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It's your round [pv Ez]

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Jeu 2 Jan 2014 - 12:16
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*It's your round *

Ezekiel & Amber



L’hiver est une saison assez rude pour quiconque n’a pas de domicile, je commençais à ne plus trop avoir d’idée pour tenir bon contre le froid mordant. Dormir sans craindre de ne pas se réveiller s’avérait suffisamment compliqué pour que je sois inquiète pour ma survie. Parfois, je me demande encore comment je fais pour être toujours debout après tant de temps à vivre ainsi. Je ne peux même pas compter sur un endroit plus chaud que les égouts durant la nuit avec le couvre-feu qui a été instauré. Être encore plus prudente que je ne l’était m’est difficile, je sors moins longtemps qu’avant et je suis de plus en plus démunie. Je suis entrée dans un bar, malgré la crise actuelle, je ne peux m’empêcher de fréquenter ce genre de lieux. Je pense que cela me rattache douloureusement à mon passé et que malgré ma peur d’y repenser, une part de moi regrette de ne plus être aussi naïve. Pas par envie d’être encore dans la même situation mais parce que j’avais cette confiance qui m’est désormais lointaine. Je ne craignais pas les choses qui aujourd’hui me font frissonner. J’étais totalement différente et beaucoup plus joueuse.

Je marche rapidement vers le comptoir et m’y assoit, posant les coudes sur le bois en attendant que le barman vienne voir par ici. Je commande un verre de vodka, il lève les yeux au ciel sans que j’en comprenne la raison. Je me contente d’attendre tranquillement ma boisson en tendant l’oreille vers tout bruit de couloir qui pourrait m’intéresser. Je sirote tranquillement mon verre qui me brûle la gorge. Bizarrement ce genre de sensation est agréable et me donne l’impression de ne plus être en hiver pendant quelques temps. Je regarde vers l’extérieur vérifiant qu’il fait bien jour, étant donné que je n’ai pas trop la notion du temps, je dois être extrêmement prudente sur la tombée de la nuit, à cause de la milice. Être sans-abri ce n’est pas forcément une partie de plaisir même si c’est voulu mais une être une mutante, en plus, ce n’est pas tellement mieux. Derrière moi l’ambiance est bon enfant, les gens viennent ici pour se changer les idées pour passer un bon moment alors les quelques informations que je compte glaner sont plutôt rare pour la fin d’année. Je continue de siroter mon alcool et pense à mon passé.

Le couvre-feu à l’époque, c’était nos parents qui essayaient vainement de nous l’imposer mais comme nous n’avions aucune peur des réprimandes, c’était comme s’il n’existait pas. Rare était les fois où je rentrais dans les heures dites raisonnables et parfois je ne rentrais pas à la maison du tout. On ne peut pas dire que j’ai été une enfant très facile à vivre, j’ai même du changer de collège avant de rencontrer ma bande d’amis. J’étais peu passionnée par la scolarité, assez bagarreuse et suffisamment mal dans ma peau pour causer des ennuis.  Ma mère a été patiente avec moi et de mon côté… je n’ai fait aucun effort. J’ai fait toutes les bêtises que se permettent les adolescents quand ils n’ont aucune limite. Bon, à part la drogue, ça je n’y ai jamais touché. L’alcool en revanche, je n’y ai pas échappé et me voilà assise là à commander un autre verre. Ensuite promis, je m’en irais de nouveau dans mes égouts dans l’espoir de ne pas mourir gelée ce soir-ci. Je n’ai pas des habits hyper chaud alors je dois trouver d’autres solutions, pour m’isoler de la froideur des lieux. Comme le carton. Je prends tout de même mon temps et observe les différents clients.

Cette fois, je ne volerais pas dans le bar, j’ai déjà un peu de sous. Pas beaucoup certes. J’aperçois à une table un groupe d’homme qui fait une partie de cartes. Je regarde avec intérêt, j’aurais bien aimé apprendre à jouer mais je parie qu’ici les passe-temps ne sont pas honnêtes et qu’il y a de la triche. À ma droite, une personne s’accoude au bar et commande un whisky avant d’entamer une discussion sur … son chien ? Passionnant ce type ! J’ai du mal comprendre…. Ça m’arrive souvent. Je reporte mon attention sur les joueurs qui m’ont l’air bien éméchés et oublie un peu le temps. Je bois mon verre lentement, il serait temps que je parte mais je n’en ai pas envie. Je n’ai pas trop le choix. Je soupire et remercie le barman avant de le payer. Je descends de mon tabouret et regarde dehors, il ne fait pas encore sombre heureusement pour moi mais cela ne devrait plus tarder. Je profite du fait que je sois dans un bar pour aller dans les toilettes. Il me faut quelques minutes pour me rafraîchir le visage et c’est fou comme ça fait du bien. Je me sens toujours…sale. Je sors des toilettes et m’apprête à sortir, cette fois-ci.



©BlackSun
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Jeu 2 Jan 2014 - 18:56
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Amber Ҩ Ezekiel
« Quête # 13 "Une fessée pour une vilaine fille ! »  



Comment avait elle osée ?! Cette petite effrontée avait oser me cacher qu'elle vivait dans les égouts ?! Je ne pouvais laisser une soeur mutante dans la rue. Surtout pas elle. Mon contact qui s'était poser dans un bar de Brooklyn jour et nuit afin d'être un lien permanent entre Amber et moi si elle souhaitait me voir m'avait signaler les conditions de vie de la demoiselle en l'ayant vu rentrée dans les égouts et en ressortir que le lendemain. Lui demandant de la surveiller apres ce petit "mensonge" j'attendis de finir une petite affaire dans mon entourage avant d'aller a sa rencontre et lui demander des comptes. 

À présent je comprenais pourquoi elle n'avait rien dit sur son adresse. Mais maintenant je la connaissais alors ceci n'allait pas être dur pour la retrouver et surtout pour ne plus lui laisser le choix, elle devrait accepter mon offre de logement. Quitte a la faire vivre avec moi ! Elle souffrira pour son affront et paiera de sa chair !  Que je suis démoniaquissime ! Je suis splendide et je le sais. 

Bref nous étions le jour J et mon contact qui c'était poser dans un bar m'envoya un message me signalant l'arriver d'Amber dans ce dernier. Ce fut sans plus tarder que je me hata a sa rencontre avec un certain plaisir sadique de la torturer psychologiquement. C'est en me frottant les mains que j'ouvris en grand la porte du bar en la faisant claquer avec force attirant ainsi tous les regards sans m'en soucier. Cherchant du regard mon informateur il me fit signe vers les toilettes du bar. Pas de souci je me dirigea vers ces fameux toilettes. Arrivant dans une petite piece elle donnait sur deux portes, toilette homme ou femme, logique dans un lieu publique. Mais ce fut en apercevant la porte des dames s'entrouvrir que je ne laissa pas le temps a Amber de comprendre quoi que ce soit que je mis la main sur sa bouche afin qu'elle ne cris pas de surprise et la fit rentrer dans les toilettes des dames en la plaqua doucement contre le mur et verouillant la porte derriere nous. 

- Salut ... Amber ! Tu n'est pas chez toi a cette heure ci ? C'est qu'il est bientot l'heure du couvre feu tu sait ... ! Une jeune fille sexy comme toi devrait faire attention a ce genre de petits détails.

C'est avec un petit sourire taquin que je lecha le bout de son petit nez en lachant prise doucement. 

- Je te préviens, interdiction de t'échapper hein.
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Jeu 2 Jan 2014 - 21:31
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*It's your round *

Ezekiel & Amber



Quand on vous dit qu’il est dangereux de fréquenter les bars, ce n’est pas parce qu’il y a de l’alcool et que vous risquez de mourir d’un coma éthylique. Non, ça c’est secondaire : boire vous l’avez choisi donc c’est votre problème. En revanche, les fréquentations de ces lieux sont parfois, voire souvent très peu recommandables. Je le sais et pourtant, malgré tout ces années à devoir écumer quelques petits soucis à droite, à gauche, je continue à venir boire mon ennui dans ce genre de lieu. Une fois mon petit tour dans les toilettes effectué, je m’apprête à sortir des lieux et quitter le bar rapidement mais je n’ai pas le temps de sortir que je me sens repoussée dans la direction inverse. Je ne m’attends tellement pas à cela que je n’ai pas la force de répliquer. Mon seul réflexe est un cri de protestation qui s’étouffe au creux de la main apposée sur ma bouche. J’entends le déclic d’un verrou et sent ma respiration s’accélérer. Mes mains viennent repousser le torse de la personne qui me fait face et que je regarde avec de mes yeux écarquillés. Dos contre le mur, je dévisage Ezekiel comme si je ne le connaissais pas. Je réalise qu’il savait parfaitement qui se trouvait dans ces toilettes avant même d’y entrer et pourtant je suis absolument persuadée de ne pas l’avoir vu dans le bar précédemment, sinon j’aurais bien évidemment fait demi-tour.

Comment savait-il que j’étais dans ce bar ? Est-ce qu’il m’espionne et dans quel but désormais ? Comme à l’accoutumée, j’ai bien du mal à saisir ses intentions et surtout à comprendre pourquoi il résout ses questions de cette façon : aussi brutalement ou bien aussi bizarrement. Ce n’est pas toujours nécessaire. Ses paroles me font l’effet d’un glaçon posé brutalement sur la peau sans prévention. Pourquoi me demande-t-il une chose pareille. Je déglutis et le traite de crétin tandis qu’il me relâche lentement, se permettant à nouveau des gestes déplacés. Dégoûtée, je ne peux reculer d’avantage mais ma main vient le gifler brutalement, avant de le pousser violement en arrière. Ma respiration s’accélère : il n’a pas honte de me faire des frayeurs pareilles ? Je cherche déjà un moyen d’esquiver la conversation mais dans des toilettes de bars, coincée entre la cuvette, le lavabo et un mutant peu doué en délicatesse, je doute de mes chances de réussite. Concentrée sur l’importance de garder mon calme, je m’empêche de hurler mais même à voix basse, ma voix est forte.


- J’allais justement rentrée mais un intrus a débarqué à ce moment précis, figure-toi ! Tu te prends pour qui au juste, t’es pas mon chaperon !!! Bon sang, me fais pas rater le couvre-feu, c’est grave Ezekiel !

Je le bouscule et essaie d’ouvrir la porte tandis que je me souviens de ces recommandations. Ne pas m’échapper ? Disons que, j’ai tendance à fuir un peu tout ce qui me retient dans une situation déplaisante à mon goût et actuellement je n’ai pas envie d’avoir une discussion aussi inintéressante que futile alors que je crains que la nuit ne tombe sans que je sois à l’abri. Je ne peux pas paniquer, pas en présence de ce mutant et parce que ce n’est pas le moment. Pourtant, on pourrait vite devenir claustrophobe dans cette pièce exiguë. Le problème n’est pas là pour moi, c’est surtout la présence d’un homme à mes côtés. Certes, ce n’est qu’Ezekiel mais il a la fâcheuse habitude d’appuyer là où ça fait mal. Et c’est bien cela qu’il m’inquiète, c’est de savoir qu’il peut se comporter comme cela juste parce que ça le fait rire même si moi, je risque la crise cardiaque.

- Ne pas m’échapper ? Tu ne vas pas me forcer à rester avec toi ici quand même… ?

Le pire c’est que si je désire sortir d’ici et retourner dans mon abri avant que la milice ne surveille chaque millimètre carré de la ville, il va falloir que je me rapproche de mon provocateur préféré. Apposant une main pour repousser le plus possible l’homme, je tends l’autre vers la serrure dans l’espoir de me libérer de cet étouffant tête à tête car les battements de mon cœur ébauchent un mal de crâne à venir tant ils résonnent en moi.




©BlackSun
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Jeu 2 Jan 2014 - 23:10
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Amber Ҩ Ezekiel
« Une fessée pour une vilaine fille ! »  



La proximité de nos deux corps était tout à fait plaisant de mon point de vue, je ne pense pas qu'Amber partageait cet avis donc je me garda ce genre de penser pour moi et moi seul. Je m'amusais dans cette situation, mais pas elle. Elle me repoussa et me donna meme une gifle mais cela me fit rien, a croire que je commencais a m'en habituer. Ce fut sans doute pour ca que je revenais a la charge a chaque fois, me rapprochant de son corps en la prenant par les hanches. La retenant vers moi avec un sourire taquin je m'amusais énormément de la situation. Sans vraiment écouter ses quelconques paroles, comme d'habitude elle ne faisait que raler de sa situation désastreuse. 

- Voyons a présent nous sommes proches non ?

Elle posa une main sur mon torse et tenta d'ouvrir la porte de l'autre, mais non ! Je ne comptais pas la laisser s'échapper ainsi. C'est alors que je la pris par son avant bras et la tira contre mon torse en recuperant sa main fuyarde qui tentait d'ouvrir sa cage. C'est alors que je posa ses deux mains sur mon torse tout souriant. 

- Prête pour un moment chaud ?  

Je soutenais légèrement le regard puis ne pu me retenir de rire. C'est à ce moment là que je déverouilla la porte et l'ouvrit tout doucement. Sans lacher ses hanches et gardant un oeil sur une éventuelle fuite je nous fit sortir des toilettes avec amusement. 

- Allons vite nous cacher avant que la nuit ne tombe ma chère ! On va chez toi alors ?  

Tout souriant je traversa le bar avec ma petite compagnie et saluat le patron que je connaissait vaguement, je savais très bien qu'il était comme nous et qu'il aidait les notres parfois. Donc ce fus en sortant du bar que je me dirigea, avec Amber, dans une petite ruelle étroite, sombre et menant à une impasse. Je savais très bien ou nous allions et je savais qu'elle aussi connaissait les lieux. Ce fut en fixa la plaque d'égout contre le mur que je la montra a Amber. 

- Tu sait les égouts ne sont pas un lieu de résidence pour une personne de ton rang. Je peux t'offrir le gite et le couvert sans rien demander en retour tu sait.

Je pris un ton plus rassurant. Compatissant car j'étais autrefois dans la meme galere mais en sorte de ne pas me montrer de pitier, car quand on vit dans la rue on n'aime surtout pas recevoir de la pitier des gens. C'est insultant et dégradant plus que de vivre dehors.

- Au moins pour les temps de fraicheurs si tu préfère. Ajoutèrent en espérant que le provisoire deviendrait tot ou tard du permanent.
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Ven 3 Jan 2014 - 0:35
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*It's your round *

Ezekiel & Amber



Proches, nous l’étions mais pas dans le sens « comme des amis » plutôt parce qu’on était très collés, tout simplement. Si lui ça lui faisait plaisir, moi j’avais qu’une envie c’était de déguerpir d’ici en quatrième vitesse. Je ne pu pas faire tourner la clé et dans un espace si étroit, je n’arrivais pas à bouger correctement. Ezekiel me fit poser mes mains sur son torse et je commençais à réellement étouffer dans cette atmosphère stressante. Sa question me fait lever les yeux au ciel parce que le moment chaud en fait c’est maintenant pour moi, je suis vraiment en train de mourir de chaud. Forcément deux corps dans une pièce de petite taille, ça dégage pas mal de chaleur. Son rire me fait serrer les dents de colère. Il abuse en se moquant ainsi de moi. Enfin, il daigna ouvrir cette porte et le simple son du déclencheur fut un soulagement pour mes oreilles. Bon le problème c’est que je savais que le manipulateur d’ombres n’allait pas me lâcher comme ça. La preuve, il avait déjà ses mains posées sur mes hanches et moi, je n’étais qu’un malheureux pantin sans grande chance de fuite. Si jamais je tentais de m’éloigner, il n’aurait qu’à s’amuser avec ses ombres pour que je reste dans les parages. Je déglutis : l’autre solution consistait à mettre K.O. mon camarade avant de partir mais je doute que ce soit une bonne idée dans un bar tandis que tout le monde nous observe déjà silencieusement. Peut-être trop silencieusement d’ailleurs. Je me sentais tellement épiée que je ne réfléchis pas tout de suite à ce que venait de dire le mutant qui me tenait compagnie si aimablement avant de freiner mes pas brusquement.

- Hé non, je…

Ezekiel me poussait vers la sortie du bar, saluant au passage le patron qui me lança un petit sourire que je ne su pas interpréter : amusement, compassion, …. Je regardais la porte et sentis soudain l’air cinglant sur mon visage. Le froid mordait mes joues qui devinrent vite rouges. Quand nous nous dirigeâmes vers là où il désirait bien m’emmener, je reconnus le chemin et me mordit violemment la lèvre. J’avisai la plaque d’égout sans regarder un seul instant celui qui m’y avait mené. Depuis combien de temps est-il au courant que je vis là-dedans ? Je regardais fixement la plaque d’égout, sans répondre. Je ne voulais pas que l’on sache la véritable vie que je mène et que l’on me juge ensuite sur cela. Il était bien gentil de dire qu’il me propose le gîte et le couvert mais je ne voulais pas accepter d’aide de sa part. Cela avait déjà été le cas lors de notre première rencontre et c’était déjà suffisant. Et puis qui ne demande jamais rien en retour ? Les gens ont toujours, même involontairement, envie de vous rappeler que vous leur devez bien un petit service après tout ce que vous avez fait pour eux. N’est-ce pas ? Je restais comme figée, le froid s’apposant sur ma peau sans que je n’arrive plus à en calculer la morsure. J’entends la voix d’Ezekiel, un peu moins brusque que le ton qu’il utilise en général. Cela me surprend mais je me dis qu’il n’a pas tout à fait tort, ça m’éviterait de mourir de froid mais je ne veux pas accepter. Je me sentirais trop faible d’avoir dit oui,. Assistée en quelque sorte. Et puis, cet homme est tellement spécial que je ne sais pas trop à quoi m’attendre en acceptant son aide. J’éludais complètement.

- Comment et depuis combien de temps le sais-tu ? Personne ne devrait être au courant que je vis là-dedans ! Je…

J’aurais trop d’ennuis par la suite. Je tends l’oreille, il me semble avoir entendu des bruits de pas. Le ciel devient noir, il est déjà tard. Je hausse les épaules et descends par la bouche d’égout en jetant un « avec la surveillance, je crois qu’il vaut mieux descendre ici ». S’il décide de rentrer chez lui, je ne l’en empêche pas mais je ne l’accompagne pas : c’est bien trop dangereux. Les mauvaises expériences, non merci. Seulement voilà, les cloaques sont mon habitat mais lui dans un tel lieu… je comprendrais qu’il ne veuille pas y aller et puis il a peut-être un ami habitant à deux pas qui pourra l’héberger avant qu’il se fasse saisir par cette milice qui rôde. Je ne sais pas mais en tout cas, j’ai bien compris qu’il peut me retrouver quand il le souhaite. Tant mieux pour lui mais tant pis pour moi. Je touche le sol des égouts et retrouve la fétide odeur de l’endroit. Je m’y suis habituée…




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Ven 3 Jan 2014 - 11:54
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Amber Ҩ Ezekiel
« Une fessée pour une vilaine fille ! »  



A la bonne affaire ! Voila qu'a présent la milice nous collent au talon. Je n'avais pas vraiment le temps de répondre a sa question que nous devons nous faufiler dans l'égout. Idée qui me répugner et je devrais jeter toutes mes affaires dans la cheminée lorsque j'en aurais terminer. Posant mes pieds au sol je sentis un plop sous mes pieds. Restant figer sur place avec une expression horrifier et frissonant de dégout. 

- Oh Dieu des Mutants... S'il vous plait... Dis je en soupirant puis je repris.  Si tu avait donner une réponse ou un coup de fil je ne t'aurais pas chercher et non trouver ici !

Cherchant du regard le coin douillet de mon hote je me demandais si elle s'était bien organiser la dessous. Puis si elle aimait tant les égouts je dirais que c'est malin ! Le seul lieu ou la milice ne viendrait pas chercher. Donc pourquoi pas rendre ce lieu plus agreable ? C'est une idée qui me plaisait, avec quelques améliorations ce lieu serait vraiment parfait pour y vivre. A y repenser si la demoiselle refuserait toujours mon offre. 

J'attrapa alors ma compagne par la poignet et la rapprocha contre moi tout comme dans la cabine de toilette précédemment. 

- C'est vrai qu'il fait froid ici. Nous devrions nous réchauffer non ?  

Parcourant son dos de mes mains en appréciant le voyage avec sourire. Mais je vis que nous avions pas fermer la plaque ce fus sans appel qu'en un mouvement de main je la fis se fermer nous laissant dans l'obscurité soudaine. Je cherchais une lumière du regard j'étais totalement perdu dans ce lieu. Un scout sait s'orienter avec la lune ou le soleil mais la j'étais totalement perdu. Certes je ne suis pas scout. Et j'en suis loin de l'être mais bon. 

Sortant mon téléphone je chercha de la lumière et remarquant mon manque de réseaux je soupira, comprenant qu'elle ne pouvait pas m'appeler avec le téléphone que je lui avait acheter. D'ou ce silence absolu, a croire que je la soul, je me trompe ?

- Bon ! C'est par ou la suite ?
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Ven 3 Jan 2014 - 13:48
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Ezekiel & Amber



À peine descendu dans mon antre, mon invité est déjà complètement perdu et je rigole doucement de le savoir dans un élément qui n’est pas le sien mais la réponse qu’il me fournit concernant le temps depuis lequel il me suit n’est pas assez exhaustive à mon goût. Je hausse les épaules avant de me dire qu’il n’a sans doute pas vu et je soupire. Évidemment que je n’allais pas l’appeler, ce n’est pas comme si nous étions devenu des amis hyper proches alors que je ne sais toujours pas comment interpréter correctement son comportement. Et puis, c’est marrant mais je n’ai pas non plus pour coutume de parler aux autres de mon chez moi. Sans doute parce que je peux avoir honte d’y vivre et aussi parce que je n’ai pas envie qu’on vienne me déloger du seul lieu où par principe, on ne viendra pas chercher. Bref, il doit pouvoir saisir mes raisons. Moi par contre, j’avoue avoir du mal à me faire à l’idée d’avoir un œil constamment braqué dans mon dos et je ne peux m’empêcher de me sentir mal à l’aise en sa présence. C’est vrai… il ose me surveiller comme une gamine et je suis vraiment désemparée.

- Tu crois vraiment que je déballe ma vie comme ça ? Et puis, quand tu as pas de nouvelles de quelqu’un tu les espionnes toujours ? Je ne comprends pas ce qui t’as poussé à agir comme ça. Quelle importance…

Je regarde les deux directions possibles. Habituée à l’obscurité des égouts, je distingue suffisamment clairement les couloirs qui se dessinent au devant. Je m’apprête à en emprunter une quand la main du mutant saisit mon poignet. Ne m’y attendant pas, je sursaute et marmonne un juron à son encontre. Bien sûr qu’il fait froid dans un lieu vaste, ne percevant pas la moindre chaleur de soleil et dont l’humidité rend l’atmosphère encore plus fraîche. Néanmoins, je n’ai pas envie de me réchauffer contre lui et frissonnant encore plus à son contact, je me contente de le repousser doucement en riant, mal à l’aise. Une fois la plaque des égouts refermée, le noir est vraiment envahissant mais bizarrement, il me rassure. Je sais que je suis cachée et je me retrouve parfois un peu dans ces instants. Par contre, pauvre Ezekiel qui essaie vainement de se raccrocher à la moindre lumière. Je le plains, il est tellement inadapté à cet univers. Je lui donne une pichenette et me met à rire de bon cœur.

- Fais gaffe au rats, ce sont mes colocataires et ils sont assez sans-gêne. La visite va être relativement courte parce que tous les chemins mènent nulle part et partout à la fois. Tu vas réussir à ne pas tomber dans l’eau ou faut que je te tienne la main ?

Je commence à avancer en le laissant suivre comme il le peut. Il va falloir marcher un peu avant de retrouver le coin où je m’installe le plus souvent. Je n’ai pas grand-chose à proposer et pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude de tant de manque de confort, cela peut paraître terriblement austère. Enfin j’arrive au niveau d’une grille un peu en surplomb. Dans plusieurs sacs plastiques bien fermés pour éviter au rats de fouiner, se trouve une fine couverture que je récupère. Elle n’est pas très grande, ni très chaude mais c’est la seule que j’ai pu trouver. Je sors de mon sac un grand carton tout plié et en recouvre le sol avant de m’assoir dessus avec la couverture. Je regarde mon convive avec un grand sourire et avec de grands gestes lui montre l’étendue devant moi.

- Tu veux tout savoir : eh bien voilà, tu sais ! Ah oui et pour le repas du soir, c’est biscuits au beurre et pommes…




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Ven 3 Jan 2014 - 15:20
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Amber Ҩ Ezekiel
« Une fessée pour une vilaine fille ! »  



Charmant endroit pour une charmante demoiselle. Je suis mon hote dans son repaire de femme chauve souris et écouta attentivement ce qu'elle me racontait. Apparement son confort était pire que ce que je le pensais. N'osant dire un mot je resta silencieux en premier lieu. Je ne voulais pas la brusquer une fois de plus sans qu'elle me perde dans ce labyrinthe souterrain. Je mourrais bien vite de faim moi ! Surtout que ma phobie du noir venait peu à peu s'emparer de tout mon être... 

Gardant mon sang froid je souria et fit un peu d'humour histoire de me reveiller un peu. 

- Oh oui ! Tenons nous la main, comme si nous êtions deux amoureux transit en recherche de cachette tordue pour nos ébats beaucoup trop bruyant!

Attrapant sa main avec amusement je sautillais comme un gosse accentuant l'ironie de la situation. Lorsqu'elle me montra son petit nid j'en fus tout émoustiller même si au fond de moi j'avais surtout envie de la sortir de cette misère. 

- Hm Hmmm c'est donc la qu'aura lieu nos ébats torides... J'ai hate d'y etre et de pouvoir te réchauffer !

Posant mes fesses sur une sorte de grosse tuyauterie, sans doute pour l'évacuation des eaux sales, je souris a sa remarque sur le repas. 

- J'ai deja manger avant de venir. A moins que le dessert ca soit toi !  

Continuant toujours dans la provocation je regardais avec amusement un petit rat. Je lui donnait un petit bonbon que j'avais dans ma poche et il partit a toute hate vers sa petite famille, du moin je le supposais car quelques secondes après je le vis revenir avec plus rien en main. Il venait de ranger ses courses que je me disais. 

Retournant mon attention vers Amber je fus soulager qu'il y eu un minimum de lumière dans ce troue d'égout, mais il manquait un lit tout de même. Un une place ferait l'affaire, ou juste le matela. Je me serais coller a elle sans problème évidemment. 

- Et donc tu n'a jamais eu envie de plus que ca ? D'être a l'abri dans un bâtiment hautement sécurisé dont la milice ne pourra jamais trouver ? Car c'est ce que je peux t'offrir. Je ne te remercirais jamais assez pour le débarras fraternel que tu m'a fait. Si tu voit ce que je veux dire.  

Toujours affichant un certain sourire j'observais avec intéret la jeune femme. Même au naturel elle était mignone celle la.
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Ven 3 Jan 2014 - 17:42
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*It's your round *

Ezekiel & Amber



Quelle idée de lui avoir proposé d’être son guide, viola qu’il me tient la main désormais en sautillant à mes côtés comme un véritable gamin. S’il n’y avait pas la milice dehors, on en serait pas là : il serait gentiment retourné chez lui avec tout son confort et bien au chaud. Bizarrement, je ne le trouve pas très rassuré d’être dans cet endroit si peu éclairé et au contraire, je suis bien plus dans mon élément. Désormais familiarisée avec le fait de lui donner la main, je ne sursaute plus, ni ne m’en dégoute. J’ai juste l’impression de me promener avec une contrainte acceptable. Avouons qu’il s’agit d’un vrai progrès en ce qui me concerne. Son commentaire me fit soupirer et je lui répondit avec tout l’humour qu’il m’était possible que « seul un détraqué ou un désespéré pourrait avoir l’idée de faire ça dans un lieu si… dégoûtant. » tout en étirant un fin sourire sur mon visage. Je ne prête pas plus d’attention à la suite de ces paroles qui est dans le même genre. Il est assez insistant sur ce type de blagues et j’admets que c’est parfois difficile de garder son calme. Tant que ses paroles ne sont que de simples mots, je pense être capable de tenir bon. En tout cas, je m’efforce à me dire que je dois le prendre à la rigolade et non en m’agaçant vainement. Ça ne marche pas avec lui de toute façon. Même une gifle ou un coup de poing ne le dissuade pas à revenir à la charge.
Je me mets à rire en le voyant s’installer sur un tuyau. Il fait sa chochotte là. Ce n’est pas un peu de saleté qui va le tuer tout de même ou sinon il aurait réfléchit à deux fois avant de se coller à moi dans les toilettes du bar, il y a peu, ce qui apparemment ne le dérangeait pas trop. Je commence à ouvrir mon sac et en sort un paquet de biscuit et une pomme. Je débute mon repas, ce n’est pas faute de lui avoir proposé. Il m’arrive d’avoir un minimum de politesse et il faut savoir en profiter. Quant à sa provocation, je le regardais fixement et avalait mon morceau de gâteau pour éviter de m’étouffer avec. Non je ne suis pas le dessert alors s’il ne veut pas de pommes qu’il évite les commentaires salaces. Ça nous fera peut-être gagné du temps. J’aperçois un rat à qui il donne quelque chose.


- Fallait te prendre un dessert chez toi alors. Tu sais qu’en lui donnant à manger, tu vas attirer toute sa petite famille. Fait gaffe qu’il te morde pas, ils ont peut-être la rage… Et qui sait moi aussi ?...

Croquant dans la pomme, je regardais amèrement l’animal venu réclamer autre chose. Pas question de nourrir ces bestioles. Je vérifierais qu’elles ne s’approchent pas de mon sac et le protègerait si je devais m’assoupir, ce qui me serait difficile avec la présence du mutant à mes côtés. Je finis mon fruit et resserra la couverture sur mes épaules, réfléchissant à tout ce qu’il me demandait. Bien sûr que mon rêve n’a jamais été de vivre dans un endroit si glauque mais j’étais totalement perdue à la sortie de l’hôpital, j’ai vagabondé un peu et cette histoire de police… je n’avais nulle part où aller. Je soupire, l’air que je souffle fait un petit nuage devant moi, tant la fraîcheur est de mise ce soir. Je passe une mèche de cheveux derrière mes oreilles et découvre, sans grande surprise, à quel point ils sont glacés. C’est inquiétant mais je me concentre sur les paroles de l’homme qui est assis sur le tuyau. Ces derniers mots me font durement sourire : ce sujet me blesse encore.

- Je vois mais je ne suis pas une mutante utile et en tant que personne, je n’ai pas non plus de grande valeur. Bref, je ne te serais pas bien essentielle alors même après ce grand service rendu, je ne vois pas ce qui t’empêche de me laisser mourir de froid ici. … Maintenant que le frangin est hors de course. Qui aurait réellement envie de vivre ici, c’est juste que… c’est l’endroit le plus rassurant que j’ai trouvé, même avant l’arrivée de la milice. Je ne sais pas vivre normalement, tu sais alors… je savais pas comment faire avec mon don. Mes seuls talents se résument à voler et me bagarrer. Je me voyais mal essayer de trouver un appart’ …

Mes paroles étaient un peu décousues car je ne savais pas trop comment expliquer ce que je ressentais vis-à-vis de ma vie dans les cloaques de New York. Je ne voulais pas lui dire oui, je ne pouvais pas. Je me sentais trop mal à l’aise. Je ferais quoi ensuite de ma vie. Je ne connais rien des bases élémentaires, de ce qui est nécessaire pour se débrouiller par soi-même. Quand j’ai besoin de quelque chose, je le vole ou je vole de quoi l’obtenir. On ne me donne rien, je me débrouille pour prendre. Je tape du doigt sur la fermeture éclair de mon sac, visiblement lasse et un peu mélancolique. Quand je vivais avec ma mère, je ne m’occupais de rien et je n’ai pas supporté d’être sous son autorité. Ensuite mon oncle et ma tante ont essayé de m’héberger et je leur ai faussé compagnie… J’ai finalement vécu avec ma bande d’amis, c’est le seul moment où j’ai accepté d’’être logé sans ce désir immédiat de partir. En repensant à tout cela, je souris faiblement mais je réalise aussi que j’ai toujours été dépendante, jusqu’à ce que je vive ici. Je souffle de l’air chaud sur mes doigts avant de réaliser que lui aussi, il va avoir froid. Je reste un instant de marbre avant de le faire choir sans délicatesse de son tuyau, puis pose la couverture sur nous en m’asseyant épaule contre épaule. Je ne vais pas se les geler alors que j’ai déjà bien des difficultés à ne pas claquer des dents. Je prends donc sur moi. Je baille et commence à somnoler : je dois parler pour éviter de dormir. Je n’ai pas forcément envie de fermer les yeux maintenant et pas avec Ezekiel à mes côtés. Mon corps est lourd.

- Ben j’espère que t’avais pas trop de projets ce soir parce que là, on est bloqué ici. … Dis-moi Ezekiel, depuis que j’étais avec ton frère et jusqu’à maintenant, tu n’as pas cessé de m’avoir à l’œil en fait ? Tu comptes arrêter de faire du voyeurisme un de ces quatre ?



©BlackSun

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Sam 4 Jan 2014 - 11:38
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Anonymous
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Amber Ҩ Ezekiel
« Une fessée pour une vilaine fille ! »  



J'observais le petit annimal prendre ses jambes a son coup lorsqu'il entendit la voix d'Amber. Elle devait une bourreau de rat pour qu'il ai peur d'elle comme ca. Mais ca remarque me fit rire, je semblais trouver un soupçon de jalousie dans ses mots. 

- Serait tu jalouse d'un rat ? Ce n'est pas parce que je le nourrit que je t'oublis hein. Puis si tu a la rage alors je l'ai aussi !

Riant de ma remarque elle me fit tomber les fesses au sol a ses cotés et se colla a moi en partageant sa couverture. Il est vrai qu'il faisait horriblement froid dans cet endroit et on n'avait rien pour se chauffer. Ce fus en réalisant a quel point je me les geler que je pris la décision de la prendre et la faire vivre avec moi sans son autorisation ! Cette fois ci elle n'aura pas le choix. De grès ou de force elle viendra je m'en fais le serment. 

Le fait que j'avais froid ne me dérangeait pas plus que ca. C'est touchant par erreur ses oreilles avec la mienne que je compris qu'elle était vraiment plus que geler elle. Elle tremblait et ses paroles semblait faire le même effet nuageux que dans un froid glaciale et hivernal. Voulant lui donner un peu plus de chaleur je glissa mon bras derriere sa nuque et l'enlaca pour la rechauffer un peu contre moi.

- Finalement mon idée pour se réchauffer n'était pas si idiote que ca...

Riant de ma bétise j'écoutais sa question sans dire un mot de plus et décida d'essayer d'y répondre en toute franchise. Enfin je faisais tout ce que je pouvais quoi. 

- Oui j'avais des vues sur toi. Mais il y avait mon frère en travers de mon chemin. Donc je me contentais d'être patient car je savais qu'il ferait tot ou tard une connerie. Puis pour ce qui est du voyeurisme j'arreterais le jour ou tu me montrera toute ta personne de facon volontaire et avec plaisir ! Satisfaite ?

Je gardais tout de même le sourire, ne voulant pas briser son humeur je tentais de répondre avec le plus de tact possible. J'espérais au fond de moi que ma réponse lui plaisait. Je fis quelques mouvement de frottement au niveau de son epaule afin de la réchauffer, il fallait pas qu'elle meure de froid. 

La fatigue se faisait plus forte et je commencais a sombrer. Resistant comme je pouvais je gardais le reveil. Je murmurais alors doucement. 

- Je ne peux définitivement pas te laisser ici...
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