Rappel ▬ Pour ceux qui n'auraient pas encore posté, je rappelle : vous pouvez arriver maintenant ou plus tard, pas besoin d'excuses ou d'explication, même pas de justification, vous pouvez avoir été là depuis le début. venez venez postez avoir loupé le premier "tour" n'est pas un souci ▬ Pas d'ordre de réponse, n'attendez pas le pnj, pas de minimum de lignes,fin le 1/11.AU sans influence sur le forum.
Au grenier ▬ Strange se fait mordre au cou par une créature abjecte qui lui arrache la gorge d'un coup de dent - la magie luit une dernière fois dans ses mains avant disparaître tout à fait. Du sang éclabousse le miroir pour glisser vers le sol et tacher cadre du miroir et parquet. ▬ Brittany-Zombie s'est libérée de son enchevêtremen d'objets, qu'elle a repoussé et éparpillé au sol. Elle s'avance à présent librement, bavant une substance noire, attirée par les vivants et s'approche d'un pas chancelant, jusqu'à poser un pied sur la cape de Tommy, puis une main sur sa cheville. ▬ De l'autre côté, les cordes semblent émettre un sifflement menaçant et reprennent vie, ondulant sur le sol, s'enroulant autour des chevilles de ceux qui les ignorent.
Dans le couloir 2 ▬ Le petit loup bondit, mais le sol est rendu glissant par l'épaisse couche de glace qui le recouvre au fur et à mesure que vous progressez, de plus en plus épaisse, recouvrant les murs et le plafond de cristaux. ▬ Devant vous : Un jotun de plus de deux mètres de haut, qui diffuse la glace de ses doigts, transformant le couloir en simili ère glaciaire. une jeune fille blonde, tâchée de sang et au sourire sadique, qui tient à la main des couteaux papillons et un revolver à balles d'argent. Les balles ne semblent pas les toucher mais la gamine vise avec soin le lycanthrope : les mouvements incontrôlables l'empêche de toucher un organe vital, mais l'une de ses balles fait mouche sur Mindy - l'autre touche Loki qui feule de rage. ▬ Sous l'impulsion du feu, la glace fond, transformant le couloir en pataugeoire, l'eau atteignant vos genoux, glaciale. Le clone de fillette est au corps à corps, roulant dans l'eau tandis que le jotun affaiblit se rue sur Loki, épée en main.
Mar 1 Nov 2016 - 14:15
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❝ Trick or Treat ❞
- Loki aka. The Goddess of Stories - - Des paysans & psychopathes -
Hey ce n'est pas parce que l'on est pas né avec la capacité de se transformer en quelque chose de pas naturel qu'on ne peut pa le devenir plus tard, sous l'effet de rencontres fortuites. C'est un peu comme une adoption, en quelque sorte : pour être un rejeton du dieu du chaos, un certain nombre de conditions doivent être remplis, comme une enfance de merde causée par une personnalité masculine âgée et beaucoup de souffrance. Plus important encore, la capacité de se transformer en bête formidable, dangereuse et poilue. Si votre adoption passe par la rencontre inopinée avec un vilain loup-garou au fond des bois, et bien c'est totalement malencontreux mais bon pour l'esthétique général de clan familial.
Madame Loki observe donc fièrement le petit loup aux dents pointues se ruer vers son double encore plus maléfique, tandis qu'elle-même joue machinalement avec son globe enflammé. Note pour l'année suivante : se déguiser en chaperon rouge, vu le nombre de loup dans sa vie. Et parce que le conte du Chaperon Rouge revisté par la désesse des contes & légendes, c'est drôle.
Revenons à nos monstres.
Loki se prit donc gracieusement – pas vraiment, plutôt avec un bruit sourd, un tremblement dans le mur et de la poussière mêlée de ciment sec tombant du plafond – un mur, la main du Géant des Glaces sur la gorge, tentant en vain de faire tourner sa peau d'albâtre dans le noir du froid fatal. A la place, sa gorge et le bas de son visage se marbrèrent de bleu et elle laissa échapper un feulement vicieux, enfonçant sa dague dans l'estomac de son vis à vis et tournant dans la plaie, enfoncée jusqu'aux phalanges. Elle détestait les Géants des Glaces- pas parce qu'elle en avait peur d'eux, elle en avait tué des dizaines. Mais parce que ce géant avait le visage de son apparence masculine et représentait ce qu'elle était vraimetn – un monstre. Quoi de plus original pour cette nuit bien spéciale ? Cela la débectait au plus au point et les frissons qui la parcouraient n'avaient rien avec la peur – un peu – ou avec le froid. Elle repoussa le Géant des Glaces, furieuse, et engagea le combat, alternant poignard et boule de feu, tandis que le sol fondait autour d'elle. Gerbes d'eau dégueulasses qui trempaient sa robe et ses cheveux.
Elle n'était pas effrayée – juste absolument révulsée, agacée, énervée et avec une envie de chaos suffisante pour annihiler une petite ville. Elle avait perdu son chapeau et sa robe était trouée où elle s'était pris une balle. Les caraîbes étaient une bonne idée. Loki progressa dans le couloir en évitant soigneusement Mindy – que la petite se débrouille – jusqu'à ce que le Géant des Glaces ne l'empale sur un pieu de glace en travers du thorax.
« - This trick never works. »
Grimaça Loki avec difficulté – mais cela fait toujours un mal de chien. Elle fit fondre le pieu, dégoulinante d'eau glacée diluant le sang qui coulait de sa plaie et se retourna pour l'envoyer bouler d'une explosion vert pomme au creux des doigts, et prit un instant appui contre le mur. Contre une porte sous laquelle ne passer pas l'eau. La déesse poussa un feulement outré, et se redressa, repoussant ses cheveux d'une main, l'autre plaquée contre sa blessure. S'ils le prenaient comme ça... elle plaqua sa main libre contre la porte, laissant sa peau revenir bleue et un froid absolu envahir la porte dans l'intention de la faire exploser. Si bien sûr, elle tenait debout entre sa blessure, son corps qui transformait l'eau qui la trempait en neige et la dépense d'énergie. Mais hey, Loki était doué pour faire des exploits par pur esprit de contradiction.
“Est-ce que je crois aux fantômes ? Non, mais j’en ai peur.”
Noh-Varr hésitait toujours devant ses portes, ne sachant laquelle prendre. Il fallait dire que le nombre à leur disposition, et ce qu’elle cachait, semblait tout aussi attirant les uns que les autres : Bobby ne lui laissa pas le temps de s’y attarder et d’y réfléchir plus, glissant son bras sous le sien, sa femme l’entraîna dans la cuisine. La porte se referma derrière eux et, lorsque Noh-Varr tenta de la rouvrir pour voir ce qu’allait faire son patron et la gamine qui l’accompagnait, mais elle était bloquée. »
« Je ne suis pas certain que la cuisine… »
Un feulement attire soudainement son attention ; Noh-Varr se retourne en faisait apparaître ses pistolets dans ses mains d’un même mouvement, et prend quelques secondes pour voir ce qu’il se passe. Un monstre. On dirait Venom, en fait ; le Kree repousse sa femme enceinte derrière lui, tentant de se contrôler, et arrose copieusement la bête de rayons lasers. On repassera pour la classe et les acrobaties stylées et hyper clases en tirant : tout ce qu’il lui important, actuellement, était de sauver sa famille.
Profitant d’un moment d’accalmie alors qu’un Venom troué de part en part était à terre, il se tourna vers Bobby, ses pistolets disparaissant dans ses gants, et attrapa délicatement le visage de sa magnifique reine de glace entre ses mains, caressant doucement ses joues du pouce, avant de l’embrasser.
« Je t’aime, Bobby… »
Il eut un petit sourire triste, posant son front contre le sien quelques secondes, avant de la lâcher et de se retourner pour faire face au monstre qu’il avait abattu – ou à quoi que ce soit d’autre. Il s’attendait à tout, à présent… Et il espérait que ce ne soit pas ses dernières paroles.
Tommy aurait presque pu se croire dans une tragédie grecque, tandis qu’il sanglotait au pied de ce miroir, dans lequel – il avait l’impression – était enfermé son âme-sœur. Il observait Stephen l’appeler, se battre, implorer, se débattre, et l’océanologue s’en voulait tellement, tellement d’être ici et non pas à Los Angeles pour passer tranquillement la soirée avec son Sorcier Suprême. Peut-être que tout cela ne serait pas arrivé… Et soudain, l’homme se figea. Avant de pousser un cri d’horreur, de surprise, puis d’hurler, sa rage, sa tristesse, tandis qu’il voit Stephen se faire arracher la gorge, le sang éclabousser l’autre côté du miroir avant de couler hors de celui-ci.
Tommy ne fait même pas attention, tout d’abord, à son ex-femme zombie qui marche sur la cape et attrape sa cheville. Tout son esprit, tout son être est tourné vers le miroir, ce qu’il y a vu, ce qui le perturbe et le marque, changeant toute sa perception du monde ; Tommy frappe le miroir en hurlant, hurlements entrecoupés de sanglots, suppliant de lui rendre son Stephen, son Sorcier, son fiancé : à force de frapper, il fait tomber le miroir qui se brise et se laisse étendre dans les morceaux de verres brisés en pleurant.
C’est à ce moment-là qu’il remarqua la présence de Brittany ; les yeux d’abord embués de larmes, la tête tourne et quelques haut-le-cœur secouant son corps à force de pleurer à s’en rendre malade, il amorce un mouvement pour la prendre dans ses bras : mais l’odeur de putréfaction lui fait rapidement détourner la tête pour vider son estomac dans un coin de la pièce, avant que la cape ne l’attrape pour le traîner plus loin ; l’océanologue se laisse faire. Peu lui importe le monde, à ce moment précis ; il est persuadé que Stephen est mort, et il a l’impression de n’être plus qu’une poupée de chiffon, totalement incapable de quoi que ce soit d’autre que de penser à l’homme de sa vie.
Lorsque la voix de Teddy résonne à mes oreilles, je me tends soudainement. N’était-il pas censé être descendu, pour nous chercher des boissons ? Toujours à quatre pattes, je vois Tommy courir après le Sorcier Suprême, mais je ne l’entends pourtant pas : la sirène part dans la direction où, moi, j’entends la voix de Theodor… Je ne mets pas longtemps à comprendre ; ce n’est qu’une illusion, un piège grossier dans lequel j’aurai pu sauter à pied-joint si Tommy ne s’y était pas précipité avant moi. Je relève la tête vers l’autre homme – un ami du conjoint du Sorcier, si j’ai bien compris.
« C’est un piège… » couinais-je
Il avait l’air de s’en être rendu compte, mais sait-on jamais… Les cris de Tommy et les bruits de verres brisés ne présagent rien de bon. Il se passe des trucs, derrière, et quand je veux me relever pour aller le voir, et l’aider, lentement, m’étant déjà beaucoup trop reposé, les cordes se mettent à bouger à nouveau, et m’attrape les chevilles : je lâche un grognement frustré et agacé, et tente de maîtriser la panique qui m’assaille à nouveau… Après tout, j’ai bien failli y passer, tout à l’heure.
« Attention ! » couinais-je
Je me retrouve à nouveau à manger la poussière, mais je ne me débat pas, pas encore. Je préfère fermer les yeux, essayant d’oublier les hurlements et les pleurs de Tommy, d’oublier l’autre homme, et je me concentre sur mes sorts, les marmonnant doucement, tout en pensant à Teddy, qui doit m’attendre en bas… J’espère qu’il ne lui est rien arrivé ! Il me donne la force nécessaire pour me concentrer sur ma magie, et tenter de me débarrasser de ces cordes une bonne fois pour toute…
« Une journée en Ecosse ». C’était l’idée de sa petite-ami/fiancée/femme, cela dépendait de l’humeur de Charlie. Officiellement, ils étaient… Fiancés. Officiellement. Parfois, Johnny ne savait pas trop : mais officieusement, dans l’esprit de sa Chacha, c’était comme s’ils étaient mariés-jusqu’à-ce-que-la-mort-les-sépare-et-même-au-delà. Il avait accepté, évidemment : une tête brûlé comme lui, refuser d’aller en Ecosse, dans un vieux manoir branlant et craquant pour Halloween ? Bien sûr que non, et ils s’y étaient rendu avec plaisir.
Mais Charlie avait disparu, le temps que Johnny se change ; il avait choisi de se déguiser en Winter Soldier, en l’honneur de son ami, évidemment. Et pour se moquer un peu de lui, aussi, mais chut, il ne pourrait jamais le savoir. Sauf que voilà, Charlie ne revenait pas ; il descendit donc lui-même au salon, pour le trouver vide… Etrange. Johnny avisa la porte de la cave, ouverte, et pensa qu’ils avaient tous du descendre pour plus de frisson : il s’engagea donc dans les escaliers.
Prudent, mais pas trop, il se retenait de sauter de marche en marche pour éviter de se casser la figure : progressivement, plus il s’enfonçait, moins il y voyait. Puis il buta enfin sur le sol, ne trouvant plus de marche, et cligna des yeux, se demandant s’ils se cachaient tous. Devant l’absence de bruits, mais également de réponse à son « Eh ooooh ? » il arqua un sourcil et croisa les bras, et fini par se décider. Tant pis pour le suspense : il s’enflamma tout d’un coup, révélant les secrets de la cave plongée dans le noir…
「Spooky scary skeletons, send shivers down your spine. Shrieking skulls will shock your soul, seal your doom tonight.」
Mindy & Scared People
Alors que je m'élance dans le couloir en direction de mon double diabolique, les griffes de mes pattes arrières ont du mal à me maintenir en équilibre. Ne croyez pas que mes jolies bottines soigneusement offertes par Madame L ont résistés à ma transformation. Il n'empêche que cette glace au sol rend mes mouvements beaucoup plus anarchiques, moins maîtrisés et qui potentiellement me sauve la vie. Ce clone tire à travers le couloir et je peux sentir l'argent d'ici. Ce qui me fait froncer furieusement le nez en tout cas. Mais la glace ne me sauve pas totalement, car un couinement clairement canin s'échappe de ma gorge et me fait glisser contre le sol. En plein dans la cuisse, l'argent brûle ma chair et me fait encore une fois couiner de douleur. Je relève mon regard jaune sur mon ennemie avec une furieuse envie de lui ouvrir le ventre et de me repaitre de ses entrailles en la gardant en vie. Madame L passe à côté de moi en s'occupant de son double masculin. « Woof. »
Elle se jette à ma rencontre alors que d'un mouvement de ma main devenue une patte griffue je fais un mouvement dans sa direction. Mon couteau papillon filant droit dans sa direction. Ce qui a au moins le bénéfice de la surprendre puisqu'elle s'arrête pour envoyer un coup de sa propre arme pour dévier la mienne. S'enfoncer dans le bois du couloir. Une seconde qui est nécessaire pour me voir courir dans sa direction à quatre pattes. Elle charge à temps, mais je brise sa trajectoire en la percutant de plein fouet. L'envoyant rouler dans l'eau. Ma cuisse me fait salement souffrir, l'argent continuant de dévorer mon corps lentement en le brûlant de l'intérieur. Je m'accroupis pour la garder sous moi. Elle arrive à sortir à moitié, son bras que je ne maintenais pas sous l'eau sortie brutalement pour planter profondément dans mon épaule son arme blanche. M'arrachant un gémissement de douleur. En tout cas, elle ne s'attendait pas à ce que je serre mes jambes contre elle pour la compresser au maximum. Alors que mes dents s'accrochent à sa main plantée dans mon épaule. Mon regard se fait fou avant que de donner un violent coup de mâchoire. Laissant le couteau planté, mais elle, avec trois doigts en moins. J'en recrache un qui tombe pitoyablement dans l'eau. « Disgusting. »
Elle commence à se débattre. Elle panique un peu, mais son sourire de timbrée ne s'est toujours pas effacé de son visage. Je vais te réduire en miette sale petite garce, crois-moi. Je la saisis à la gorge pour la remonter à la surface. C'est à mon tour de sourire comme une démente et il s'agrandit un peu plus en la voyant utiliser la paume de sa main pour donner des coups dans le manche du couteau pour m'enfoncer un peu plus la lame. Un grognement m'échappe, mes dents s'enfoncent dans son visage. On tenterait peut-être de sauver son œil. De recoudre sa joue. Mais mon pouls n'a pas dépassé les quatre-vingt-cinq quand je lui ai dévoré la langue. J'avale donc la chair, son visage est beaucoup mieux comme ça. Quand elle hurle sous la douleur – plutôt un bruit anarchique en fait. Bah ouais, plus de langue, plus de mots. « Say hello to my little friend ! » Et une balle vient exploser sa boite crânienne. Se répandant dans l'eau derrière elle, accompagné de petits bouts de cervelles flottants dans l'eau. Mes griffes relâchent sa gorge et son corps inerte retombe dans l'eau.
Je me redresse sur mes pattes arrières « Vraiment un goût dégueulasse cette garce.». Je retire le couteau de mon épaule, j'ai mal. Madame L. .
Trick or Treat... assholes ?
Mar 1 Nov 2016 - 22:17
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COME AND DIE OF FRIGHT – EVENT HALLOWEEN
A peine le blond eut-il répondu qu’une nouvelle figure familière faisait son apparition. Natasha abaissa légèrement la lampe, cessant ainsi d’éblouir Steve. La rouquine observa Samuel rapidement, esquissant un mince sourire face à sa remarque et au bol de friandises -probablement récupéré dans la salle commune. Après une rapide réflexion, elle prit note de passer en chercher aussi. Un crochet discret par le salon une fois le courant rétabli pour subtiliser de quoi se nourrir ne ferait de mal à personne, restait plus qu’à espérer que les autres occupants du château n’avaient pas tout mangé.
Alors que la femme entrouvre ses lèvres pour répondre, le fracas métallique qui vient s’écraser à leur niveau la surprend, la faisant s’écarter et, par réflexe, adopter une posture de combat. Durant l’action, Natasha avait lâché sa lampe, celle-ci éclairant désormais les débris poussiéreux. Roulant des yeux face à sa propre réaction, la russe leva le regard vers les deux hommes, tandis qu’elle repoussait une pièce d’armure du pied.
"Bougeons. Je ne compte pas finir écrasée par une autre-" A nouveau, la rousse porta son regard au sol tandis qu’elle sentit quelque chose s’agripper à sa jambe, comme si la chose en question tentait de.. de monter ? Cette fois, Natasha fit au mieux pour envoyer valser ce qui semblait être les restes d’un bras.
Son regard dériva ensuite vers Steve et Sam, le premier n’attirait apparemment pas les restes de membres, au contraire même. Natasha ne chercha pas plus que cela à comprendre ; Sam quant à lui, se retrouvait visiblement confronté à la même menace, du moins, s’il s’agissait réellement d’une menace.
Pestant dans sa langue natale, l’espionne attrapa Sam par la manche, indiquant à Steve de suivre sans vraiment réfléchir. Au bout d’un temps, elle se permit de lâcher Samuel, persuadée qu’il continuerait de suivre. Mauvaise idée cependant. Le couloir semblait n’en plus finir. Alors qu’elle se retournait pour consulter ses collègues, Natasha eut l’immense joie de constater qu’elle se retrouvait seule, dans le noir. Sans personne pour surveiller ses arrières. Magnifique. Excellent.
Dégainant son arme et la braquant face à elle, la rouquine continua de progresser, tentant parfois d’ouvrir les portes qu’elle rencontrait. Le couloir ne pouvait pas être sans fin, si ? Et quand bien même, elle finirait bien par trouver une cage d’escaliers ou une porte ouverte, n’est ce pas..?
Event clos ! Merci à tous pour votre participation, voici vos destinées et le dernier post du PNJ ! Mangez pas trop de bonbons les petits monstres !
Sam Wilson & Steve Rogers & Natasha Romanoff Entraîné par Natasha, il court dans un couloir apparemment sans fin, après avoir tenté de semer les armures, Bucky et Steve. Celui-ci a fort affaire avec Bucky qui la atteint et tente de le saisir, de l'embrasser, l'enlacer ou de le dévorer vivant. Il parvint cependant à le repousser et les restes d'armures finissent par ramper sur lui jusqu'à ce que le zombie lui-même cesse de bouger et de pousser des râles. Natasha continue longtemps à courir dans ce couloir sans fin, dans ce qui lui semble être des jours entiers ou presque - lorsqu'elle finit par s'écrouler, épuisée et au bout de ses forces, elle s'aperçoit que le couloir avait bien une fin : au bout de sa vision se trouve Sam, à terre et au-dessus duquel Steve est penché, buvant son sang à grandes gorgées après l'avoir rattrapé. Elle est la suivante.
Noh-Varr & Bobby Lorsque le Kree se retourne vers Venom celui-ci semble bien mort, une masse non-identifiée de toile d'araignée et de venin noir qui s'écoule sur le carrelage de la cuisine. Jusqu'à qu'il entende un hurlement perçant : le temps de se retourner, un autre "Venom" s'est saisit de Bobby avant de lui arracher la gorge d'un coup de dent puissant. Venom et Bobby tombent au sol dans une flaque de sang - le Kree décharge à nouveau ses armes sur le monstre. Pourtant, malgré sa détresse, la porte de la cuisine se retrouve, sur un hall d'entrée désert. Un vampire repu est en haut de l'escalier, mais ne semble pas faire un mouvement, rassasié, tandis que la porte d'entrée est elle ouverte vers un extérieur silencieux, la liberté...
Tommy Summerfield représente un mets de choix pour un zombie aussi affamé que Brittany. Elle suit docilement l'océanologue trainé par sa cape, jusqu'à s'emparer pour de bon de sa cheville et de tirer à elle le petit mutant tiraillé entre sa cape et son ex-femme. La cape finit par bondir pour essayer d'entraver les mouvements et la bouche de Brittanny mais c'est trop tard alors qu'elle commence à dévorer son ancien époux par l'endroit de son anatomie par où la discorde est venue.
Billy Kaplan Le démiurge murmure ses sorts, les yeux clos, avec une ferveur touchante jusqu'à ce qu'une corde le baillonne, se posant sur sa bouche, vite rejointe par deux autres enlaçant sa gorge. Elles serrent, serrent, entourant son corps dans un linceul de momie jusqu'à ce que le mage tout puissant cesse de se débattre.
Raffael Wildes Bien qu'il ne se soit pas approché, méfiant, il ne peut pas s'empêcher de faire quelques pas dans le grenier, dans un sens ou dans un autre : il glisse dans le vomi de Tommy, et une latte du plancher craque soudain sous le choc : de la fente ainsi crée, sortent avec appétit une nuée de petits cafards d'un violet irisé qui escaladent avec une rapidité folle Raffael, jusqu'à envahir tout son corps, sa bouche, ses yeux.
Johnny Storm Dans la cave soudainement éclairée, le héros peut apercevoir une sorte de gargouille verte, aka. Hulking qui pousse un rugissement rauque en l'apercevant et bondit sur lui pour le faire tomber au sol, boule de feu et de pierre faisant un roulé boulé dans les escaliers . Il tombe ainsi sur Charlie, déguisée en chaperon rouge, mais dans un état d'hystérie profonde. Elle saute sur son fiancée pour enlacer son torse, malgré les flammes qu'il éteint précipitamment. L'affection de sa fiancée ne se tarit cependant pas : affolée, elle s'accroche à ses épaules, à sa nuque, griffant sa peau jusqu'à faire couler le sang, arracher ses joues, ses yeux, toujours sanglotant.
Mindy McCready & Madame L. Une Madame L percée de part en part s'acharne à geler la porte jusqu'à ce que celle-ci vole en éclat. Loki est un instant repoussée, assez pour que Mindy puisse s'avancer dans l'ouverture pour voir un hall d'entrée désert. Un vampire repu est en haut de l'escalier, mais ne semble pas faire un mouvement, rassasié, tandis que la porte d'entrée est elle ouverte vers un extérieur silencieux, la liberté. Lorsqu'elle se retourne vers Madame L, c'est un sourire machiavélique d'un dieu du chaos qui lui est adressé - il est temps de courir vers la sortie parce qu'une telle décharge d'énergie et de douleur a finit de pousser Loki hors de ses limites et que le château est ébranlé dans ses fondations par une lueur verdâtre.