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Groupe #5 Anastasia Petrovski - Victoire - Reecey - Harry Osborn - Lorelei - John

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Dim 2 Mar 2014 - 20:11
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Groupe # 5


Anastasia Petrovski - Victoire - Reecey - Harry Osborn - Lorelei - John Mac'Elorin




Centre Commercial de Times Square - 15h20

Aujourd'hui est un grand jour pour la purge. Tous les jours sont des grands jours pour la Grande purge dont le succès est éclatant depuis son instauration officielle : le pourcentage mutant de la population a chuté de façon spectaculaire alors que le nombre de prisonniers, cobayes, morts et disparus augmentait en flèche. Le SHIELD, les Sentinelles, le Projet X, la Purge, tous travaillent main dans la main pour éradiquer les anormaux du paysage nord-américain et promettre sécurité et normalité aux faibles humains. Les principaux personnages politiques mutants ou pro-mutants ont dû fuir le pays ou, comme Austin ont été exécuté, et la Purge a cru que cela suffirait à faire taire les mutants.

Mais les émeutes et rebellions ont augmenté et gagné en violence et la Purge a décidé de frapper un grand coup. Tout le monde sait pour l'Institut Charles-Xavier, sait qu'il est actuellement le refuge de nombreux mutants et qu'il faut que la Purge y frappe un grand coup pour éliminer ses ennemis. Natasha Romanoff, Black Widow, agente d'élite du SHIELD et membre émérite des Avengers a joué double jeu et a transmis l'information aux mutants, leur permettant de se préparer à recevoir la Purge et surtout à rendre coup pour coup.

Harry Osborn est devenu plus ou moins contre son gré, l'un des chef de file officiel de la Grande Purge. Tout grand mouvement a besoin d'un playboy millionnaire et génial pour mener ses campagnes de pub et redorer son blason : Harry est cet homme.
Loki n'aime pas ça et sa jalousie notoire fait des siennes : ce jour-là, il a gentiment demandé à Lorelei de s'occuper du cas d'Harry Osborn. Si celui-ci disparaissait durant les échaffourées de la journée, cela arrangerait et les affaires du dieu et de la cause des anormaux qu'il soutient en secret.

Anastasia, Victoire et John sont dans les magasins; même les mutants ont le droit de souffler de temps en temps et ils cherchent à se fondre dans la masse. La présence de la secrétaire de Liesmith les classant d'avance dans la catégorie "normaux". Cela semblait fonctionner, jusqu'à ce que les émeutes commencent à retentir dans les rues : cris, miliciens et manifestants, les coups de feu commencent à voler.

Anastasia contacte alors Harry pour qu'il les retrouve dans ce chaos... et Lorelei qui le suivait dans l'intention de le tuer reste sur ses talons.

Organisation : Il n'y a pas d'ordre de passage, ni de tour. Répondez comme vous voulez : n'hésitez pas à en discuter/vous organsier via votre QG d'intrigue ! Vous pouvez mentionner des personnages non joueurs de l'un ou l'autre camp. Un PNJ fera peut-être son apparition pour débloquer une situation ou aider un camp si nécessaire : n'hésitez pas à envoyer un mp pour le solliciter si besoin !
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Mar 4 Mar 2014 - 19:15
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prénom & prénom
Allons tuer ce qui peut-être tuer.
Sous la pression de sa ceinture en guise de garrot, l’artère du bras d’Harry gonfla, assez pour que l’aiguille perse et que le liquide vert se déverse dans son sang. Le sérum du bouffon renforce, agresse et remplace petit à petit. Dans les yeux d’Osborn, la lueur verte se rallume. Il n’a pas pris une dose aussi forte depuis la fois où il est mort dans les bras de Peter et de MJ.

La raison aujourd’hui ? Un SMS d’Anna, qui l’attendait dans le centre commercial. Ce qui est bien quand l’on bosse pour la Grande Purge en étant forcé par le SHIELD, c’est que l’on obtient des informations, comme « n’allez pas au centre commercial cet après-midi. » Hors, Anna est au centre-commercial et la Purge y va avec ses grosses armes et son désir de tuer comme à l’abattoir. Harry Osborn les emmerde, il emmerde le SHIELD et la Grande Purge, il ne laissera pas ces brutes prendre celle qui est le plus proche de lui pour le moment. Il ne les laissera pas atomiser la place avec une jeune femme ressemblant beaucoup trop à une anormal (selon les critères de la Purge).

La secrétaire toque à la porte, entrant ensuite, ses yeux rivés sur son planning. « Monsieur, votre rendez-vous de 15h15 est là…» Elle se stoppe de parler en voyant le planeur voler à quelques centimètres du sol, Osborn dans un costume vert, sa capuche recouvrant une grande partie de son visage, un sourire diabolique sur son visage. « Qu’il se casse, j’ai autre chose à faire. » Quittant le bureau le regard vissé sur ses chaussures, la secrétaire n’en croit pas ses yeux, il a replongé. Sortant son cellulaire, elle compose le numéro spécial qui lui a été remis lorsque le SHIELD l’a recruté pour prendre la place. Elle sursaute cependant quand une poigne puissante attrape son téléphone.

« Pas de ça, j’aime l’effet de surprise. » dit en ricanant le Bouffon. Ses pensées se déchainent, mais il parvient à se contrôler, à la laisser vivre malgré son envie de sang grandissante. Il a d’autres chats à fouetter, des chats plus gros, plus durs. Brisant le téléphone contre un mur, il repart d’où il est venu, brise la fenêtre de son bureau et décolle dans le ciel de New-York, une légère trainée de fumée derrière lui. Il ne peut s’empêcher de rire, le sang battant la chamade dans son corps. Enfin libre. Enfin fou. Maintenant, direction le centre commercial.

Il n’avait pas eu les horaires exactes de quand l’attaque aurait lieu, mais la chose certaine est que cela allait se dérouler incessamment sous peu. Qu’allait dire le SHIELD en voyant son effigie casser de la Sentinelle en tenue de Bouffon Vert, tout en protégeant une anormale ? Rien que d’y penser, un sourire vicelard se dessinait sur le visage d’Harry. Quelle joie d’être dehors par ce temps, de voler sans se soucier de ce que l’on peut penser de lui. Il s’imaginait un garçon en bas demandant à sa mère « Est-ce un oiseau ? » et sa mère lui répondant « Non, c’est un avion. Mais non, c’est encore un de ces gugusse déguiser qui se croit être un héros ! ». Il virevolta alors qu’il se comparait à un surhomme auquel il ne s’identifiait pas. Le centre commercial ne devait plus être loin, mais déjà, il voyait les colonnes de fumées s’élever, les gens hurlant et criant. Pourvu qu’il n’arrive pas trop tard.
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Mer 5 Mar 2014 - 5:55
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You came for me ?




« Mademoiselle, il faudrait prendre une décision... » Dit l’homme d’un ton impatient. Peut-être croyait-il impossible de faire une vente avec ce drôle de spécimen aux cheveux roses ? « Je peux vous garantir que vous ne trouverez pas meilleure qualité. »

Ses billes en chocolat se posèrent sur le vendeur, amusées. Ce jeu de la vente sous pression était vieux comme le monde.

«
 Écoutez, au prix que vous vendez ces petites merveilles, je pense que j’ai le droit de prendre mon temps, non ? »

À vrai dire, l’argent n’était pas un problème. Quand on possédait une clientèle aussi fidèle que la sienne, la profession de tatoueuse devenait extrêmement lucrative. Par contre, le personnel avait tous les droits de succomber à l’irritation. La jeune femme avait lambiné dans le magasin pendant une heure, hésitant toutes les dix secondes qu’en à l’achat de l’une de ces splendides montres de poche. Mais, est-ce qu’il aimerait son cadeau ? Serait-il content ou trouverait-il ça inutile ? Après tout, il devait déjà avoir une belle collection de montres. Bien que, celles-ci étaient beaucoup plus originales et sophistiquées. Depuis la magnifique soirée qu’ils avaient passée au gala de charité, Anya se creusait les méninges dans l’espoir de lui trouver un petit quelque chose de spécial.

«
Je vais prendre…celle-là. » dit-elle finalement en pointant celle en or, avec une reliure en émeraude et des aiguilles vertes. « J’aimerais faire graver une inscription au dos, c’est possible ? » demanda-t-elle.

«
Bien sûr. » dit le vendeur en verrouillant le présentoir, tandis qu’elle griffonnait une citation sur le bon de commande. « Nous vous appellerons dès qu’elle sera prête. »

«
Merci…et désolé d’avoir abusé de votre temps. » dit-elle en payant comptant et en quittant l’horlogerie avec sa bonne humeur habituelle.

Puisqu’elle n’avait aucun rendez-vous cet après-midi, Anna décida de faire le tour des boutiques. Même qu’elle en profita pour inviter Harry à la rejoindre, s’il n’était pas trop occupé. Du coin de l’œil, elle aperçut une longue chevelure rousse et reconnu aussitôt sa meilleure amie. Courant dans sa direction, la jolie russe déposa une main contre son épaule et la retourna.

«
Victoire ! Ça fait tellement longtemps ! » Dit-elle avec un large sourire. « Je suis contente de te voir. Comment vas-tu ? Il paraît que tu occupes un poste important maintenant. » Elle lui fit un clin d’œil et lui donna un petit coup de coude sous-entendu.

À ce moment précis, une explosion retentit à l’extérieur du centre commercial, ainsi que plusieurs coups de feu. Les gens commencèrent à paniquer et à courir dans tous les sens, cherchant une sortie de secours. Que se passait-il ? Une autre attaque terroriste des mutants, ou une contre-attaque surprise de la Purge ? Il n’y avait que ces deux possibilités et, sincèrement, Anastasia préférait la première option. Elle s’éloignait du gouvernement comme de la peste, effrayée que l’on découvre son statut d’immigrante clandestine et son secret monstrueux. «
On doit trouver le moyen de sortir d’ici ! » Un projectile fut lancé dans la direction où elles se trouvaient. « Attention ! » S'exclama la russe en projetant sa meilleure amie au sol, se positionnant instinctivement par-dessus elle pour la protéger des éclats de verre. Son dos s'était transformé en acier résistant, agissant comme un bouclier face aux débris. Heureusement, son chandail cachait la brillance du métal, qui disparut aussitôt le calme revenu.




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Mer 19 Mar 2014 - 19:39
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« Intrigue #03 »

Anastasia Petrovski & Victoire Reecey & Harry Osborn & Lorelei & John Mac'Elorin


Depuis plusieurs jours, Victoire regardait – impuissante – ses rêves d’un monde paisible, où règnerait une entende cordiale entre Mutants et Humains, fondre aussi sûrement que de la neige au soleil. Et le pire dans tout ça, c’est qu’en tant que « secrétaire de Mr. Liesmith », elle était (théoriquement) pour la Purge. Et ne faisait rien, rien que ce qui pouvait aider Loki qui, heureusement, jouait double jeu. Mais pour l’heure, elle n’avait point d’obligation auprès de son amant et flânait dans l’appartement de John. Son « chat » préféré, duquel elle avait été séparée le temps qu’elle avait vécu chez son cousin. Heureusement, ce temps avait été plutôt court, et était à présent ‘loin’ derrière elle. La rousse tournait en rond dans l’appartement, avant de lancer un coup d’œil à John. Sa frimousse lui arracha un sourire, et elle prit une grave décision ; aller faire les magasins. Oui, mais avec John.

Le problème était… Et s’il se retransformait en chat au beau milieu de tout le monde ? Devrait-elle griller sa couverture ? Car – oui – en tant que secrétaire de Liesmith, elle était classée et reconnue en tant qu’Humaine normale, ce qui était plutôt un avantage. Elle obligea finalement le chat-humain-mutant à s’habiller convenablement pour l’accompagner. Victoire demanda à John d’essayer de se comporter le plus « humainement » possible, même si elle imaginait que ce serait difficile… Pour ne pas dire impossible. Mais c’est tout ce qui faisait le charme de l’homme, et elle ne changerait ça pour rien au monde.

Alors qu’elle marchait dans la galerie, observant les vitrines autour d’elle, quelqu’un posa une main sur son épaule et la retourna. Si son cœur fit d’abord un bond dans sa poitrine, elle se calma rapidement et arbora un sourire radieux en reconnaissant sa chère Anya.

- Anastasia : Victoire ! Ça fait tellement longtemps ! Je suis contente de te voir. Comment vas-tu ? Il paraît que tu occupes un poste important maintenant.
- Victoire : Anya ! Tout va bien, et toi ? fit-elle, le sourire de sa meilleure amie étant contagieux. Il faut dire qu’elle était heureuse de croiser la jolie russe aux cheveux roses !On peut dire ça ! Mais ce n’est pas simple tous les jours avec Mr. Liesmith, crois-moi ! répondit-elle en riant.

La jeune femme connaissait les petits secrets de Victoire, comme elle connaissait les siens. Parlant à demi-mot, elles se comprenaient tout de même. La rousse ne s’était jamais aussi bien entendu avec quelqu’un. Elle tourna la tête vers John, pour faire les présentations, mais une explosion retentit soudainement non loin de là. Son rythme cardiaque s’accéléra – non, non ! Ca n’était pas le moment de faire péter des trucs !

- Anastasia : On doit trouver le moyen de sortir d’ici !

Victoire hocha la tête, mais Anya la projeta soudainement au sol avec un « Attention ! » qui ne laissait rien présager de bon. Victoire ferma les yeux, protégée des projectiles sous son amie. Quand cela se calma un peu, elles purent se redresser, prudemment.

- Victoire : Merci, souffla la rousse, en jetant des coups d’oeils autour d’elles. John ?! Où est John ?! s’exclama-t-elle soudainement en sautant sur ses jambes, en panique. C’est… L’homme qui était avec moi. précisa-t-elle pour son amie, inquiète.



(c) Loupiotte

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Jeu 20 Mar 2014 - 19:42
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Jeu du chat et de la souris


« - Jooooohn, on va faire les boutiques.

-Noooooooooon. »


Avait de suite miaulé avec réticence le jeune homme devant la fausse bonne idée de son amie, colocataire et maîtresse – dans le sens félin du mot, ne montez pas tout de suite sur vos grands chevaux mes bons amis -  Victoire Reecey. Au moment de cette phrase qui changeait du tout au tout le programme de son après-midi ( sieste sur le canapé, sieste sur le sac de Victoire, collation de sardines accompagnées de lait, sieste sur le vieux pull de Victoire, séance de grattouilles devant la télé sur les genoux de Victoire ) il était déjà installé de tout son long sur le dit canapé. Il se redressa à moitié pour observer la jeune femme qui se préparait, une moue boudeuse sur le visage.

Il n'aimait pas faire les boutiques.
La dernière fois qu'il avait fait les boutiques – avec Amber, étrange fille sympathique vivant dans les égoûts – il avait du se faire la malle à toutes pattes pour éviter le courroux du propriétaire des lieux après avoir malencontreusement fait tombé des trucs sur son passage.
Quand on faisait les boutiques, il ne fallait pas se transformer en chat – ce qu'il ne contrôlait pas, figurez vous : il commençait tout juste à comprendre la différence entre les deux stades -, il fallait mettre des vêtements à sa taille – c'était étroit – mettre des chaussures – c'est horrible!- et se tenir bien sans se frotter partout. C'était chiant au possible, et John vivait très bien dans les vêtements jamais à sa taille qu'il récupérait ça et là. Tant que c'était doux et confortable, c'était tout ce qu'il demandait. Mais apparemment les filles, et surtout sa maîtresse ne voyaient pas les choses de cette façon.

John avait cependant fini par se lever du canapé, passer un pantalon et une paire de tennis pas trop insupportables ( mensonge ). Depuis le début de la Purge, les mutants étaient traqués et regardés comme de dangereux criminels. Cela correspondait – heureusement – avec le moment où, grâce à son mignon psychiatre ami des souris, il avait enfin pénétré l'idée qu'il était parfois un chat, parfois un mutant et toujours un mutant. Il devait donc se cacher. Ils avaient eu de la chance que le cerveau fou de John comprenne l'idée et le danger de se balader en pleine ville lorsqu'il pouvait se transformer sous les yeux des passants ébahis sans même s'en rendre compte : fini les promenades. Vic fermait méthodiquement les fenêtres et les portes de l'appartement et il était privé de sorties, d'éventrage de poubelles et de galopage sur les toits. Confiné à l'intérieur.
Alors même s'il n'était pas un fou du shopping, cela lui ferait toujours une sortie et le chat qu'il était ne pouvait pas dire non .

Il avait tourné la tête cinq minutes. MEME PAS. 30 secondes à tout casser. Il avait vu un truc intéressant – il prenait souvent le lèche-vitrine trop littéralement mais bordel, il y avait plein de trucs scintillants un peu partout, comment était-il censé résisté à tant d'idées pour perdre sa maigre concentration ? - , son attention s'était détournée de Victoire et...Et il avait déjà perdu Victoire.

« - Vic ? » appela-t-il tant bien que mal.

John passa la main dans sa tignasse, inquiet. Terrifié en fait. Il n'aimait pas les magasins. Il n'aimait pas perdre Victoire. Il n'aimait pas l'ambiance tendue et menaçante qui régnait en ville depuis des jours. Il n'aimait pas quand des trucs se mettaient à exploser soudainement. Explosion, bruits, cris, projectiles, un peu partout. John n'eut pas le temps de se protéger et ne fit que pousser un miaulement perçant.
Histoire d'ajouter à la confusion, un chat cavalait à présent à toutes pattes dans la boutique, poil hérissé et des bouts de verre disséminés un peu partout dans son pelage, jusqu'à apercevoir Victoire vers qui il fonça à toutes pattes.


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Sam 29 Mar 2014 - 22:06
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Anna & Victoire & John & Harry
BOOM.
Qu’il est drôle de penser que le Bouffon Vert qui n’a pas fait de sorties depuis de longues semaines maintenant reprend sa carrière de criminel pour secourir une demoiselle. Un véritable conte de fée. Sauf que dans ce conte, l’ennemi n’est pas une méchante belle-mère, mais la première puissance militaire du monde. Autant dire que ça refroidit pas mal de prétendants aux rôles de vaillant prince charmant. Il faut aussi avouer que le prince charmant porte une armure remplie d’armes en tout genre conçus pour tuer et déchiqueter. Tout déchiqueter dans un flot de rouge magnifique.

Le planeur effectue des cercles au-dessus du centre commercial. Impossible de distinguer quoique ce soit au niveau du sol. De son perchoir, Osborn peut voir les troupes entrer en masse dans le centre commerciale, abattant sur les parkings des supposés mutants. Un sourire se dessine aux coins de ses lèvres. Si la marque des armes n’est pas explicite, la grande majorité des composants ont été commandé dans son entreprise. Et pourquoi ne serait-il pas fier de voir son matériel servir avec autant de précision et de rendement ? Certes, le contexte est peu flatteur, mais une guerre reste une guerre, qu’elle soit de l’autre côté de la planète ou sur le territoire américain.

En ayant assez de vadrouiller, Harry pique en pleine fumée, décidé à rejoindre l’intérieur alors que tous les autres semblent enclins à sortir de là vite fait. Il tousse en braillant et en traversant le nuage noir. Déviant au dernier moment, il manque de renverser un groupe de jeunes gens couverts d’hémoglobine. S’arrêtant dans une des grandes places du magasin, un groupe dans son dos ne semble pas apprécier l’homme sur le planeur. Scrutant les environs, Harry a juste le temps de se retourner pour voir les miliciens armer et lui tirer dessus. Plaçant le planeur entre lui et les projectiles, son planeur ne portant pas son blindage, celui-ci se mets à souffler d’une fumée noire et les réacteurs éjectent les flammes des moteurs. Se posant en catastrophe et roulant boulant aux pieds de ses gentlemans, le président de l’entreprise ne déchante pas, gardant son sourire figé sur les lèvres. Le serum agit sur son physique et mental et pendant une bref seconde, ce n’est plus le Harry Osborn habituel, mais ce bon vieux psychopathe qu’est le Green Goblin qui prend la relève. D’un mouvement de hanche, il fait tomber le duo au destin tragique, puis se redressant, il lance deux fléchettes empoisonnées droit dans leurs gorges à nues. « On n’attaque pas un agent de gouvernement, les cafards. »

Cette perte de contrôle passée, Osborn reprend le contrôle de son corps, dont je vous épargne la conversation interne, qui casserait l’image du golden boy à vos yeux. Abattant sa capuche qui gêne sa vue, il se met en marche, passant par-dessus les cadavres des miliciens pour se lancer à la recherche de sa demoiselle russe. « ANNA ! ANNA ! » hurle-t-il, en vain dans le vacarme des tirs et les hurlements des victimes.

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Jeu 3 Avr 2014 - 1:19
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You came for me ?




« Merci ! » Anna se redressa, époussetant la poussière de ses jolis vêtements. « Aucun problème, Vic. » dit-elle en étirant les muscles de son dos, miraculeusement intact. Sa meilleure amie rebondit immédiatement sur ses pieds, paniquée à l’idée d’avoir perdu un certain John. Oh, dilemme épineux… Est-ce que la Russe prendrait le risque de se faire capturer par les miliciens, pour aider Victoire à retrouver son ami ? Une lourde hésitation brillait dans le fond de ses billes chocolatées, ne supportant plus l’expression effarée de la rousse. « Je vais t’aider… Mais je ne pourrai pas utiliser mes talents. D’ailleurs, tu devrais faire attention toi aussi, si ils découvrent ce que tu es réellement, tu peux dire adieu à ta petite vie tranquille. » La jeune femme était prête à affronter la foule, lorsqu’une boule de poils fonça dans leur direction. Comment ? Est-ce que les animaux de l’animalerie s’étaient échappés ? Un autre bruit d’explosion retentit, des hurlements et des coups de feu. Les soldats avaient pris le centre commercial d’assaut. Savaient-ils combien d’innocents ils risquaient de tuer !?

«
ANNA ! » La jolie tatoueuse s’immobilisa brusquement et empoigna l’avant-bras de son amie. « Tu as entendu ? On dirait que quelqu’un m’appelle… » Non. Impossible, il s’agissait sûrement d’une hallucination... Le minet toujours planté à leurs pieds, Anna le prit soigneusement dans ses bras, incapable de l’abandonner à son triste sort. Ignorant que le félin était, en réalité, l’ami de Victoire, la jeune femme prit sa main et bouscula les clients hystériques, afin de s’enfoncer dans le magasin.  « ANNA ! » S’arrêtant une nouvelle fois, le cœur battant la chamade, la Russe posa la petite bête dans les bras de la rousse. « Continue, je vais te rejoindre ! » dit-elle, sa chevelure rose bonbon perceptible à des kilomètres.

Ça y est, elle était complètement folle ! Ça ne pouvait pas être… Et pourtant, Anna reconnaîtrait sa voix entre mille. «
HARRY ! » Bon sang, où était-il !? Ses yeux noisette le cherchèrent frénétiquement, avant de tomber sur la silhouette du Gobelin. Il était vraiment là !? « Harry ! » cria-t-elle en sprintant dans sa direction, poussant tous ceux qui lui bloquait le passage. La Russe lui sauta au cou et l’étreignit fortement. Elle prit son visage entre ses mains, l’air soucieux. « Qu’est-ce que tu fais ici ? Est-ce que tu es venu… me chercher ? » Un sourire tendre se dessina sur ses lèvres. « Pourquoi est-ce que tu es habillé en… » Ses yeux s’écarquillèrent en regardant au-dessus de son épaule et Anastasia le poussa vigoureusement sur le côté. La jeune femme fut propulsée au sol, sous la force de l’impact, une balle dans le ventre et l’autre dans la clavicule gauche…


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Dim 13 Avr 2014 - 11:48
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« Intrigue #03 »

Anastasia Petrovski & Victoire Reecey & Harry Osborn & Lorelei & John Mac'Elorin


Victoire posa un regard reconnaissant et inquiet sur Anastasia lorsque celle-ci lui proposa son aide, mais elle secoua doucement la tête en prenant ses mains entre ses doigts, les pressant doucement.

- Victoire : Non Anya, ne te mets pas en danger pour si peu, ne t’inquiètes pas. souffla-t-elle doucement.

Victoire eu à peine terminé sa phrase qu’elle aperçut une boule de poils fonçant en sa direction. La main de son amie vint soudainement empoigner son avant-bras, alors qu’elle allait se pencher pour ramasser John. Victoire avait elle aussi cru entendre quelqu’un appeler son amie, qui se pencha pour ramasser le matou, que la mutante fixa avec un léger sourire. Une nouvelle fois, on entendit le nom d’Anna crié. Ce n’était pas une hallucination. Cette dernière posa le chat dans les bras de la rousse ;

- Anastasia : Continue, je vais te rejoindre !

Un grand soulagement se peignit soudainement sur son visage, alors qu’elle s’accroupissait pour laisser le matou se réfugier dans ses bras. Elle le serra doucement contre sa poitrine, passant une main rassurante dans son pelage.

- Victoire : Fais attention à toi. intima-t-elle doucement, tout de même inquiète pour la jeune femme aux cheveux roses.

Alors que cette dernière s’éloignait, elle reporta son attention sur John, priant pour que celui-ci ne décide pas de se retransformer soudainement dans ses bras. Elle pinça les lèvres et s’approcha d’un milicien à grands pas, décidant de faire valoir son statut de secrétaire de Mr. Liesmith pour avoir quelques informations. Mais cela ne se passa pas exactement comme prévu ; quand l’un des miliciens l’apperçu, il l’empoigna par le bras pour la ramener derrière la ligne de tir, le visage peint d’une expression horrifiée.

- Milicien : Ce n’est pas prudent de se trouver ici ! Imaginez qu’une balle perdue ne vous ai heurté, que nous aurait fait Mr Liesmith ?! Devant le regard blasé de Victoire, il s’empourpra légèrement et bafouilla ; Votre sécurité est notre priorité… Est-ce votre chat ?

L’allusion au matou dans ses bras la fit reprendre conscience qu’elle n’était finalement pas au meilleur endroit. Elle observa John quelques secondes, lui demandant mentalement pardon.

- Victoire : Je l’ai trouvé au milieu de ce chaos, un pauvre petit chat... Elle laissa un sourire flotter sur ses lèvres en caressant son petit chat favoris.

Victoire releva la tête vers la foule.

- Victoire : Il y avait une personne, avec moi... souffla-t-elle. Un partenaire, nous parlions affaires, justement... Une jeune femme aux cheveux roses. Vous l’avez vu ? Le regard froid qu’elle posa sur eux semblait signifier « Bouger vous le cul pour la trouver avant qu’il ne lui soit arrivé quelque chose, sinon vous allez regretter d’être né ».




(c) Loupiotte

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Mer 16 Avr 2014 - 22:48
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Jeu du chat et de la souris


Sous sa forme humaine John a déjà du mal à comprendre toute la réalité, rien que la réalité. Il est constamment confus et perdu par le monde qui l'entoure et le fait qu'il soit fou à lier a beaucoup avoir avec ça. Sous sa forme animale, cela empire encore puisqu'il est tout petit, tout poilu,  et qu'il n'a pas la même vision. Mais alors quand en plus, c'est un chaos pas possible aux alentours, s'en est trop pour le matou qui coure à toutes pattes, le poil hérissé et toutes griffes dehors. Ca crie de partout, cassant les oreilles pointues de Cheshire.  ANNA HARRY ANNA HARRY VIC AAAAAAH. Des gens crient, paniquent, courent partout et il fait de même jusqu'à que la donzelle aux cheveux roses à côté de Victoire le prenne dans ses bras.  

Okay, mais on a pas été présenté l'un à l'autre mademoiselle, je connais pas votre pedigree. John n'aime pas trop être cajolé par de parfaits inconnus ( à moins qu'il ne soit d'humeur vraiment câline ) et habituellement il la grifferait jusqu'au sang, enfoncerait ses dents pointues dans sa peau et bye bye la compagnie, Cheshire se casse. Mais là, on est quand même mieux dans des bras inconnus que par terre où il y a pas mal de chances de récupérer une balle perdue, ou pire, de se faire marcher dessus.

Zouuu, John est de nouveau trimballé dans une nouvelle paire de bras sans ménagement, mais l'odeur est familière cette fois. C'est Victoire qui le câline et le prend dans ses bras. Il préfère ça, tiens !  Le chat plante ses griffes dans le tissu du haut de la jeune femme, mais sans griffer sa peau pour autant : il s'accroche et s'assure qu'il va rester là coûte que coûte, mais il maîtrise sa panique. A peu près. Pour l'instant. Les ronronnements qui sortent de sa gorge féline sont autant destinés à l'apaiser lui qu'à apaiser la jeune femme dont il entend le rythme cardiaque. Dommage qu'il ne puisse pas avoir un effet magique sur un rayon d'un ou deux kilomètres, cette foutue ville en aurait bien besoin.

Un milicien. Un milicien, sale qui pue, et qui tue les mutants et qui pose ses yeux sur lui. Le ronronnement se transforme en grognement de mauvaise augure et John plaque ses oreilles en arrière de son crâne. Il lui sauterait bien dessus tiens, hop, un coup de griffe pour une jolie balafre à vif, les yeux crevés, il lâcherait Vic, et John et Victoire pourraient vite s'en aller loin de tout ce bruit et de tous ces enfoirés.

Le plan se forme dans la petite boîte crânienne de John qui envisage de planter ses crocs dans le milicien avec délice, pendant que Victoire ... n'agit pas comme Victoire. "Il y avait une personne, avec moi... souffla-t-elle. Un partenaire, nous parlions affaires, justement..." John entend l'homme bredouiller quelques choses, des excuses, avant de parler dans une oreillette, à la recherche de la jeune femme aux cheveux roses mentionnées. Celle qui a pris John dans ses bras quelques instants auparavant. Grésillement, discussion à sens unique, puis l'homme reprend :

« -En effet, l'un de mes hommes l'a touché d'une balle, elle est avec un anormal. Venez avec moi, je vais vous emmener en sécurité, mademoiselle . »


John tente de rester calme et le plus immobile possible : il ne contrôle pas sa mutation même s'il commence à en avoir conscience. Et un grand dadais d'un mètre quatre vingt se matérialisant dans les bras de la rousse n'est pas franchement un phénomène passe-partout. Mais cela va devenir plus compliqué que prévu, si le milicien continue à saisir le bras de Victoire et à la tirer vers un endroit à priori plus sûr.

« -Vous devriez lâcher ce chat, nous n'avons pas le temps, la situation est... »


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Lun 28 Avr 2014 - 19:55
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Anna & Victoire & John & Harry
DANCE OF DEATH.


Haine. Désespoir. Peur. Les sentiments mêlés de la place enivrent Harry, en pleine chasse. Il n’a plus peur de rien, le sérum agissant pleinement dans son métabolisme, transformant finalement le PDG en quelque chose de bien plus dangereux, de bien plus instable. Le chaos et la confusion de l’endroit l’excite, le pousse sur un chemin toujours plus obscur. Pourquoi est-il ici ? Pour tuer, tuer tout ce qui bouge, tuer des hommes, des mutants, lui murmure la voix spectrale de son esprit. Ressaisis-toi, Harry, se dit-il. Trouve Anna et barre-toi d’ici avant que l’on ne t’identifie.

Une voix s’élève finalement par-dessus le brouhaha du centre commercial. La voix pour laquelle il est venu comme un fou, jetant à terre toutes ses promesses et les piétinant férocement. Son planeur est foutu, il ne servira plus à rien. Récupérant les bombes qu’il lui reste ainsi que les lames cachées dedans, il compose sur son contrôleur le code d’autodestruction.  Partant en trombe en direction des cris, l’explosion ensevelit les corps des deux miliciens qu’il vient juste de tuer, faisant également voler un peu plus de poussières et de gravas dans l’épais nuage qui s’élève déjà. La voix continue de l’appeler. N’y va pas, n’y va pas, continue l’autre voix de sa tête. Ferme-la ! se crie-t-il à soi-même.

Il arrive finalement à sa hauteur, les cheveux roses jurant dans l’étrange ambiance mortuaire qui s’étend dans les lieux. Elle court vers lui, il ralentit pour l’accueillir à bras ouvert. Alors qu’elle enlace son visage de ses douces mains, la vérité éclate au grand jour.

- Qu’est-ce que tu fais ici ? Est-ce que tu es venu… me chercher ? Pourquoi est-ce que tu es habillé en…   Mais avant qu’Anna ne puisse terminer sa phrase et avant qu’Osborn ne puisse répondre, voilà qu’elle l’éjecte. La scène semble se produire au ralenti pour le golden-boy. Le corps de la jeune femme se retrouve propulsé vers l’arrière, heurtant avec violence le sol, son sang s'y répandant. Vous connaissez tous Hulk ? Le mec vert toujours en colère ? Et vous savez quoi ? Ce n’est pas le seul à perdre les pédales et à être en vert de pied en cape, bien qu’il soit souvent en caleçon.

Tournant le regard, il voit le mécréant responsable de la blessure de la seule qui soit actuellement importante à ses yeux. Perdre les pédales, le contrôle. Se laisser aller vers la haine incontrôlée, l’oubli de soi. Une dent a du se fêler sous la pression de la mâchoire du bouffon.

Revenant à lui, il relève la tête. Où est-il ? Toujours au même endroit, toujours au centre commercial. Sous lui, un corps, mutilé, ravagé. Dans ses mains, une des lames du planeur, brisée. Du sang, jusqu’au coude. Lâchant l’arme précipitamment, Harry reprend pleinement conscience de lui. Anna. Elle est blessée.

- Anna. Il court jusqu’à elle, priant que la russe soit toujours parmi les vivants. Négligeant le sang coagulant sur ses bras, il relève sa tête en passant sa main sur la nuque de la jeune femme. Merde, merde. Merde ! Anna !

Alors qu’Harry boucle sur deux mots, il remarque que le sang ne coule plus, qu’il est même sec. Sous le tissu brulé, là où devrait se trouver l’entrée de la balle, il n’y a plus rien.

- Que… Comment ? Ses pensées se bousculent, perturbées par les lieux, par l’attaque, par le sérum, par elle. Du bruit parvient derrière eux, comme une discussion inaudible, probablement plusieurs miliciens passant à côté d’eux.  Merde. Redit-il, des fois que cela n’est pas été compris. Je reviens tout de suite, dit-il avec un sourire des plus tendres sur le visage. Il faut que tu fuies, les choses dégénère trop par ici.  Je te retrouverais plus tard.

A peine réuni, voilà qu'il doit partir s'il veut la protéger, quoi ce soit le bruit qu'il entend, cela ne peut être rien de bon. Se relevant, il tire la seconde lame du planeur qui lui reste hors de son fourreau improvisé. En voilà un drôle de personnage, habillé tout en vert, se baladant avec une ceinture pleine d’explosifs et une épée bizarrement ajustée. Un robin des bois sanglant, reprenant la vie des miliciens pour ne rien redonner, du massacre digne d’un film dans le lequel Stallone ou Schwarzenegger auraient leur place. Se déplaçant jusqu’à l’agitation, Osborn observe la scène, une rouquine tenant un chat qui discute vivement avec un milicien. Une collaboratrice ? Restant dans son coin, Osborn écarquille les yeux quand se métamorphose sous le chat en homme. Là, ça va partir de travers pense-t-il. Il pense beaucoup ces derniers temps. Ne laissant que son instinct le guider, le voilà qui sort de sa cachette, balançant la lame comme un malade mentale. Ils n’auraient jamais dû te relâcher, mon pauvre vieux, commente la voix. La lame pénètre le dos du milicien qui s’effondre aux pieds de la jeune femme et du… Chat ?

- Les mutants, barrez-vous ! Hurle-t-il. Vous voulez crever ou quoi ?

Ironie de la chose, quand l’on a tendance à gueuler, à faire péter des planeurs et tuer des hommes à mains nues, on finit par attirer l’attention. Et la slave de balle qui atteins Harry sur tout le flan n’était pas prévu au programme. T’as voulu jouer au héros, tu vas crever en héros, mon gars. Cause toujours dit-il en s’écroulant lourdement sur le sol, plusieurs balles l’ayant dans le bras et dans les côtes. Mort une première fois en voulant faire le bien, voilà que ça recommence…



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