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Entretien d'embauche...? [pv: Rosanna]

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Ven 20 Juin 2014 - 15:28
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Elle était maline cette humaine, elle prenait le temps de lire le contrat, chose que beaucoup d’entre eux n’auraient pas fait et aurait pu faire un pacte avec le diable sans même s’en apercevoir. C’était pathétique cette naiveté de la part des hommes, mais c’était comme ça et on y pouvait pas grand-chose pour changer cela. Puis a quoi bon ? C’était largement à mon avantage parfois. Je sentis en elle de l’ennuis. Ne pouvant m’empecher de lire en elle je compris son état de stresse, c’était humainement pardonnable dans un sens. Mais si je l’avais rencontré sous ma véritable identité alors ce serait tout autre chose, je serais beaucoup moins clément sur le sujet et je serais surtout plus tyranique dans le travail. Mais les humains avaient l’habitude de ce genre de choses et protestaient souvent les directions un peu trop sévères . Je ne voulais pas d’une pseudo révolte sous les bras en plus de mes problèmes actuels, alors il me fallait garder mon sang froid et me faire aimer de ces humains et ce même si cette pensée me donnait largement envie de vomir.

Le mot mutant fit tilt dans son esprit et cela me plaisait ce que je pu entre voir dans ses pensées. Elle avait une certaine rengaine envers ces êtres humains supérieurs à sa propre race. Elle ne comprenait pas pourquoi certaines personnes sont plus clémentes avec les mutants que les hommes, bonne initiative, c’était ce genre de personne qui me fallait pour mon projet. Des humains lambda détestant les mutants plus que tout au monde et ce afin que je puisse leurs faire faire quoi que ce soit contre les mutants, le contrôle absolu sur leurs personnes. D’après ses dires elle me semblait vraiment intelligente comme humaine et cela me surpris, dans le bon sens du therme. Je me disais que j’avais trouver une perle rare, ou du moins mon Père me connaissait assez bien pour prendre la bonne personne pour moi. Je ferais honneur au jugement de Père et ferait en sorte de réussir dans mon projet. Alors je commença à exposer le sujet à ma nouvelle secrétaire.

-Tout d’abord le batiment sera découper en deux services. Le premier sera le notre, qui officiellement étudira la génétique au sens large du terme. Puis le second sera la recherche biologique qui sera diriger par ma tante, mais ca on lui laisse gérer son entreprise. Puis pour les employer je pensais qu’il fallait des personnes comme vous, discrètes, droites et surtout faisant partie de la Purge afin qu’ils soient du même avis que nous et qu’ils nous aident encore mieux dans mon projet.

Je jeta alors un vif coup d’œil sur l’heure et me leva doucement du fauteuil. Je me posa a ses cotés et tendis le bras vers la sortie tel un gentlemen, faisant honneur à mon rang.

-Pour le moment si nous continuons de discuter de tout ca pendant le diner non ? Il est presque midi.
Oui les humains ne pensaient qu’a manger. Ce que je ne comprenais pas d’ailleurs car pour moi je mangeais seulement lorsque j’avais faim. Mais sur le coup il fallait que je fasse avec. Je n’aimais pas vraiment la nourriture humaine mais je savais faire semblant pour ma couverture en tant qu’humain ! Prenant par la suite les devant j’ouvris le chemin devant elle, si seulement aucuns membres de ma famille me voyait ainsi je ne m’en porterais que mieux…



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Sam 21 Juin 2014 - 2:20
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Pas de marche-arrière possible désormais, la machine était lancée et ce, très rapidement. Rosanna ne se plaignit pas un seul instant de devoir entamer le travail sur le champ car elle avait beau ne pas y avoir songé, cela lui parut finalement normal. Machinalement, elle passa une main dans ses cheveux et pencha la tête sur le côté, signe qu’elle écoutait attentivement ce que lui disait l’homme en face d’elle. Il fallait bien qu’elle écoute ce qu’il avait à dire sur la société si elle espérait pouvoir faire son boulot correctement, surtout qu’elle n’aimait pas faire les choses à moitié alors autant bien se renseigner plutôt que de devoir redemander les informations par la suite. Bon pour le moment c’est vrai que nous n’étions qu’au tout début de ce nouveau travail mais cela ne changerait rien pour la jeune femme qui prenait cela très au sérieux. Comme avec son ancien emploi, dans lequel elle était si assidue que ces collègues lui en faisait parfois voir des vertes et des pas mûres pour perturber son boulot et faire en sorte que leur patron la réprimande. Elle avait eu des collègues assez contraignants mais elle n’avait jamais rien dit, ni ne s’était plainte dans le cadre de sa profession. En revanche, en dehors c’était une autre histoire parce que la jeune femme n’était pas forcément des plus tendres si on lui pourrissait la vie : respecter les autres, ok , c’est bien beau… mais il y a une certaine limite. Aujourd’hui, il y a un de ces anciens collègues qui est brutalement devenu célibataire… mais c’est une autre histoire. Rien à voir avec la situation actuelle et elle ne s’est jamais retournée contre ses patrons, simplement envers des collègues. Elle acquiesça à cette histoire de génétique et biologie même si elle doutait fortement que cela éloigne les gens de rôder sournoisement en quête de renseignements sur de telles entreprises. Les gens sont d’une curiosité parasitaire, au point parfois de s’immiscer de façon malsaine dans votre vie, uniquement dans le but d’obtenir des informations qu’ils pourront transformer à leur guise par la suite. Du coup, elle se disait que ce laboratoire finirait par attirer les curiosités des uns et des autres et cette idée l’inquiétait un brin. Quant aux employés, il y avait suffisamment de pro-Purge pour trouver des chercheurs en génétique. Pour le caractère, il suffirait de trouver un moyen de s’assurer de la discrétion de chacun, de poser les bonnes questions  et de voir des profils qui s’adaptent assez bien à certaines conditions. L’affaire était pleinement envisageable et elle commençait à un peu mieux cerner son rôle. Elle sourit poliment et approuva ses paroles mais elle n’eut guère le temps de lui répondre que déjà son regard se porta sur l’heure qu’il était et Rosanna le vit se lever de son siège, le regardant faire sereinement. Elle se permit d’observer également les aiguilles de sa montre au bracelet bleu et constata qu’il était en effet temps de déjeuner mais elle n’y avait pas pensé un seul instant. Elle avait eu l’estomac un peu noué mais cela aurait pu être l’effet du trac lié à cet entretien donc elle ne s’en était pas formalisé. Finalement, c’était peut-être que son corps avait besoin de se nourrir : en temps normal, elle n’aurait pas eu tant de peine à ressentir sa faim mais pas cette fois. Elle observa donc lentement le jeune homme et se leva lentement, lissant sa jupe au passage. Elle repositionna le siège et se décala pour se mettre sur sa gauche.

- En effet, ce serait une idée judicieuse mais je ne connais pas encore très bien les lieux, monsieur…

Elle s’avança vers la sortie et s’arrêta. Manger en compagnie de son patron se faisait régulièrement surtout dans certains domaines mais Rosanna n‘en avait pas trop l’habitude. Elle avait longuement détesté les célébrations que sa mère mettait en place et là, elle avait un peu l’impression qu’elle était contrainte de passer tout son temps avec son patron. Non non ça ne la dérangeait pas car elle avait signé en connaissance de cause et parler professionnel ne lui posait aucun problème. … Elle avait juste peur de s’étouffer en mangeant avec lui ou simplement de se blesser par maladresse parce que même si elle était parfaitement capable de se baser sur des détails précis pendant le boulot, elle n’était pas sûre de pouvoir tenir bien longtemps sans perdre un peu de son sérieux alors que le repas était une pause dans la journée. Rosanna attendit donc qu’il passe devant pour le suivre, dans un silence tellement glacial qu’elle avait l’impression d’être une condamnée à mort dans le couloir menant à la chaise électrique. Quoi que les geôliers sont peut-être même plus vivants que lui. Pourquoi est-ce qu’il était si coincé ? Rosanna marcha dans son ombre sans oser le déranger en lui parlant mais elle ne supporterait pas longuement ce silence trop morbide. Elle tenait sur son bras droit, un sac à main et le dos droit. Malgré l'ambiance, elle souriait toujours et se montrait optimiste : ça aurait pu être pire. Elle s'était fait des tas de scénarios possibles en tête et c'était... vraiment les pires qu'on puisse s'imaginer. Au moins, il n'était pas désagréable à regarder mais bon ça c'était complètement débile comme pensée et elle l'évinça totalement avant que cela n'empiète sur son comportement. Elle attrappa rapidement son téléphone et tapa un texto qu'elle envoya à sa jeune soeur. Il disait "ne t'en fais pas si je ne rentre pas de sitôt, j'ai pas mal de boulot. Si tu veux inviter des amies, je t'ai laissé des sous dans la panière de l'entrée. Je te fais confiance pour ne pas sécher les cours... A plus tard." Rosanna le rangea tout aussi précipitamment et reprit le cours de ses pensées. Un peu plus sagement, histoire de garder bonne figure.

- Monsieur, je ne voudrais pas vous paraître incorrecte mais j'ai la sensation que ma présence à vos côtés vous gêne... êtes-vous sûr de ne pas vouloir faire de pause. Je mangerais rapidement si vous le désirez et vous rejoindrais ensuite.










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Sam 21 Juin 2014 - 15:22
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Cette humaine était vraiment une femme calculatrice et allant presque à de la manipulation se sentait en elle. Elle avait le potentielle de vivre à mes cotés. Elle me faisait pensé à Mère dans le fond… Il est vrai que sa présence me manquait dans le fond et à cette idée je me tournais brevement vers la fenetre en espérant peut être la voir au loin dans les nuages… Mais je repris vite mon esprit et reprenais la direction de la sortie.

Les pensées de la jeune femme étaient vraiment attrayante pour moi sur le moment. Elle semblait totalement perturbée par la situation pourtant ce n’était pas grand-chose, juste un repas entres collègues de travail, je ne voyais pas vraiment ou était le mal dans tout ça moi. Mais elle était comme ça, elle n’aimait pas vraiment être en compagnie de son employeur, il faudra qu’elle s’y fasse pourtant. Car à présent elle était comme mon bras droit. Mais il est vrai que ma personnalité un peu dégouter par la race humaine la mettait mal à l’aise. Il fallait que je fasse un effort sur ça, j’en était pleinement conscient. Mais c’est difficile et comme les humains le disent si bien, chassez le naturel et il revient au galop. Donc pour moi c’était quelque chose de vraiment compliquer cette histoire, je ne savais plus ou me mettre dans le fond ni même ce qu’un humain normal ferait dans ce genre de situation ! D’après certaines secrétaires que j’ai pu croisé dans diverses structures, elles ont presque toutes une sorte de fantasme avec leurs patron, et beh excusez moi mais ceci n’était pas du tout mon genre, je ne suis pas Fenrir. Puis une humaine quoi … ! Je n’avais pas besoin d’exposer mon avis sur la question pour que les gens connaissent la fin du mot.

Je marchais donc assez silencieusement dans les couloirs suivis de la charmante humaine à mes cotés. Je m’amusais à lire dans les pensées des gens autours de nous et pas mal de personnes se demandaient ce qu’elle faisait avec moi alors que j’étais toujours solitaire dans ce batiment. Cela me fit bien rire intérieurement et la détresse de ma compagne ne faisait qu’acoitre ce sentiment en moi.

Nous étions presque arriver à la cafétéria de la tour Liesmith qu’elle m’extirpa de mes pensées en prenant la parole. Cela me surpris presque et je me tourna doucement vers elle. Je me disais qu’il fallait sourire à sa phrase, ne pas me vexer et la prendre plus à la rigolade ! Alors je souriais d’un air amuser par la situation et lui ouvrit la porte.

-Non ne vous inquietez pas. C’est que … J’ai vécu pas mal d’année seul. Alors forcément… ca coince un peu niveau discussion.

Puis je la suivis dans la pièce et pris nos plateaux afin de suivre le chemin. Je lui expliqua le fonctionnement assez basique du paiement du repas, en gros vu que c’était lui qui allait prendre ses frais de nourriture à sa charge alors tout lui sera gratuit au vu de son rang dans la hiérarchie. Puis une fois installer je chercha un sujet de discussion basique pour les humains. Et au vu de son précédent sms et avec ses pensées encore un peu douteuse à mon égard je tentais quelque chose.

-J’espère que je ne vous ai pas déranger dans votre planning en vous faisant commencer aujourd’hui. Vous avez prévenu votre sœur également ? Vous lui présenterez mes excuses.

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Lun 23 Juin 2014 - 14:25
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Rosanna avait rapidement suivi les pas de son patron, essuyant les regards intrigués de ceux qu’ils croisaient. D’ailleurs, elle n’aimait guère la façon dont ils la détaillaient, avec une curiosité indécente mais elle se tenait la tête haute quand elle croisait leur regard et le leur rendait de la même manière. Ce genre de détails ne pouvaient pas vraiment l’atteindre, par contre l’attitude de son supérieur à son encontre, la mettait parfaitement mal à l’aise mais vu la réaction des personnes dans cette tour, elle ne devait pas être la seule. Elle s’inquiéta donc un peu sur le fait qu’au départ, le poste de secrétaire était proposé par le père du jeune homme et qu’il ne désirait pas spécialement avoir une demoiselle dans les pattes. Il était peut-être même contraint d’accepter sa présence parce que cela lui avait été demandé. Combien de fois Rosa avait-elle accepté de rendre des services à sa famille parce qu’elle estimait qu’on ne peut pas refuser les « suggestions » familiales sans être persuadées qu’elles injustes ? Peut-être était-ce la même chose pour lui. Se sentait-il obligé de la supporter dans l’unique but de satisfaire la demande de son père ? La jeune femme préféra donc lui demander s’il désirait un peu de répit au cas où il serait si imprégné par son travail pour s’en détacher pendant quelques temps. Chacun à le droit de souffler un peu, n’est-ce pas ? Elle fut donc fort surprise de le voir se tourner vers elle avec le sourire. Bizarrement, elle avait du mal à comprendre ces voltes-faces entre une froideur impressionnante, presque contagieuse et des éclats d’amabilité qui insinue le doute. On dirait qu’il est un peu maladroit dans son comportement mais la jeune femme lui sourit en retour, ne pouvant s’en empêcher. Il disait avoir vécu seul pendant des années et à sa façon de le dire, on eut dit qu’il avait passé un long moment dans sa solitude or c’était impensable. Il avait forcément exagéré la donne parce qu’il pouvait avoir été seul pendant 5 ans certes mais difficilement au-delà. Et encore, c’est délicat d’être complètement éloigné des autres au point d’en devenir un ermite mais elle ne connaissait pas sa vie alors elle tenta d’assimiler ces informations comme elle le pouvait. Vivre seul ça fait du bien pendant un temps mais la solitude est un mal qui ronge et il n’est jamais bon d’y être longuement confronté car cela finit par vous détruire totalement. On peut apprécier d’avoir des moments de calme, d’être avec ses pensées uniquement mais sur le long terme, on s’envenime avec notre propre pensée. Rosanna avait été seule pendant quelques temps, après s’être un peu détachée de ses parents et si elle n’avait pas eu des camarades de fac qui l’avait secoué, elle serait sans doute restée à ruminer les paroles de ses parents et auraient peut-être fini par leur en vouloir. Elle l’aurait bien regretté par la suite. Aussi elle trouvait tout simplement l’idée un peu triste mais elle n’en montra rien parce qu’elle n’avait pas droit de juger mais au fond, cela l’ennuyait un peu. Par contre, s’il comptait sur elle pour faire la conversation, il allait être très déçu parce qu’à part raconter des inepties, elle n’était pas très douée pour lancer un sujet de conversation et elle doutait qu’il apprécie qu’elle raconte n’importe quoi. Elle passa devant lui tandis qu’il tenait la porte et avança un peu dans la cafétéria de la tour.

- Vous deviez vous ennuyer… Remarquez, ce n’est que mon point de vue mais la solitude ne me plaît guère. Je la trouve néfaste.

Rosanna n’en ajouta pas plus parce qu’il n’avait fait que répondre à ses « inquiétudes » et elle ne voulait pas non plus s’immiscer de trop dans des débats sur lesquels ils ont peut-être des opinions très différentes. Elle était néanmoins un peu plus sereine quand elle l’écouta lui expliquer comment marchait la cafétéria et les repas. Suffisamment classique pour comprendre aisément, elle n’eut rien à ajouter ni de questionnement à formuler et attendit qu’ils soient assis pour observer un peu plus autour d’elle. Bon… elle s’était déjà un peu perdue dans les couloirs mais elle devrait retrouver son chemin au fur et à mesure. Quant à la pièce actuelle, elle en contempla la surface légèrement perdue dans de vagues pensées avant d’en être soudainement extirpée et de revenir à la réalité. Il venait de soulever des questions de politesses et honnêtement, elle ne s’attendait pas à ce genre de formules de sa part. Du coup, elle se demandait si elle était si transparente que cela ou bien s’il avait vu qu’elle avait envoyé un message sur son téléphone. Soit elle ne faisait pas spécialement attention, soit il était d’une perspicacité remarquable. Peu importe : elle répondit avec douceur, très paisiblement.

- Bien sûr que non monsieur. Ce serait ridicule de ma part de m’engager de la sorte et me plaindre ensuite d’avoir du commencer à travailler aussitôt. J’ai… oui, j’ai juste prévenu ma sœur, je n’y manquerais pas.

Rosanna regarda son plateau, elle tenait en main sa fourchette et le couteau posé à plat sur le plateau mais elle ne mangeait pas. Elle connaissait les bonnes manières à table mais détestait les respecter alors elle reposa le couvert et croisa les mains, posées sur ses jambes. Elle boirait un peu et essayerai d’avaler quelque chose ensuite mais elle n’était pas sûre de le vouloir. Ce n’était pas par manque d’appétit mais elle avait l’estomac légèrement noué et puis… elle avait « oublié » qu’elle était allergique à certains produits. Pas vraiment oublié mais elle n’avait pas fait attention. Elle préféra donc essayer de se concentrer sur la conversation mais disons qu’elle était peu douée surtout en compagnie de son supérieur hiérarchique.

- … Qu’est-ce que vous aimez dans votre travail monsieur ?









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Mar 24 Juin 2014 - 21:40
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Décidément la tête de cette femme partait dans tous les sens, c’était presque impossible à suivre tellement. Mais une chose interpela mon esprit. Elle était en train de philosopher sur la solitude et mon point de vue. Bon ok elle avait remarqué mon attitude pas très net, je ne savais pas comment réagirait un etre humain lambda moi ! C’était un peu rageant dans un sens de ne pas savoir comment réagir normalement. C’était vraiment dur mais j’essayais de faire au mieux. Elle semblait apprécier les petits moments de solitude. Moi c’était devenu un peu une partie de moi cette solitude. Je m’étais tout simplement habituer à ces moments seuls et que la compagnie me perturber dans mes pensées, comme si quelqu’un pouvait lire en moi. C’était ironique dans un sens. Je suis un être capable de lire dans les pensées et je n’aime vraiment pas que l’ont entre dans les miennes. Bien sur toute ma famille le peut, ils en ont la capacité. Mais c’est un peu un respect entres nous, on ne lis pas dans les pensées de l’autres sans qu’il ne nous y autorise. En cas de danger généralement. Ses paroles m’aider a retrouver ses esprits. Et ses mots me fit bizarre en moi… Comme si elle résonnait dans mon crâne. Je fus très perturbé et lorsque je posais mon plateau sur le rail pour me servir je restais un peu idiotement devant le choix des plats.

Elle avait une fois de plus raison, c’était néfaste cette solitude. Mais merci qui ? Merci Odin. Je ne voulais pas de cette solitude, j’étais bien moi aupres de mon frere, ma sœur et mes parents. Mais tout s’écroula à cause de ce vieil Asgardien miteux et ridicule. La je serra les dents et mon envie de vengeance repris bien vite le dessus.

-De toute façon ne vous inquietez pas. Le coupable s’en mord déjà les doigts.

Puis je repris le chemin du rail en choisissant une entrée pour moi. Je fis comme si de rien n’étais et cacha totalement ma rancune au fin fond de mon être. Pour ce qui est du repas j’avais vraiment du mal… Je pris un peu de poisson crus, c’était un peu mon repas classique durant toute ma vie, du poisson cru… La nourriture humaine j’avais vraiment du mal. La seule chose que j’avais pu avaler d’humain jusqu’à présent c’était la viande cru ainsi que le thé. Je dois sans doute tenir ça de mon sang Jotun, cette boisson chaude doit certainement réchauffer le sang frais qui coule dans mes veines, un truc comme ça. Elle était vraiment loyale cette petite et elle ne savait pas dans quoi elle mettait les pieds…

-D’accord, si tout cela vous semble correct alors je ne vois pas ou est le mal. Votre sœur étudie dans quoi alors ? Dans qu’elle école est elle ?

Son air un peu perplexe sur son plateau me fit bizarre. Je lisais en elle et cela me montra encore plus que d’être humain était vraiment une plaie avec cette histoire de faiblesse allergique. Cela me fit bien rire. Alors je lisais en elle et observa son plateau. Elle avait peut être oublier mais je vis qu’elle n’était allergique en elle. Alors je souriais et tenta de la calmer.

-Ne vous inquietez pas, j’ai lu dans votre fiche votre passer médical. Vous pouvez manger en toute sécurtié. Mais pour vous répondre… Disons que j’aime être au courant de tout. Alors vous comprendrez que je fasse en sorte de connaitre mes employer comme si ils étaient de ma famille. Et vous ? Qu’est ce que vous aimiez dans votre métier ? Enfin celui que vous faisiez avant…

Je mangeais alors un bout et fit en sorte d’être à l’écoute d’elle. Je lui devais bien ça.

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Mer 25 Juin 2014 - 1:04
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Elle avait sans doute abordé un sujet qu’elle n’aurait pas du mais elle n’avait pas pu s’empêcher de faire un commentaire sur le sujet. Sauf qu’au vu de sa réaction, il était probable qu’elle n’aurait pas du. Pendant un bref instant, elle cru le voir hésiter quand il choisit son plat et elle espéra qu’il n’était pas peiné par ses propos. Elle avait choisi sa nourriture sans vraiment y réfléchir et ne s’attendait pas le moins du monde à ce qu’il dise quoi que ce soit après cela. Elle l’entendit cependant et elle resta durant cet instant-ci comme bloquée sur place parce qu’il avait l’air si dur dans ses paroles, qu’elle en fut surprise. Oui c’est vrai que son premier réflexe avait été de se faire du souci pour lui alors qu’au fond, il ne s’agit que de son patron et qu’elle devrait faire comme si de rien n’était. Ce n’était simplement pas dans son comportement, d’ignorer ce qu’elle entendait ou voyait. Ne pas se mêler de la vie des autres d’accord… mais impossible cependant d’occulter les informations que l’on connaît. Rosanna avait beau être une pro-purge et être contre l’existence des mutants, elle avait bien plus de cœur qu’il n’y paraît mais elle le condamnait au profit de la raison. Le cœur est fragile et influençable alors que la raison laisse place à la logique et empêche parfois de souffrir. Elle avait donc noté que, dans ce qu’il avait dit, il énonçait un coupable. Elle ne pu s’empêcher de froncer les sourcils, se demandant pourquoi on l’avait donc volontairement séparé des autres. Apparemment ce n’était pas volontaire en tout cas. C’était d’autant plus regrettable pour lui mais apparemment il y avait un juste retour des choses dans l’histoire. Elle ne lui demanda aucune explication, reprit sa marche sur le rail, juste derrière. Il était passé à autre chose et elle, elle évita de renfoncer le couteau dans la plaie. Être perspicace, c’est parfois un sacré défaut. La jeune femme s’était assise rapidement, se sentant redevenir une adolescente dans un lieu pareil : on dirait les cafétérias des établissements scolaires. Un lieu souvent bruyant. Dans son ancien job, elle mangeait très rarement en compagnie des autres : elle emportait ses repas et s’isolait. Elle n’avait donc pas trop l’habitude des déjeuners dans le domaine de la profession. Ils avaient parlé des politesses et elle avait tenu des propos basiques quant à entrer plus dans les détails concernant sa sœur, elle n’aimait pas trop l’idée parce qu’elle savait pertinemment que Kendra n’aimerait pas cela. Sa petite sœur détestait que Rosa parle d’elle a des inconnus et comme l’ambiance était actuellement tendue à la maison, l’aînée des Livingstone était légèrement réticente. Seulement, il s’agissait de son patron alors sans doute Kendra comprendrait.

- New York University School of Medicine. Kendra a toujours eu un don pour les sciences et elle aimerait devenir médecin. En espérant qu’elle le puisse…

Elle n’en dit pas plus, pas besoin. Rosanna doutait que sa cadette aille très loin alors qu’elle était dans l’incapacité de s’exprimer mais pourtant la demoiselle s’acharnait. Rose espérait sans cesse qu’elle retrouve la parole mais pour cela il faudrait qu’elle comprenne ce qu’il s’était passé pour elle et également qu’elle se rapproche un peu de cette dernière. La jeune femme regarda son plateau et soupira, c’était difficile de s’occuper d’une adolescente, déjà une adulte en France. L’avoir à sa charge était naturel mais Rosa n’était pas très douée pour s’occuper de quelqu’un. Elle ne se rendit pas compte qu’il l’observait jusqu’à ce qu’elle le regarde et croise son sourire. Il avait donc remarqué sa manière de fixer son repas et ça semblait l’amuser un peu. Ce qui la dérangea un peu et elle se sentit un peu bête sur le moment, devenant légèrement rouge. Elle n’avait pas pensé à faire attention. Elle passa une main dans ses cheveux et glissa une mèche derrière son oreille avant de reprendre sa fourchette. Elle se reprit et lui adressa un sourire écoutant ses propos. Elle tiqua à l’idée qu’il puisse s’intéresser de cette façon à ses employés, ne comprenant guère l’intérêt. Ce qu’elle aimait elle dans son ancien métier ? Elle réfléchit en jouant de sa fourchette dans son assiette.

- Ce que j’aimais… Je suppose que c’était de pouvoir faire respecter les lois principalement et puis le danger. Sauf que je ne cherche plus les mêmes choses à ce jour et j’apprécie le changement.

Elle ne savait pas quel autre sujet aborder alors elle piqua dans son assiette et commença à manger.









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Mer 25 Juin 2014 - 21:54
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rosanna.  & jörmungand



 
Bien … Elle avait au moins compris la leçon. Parlait de ma solitude n’était pas vraiment quelque chose qui me mettait de bonne humeur. Il ne fallait pas vraiment chercher à comprendre un peu plus dans ce domaine là. Un sujet très tabou pour moi et qui avait le don de me mettre hors de moi en quelques secondes. Et il semblerait qu’elle aussi avait quelques soucis de famille en fait. Ceci était intéressant, que ce soit en tant qu’humain ou en tant que Jotunheim il semblerait que les relations familiales soient quelque peu compliquées en fait.

Cela me faisait très bizarre d’avoir de tels points communs avec une tiers personnes qui soit qui plus est une simple humaine. Cela m’horripilait dans un sens mais je n’y pouvais rien. J’avais vraiment une vie un peu banale dans un certain sens. Enfin si on oubli toute cette histoire de monde extra terrestre. Quoi qu’on fasse ou qu’on soit les histoires de familles pouvaient être terriblement compliqué et cela je l’avais bien remarquer durant mes siècles de sommeil sous ces eaux. Le pays ayant le plus de problème, pour moi, c’était l’Angleterre. Leurs histoires de famille royale était tellement le bordel qu’Odin lui-même n’aurait pas fait mieux. Certes ce n’était pas au même degrés mais il y avait tant de conflits dans cette famille que c’était un ragnarok à eux tous seuls si ils avaient les même pouvoir que nous.

Mais ce qui me fit doucement rire c’était la réponse à ma question. Je ne savais pas si Père l’avait fait expres mais sur le moment le fait que la sœur de mon bras droit soit une élève en médecine me ferait presque rire de cette étrange coïncidence. Et en tant que ‘’humain sous couverture’’ il fallait que je détende un peu l’atmosphère, car il me semblait que cette jeune Rosanna était aussi tendu que la mutant incapable de se servir de son don face à du sang. Alors je pris la permission de sortir une petite blague par ci par là.

-Super ça, elle pourra travailler pour nous lorsqu’elle sortira de l’école non ? Puis pourquoi pensez-vous qu’elle ne pourrait pas réussir ? Si elle est aussi brillante que sa sœur je ne vois pas le problème.

Mais sa question n’était qu’une simple formule de politesse car dans le fond il lisait toujours en elle, ce qui lui donnait un coup d’avance sur les autres. Il comprenait le mal être de sa petite sœur. La parole était quelque chose d’important en tant que médecin, ne serait seulement qu’en diagnostiquant le patient cela devait se passer par la parole. Alors ceci pouvait énormément compliquer les choses.

Par contre elle avait du mal avec les idées de sujet que je choisissais… Moi qui pensais que cela pouvait nous aider à faire connaissance, je tombais bien bas sur le moment, moi qui pensais bien connaitre la race humaine… Je me trompais. J’avais vraiment du mal encore avec ces histoires de camaraderie et des non dit. Alors je tentais de tourner la chose différemment.

-D’accord… Sinon vous vous plaisez dans notre grand pays ? C’est vrai que ca doit vous faire un changement par rapport à ce que vous connaissez déjà en France non ?

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Ven 27 Juin 2014 - 0:32
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


A en croire le tournant qu’avait pris la discussion, il semblait apprécier de parler de sa cadette et honnêtement Rosanna le trouva vraiment curieux. Il a certes prévenu qu’il aimait se tenir informer concernant ses employés mais la jeune femme était très peu habituée à mêler le travail et sa vie personnelle. D’ailleurs, dans son ancien travail, son employeur n’était pas au courant qu’elle avait une petite sœur et il ne l’avait appris que le jour où elle était partie, donnant sa démission. Elle n’avait eu aucun mal à se détacher de son emploi et de toutes ses autres attaches. Sa petite vie tranquille, en dehors du travail, avait certes parue une belle illusion mais au final ce n’était qu’une routine sans intérêt dans laquelle elle s’était enfermée en se persuadant qu’elle était bien loin de tout code et qu’elle pourrait vivre la vie qu’elle espère. Elle s’était persuadée pendant un temps qu’elle était heureuse mais elle n’avait pas hésité longtemps avant de changer de vie totalement. Son boulot lui plaisait, ses collègues moins. Son appartement était douillet, le loyer correct. Des amis elle en avait deux trois et son compagnon était gentil mais comme tout autre finalement. Bref, rien de bien passionnant, une vie trop moyenne pour durer. Bon au fond, elle aurait du rester en France dans la demeure familiale mais tout avait dégénéré. Elle se souvenait parfaitement de l’angoisse qui tenaillait le ventre de Kendra. Elle savait ce qu’il s’était passé… et elle n’avait rien fait. Elle s’en voulait encore : plus jamais ça ! Quitte à briser des lois même si cette idée la dérangeait : elle espérait que cela ne soit pas le cas, que ça ne le soit jamais. Sa solution : elle avait pris la plus facile et avait été rejoindre un ami aux « States ». Les études de médecine, c’était devenue une évidence pour Kendra, pour aider son prochain. Tellement bonne avec tout le monde, trop naïve et elle, elle ne savait pas se défendre en plus et maintenant sans les mots, ce serait pire. Elle n’avait pas spécialement envie de faire part de ses détails à son patron mais après tout, ce n’était pas un tabou. Qu’il le sache ou non ne changerait rien sur le boulot et il n’était pas son collègue mais son supérieur. Ce détail pouvait amplement la convaincre de répondre. Elle avait les yeux au ciel à la boutade sur le fait qu’elle puisse venir travailler ici mais elle supposait que Kendra n’aurait pas voulu. Parce qu’il s’agit de génétique et non pas de soigner les autres et surtout parce qu’elle n’approuvait pas du tout les choix de sa sœur. Ce n’était pas près de changer d’ailleurs. Son sac était posé contre sa cuisse, la anse posée sur le dossier de la chaise quand elle sentit son téléphone vibrer. Quand on parle du loup, il devait s’agir de la jeune fille. Elle ne vérifia pas puisqu’elle était persuadée et qu’elle se trouvait sur son lieu de travail. Elle aurait du penser à éteindre le téléphone mais elle avait complètement zappé et elle s’en excusa poliment.

- Je l’éteindrais ensuite, ne vous en faites pas. Oui la médecine mais elle n’en est qu’à ses premières années et vous feriez une grosse erreur en la faisant venir dans votre travail. Ajouta-t-elle en riant doucement avant de reprendre plus sérieusement. Oh ce n’est pas question de capacités, c’est simplement qu’elle est … elle est muette. Un médecin incapable de communiquer avec ses patients c’est… tout juste impensable.

Il était impensable que sa sœur croise son patron : la connaissant, elle ne se gênerait pas pour lui faire du charme et quoi de mieux pour se décrédibiliser totalement dans un job. Non pas qu’elle ai une vision négative de sa sœur… mais elle savait les goûts qu’avaient sa cadette et elle était si prévisible. Rosanna soupira, elle aimerait tant que sa sœur retrouve les mots. Elle comptait sur l’amie de cette dernière pour lui apprendre le langage des signes mais ça allait être long et fastidieux. Elle mangeait délicatement et finalement sans grand appétit, même en sachant qu’elle ne risquait pas l’allergie. Quant aux questions sur son ancien boulot, c’est vrai qu’elle avait répondu froidement mais c’était tout simplement, aussi, parce que ce qui était relatif au travail était synonyme de sérieux pour elle. La légèreté n’était pas spécialement une chose permise dans le domaine professionnel mais elle avait pris le pli de ses parents alors qu’elle savait très bien que les temps avaient changés et qu’ils étaient largement démodés. Elle avala sa bouché et regarda ailleurs un petit moment avant de réfléchir à la question. Est-ce qu’elle se plaisait aux Etats-Unis ? Quel changement cela avait-il apporté ? Elle lui jeta un coup d’œil : ils ne devraient pas parler du travail plutôt ? Elle baissa les yeux, passa sa langue sur ses lèvres avant de se rendre compte qu’elle était assoiffée. Elle but un peu d’eau et finit par se lancer.

- Bizarrement, je suis bien plus à l’aise dans ce pays que dans le mien. Vous êtes de la ville même de New York ? … Je préfère la gastronomie française mais en dehors de cela : New York est si pleine de surprise… c’est ça qui m’intéresse et c’était l’occasion d’un nouveau départ. Comprenez-vous ? La France est très différente, je vous l’accorde. Connaissez vous un peu ce pays ?









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Ven 27 Juin 2014 - 17:28
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Je rougissais légèrement sous son regard un peu trop osé... Et surtout avec ce qu'elle pensait de sa soeur si elle me voyait... Ceci me troublait énormément. J'étais curieux sur ces sujets là car je savais mon Père assez connaisseur dans ce domaine mais contrairement aux autres je ne m'étais jamais assez intéresser pour passer le pas sérieusement. Ce genre de choses m'était encore totalement inconnu et je ne savais pas par ou commencer. C'était comme si ma soif de connaissance ne voulait pas connaitre ce pécher la. Puis j'étais un peu réserver sur la chose, sans doute mon caractere impassible qui faire fuir puis le fait aussi que je sois obsédé par l'idée de me venger d'Odin et son unique fils que j'en oubliait totalement de me relaxer un peu avec de la charmante compagnie. Il m'arrive pourtant parfois de me demander ce qu'on ressentait dans ce genre de moment mais ce n'était toujours pas ma priorité. Je me raclais doucement la gorge en avalant un morceau de poisson, essayant de retirer ces idées d'humains de mon esprit. 

Je revivais tout le passer de cette femme dans sa tête mais quelque chose encore m'échappa sur le coup. Je ne savais pas qu'elle était la véritable raison de son arriver ici mais cela me semblait être quelque chose de relativement grave et violent quand même... Ceci me titilla l'esprit et je voulais en savoir plus ! Moi et ma foutue soif de connaissance... Mais pour le moment je savais que ce n'était pas trop possible, je ne pouvais pas abordait le sujet aussi brutalement, la elle se mettrait a soupconner quelque chose. Alors je fis comme si de rien n'était et observa mon assiette en mangeant un autre morceau. Éviter le regard c'était un moyen pour pas que les humains puissent deviner mes penser ! Or le vibreur du téléphone de ma camarade sonna et me fit lever les yeux directement vers son sac. Ses excuses étaient les bien venu et cela me fit sourire, je pointa alors machinalement ma fourchette vers son sac. 

- Oh allez y, vous pouvez y répondre. Ne vous inquietez pas pour moi.

Son rire était... Réchauffant. Enfin je veux dire que ca faisait bien longtemps que je n'avais pas entendu quelqu'un rire en ayant une conversation avec moi. Mais ses mots suivant étaient totalement différents, comme si elle avait de la peine pour sa soeur. La je perdis un peu mon sourire et en fut désolé pour elle. C'est étrange mais j'avais l'impression qu'être a ses cotés me rendait plus... Humain. Comme si mes efforts pour parraitre normal me fit réfléchir comm eun humain. C'est pour cela qu'il fallait que je me place une certaine barrière, que je me refuse certaines choses. 

- Navré, ce n'était peut être pas le sujet a aborder.

J'observa alors ses pensées qui me fit rougir, celles ou je pourrais plaire a sa soeur ! Alors si c'était le cas sa soeur auraient de bien droles gouts... Mais sur le moment j'étais comme subjuguer par le mouvement de sa langue sur ses levres, sans comprendre pourquoi ni comment je sentis lors des frissons parcourir tout mon corp. Sans dire un mot, je l'écoutais et continua mon repas. Je l'observais car c'est un gage de respect de regardais en face la personne qui vous tiens la parole. Alors je fis en sorte d'être un bon gentleman bien élever. Dans ses paroles je sentis que j'avais reussi a chopper le bon sujet, la je sentais un vrai dialogue se créer et je continuais donc sur cette lancer afin de lui répondre. 

- Oh non je viens de très loin. Mais je n'ai pas vraiment eu le choix, je devais de suivre ma famille ici. Mais je ne m'en plaind pas. Meme si j'avoue comprendre parfaitement votre sentiment de changer de contrée. Il est vrai que la gastronomie francaise m'interesse particulièrement. Hors je ne connais votre pays que par les études d'histoires que j'ai fait. Au début je voulais être un historien mais avec les circonstance d'aujourd'hui... Enfin toujours est il que je serais ravis de gouter a la cuisine francaise si c'est vous qui tener la cuisine !

Je finissais ma phrase dans un léger rire. Je commencais a etre a l'aise avec cette humaine meme si la partie Jotunheim au fond de moi me crier de la tuer. Pus j'étais assez fier dde mon excuse "d'historien" qui pourrait cacher ma véritable nature de serpent millénaire qui a passer sa vie a lire dans les humains sur terre comme dans des livres d'histoires. Au moins je pourrais débaler ma dcience sans me faire remarquer. 

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Ven 27 Juin 2014 - 19:17
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Au fond, ce sont ces histoires sur les mutants qui l’ont fait se déplacer ici ainsi que cet américain avec qui elle avait pris l’habitude de converser. Ou bien est-ce d’autres détails qu’elle a préférer enterrer au fond de ses pensées. Elle préférait se dire que c’était parce que la France était dans une impasse politique qui ne lui convenait pas et qu’avec toutes ces révélations sur les anormaux, tout ce qui se passait aux Etats-Unis l’incitait à faire son entrée dans ce pays. Elle préférait penser que Kendra, qui avait un faible pour ce pays, serait plus heureuse là-bas. Parce que cela l’arrangeait de voir les choses sous cet angle. Et elle préférait se dire qu’elle était venue pour rencontrer son ami en chair et en os, parce qu’il avait besoin d’elle et qu’elle, seule avec sa sœur, s’était assurée que ce ne serait pas si mal de se faire de nouveaux amis. Un point c’est tout. Elle avait posé ses pupilles marrons sur son interlocuteur et le vit légèrement prendre des couleurs mais elle n’en comprenait pas la raison. Elle n’en voyait aucune alors elle fit comme si de rien n’était quand il parut soudainement se concentrer sur son assiette. Après tout, elle ne pouvait pas vraiment savoir ce qui lui passait par la tête et d’ailleurs, elle n’était pas curieuse à ce point là. Où serait le politiquement correct qui nous préserve de la haine envers autrui si on savait ce qu’ils pensent vraiment de nous ? Et puis quel ennui de tout savoir sans jamais de surprises ! C’est vrai qu’on se passerait bien de certains secrets parfois mais certaines sont préférables d’être ignorées. Rosanna préférerait que sa sœur lui explique ce qui ne va pas, plutôt que de l’apprendre autrement, ou par quelqu’un d’autre. Elle espérait juste que cette dernière retrouve confiance en son aînée. Heureusement, elles étaient encore capables de communiquer par sms et son téléphone lui en apporta la preuve. Observant son geste, elle sourit mais ne prit pas la peine de se saisir du portable. Déjà parce qu’elle ne répondait pas quand elle était en train de manger en compagnie d’une autre personne et parce qu’elle était au boulot. Alors oui elle radotait mais certains codes étaient immuables. Tant qu’il ne s’agissait pas d’un appel et donc d’un cas urgent, ce serait pour après le boulot. Et puis, il faut dire qu’elle n’avait pas trop envie de perdre contenance en lisant le message parce qu’elle se doutait déjà de ce qu’elle pourrait trouver comme réponse et soit ça l’agacerait, soit ça la ferait monumentalement rougir. Donc non, ce n’était pas le bon moment pour répondre.

- C’est aimable à vous ! Seulement, ce n’est pas dans mes principes de répondre quand il ne s’agit pas d’un coup de fil important. Même pendant une pause déjeuner.

En plus, elle ne s’en sortirait plus si elle commençait à renvoyer un message car la jeune fille répliquerait et Rosa était assez bonne amie avec la technologie moderne alors elle se laisserait vite dépasser. Il lui arrive parfois d’aller donner des coups de mains à des personnes un peu perdue avec leurs ordinateurs, leurs imprimantes et tout le reste. Elle aimait apprendre alors elle s’était intéressée à tout cela et c’était resté parmi ce qu’elle apprécie. Cela la fit sourire mais revenons en à nos moutons. Elle avait expliquer les raisons de ses inquiétudes pour sa cadette et une fois fini, elle mangea un morceau. Il s’excusa mais elle essuya tout cela du plat de la main pour dire que cela ne faisait rien. Il avait voulu savoir ? Elle avait répondu mais même si elle trouvait dommage que sa sœur soit dans une impasse, Rosa n’était pas déprimée face à l’avenir de la demoiselle, juste un peu déçue. Elle souriait sincèrement en réalité quand il lui parla.

- Oh on a tous nos petites histoires familiales. Il arrive toujours un moment où il faut pouvoir en parler.

Elle était en train de se réhydrater et fut assez surprise de son regard un peu trop fixe sur le moment. Elle reposa le verre, se sentant un peu mieux et pu parler tranquillement. On lui demandait souvent comment c’était la France et elle ne savait pas comment répondre parfois tant c’était vague comme question mais ce qui l’amusait souvent c’était d’entendre les autres tenter de parler la langue. Elle avait fait connaissance d’un homme qui parlait plutôt bien le français la dernière fois, c’était rare mais c’était intriguant. Elle mangea un peu en écoutant ce qu’il avait à dire. Il venait de loin et était arrivé ici pour affaires familiales, c’est assez déroutant au départ et encore plus quand on y est forcément. Au moins, elle avait fait le choix par elle-même. Quant à la gastronomie française... c’était sans doute ce qui manquait le plus. Les plats n’ont rien à voir avec ce qui se fait par ici. S’il ne connaît que l’histoire de la France version scolaire, honnêtement ça n’a rien de très glorieux, surtout vu les erreurs commises par les gouvernements mais bon… c’est déjà bien de connaître un peu. Rosanna acquiesça, se remémora l’époque du lycée et des cours d’histoires… Elle grimaça à cette idée, son professeur était d’un soporifique, à tel point que ce qu’elle avait appris pour les examens ne venait pas de lui mais des documentaires qu’elle avait pu regarder pour se préparer. L’enseignement français est une plaie et ce n’est pas forcément mieux que ce soit dans le privé ou le public. Il aurait aimé être historien… quelle horreur ! Enfin elle pensait cela parce qu’elle n’aurait pas pu exercer un métier pareil mais chacun avait des goûts différents. En revanche, pour ce qui était de la cuisine, il pouvait toujours courir. A moins qu’il n’ai envie de la conduire à l’hôpital, il ne valait mieux pas qu’elle touche à tout ce qu’il y a de tranchants ou brûlant dans la cuisine. Elle était très agile pour certaines choses et très maladroite pour d’autres. Si cela le fit rire, elle avait pris une teinte un peu trop rouge cette fois.

- Mais cela ne vous manque pas parfois, votre pays d’origine ? Et vos frères et sœur le vivent bien également ? Entre une filière dans l’histoire et une carrière dans la science, vous avez totalement changez de voie. Cela vous convient ? … à vrai dire… pour la cuisine, il ne vaut mieux pas que je sois aux fourneaux monsieur. Dans ce domaine ma sœur serait plus qualifiée. Ajouta-t-elle avec un immense sourire malicieux, parce qu’au fond, elle ne pouvait qu’être amusée même si c’était pas le bon moment.









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