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Chawarma? (PV: Fatalis)

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Lun 23 Fév 2015 - 14:41
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Chawarma?
Ft. le Docteur Fatalis



Quelle surprise. Cela faisait des années que Bruce n'avait pas entendu le nom de Henry Pym. Tous les deux étaient plus que de simples confrères. en effet même s'il partageait une passion indescriptible pour tout ce qui touchait au domaine scientifique, ils étaient tous les deux membres des Avengers. Et tous les deux avaient des... difficultés, dirons-nous, dans leur vie personnelle. Mais ceci est une toute autre histoire.

Alors qu'ils prenaient la direction de la sortie, Banner réfléchit précisément aux mots qu'il allait utiliser. Car le fait que cette femme venue d'une contrée aussi éloignée vienne le voir pour lui parler des travaux d'un défunt camarade... Cela titillait sa curiosité, forcément. Et vu ce qu'il était capable de faire et encaisser quand son comparse prend le dessus, il n'avait pas vraiment grand chose à craindre. Tout ce qu'il fallait, c'était faire preuve de retenue, car s'il se montrait trop enjoué à l'idée de donner un coup de main, cela pourrait paraître déplacé. Et bon, même s'il ne craignait rien, il n'était pas stupide.

"Si nous marchions un petit peu?" Il était hors de question qu'il conduise cette inconnue et son chauffeur à son domicile du moment. Il en avait bavé pour le trouver, donc pas moyen qu'il se grille aussi bêtement.

Sans attendre de réponse, il commença à battre le pavé tout en répondant. "Henry et moi, nous nous connaissions depuis longtemps avant qu'il ne..." Il ne continue pas sa phrase. "Enfin, vous voyez... Pour autant je ne suis pas au fait de tout ce qu'il avait pu entreprendre comme travaux. Il était véritablement brillant et ses connaissances en cybernétiques étaient sans égales. S'il men touchait quelques mots à l'occasion... Comment dire... On a tous nos secrets, madame Spencer. Tous. Et il est fort probable que je ne connaisse pas le dixième de ce que notre cher Henry pouvait concocter..."

Est-ce qu'il cherchait à la mener en bateau? C'était un gros bobard qu'il lui racontait, ou bien c'était la stricte vérité? Difficile à dire, tant il est convaincant, mais bon, il a passé une grande partie de sa vie d'adulte à raconter des cracks pour ne pas être retrouvé par le SHIELD... Même si bon, il s'est fait capté à chaque fois.

Et se retournant vers la femme d'affaires, il ajoute "J'y gagne quoi, moi?"


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Mar 24 Fév 2015 - 19:08
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Chawarma ? Je ne crois pas non.


Prudence est mère de sûreté, et le bon Banner semblait vivre avec adage. Pourquoi prendrait-il le risque de monter dans le véhicule de cette inconnue, et pourquoi les mènerait-il à son terrier alors qu’il cherchait déjà à échapper au SHIELD ? Mais ce que Banner ignorait sans doute, c’est que Spencer avait bien plus de ressources qu’il ne l’imaginait et que, si elle ne craignait pas de détruire sa couverture, elle aurait bien pu l’aborder de manière moins civilisée… Mais en plus de compromettre son identité, elle aurait risqué de mettre la Bête en rage, et ça, elle préférait s’en préserver.
Calmement, silencieusement, elle avait emboîté le pas au docteur, chacun de ses pas ponctué du ‘clac’ de ses talons hauts. Emily Spencer avait cette démarche de fauve, pleine d’assurance, de présence, mais d’une légèreté et d’une précision que seuls ces prédateurs peuvent se targuer. Elle l’écouta silencieusement, sans jamais l’interrompre, et un sourire amusé étira ses lèvres lorsque Banner évoqua les secrets. S’il savait à quel point il voyait juste… Il ne nous dit pas tout. Et qui l’en blâmerait ? Spencer l’aurait jugé bien sot s’il lui avait tout balancé, comme ça, sans une once de méfiance.

« Mais vous le connaissiez lui. Et c’est tout ce qu’il me faut.»
Elle avait cessé de marcher pour échanger son regard avec celui de Banner, un regard brillant d’une intelligence presque dérangeante. Un léger sourire toujours vissé aux lèvres, la femme en tailleur entra un peu plus dans les détails :
« Je cherche quelqu’un qui saura penser comme lui, une sorte… d’interprète, si vous préférez. Et qui d’autre qu’un confrère et ami serait apte à cela ? »
La femme au tailleur laissa un instant de silence à Banner pour que ce dernier évalue l’argument, avant de reprendre :  
«Henry a laissé des notes, à mon attention, des projets que nous avions, en suspens, malheureusement, nous avons manqué de temps… »
Voilà pourquoi elle avait besoin de lui… Entre autres. Car ne nous mentons pas, il valait mieux avoir son alter ego vert dans son camp plutôt que dans celui de l’adversaire… D’ailleurs, as-tu songé à ce qu’il pourrait nous faire s’il comprend ta duperie ? Bien sûr, qu’il y avait songé, elle préférait seulement ne pas y penser… Non pas qu’elle craignait qu’il ne l’écrase comme un vulgaire insecte, Fatalis avait beaucoup avoir changé d’enveloppe charnelle et perdu de sa puissance, il avait tout de même passé un peu plus de cinq longues années à entraîner ce corps pour retrouver sa maîtrise des arts occultes et mystiques et avait même confectionné une nouvelle armure, adaptée à son nouveau corps… Cependant, il serait bien dommage de perdre sa couverture, celle d’Emily Spencer, femme d’affaire. Cinq longues années passées dans l’ombre… Ils ne pouvaient pas se permettre la moindre erreur, pas maintenant, pas si près…  
Banner se tourna enfin vers elle, demandant ce que serait sa rétribution, et cette question réjouissait Emily puisqu’il ne s’agissait pas d’un refus catégorique. Au contraire. Spencer s’approcha un peu plus près de Banner, son regard toujours planté dans celui de ce dernier :

« Un travail que vous aimez ; une contribution majeure dans l’avancée de la cybernétique ; de la reconnaissance ; un endroit où vivre à l’abri des yeux de ceux que vous cherchez à fuir et sans doute bien meilleur que ce bidonville…»
La voix de la femme d’affaire se fit aussi légère qu’un souffle tandis qu’elle ajoutait :
« Un endroit où vous n’auriez plus peur d’être vous-même, et où vous ne seriez ni un danger pour vous, ni un danger pour les autres… Dites-moi ce que vous désirez, Bruce, et vous l’aurez… »
Approchant ses lèvres vers l’oreille de Banner, elle murmura :
« Vous aviez raison… On a tous des secrets… Et certains n’attendent qu’une chose : d’être découverts. »

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Lun 23 Mar 2015 - 9:14
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Chawarma?
Ft. le Docteur Fatalis



Les yeux rivés dans ceux de son interlocutrice, Banner ne cilla même pas. Pas un petit clignement, rien. Il écoutait attentivement, conscient qu'une inconnue ne fait pas irruption dans votre vie pour vous offrir ce que vous désirez sur un plateau d'argent, sans qu'il n'y ait de contre-partie.

"Vous pouvez me guérir?"

Oh, la question à cent millions de dollars. Depuis son... "accident", Bruce cherche un moyen d'inverser les effets du Sérum trafiqué du super-soldat concocté par ses soins et qu'il s'est lui-même injecté. Et à ce jour, toutes ses tentatives ont lamentablement échoué. Le destin tragique d'un homme moyen qui tentait d'améliorer le monde dans lequel il vit.

Décrochant son regard de celui de Madame Spencer, il fourra ses mains dans les poches arrières de son jean pour marcher d'un pas un peu plus lent, laissant ses yeux balayer le décor environnant. Des voitures qui klaxonnent, des livreurs de pizza, une femme avec une poussette, une bande de jeunes avec un sac qui semble indiquer qu'ils viennent de faire leurs achats au Comics-Shop du coin... Vie simple. Mais simple n'est pas le contraire d'appréciable, de bien, d'enviable...

C'est alors que Banner éclate de rire. Un rire franc et sonore, avant de se retourner vers celle qui vient de faire irruption dans sa vie. "Bien sûr que non, vous ne pouvez pas! Si non, vous m'auriez déjà "traité", pour ensuite pouvoir me capturer et m'obliger à bosser pour vous sur les travaux de Pym!" Il hausse les épaules. "Mais comme ce n'est pas le cas, vous êtes obligée de faire des courbettes à un type qui gagnait sa vie en bossant dans un restaurant minable..." Et là, un petit sourire vient illuminer son visage. "Vous devez vraiment être dans un sacré pétrin pour vous démener comme cela pour moi..."

Cette réaction... Avait-il deviné que sous les traits de cette femme d'affaires se dissimulait l'impitoyable Victor von Fatalis? Comment serait-ce possible? Ou bien cette petite pointe de parano le poussait à remballer quiconque tentait de profiter de lui d'une manière ou d'une autre? Ou alors il s'amusait à essayer de lui faire peur? Impossible de savoir ce qui était le plus proche de la vérité.

Quoi qu'il en soit, il reprit sa marche comme si de rien n'était, sans attendre que cette chère madame Spencer ne lui emboite le pas. Il lance d'ailleurs à son interlocutrice, sans prendre la peine de se tourner vers elle: "Si je dis oui, on part quand?"

Oh? Allait-il accepter après ce qu'il venait de dire? Rien n'était moins sûr...


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Jeu 9 Avr 2015 - 22:52
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Chawarma ? Je ne crois pas non.


Bien évidemment, le guérir, voilà ce qu’il désirait, et bien entendu, Emily Spencer s’était attendue à cette question. Pour simple réponse, elle esquissa un simple sourire en coin : non, elle ne pouvait pas le guérir. Ni elle, ni le Docteur en elle. Mais au final, est-ce que cela lui aurait été vraiment profitable, de redevenir un inconnu, de sombrer dans l’oubli, de perdre toute cette puissance mise à sa disposition ? Le Docteur et la femme débattaient encore quant à ce qui serait le plus profitable pour eux entre un Banner docile sans Hulk et un Hulk tenu en laisse –ou plutôt en chaînes – lorsque le dit Banner, mains dans les poches, se mit à rire franchement tout en captant le regard de la femme au tailleur. Il ne manque pas de bon sens… Rappelle-moi pourquoi nous n’avons pas procédé de cette manière ? Ah, oui c’est vrai, tu t’entêtes à vouloir garder le colosse… A vrai dire, il ne s’agissait pas d’une lubie, seulement, le Docteur n’avait pas de solution pour pallier à ce problème : effectivement, aucun traitement n’avait été trouvé, et à vrai dire, il ne s’était pas penché dessus. Un sourire en coin, mais un peu plus déstabilisé, beaucoup moins assuré, Emily Spencer confessa, fuyant un instant volontairement le regard de Banner en haussant doucement les épaules :
« Vous avez raison, je n’ai pas ce traitement. Et je ne l’aurai sans doute jamais. Mais je pourrais vous apporter les ressources nécessaires pour vos recherches.»
Puis, esquissant un sourire qu’elle voulait à la fois amusé et espiègle – et pourtant toujours aussi froid – Emily répondit au scénario de son interlocuteur :
« Et, sauf votre respect, vous me seriez bien plus utile ainsi que débarrassé de votre … colocataire. Si j’étais comme vous semblez le croire, alors je m’arrangerais sans doute pour user de votre nature profondément bonne et altruiste pour vous manipuler, Bruce… Je suis sûre que vous n’êtes pas homme à ignorer les dommages collatéraux et l’implication des innocents… Je me trompe ? »
Une psychanalyse ? Une menace ? Une simple plaisanterie ? A vrai dire, il était assez difficile de savoir ce qu’il y avait véritablement derrière ce scénario anodin. Banner semblait penser que la manière de faire d’Emily n’était due qu’au fait qu’elle ne pouvait pas le contraindre. Un nouveau sourire.
« Ne prenez pas ma diplomatie pour de l’obséquiosité, Bruce. Vous semblez vous méprendre. Je ne vous forcerai pas la main, mais si vous pensez pouvoir disparaître, vivre une petite vie tranquille, anonyme, alors vous êtes bien naïf. Vous ne le pourrez jamais, parce que… vous ne serez jamais vraiment seul. »
Il reprenait la marche, sans même attendre de savoir si la PDG de la L.A.I.C. le suivait ou non, tandis que, bras croisés, Emily Spencer l’observait s’éloigner doucement. Tu comptes le laisser filer ? A vrai dire, ça ne servait plus à rien de lui courir après, maintenant, et puis, Fatalis avait sa fierté. Mais Spencer afficha un sourire à la fois amusé et des plus satisfaits lorsque Banner lui demanda quand ils partiraient s’il s’avérait qu’il accepte. La femme au tailleur haussa les épaules, doucement et répondit à son interlocuteur qui s’éloignait :
« Tout dépendra du temps qu’il vous faut pour faire votre valise, Dr. Banner... Retrouvez-moi à mon Ambassade, avant la fin du mois, si l’envie vous prend…»
Elle l’observa s’éloigner. Au final, cette entrevue ne s’était pas si mal passée…


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Mar 21 Avr 2015 - 15:15
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Chawarma?
Ft. le Docteur Fatalis



"Dommage collatéraux"... Ces mots étaient le gros de ce que retenait du discours de la femme d'affaires. Pour quelqu'un qui abrite une puissance, une force de destruction qu'il peut à peine contrôler, c'est le genre d'expression qui fait sens. Combien de fois, lors de ses... transformations, des gens avaient été blessés ou pire encore? Les autres héros savent que cela fait partie du job. Et ils essaient au mieux qu'il n'y ait pas de victimes dues aux affrontements avec les vilains. Mais le jour où Cap renversera un bus avec son bouclier ou que Black Widow fera fera s'écrouler un bâtiment en clignant des paupières... Bref, s'ils pouvaient causer des dégâts simplement parce qu'ils sont ce qu'ils sont... Là, ils pourraient comprendre ce qu'endure Banner. Face à quel dilemme il se trouve chaque fois qu'il doit laisser Hulk intervenir. Car lui, n'est qu'un homme. Et quand on a besoin d'une chose verte à la force herculéenne, bah il n'est pas très utile. Mais faire appel à cette créature... Ce n'est pas sans danger.

Il se mit alors de trois quart, stoppant sa marche, et regarda le traffic routier. Heureusement qu'il n'a pas choisi de bosser dans une compagnie de taxi. Ce job lui aurait fait péter un cable plus d'une fois, il en est certain. Ses yeux se portent à nouveau vers madame Spencer.

"Ce n'est pas que je possède grand chose..." Un léger haussement d'épaules vient accompagner cette phrase. "... mais il y a quelques petites babioles que je souhaite récupérer avant de..." Il ne finit pas sa phrase. Il prend simplement une grande inspiration, inhalant une bonne grosse dose de pollution. Il expire lentement, comme s'il laissait s'échapper une longue taff tirée sur une cigarette.

"La fin du mois?" reprend-il. Cela lui laissait quelques jours afin de réfléchir, même si sa précédente phrase trahissait son envie. Mais quand même ... La Latvérie? Le pays de Fatalis, au beau milieu de l'Europe. C'est un peu radical comme changement. Et qui diraient les autres? Cela dit, s'il devait prendre en considération ce que pense chaque personne qu'il croise ou qui connait son secret. Puis là, c'était Banner qui comptait. Pas Hulk. Enfin, c'est ce qu'on tentait de lui faire croire. L'avantage quand on possède son "don", c'est que l'on n'a pas grand chose à craindre de... bah d'à peu près n'importe quoi.

Il reprit sa marche, adressant un signe de la tête à sa potentielle future patronne, ainsi qu'un salut de la main. Un au revoir silencieux, alors qu'il disparut au coin d'une rue. Pas envie de préciser si oui ou non elle aura le plaisir de le revoir à l'Ambassade. Non, ce sera une surprise. Pour elle, mais aussi pour lui, s'il prend le temps de bien y réfléchir. En se mêlant à la population grouillante des rues de New-York, il sourit, content de voir qu'une opportunité plus prestigieuse que servir des plats dans un boui-boui pourri lui soit enfin présentée. Il va enfin pouvoir aider son prochain comme il se doit.


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