à cette musique, que cette personne lui était parfaitement inconnue.

Jetant un coup d’œil alentour, Eve remarqua rapidement la présence de celui qu'elle identifia comme son hypothétique sauveur, installé à un bureau d'où provenait la musique. Sans doute pianotait-il à l'ordinateur. La jeune mutante l'observait, se demandant s'il s'agissait d'un type altruiste ou bien d'un type louche ce qui lui rappela fortement qu'elle était actuellement sans vêtements. Le calcul fut assez rapide : il l'avait soignée et recousue et elle n'avait visiblement subit aucun sévisse. Mais la vie lui avait enseigné à se montrer méfiante, en toutes circonstances. A en juger par le tatami qu'elle apercevait, ainsi que par les nombreuses cibles posées au mur, elle n'était pas tombée chez un citoyen lambda.

Sur la table de chevet trônait un cendrier, à côté duquel se trouvait une montre à gousset en or et ivoire, assez féminine. Derrière, se trouvait également une photo en noir et blanc d'une belle jeune femme, bien habillée. Tout semblait bien rangé, à part peut-être le cadavre d'un réveil gisant à terre : les matins de son hôte semblait aussi difficile que les siens, ce qui fit sourire Eve.
Aucune trace de son arme, ni de son smartphone ni, accessoirement, de ses vêtements. Autant lui parler directement, après tout, s'il lui avait voulu du mal, il ne se serait sans doute pas fatigué à la recoudre... Ses iris devinrent subitement d'un bleu électrique tandis qu'elle commandait à l'ordinateur d'où émanait la musique de couper le son, afin d'attirer l'attention de son hôte.

« Mon smartphone, où est-il ?»

Elle s'étonna elle-même de ne même pas commencer sa phrase par un bonjour ou bien un merci. Ce smartphone était bien trop précieux à ses yeux, elle espérait - tant pour la sécurité de son père que pour son bien-être à elle - que ce sauveur ne l'avait pas égaré ni laissé sur place, sans quoi il serait facile pour Oscorp de remonter jusqu'à l'instigateur de cette mission d'espionnage industriel.
Enroulée dans le drap, ses épaules nues apparentes, Eve s'était redressée dans le lit et cherchait à capter le regard de son hôte. Elle devait lui sembler étrange : il l'avait trouvée aux portes de la mort, et voilà que ses premiers mots étaient pour un gadget technologique...

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Mer 29 Oct 2014 - 0:20
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Pendant que Ronan travaillait sur le smartphone de la jeune inconnu, la musique battait son plein en pleine compilation trance techno et makina. Pourquoi du comment de ce type de musique bien à l'opposé de ses goûts personnel ? Simplement parce que la musique électronique lui donner une sorte de d'inspiration quand il s'agissait de faire de l’électronique ou de la mécanique, comme si les hausse de basse et les bruits éléctro représentait un grand assemblage de rouage dans son cerveau et que sa réflexion en devenait mécanique, tel le travail qui d'offrait à lui. Emportait par la musique et la mise à neuf de l'appareil il s'était coupé du monde et rien ne pouvait le gêner même pas cette mystérieuse inconnu qui s'éveiller deux mètres à cotés de lui.

Quel fascinant smartphone, la programmation de tout smartphone est tellement facile en temps normal alors que celui-ci représentait un encodage des plus complexe comme si quelqu'un avec codé un algorithme qui encoder des programmes qui encodaient des dossiers qui encodaient des données et comme si ces données étaient des programmes avec des données avant de lui-même ré-encoder le tout même le programme initiale qui l'encoder lui même. Quel cerveau diaboliquement intelligent avait créé cela ?

Pour lui c'était comme si Tron n'était qu'une vulgarisation de l'IA, un défi s'opposait à lui...

La musique s'éteint d'un seul coup et une voix s'éleva sur son coté :

« Mon smartphone, où est-il

Apparemment elle était liée à cette sourdine musical, humm çà sentait le mutant cette histoire. Ronan rata un battement de coeur un instant en voyant le spectacle qui s'offrait à lui, la jeune fille typé asiatique nue sous les draps, le regardant fixement laissant apparaître ses épaules nues.

- Votre smartphone ? Il est là, j'essaye de le ressusciter mais son programme est complexe.

Il avait lancé cette phrase sans un poil d’excitation dans la voix malgré son excitation intérieur, voila longtemps qu'il n'avait pas eut quelque chose qui le sortait de sa léthargie latente.
Il se retourna et continua son opération chirurgical, sans même la regardé il continua de parler d'un ton nonchalant.

- En attendant que vos vêtements sèche, il y a des vêtements à moi dans la penderie. Vous avez faim ?
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Mer 29 Oct 2014 - 1:32
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Au mot "ressusciter", le sang d'Eve ne fit qu'un tour et ses yeux en sortirent presque de ses orbites. Son portable était donc endommagé. La première et unique chose la rattachant à son père était HS. Elle manqua un battement de cœur, sans pouvoir vraiment expliquer pourquoi elle sentait cette douleur dans la poitrine. Et voilà que cet inconnu s'improvisait bricoleur, triturant les entrailles de l'unique témoignage matériel d'affection de son père ? Il aurait très bien pu annoncer qu'il pratiquait une vivisection sur son paternel, sa réaction aurait été la même.

Se levant d'un bon du lit, traînant toujours le drap dans son sillage, Eve avança à grands pas vers ce boucher qui osait mettre ses sales pattes dans le corps meurtri de son bébé. C'était trop personnel, trop intime. Ce smartphone, c'était son père et elle. D'un geste vif et protecteur, même possessif, la jeune mutante récupéra le smartphone, le collant contre sa poitrine, un petit air furibond sur le visage.

« Non. Non, non, et non. Non ! Vous pouvez me prendre mes vêtements, vous improviser médecin et couturière si ça vous chante, mais je vous interdis de toucher à ça !»

Face à l'air incrédule de son hôte qui levait un sourcil perplexe face à une telle démonstration protectrice pour un simple outil informatique, Eve baissa les yeux vers le téléphone, caressant du bout des doigts l'écran tactile fissuré. D'une certaine façon, son père lui avait sauvé la vie en lui offrant ce téléphone, il lui avait permit de survivre à sa chute. A ses yeux, ça n'était pas qu'un simple smartphone, c'était bien plus. Elle était consciente que cela pouvait sembler totalement tordu, à la limite du fétichisme, mais il y avait une raison qu'elle trouvait inutile d'évoquer ici.
Eve soupira, retrouvant un peu plus son calme et finit par reprendre, d'une voix plus calme, posée :

« C'est... important pour moi, veuillez ne pas y toucher, s'il-vous-plaît.»

Eve regarda autour d'elle, peut-être pour combler le silence, se demandant où elle avait atterri. Des armes, un tatami, des cibles... Ce type n'avait pas la tronche d'un médecin, et pourtant il l'avait soignée. Il avait porté secours à une inconnue, étrangement blessée, et n'avait pas contacté d'ambulance. En fait, il semblait tout aussi marginal qu'elle.
Eve s'approcha de la table de nuit et y déposa le smartphone. Sans aucune pudeur, elle laissa tomber le drap et ouvrit l'armoire dans laquelle elle chercha quelque chose à mettre, en profitant pour en analyser le contenu. La garde-robe en dit toujours long sur son propriétaire.

« Alors, vous êtes quoi ?»

Son choix s'arrêta sur une belle chemise blanche à manches longues. Eve la passa comme on passerait une robe, remontant les manches en ourlets. La chemise était grande et la jeune femme était menue, aussi cela lui donnait l'air de porter une robe. Une fois habillée, la jeune mutante referma l'armoire derrière et continua son inspection, comme elle aimait le faire lorsqu'elle découvrait un nouvel endroit, une nouvelle personne.
Faisant le tour de l'appartement, elle observa chaque meuble, chaque décoration, chaque livre, chaque râtelier d'armes. Elle s'arrêta devant quelques armes exposées :

« Vous n'avez appelé ni la police, ni une ambulance, mais vous m'avez quand même ramenée pour me soigner, sans même savoir qui j'étais. Ni pourquoi j'étais blessée.»

Elle continua son tour, lisant les titres de divers livres présents dans la bibliothèque.

« D'après vos goûts en matière de décorations, vos compétences en couture et votre espace de vie, je ne pense pas me tromper en disant que vous êtes marginal.»

Elle le rejoignit, s'adossant au bureau, les bras croisés, un léger sourire en coin.

« Au fait... Merci.»

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Mer 29 Oct 2014 - 12:24
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Blablablabla

*Est-ce que toutes les jeunes filles de cette époque parlaient toujours autant ?* pensa  Ronan pendant que a jeune inconnu continuaient son monologue, lui prenant le smartphone des main toujours en parlant, regardant son appart (toujours en parlant), regardant les livres qu'il avaient (en argumentant) et pour enfin finir par s'adosser au bureau pour le remercier.

Enfin, elle se taisait, elle n'était levait que depuis 2 minutes et elle avait fait plus de mouvement que lui en toute une journée parfois et surtout plus de paroles qu'il en prononcer en 1 semaine.

Cela dit, malgré le coté pile électrique, Ronan apprécié le coté curieux de la jeune fille et aussi sa capacité à se mettre à l'aise aussi rapidement. Dans "se mettre à l'aise" Ronan avait apprécié la nonchalance qu'elle avait eut en laissant tomber son drap pour se diriger vers l'armoire, lui offrant le spectacle de l'arrière de son corps nu. Bien que Ronan n'avait plus été attiré par une femme depuis plus d'un siècle il n'en restait pas moins un homme mais là où il homme normal aurait garder son regard sur ces fesses rebondit lui avait admirer ce corps dans sa totalité, la peau de cette jeune fille était lisse et brillante sans oublié qu'il avait déja remarqué la douceur de celle-ci. Son dos étais fin et athlétique, avec l'éclairage de l'appartement il pouvait observer à loisir un jeu d'ombre et lumière au fur et à mesure des mouvements de cette inconnu. Ses jambes étaient à l'égal de tout le reste, parfait, bien que Ronan avait appris une chose sur les femmes c'est que depuis plusieurs dizaines de siècles toutes les femmes même les plus parfaites trouvaient qu'elles avaient les cuisses trop grosses, ce qui le fit sourire. Ses fesses, n'en parlons pas le récit pourrait s'éterniser, ainsi que si l'on parler de sa nuque ou sa chute de reins.

Parlons d'un autre sujet plus présent dans la tête de Ronan en ce moment, le smartphone, bien qu'il avait feins l'indifférence quand elle s'était précipité pour lui reprendre le smarthone des mains et le serrer contre elle comme un bébé, (ce qui au passage démontrer un attachement personnel bien au delà le l'attachement matériel, peut-être avait-elle un souvenir chère rattaché à ce portable ? ) , Ronan restait des plus curieux et voulait vraiment analyser cet encodage, après tout voilà une chose qui piquait sa curiosité en plus de 30 ans, il ne voulait pas lâcher le morceau aussi vite, mais il se dit qu'il faudrait la jouer fine.

« Alors, vous êtes quoi

Ce qu'il était ? Que dire ? Il ne pouvait pas lui dire " Bonjour, je suis un être immortelle qui traverse les millénaires en quête de vérité et surtout accessoirement trouver un moyen de me foutre en l'air. Ah oui j'oublié, j'ai passé le dernier siècle à massacrer des humains, quel grosse marade. Récemment j'ai perdu gout à la vie et je me taire dans mon appartement à répéter toujours les mêmes journées , levé, ordinateur, entrainement, ordinateur, mangé, ordinateur, lecture, ordinateur, deux trois série d'abdo et soirée matage de film sur un de mes écran, pc de l'autre et hackage de l'autre. Que pouvait-il lui d.....

« Vous n'avez appelé ni la police, ni une ambulance, mais vous m'avez quand même ramenée pour me soigner, sans même savoir qui j'étais. Ni pourquoi j'étais blessée.»

Heu... et la suite ? N'y avait-il pas une conclusion à sa phrase ? Un pourquoi ou un merci ? Non elle avait juste présenter les faits sans rien rajouter derrière, que devait-il dire ? répondre ? attendre ? Il ouvrit la bouche et...

« D'après vos goûts en matière de décorations, vos compétences en couture et votre espace de vie, je ne pense pas me tromper en disant que vous êtes marginal.»

Mais aller t-elle le laisser en placer une ? Pendant ce temps là elle traversa la pièce pris appuie sur son bureau, le sourire en coin et les bras croisés, ce qui la rendait incroyablement sexy dans sa chemise longue.

« Au fait... Merci.»

Oui !!! il pouvait enfin parler ... pour dire quoi ? commencer par où ? Ok il l'avait sauvé mais ce n'était pas pour faire ami-ami....

- Ce n'est rien, tu étais blessée, j'étais en mesure de te soigner, je t'ai soigner, d'ailleurs il faudrait arrêter de bouger ainsi si tu ne veut pas que çà s'ouvre de nouveau. Pourquoi je n'ai pas appelé la police ou l'ambulance ? Disons que j'ai connu un ami dans le temps qui m'a dit qu'il fallait aider quiconque avait besoin de soin et que ce n'était pas à nous de juger, donc je t'ai soigné.

Il évita de lui  préciser que cela il l'avait apprit auprès d'un médecin philosophe du nom d'Hippocrate, un sacré phénomène ce gaillard.
Il regarda l'heure sur son ordinateur : 9h33, l'heure de déjeuner. Il se leva et se dirigea vers la cuisine.

- Tu déjeunes quoi en temps normal ? Oeufs, bacon, steak, fruit, légumes, céréale, crêpes, pancake, café, thé, chocolat, whisky ? Et ne me dit pas que tu n'a pas faim tu es en rétablissement, tu as perdu un bon gallon de sang, de plus tu devrais coucher.. heu... te coucher pour éviter de tirer ta plaie, je t'apporte de quoi manger. Alors ?

C'était à son tour de parler beaucoup, et çà lui faisait bizarre, un long moment de parlotte était nouveau pour lui, du moins nouveau en ce moment. Bien que certains pourrait se poser des questions sur les facultés mental d'un homme qui héberge une inconnue blessé dans la rue, qui la nourrie et est près à la garder jusqu'à rétablissement, Ronan n'était pas fou ou inconscient simplement dans un lointain passé il lui était familier d'aider des inconnus et qu'il ne risquait rien à le faire. Si elle le dénoncer pour les armes il avait obtenu une autorisation de possession d'arme chez lui, si elle le dénoncer pour les joins il avait fabriquer de faux documents disant que c'était thérapeutique et enfin si elle venait à le prendre par surprise et l'égorger, bah à part la douleur çà ne le tuerais pas donc en attendant il ne risquer rien.

Il resta donc derrière le plan de travaille à la fixé jusqu'à ce qu'elle réponde.




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Mer 29 Oct 2014 - 22:38
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Eve observa son hôte se lever pour aller dans la cuisine, l'écoutant expliquer pourquoi il avait préféré se charger lui-même de ses soins plutôt que de s'en remettre à un médecin. Il devait bien se douter qu'elle était loin d'avoir un passé clean... Mais elle pouvait en dire autant. Il lui conseilla d'arrêter de bouger afin de ne pas tirer sur les fils : à vrai dire, elle les avait presque oubliés, ceux-là. La douleur n'était plus aussi vive mais toujours présente, bien que supportable. La jeune mutante continua de suivre du regard cet homme mystérieux, levant un sourcil étonné et esquissant un sourire amusé : on ne lui avait pas fait de recommandation sur sa santé depuis bien longtemps car même sa mère avait jeté l'éponge. Eve n'était pas du genre à tenir en place.
Cet inconnu était loin d'être repoussant, il y avait quelques choses dans ses traits que la jeune femme ne pouvait expliquer. Un regard profond, vif, luisant d'intelligence. Sa carrure n'était pas spécialement imposante mais suffisamment massive pour éveiller l'intérêt de la mutante qui esquissa un sourire tandis qu'elle le détaillait du regard. Sa chemise entrouverte lui avait déjà permit de remarquer un travail musculaire qu'elle estima régulier.

« Tu déjeunes quoi en temps normal ? Oeufs, bacon, steak, fruit, légumes, céréale, crêpes, pancake, café, thé, chocolat, whisky ? Et ne me dis pas que tu n'as pas faim, tu es en rétablissement, tu as perdu un bon gallon de sang, de plus tu devrais coucher.. heu... te coucher pour éviter de tirer ta plaie, je t'apporte de quoi manger. Alors ? »

Il se retrouvait donc planté derrière son plan de travail, dans le coin cuisine, fixant la jeune mutante, attendant une réponse de sa part. Eve haussa les sourcils, une nouvelle fois étonnée : premièrement, parce qu'elle n'avait pas réussi à en placer une, ensuite, parce qu'elle avait l'impression de se retrouver avec sa mère, bien des années auparavant. Elle ne put s'empêcher de lâcher un "Woaw..." pour toute réponse, peut-être encore un peu sous le choc. Un petit ricanement spontané, un sourire véritablement amusé, puis elle s'excusa en le rejoignant, ignorant par ailleurs son conseil concernant le repos, s'accoudant au plan de travail :

« Désolée, un instant, j'ai cru entendre ma mère... »

Eve garda ses deux yeux débordant de malice rivés dans ceux de son interlocuteur, le sourire aux lèvres. Elle ressentait peut-être effectivement un peu de fatigue, mais il en fallait plus pour la clouer au lit. C'était probablement ce qui faisait sa force : elle avançait, toujours, ne restait jamais inactive, toujours en mouvement. Il est vrai que c'était une vie parfois compliquée, mais c'était sa façon de vivre, et il est souvent difficile d'aller contre sa nature.
Animée par son habituelle malice, Eve plaça son menton sur les paumes de ses mains, toujours accoudée au plan de travail et répondit à la question de son hôte d'une voix suave et espiègle.

« Un café noir, et je tue littéralement pour des pancakes...»

Elle laissa volontairement planer le doute sur la véracité de ses propos. C'était plus fort qu'elle, elle adorait jouer la mystérieuse, et son nouveau partenaire de jeu semblait idéal : des secrets, nul doute qu'il devait en avoir...

« Pour ce qui est du repos, je pense avoir passé suffisamment de temps au lit, ces dernières heures... »

Elle ne le quitta pas des yeux, l'observant s'attelait dans la cuisine. Il la fascinait et il était rare qu'un homme provoque cela chez elle. Elle avait souvent été attiré plus par la puissance et le pouvoir d'un homme que par sa carrure. C'était par exemple ce qu'elle aimait chez William ou encore Magneto : cette puissance qui sommeillait en eux. Mais cet homme, sa carrure, les mystères qui semblaient le composer éveillait en elle son instinct de prédation.

« Et comment dois-je vous appeler ? Le justicier de la nuit, Fée du logis ? A moins que vous ne soyez du côté obscur de la force, auquel cas, ce serait " Dark Maman" ?»

Elle espérait un nom, ou un prénom du moins, s'amusant à caricaturer le côté attentionné, salvateur et un brin maniaque de son hôte. Mais après tout, elle-même n'avait pas donné le sien... Elle commençait donc un jeu d'échange auquel elle espérait le voir participer...

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Jeu 30 Oct 2014 - 12:54
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Ronan ne savait dire pourquoi mais ce brin de bonne femme avait quelque chose qui l'intriguer, peut-être son coté félin , çà façon de se mouvoir ou de se comporter. Un fait l'intriguer aussi mais dans le bon sens du terme c'était la capacité à jouer avec lui, insistant sur tel ou tel mot afin de suciter des questions en lui ? De la regarder ainsi avec sa moue pleine de mystères.

D'ailleurs elle avait insister sur le fait qu'elle tuais pour un pancake, la façon de prononcer n'était pas subtil mais Ronan doutais que c'était son but, d'être subtil, non elle jouais et effectivement il se demanda si ses dires étaient vérifié ? Tuais t-elle ? Bof après tout qu'importe il ne mourrait pas .... mais cela eveilla quelque chose chez lui comme quand deux prédateurs se rencontre, leur jeu devient de plus en plus intriguant, de plus en plus ils dévoilent leurs vrai nature, ils se tourne autour, ne voulant chacun rien lacher sur eux mais en savoir le plus sur l'autre, une partie d'échecs.

D'ailleurs elle voulait son nom, elle voulait prendre l'avantage sans avoir donné son nom, cela amusait Ronan. La mention de Dark Maman était drôle et il se surprit a regarder la jeune fille au mention de sith comme s'il voulait dire "si tu savais..."

Jouant avec elle il répondit :

- Dans certains peuples la coutume veut que l'on se presente avant de demander le nom de quelqu'un. Ma foi, actuellement je m'appelle Ronan. C'est comme cela que tu peux me nommer.

Il avait bien insisté sur le mot "actuellement", après tout il avait une bonne expérience de ce genre de jeu même s'il était rouillé.

Ronan s'affairait déjà à la confection d'une montagne de pancake au fur et à mesure que le café coulaient dans la cafetière. Il profita pour sortir de la garniture pour les pancakes: pate à tartiner, confiture maison (fraise, mure, abricot, rhubarbe etc...) , des fruits (fraises, pommes, cassis, framboise, mirabelle ), sucre en poudre, sucre glace, chantilly, miel et sirop d'érable. Oui Ronan avait vider ses placards et son frigo sur la table rectangulaire de son appartement mais ne sachant ce que son invité mangeait il fallait prévoir. Il installa la table à sa manière , celle de la bourgeoisie victorienne, une manière de dresser la table qu'il n'avait pu s'empecher de garder malgré ses nouvelles manières "marginale".

Il retourna rapidement continuer ses pancakes et entre deux fournées mit les bras sur le plan de travail/comptoir et se pencha légerement en avant en fixé cette belle et mystèrieuse jeune fille.

- Et toi, comment devrais-je t'appeler ? La jeune fille aux poubelles? Bloody Mary ? Mademoiselle bléssée ?  Splendide patiente ?  Dark Fail ?

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Jeu 30 Oct 2014 - 22:50
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Ce petit jeu était visiblement au goût de son hôte qui y participa volontiers, pour le plus grand plaisir de la jeune mutante. A la référence "Star Wars", son interlocuteur lui adressa un regard plutôt équivoque quant à sa possible appartenance au côté obscur, ce qui fit sourire de plus belle la jeune femme. Depuis combien de temps n'avait-elle pas ri de bon cœur, de façon aussi spontanée ? Elle n'aurait su dire.
Se prenant au jeu, il lui répondit tout de même afin de lui donner un prénom. Sans doute avait-il comprit la partie d'échecs qui se déroulaient entre eux, car il ne manqua pas de lui faire remarquer le fait qu'elle-même n'avait pas donné son nom.

« Dans certains peuples, la coutume veut que l'on se presente avant de demander le nom de quelqu'un. Ma foi, actuellement je m'appelle Ronan. C'est comme cela que tu peux me nommer. »

Ronan. Voilà un prénom aux consonances intéressantes. Eve continua de sourire, notant mentalement cependant qu'il avait appuyé su le mot "actuellement". Ce qu'il voulait dire par-là restait un mystère, et c'était tant mieux. Où serait le plaisir de la chasse si tout lui était servi sur un plateau ? Jouant avec divers babioles qu'elle trouva sur le plan de travail de la cuisine, Eve minauda, pour toute réponse :

« A vrai dire, dans certains peuples, on demande le prénom de la dame avant de la mettre nue dans son lit... Disons que nous sommes à égalité.»

Plutôt satisfaite de sa répartie, Eve se redressa pour s'étirer, étendant ses bras vers le ciel, dévoilant par ailleurs un peu plus ses jambes. Elle n'avait jamais vraiment été très pudique, c'était une fille plutôt nature. Toutes ces cérémonies, cette pseudo-éthique parce qu'on est soi-disant mieux que des animaux... Elle avait grandit avec une femme qui vouait sa vie aux animaux, et elle avait comprit rapidement que l'Homme civilisé n'était qu'un fantasme, une vanité. Elle se sentait bien plus proche des animaux.

Tout en observant les armes présentes dans les râteliers, Eve jeta quelques coups d’œil à son hôte qui s'affairait dans la cuisine, confectionnant des pancakes et faisant couler le café. Elle l'entendit faire les aller-retour jusqu'à la table à manger, mais elle était bien trop absorbée par son atmosphère pour se dire qu'il faisait bien trop d'aller-retour pour seulement un café et quelques pancakes. Quand enfin, elle retourna jusqu'à la table, elle remarqua un dressage de table beaucoup trop élaboré pour un petit déjeuner improvisé, ce qui lui arracha un "Woaw..." à la fois admiratif et perplexe. Ce type ne semblait pas connaître les demi-mesures. Il ne manquait rien sur cette table, au contraire, il y en avait beaucoup trop. En tout cas, pour Eve, qui avait prit l'habitude de ses petits déj' à la sauvette dans des Snacks pourris, qu'elle ne prenait d'ailleurs parfois pas la peine de payer...
Tandis que Ronan retournait derrière ses fourneaux afin de continuer ses pancakes, Eve, quant à elle s'approcha de la table, saisissant un couvert qu'elle identifia immédiatement comme de l'argenterie. Et pas de la camelote.

« Et toi, comment devrais-je t'appeler ? La jeune fille aux poubelles? Bloody Mary ? Mademoiselle blessée ? Splendide patiente ? Dark Fail ? »

Il était accoudé au plan de travail, ne la quittant pas du regard. La jeune femme esquissa un sourire tout en jouant avec une petite fourchette en argent.

« Vous me sortez le grand jeu, Ronan ? Vous devriez recompter votre argenterie, après mon départ, je ne suis pas le genre de fille recommandable, vous savez...»

Se doutant qu'elle n'échapperait pas à la question du prénom malgré cette jolie dérobade, la jeune femme continua de jouer avec la fourchette, s'accoudant à son tour au plan de travail. Elle plongea de nouveau ses jolies yeux bridés dans ceux de son interlocuteur et n'aurait su dire pourquoi elle ne pouvait plus rompre le contact.

« Vous semblez tellement hors du temps, Ronan... Eve... Je m'appelle Eve.»

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Dim 2 Nov 2014 - 0:47
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Rompre le contact visuel sembla assez dur en ce moment, c'était surement à cause de son habitude de toujours regarder les gens dans les yeux ou bien était-ce simplement à cause de ces deux yeux de biches qui le fixait en retour. Tout bien était que maintenant il avait obtenu le prénom de sa mystérieuse malade, Eve, et quelque chose dans le regard de la jeune fille lui donnait l'impression qu'elle était sincère.

- Eve, prononça t-il dans un murmure.

Pour ne pas perdre l’avantage il se fit un sourire malicieux et lança :

- C'est un nom bien doux, çà ne colle pas vraiment à une voleuse de couvert, non ?

volontairement il brisa le lien , prit les deux assiettes contenant chacune une montagne de pancake et les mit à table respectivement posé l'une en face de l'autre. A la suite de son geste il se retourna et se retrouva dans le dos d'Eve, faisant bien exprès de n'être qu'à quelques centimètre d'elle, puis rapprocha la main proche de sa taille et la monta doucement, étendit le bras quelques peu et prit la fourchette des mains de la jeune en prenant bien soin de lui froller le dessus des doigts.

- Et puis j'y tiens à cela, un cadeau ... d'une amie.

Il prit de la distance, posa la fourchette à coté de l'assiette et alla s’asseoir à sa place.

- Tu me rejoins ? , dit il en désignant la chaise vide en face de lui.
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