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Entretien d'embauche...? [pv: Rosanna]

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Sam 28 Juin 2014 - 0:14
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Cette femme etait vraiment le symbole du charme francais ainsi que les bonnes manieres des anglais ! Il est vrai qu'elle avait une certaine élégance qui me rappelait la noblesse anglaise. Alors je pouvais lui pardonner le fait qu'elle ne voulait pas repondre a son portable, surtout au vu de sa dependance a la technologie. Ce qui me fit penser que si cette humaine devenait télépathe alors cela pourrait vite être une grosse dépendance pour elle et elle comprendrais pourquoi je ne pouvais m'empecher de lire dans les gens, c'était presque aussi important que de respirer l'air humain ou encore faire un petit tour en mer toutes les nuits. Alors je lui laisser passer cette petite occasion d'etre un peu moins réserver. 

Puis il faut dire que par la suite ses pensées n'étaient pas vraiment pationnantes pour moi. Elle pensait sans cesse a l'histoire ennuyante de son pays mais moi je la trouvais plutot... Banale et pathetiquement humaine. Si seulement il avait pu mettre les pieds la bas alors il aurait bien vite tout changer. Enfin il en aurait surtout pris le controle et le pays serait tout entierement fait de parfaits petits soldats anti humains ! Des soldats créer a partir d'un infine adn de Jotunheim. Car oui cela était mon but ultime. Faire des humains des apprentis Jotun. Cela les rendraient tout simplement plus puissant et alors ma race reviendrait sur le devant de la scène. Et notre famille se sentirait moins seule. 

Cette humaine en face de moi serait une potentielle Jotun, peut etre meme la premiere hybride humaine/jotun. Mais pour le moment il fallait que je retire un certain trait de son caractere... Elle se dévalorisait trop pour moi. Il fallait que je lui donne plus de confiance en elle. Ca c'était un travail de longue date qui m'attendrait et je serais pret a relever ce grand defis psychologique. L'observant et l'écoutant avec sourire je fis comme si de rien n'était et resta tout de meme concentrer sur la conversation.

Précédemment elle me parlait des histoires de familles... Et je pense qu'il fallait que je calme sa curiosité a mon encontre. Je ne voulais pas qu'elle sache qui je suis, pas maintenant. Elle m'assaillait avec toutes ses questions mais je gardais tout de meme le sourire. 

- Pour ce qui est de mon pays d'origine, non ne vous inquiétez pas, je ne l'ai pas assez connu pour avoir du regret. J'étais encore jeune quand nous sommes tous arriver ici. Et oui meme mes freres et ma soeur ont toujours vécu dans ce pays. Je pris alors une petite boucher et l'avala avant de reprendre. Mon changement brutal de carriere nous fait donc un point commun n'est ce pas ? Quoi de mieux que pour nous entendre ? J'en avais marre de vivre dans le passer. Et je voulais juste etre au coeur de l'action avec cette entreprise. Puis pour votre cuisine... Je suis pret a prendre le risque !

Lorsque je lui parla de sa cuisine je lui fit un petit clin d'oeil avec un leger sourire en coin. De quoi un peu mettre un peu d'ambiguité dans mes paroles et détendre l'atmosphere. C'est alors que j'attaquais mon dessert et me dit alors que ca serait bien si par la suite ils continueraient a faire connaissances en buvant un verre avant de prendre serieusement le travail en main. Cela ne pouvait qu'accoitre sa popularité dans sa future entreprise ! 

- Que direz vous, par la suite, qu'on aille retourner dans mon bureau boire un verre de mon bar personnel ? Je préfère qu'on se tisse un lien solide avant de commencer les choses sérieuses. Si on se connait mieux alors le travail n'en serait que du plaisir ! Je n'aimerais pas que mes employés aient la boule au ventre en venant ici.

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Sam 28 Juin 2014 - 15:21
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Rosanna acquiesça paisiblement quand il affirma n’avoir que peu vécu dans son pays d’origine. Il connaissait donc surtout ce pays-ci et c’était la même chose pour le reste de sa famille. Il s’étaient donc tous accoutumés à cet endroit sans le moindre souci, supposa-t-elle. Elle avait encore parfois du mal à s’y habituer. Par exemple, pour pouvoir faire des études ici, il faut avoir de gros moyens contrairement à la France où certaines écoles supérieures sont accessibles à tous les publics. Heureusement pour elles que les deux sœurs venaient d’un milieu aisé sinon Kendra n’aurait pas pu continuer à faire des  études. Ce qui surprend aussi à New York, c’est à quel point la ville est toujours pleine de vie : il y a toujours du monde dans les grandes rues. Et ce qui l’avait le plus surpris ce sont ces vendeurs des boutiques qui vous demandent si vous allez bien, une question qu’elle n’avait pas coutume d’entendre en France dans les magasins excepté quand vous êtes un client habituel. Ici, la vie est bien plus dynamique. Bizarrement, malgré son côté fermée, Rose appréciait tout ces détails. Elle posa sa fourchette et s’arrêta de manger un instant. Oui, elle avait changé de carrière de façon assez radicale mais elle trouvait nécessaire de le faire. Elle ne pouvait pas reprendre un chemin similaire à celui qu’elle avait pris auparavant et c’était l’occasion de changer : elle n’aimait pas quand tout devenait trop routinier. Elle comptait prendre un autre chemin et celui-ci incluait une carrière différente.  Elle n’avait plus le même combat non plus d’ailleurs : maintenant cela incluait les mutants, avec qui on ne pouvait pas prévoir les actions contrairement aux criminels de bases. Là ce n’était pas une simple balle que vous risquiez de recevoir, certains dons sont vraiment démesurés.  Elle soupira négligemment en évitant de penser trop à ces détails. Elle reporta ces réflexions sur sa cousine, pour évincer le reste. Alessa n’avait pas donné de nouvelles depuis que les deux jeunes femmes étaient allées en Amérique et pourtant, elles étaient assez proches. Rose lui avait laissé un mot avant de partir, elle lui avait ensuite envoyé un mail avec ses coordonnées et son numéro de téléphone mais aucune réponse. La jeune Livingstone écoutait toujours les propos de son patron ne pouvant qu’être d’accord avec ce qu’il lui disait. Elle ne voyait cependant pas comment embrayer la conversation par la suite. Elle avait négligemment attrapé la chaîne qui pendait à son cou et jouait avec pendant ce temps mais sa dernière phrase la fit revenir à elle directement. Est-ce qu’il ne la croyait pas quand elle disait qu’elle était une catastrophe dans la cuisine ? C’est vrai que parfois on dit ne pas être doué pour un domaine par simple modestie mais non, Rosanna était un vrai danger comme cuisinière.  Elle l’observa un instant et son clin d’œil, la fit hausser un sourcil même si elle gardait son sourire précédent. Elle n’allait pas lui en vouloir de se montrer malin alors qu’elle lui aurait volontiers reproché son côté un peu coincé précédemment mais elle ne savait plus trop sur quel pied danser du coup. Elle préféra en rire doucement même si au fond, ce n’était pas si risible que ça quand on savait les dégâts qu’elle pouvait causer. C’était plutôt désespérant et d’ailleurs Kendra refusait toujours qu’elle mette les pieds dans la cuisine alors quand sa cadette était pas là, elle commandait ses repas. Cela peut paraître riddicule mais ça évite de gros souci. Elle finit par essayer d’être moins froide en parlant avec lui mais elle avait du mal, parce qu’elle aussi mettait des barrières à ne pas faire tomber.

- Dans un sens, ce n’est pas plus mal pour vous. Avec mes habitudes françaises, je fais parfois des bourdes. Parfois même en conversant même si je maîtrise bien la langue.  Les changements sont parfois bénéfiques. Oui cela nous fait un point commun…

Et à son avis, il n’en avait pas qu’un seul des points communs. Certains traits de son caractère pouvaient parfois ressembler à ceux qu’elle possédait et puis avec qui n’a-t-on rien en commun ? On dit souvent ne pas s’entendre avec des personnes avec qui on ne possède pas d’atomes crochus mais en général, si on creuse bien on finit par trouver des détails ou passions en commun. Au moins une. Rosanna but un peu d’eau avant d’aborder le sujet qui « fâche ». Disons qu’elle ne savait pas trop si elle devait en rire ou désespérer. Elle préféra la première option et tenta de garder un ton léger.

- Mais je suis sérieuse et je doute que vous vouliez réellement prendre le risque monsieur. La cuisine c’est presque un interdit pour moi.

Elle posa ses mains sur la table, elle n’avait d’ailleurs pas pris de couteau à table. Elle n’en avait pas eu besoin pour ce repas-ci, sinon elle faisait attention. Elle regarda son plateau et pris quelques grains de raisin, elle les fit tourner un peu entre ses fins doigts et les mangea. Elle savait que les fruits, elle pouvait les manger sans crainte aussi et ça l’apetissait un peu plus que le plat de résistance. Néanmoins, elle aurait pu s’étouffer avec un grain en l’entendant parler ensuite. C’était certes très agréable de discuter avec lui mais ils divergeaient sur un point énorme : lui préférait tisser « un lien solide » avec ses employés, elle préférait justement ne pas créer un lien qui puisse mettre en péril son travail. Sauf qu’il était totalement impensable qu’elle lui dise qu’elle refusait de jouer le jeu. Elle se mordit le creux des joues brièvement et continua de se venger sur le raisin.

- … Comme vous le désirez, monsieur. Votre vision des choses me surprend juste un peu en réalité mais c’est vrai que venir la boule au ventre au travail s’en ressent aussi dans la qualité du travail par la suite…









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Sam 28 Juin 2014 - 17:23
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
La conversation, dans sa globalité, changeait doucement de cap... Ca devenait de moins en moins droles et je sentais que tout cela tournait un,peu au vinaigre dans sa tete. D'abord elle se braquait sur la cuisine alors qu'il n'y avait vraiment pas de quoi s'en faire. Cela en devenait vriament ennuyeux alors je tournais le regard, sans doute suis je trop familier ? 

Lorsqu'elle repris le sujet sur le changement de pays je pensais qu'elle n'avait pas vraiment tord. Il est vrai que la langue humaine pouvait etre complexe et que cela était presque ennuyeux d'en apprendre une nouvelle. Mais j'ai vécu dans les bases de quasiment toutes les langues de cette terre avec le latin. J'ai connu toute ses dérivent ainsi que les langues actuelles et cela me faisait bien rire lorsque je voyais les petits détails ridicules qu'ajoutaient toujours les francais. Mais peut importe pour moi, car la sorcellerie faisait en sorte que je sois compris de tous, meme des plus abrutis sur terre.  Ce fut d'ailleurs de cette maniere que mon Pere avait pu se faire comprendre des Allemands durant son premier combat contre les Avengers. Enfin bon je souriais a sa phrase sans dire un mot... 

Puis vint surtout le coup de la cuisine ou je lisais en elle qu'elle était presque sur la défensive mais avec ses bonnes manieres cela ne se voyait pas. Alors je fis un petit soupir en souriant et essayant. Garder ma bonne humeur, il ne fallait pas que je la tue devant tout le monde voyons. 

- Bien. Comme vous voulez, mais a charge de revenge.

Et voila encore un mauvais pas de travers pour ma part dans la suite de notre discussion. Elle ne voulait pas tisser de lien et rester professionel ? Bon ok comme elle le voulait alors... On ne parlera que de travail. Surtout si cela la perturbée autant pour la suite des événements. Alors je fis semblant de rire a sa remarque, c'est vrai que hors contexte c'était mignon de la voir aussi perdue. La nature humaine était surprenante. 

- Oh si vous etes une bourreau du travail il n'y a pas de probleme ! On commencera tout de suite.  

Continuant alors ma fausse bonne humeur je me leva et alla poser mon plateau ou il le fallait et alla retourner a mon burreau en attendant Rosanna. Entrant pour de bon dans le burreau et fusillant du regard tous ceux qui osaient se dire quelque chose de travers sur nous je lui tendis le bras afin de la faire entrée en première. Allant directement au bar je fis chauffer de l'eau pour me faire une tasse de thé et resta proche des boissons en me tournant vers l'humaine. 

- Vous souhaitez quelque chose ? Personnellement j'ai un petit faible pour le thé... Allez savoir pourquoi ! Mais au moins vous savez qu'il ne faudrapas me proposer du café a l'avenir.  

Oui car sait on jamais, il y avait toujours ce clicher de la secretaire apportant du café pour son employeur, une image que je trouvais assez dégradante pour ce travail alors je rajoutais afin de la rassurée. 

- Mais vous, vous aurez trop de travail pour ca. Je me chargerais moi même d'embaucher spécialement pour mon thé ! Dis je avec humour, ou du moins j'essayais !

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Sam 28 Juin 2014 - 19:24
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Rosanna avait compris qu’elle ne devait pas aborder le thème de la solitude avec lui mais elle aussi possédait des sujets plus ou moins sensibles. Bon en réalité, il y en avait des tas sauf que les plus sensibles, elle les enfermait dans un placard à double-tour et elle évitait même de laisser remonter ses souvenirs-ci à la surface. Elle se portait nettement mieux sans eux pour lui pourrir l’existence et au moins, elle pouvait garder la tête haute aujourd’hui. Chacun a son passé et celui-ci doit rester quelque chose appartenant au passé. Tout cela n’était jamais évoqué mais elle avait tout de même des sujets à ne pas aborder. Disons que ce n’est pas interdit d’en parler mais ça l’a met simplement mal à l’aise. Elle n’avait pas l’intention de le froisser en lui disant les choses de la sorte mais elle avait tendance à devenir extrêmement froide quand on lui parlait de certaines choses. Voilà encore une raison qui la poussait à ne pas vouloir mélanger travail et personnel : disons que dire les choses comme elles le sont  à un ami ça passe et généralement il comprend mais faire la même chose avec son patron, il vaut mieux prendre des gants. Pas sûr que cela soit suffisant non plus d’ailleurs. Elle ne le connaissait pas suffisamment pour juger mais elle aurait parié qu’il avait changer dans son attitude et s’il gardait aussi bien ses bonnes manières qu’elle se serait imperceptible. Rien dans ses gestes non, elle avait juste jeté un coup d’œil à son regard pour croire y voir une différence mais parfois, elle était un peu paranoïaque alors elle ne chercha pas à démêler le vrai du faux et se contenta de faire au mieux. Elle acquiesça et passa machinalement une main dans ses cheveux.

- Navrée, ce n’est pas contre vous. A charge de revanche, bien…

En dehors de son travail, elle n’était pas aussi à cheval sur l’importance de garder les distances. On ne pouvait pas dire qu’elle soit merveilleusement sociable mais elle était bien moins réservée qu’actuellement. Avant qu’elles ne viennent ici, Rosa avait passé du temps dans une troupe de théâtre pendant un an pendant sa deuxième année de fac. C’était un peu comme une seconde famille dont elle avait parfois des nouvelles par le biais d’internet. Elle rencontrait des tas de personnes mais elle n’y attachait pas d’importance parce qu’elle savait que cela n’empièterait pas sur ce qu’elle faisait dans la vie. C’était ça le grand avantage dans les relations externes. Elle savait qu’elle pouvait s’en défaire à tout moment, même si c’était cruel, dur,  injuste. Elle pouvait les évincer, les tenir à l’écart. Elle pouvait montrer un autre visage et elle ne s’en souciait pas. La jeune femme finit le dernier grain de raisin et regarda l’heure à sa montre tandis qu’il lui répondait après la remarque qu’elle avait faite. Elle se frotta péniblement la nuque, lissa sa jupe par habitude,  avant de récupérer son plateau, manquant de faire tomber son verre, qu’elle rattrapa de justesse. Décidément, il fallait qu’elle fasse un peu plus attention à ce qu’elle disait. Une bourreau de travail ? Oui… c’était peut-être bien le cas puisque ses anciens collègues lui en avaient déjà fait la remarque. Elle déposa le plateau en soufflant. Bon en temps normal ce n’était pas un mal puisqu’elle était plutôt efficace mais il lui arrivait de dépasser les bornes. Il y a bien eu une fois où elle s’était pris une balle dans l’épaule, rien de bien grave mais on lui avait dit de se reposer et elle en était totalement incapable. Elle n’avait qu’une hâte : reprendre son travail. Généralement, elle était le genre de patiente à l’hôpital que les médecins détestent avoir… Finalement cette image la fit rire quand elle retourna sur ses pas mais cette fois, elle ne commenta pas les paroles du jeune homme. Evitons de faire d’autres bêtises mais les employés qu’elle avait croisés devaient la prendre pour une cinglée à rire toute seule. Rosanna entra quand il lui fit signe et le laissa faire chauffer son eau. Elle pencha un peu la tête sur le côté quand il parla de thé et laissa s’installer un sourire chaleureux. Elle préféra le dire sur un ton suffisamment délicat pour ne pas avoir besoin de rajouter les politesses de bases. Elle essayait.

- Un thé également, dans ce cas.

Niveau boisson, excepté le lait, qu’elle ne touchait pas. Elle buvait de tout mais elle avait eu droit à une sacré leçon sur le thé par sa mère quand elle était plus jeune. Sous prétexte que comme ils possédaient un nom à consonance britannique, ils devaient avoir quelques racines anglaises, bien qu’eux soient français. Rosanna n’avait jamais pris la peine de remonter son arbre généalogique mais cette anecdote l’avait toujours amusée : sa mère était parfois un peu superficielle. Il n’empêche qu’en famille, ils buvaient souvent le thé au goûter et cela lui rappelait donc sa famille. Ce qui n’avait rien de désagréable. New York fourmillait en revanche, d’américains accros à leur café du matin, comme en France sauf que ces derniers ne les emportaient pas dans des mugs gigantesques pour les boire au bureau.

- Vous auriez pu apprécier les deux après tout. Il faudrait que vous buviez beaucoup de thé pour que ce la devienne un potentiel poste à pourvoir…  rétorqua-t-elle en riant doucement. Dommage qu'ici ne soit pas le pays le plus approprié à cette boisson.  









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Sam 28 Juin 2014 - 23:45
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Cette femme etait une enigme pour moi... Je ne savais pas vraiment comment la voir et pourtant je lisais en elle ! Elle semblait mauvaise, gentille et niaise et encore aussi tres intelligente a la fois. C'etait perturbant de parler a une personne dont on peut lire les penser mais qu'on arrive pas a cerner. Je ne savais pas ou mettre les pieds. Pourtant elle semblait etre sincerement souriante, c'etait tres etrange.  Mais une chose est sure c'est qu'elle ne voulait pas mélanger sa vie privée et le travail. Chose honnorable certes. Mais pas necessaire car je pouvais lire en elle et forcement il y aura toujours un carrefour entre sa vie profesionnel et sa vie privée et je serais forcément le centre de ce croisement. 

Plus je discutais avec elle plus j'avais le sentiment qu'elle serait une piece maitresse dans mes recherches et qu'elle sera aussi la premiere a qui j'autoriserais l'evolution en Jotunheim. Si seulement Mere la voyait... Alors elle approuverait mes choix. En revanche je ne pense pas que Pere puisse apprécier que je souhaite faire des humains des hommes de glaces. Mais il n'a jamais aimer sa véritable nature alors je ne vois toujours pas pourquoi il accepterait mon choix. Contrairement a lui, moi j'etais fier de ce que j'étais. 

Comme je le disais, meme en lisant en elle je ne savais pas comment prendre ses mots... Alors je confirmais sa phrase sur mon affirmation d'une potentielle revanche tout en souriant. Par contre je ne comprennais toujours pas pourquoi elle souriait et riait autant... En quoi tout cela etait il drole ? Je n'en voyait pas le bout non. Alors juste apres lui avoir proposer du thé je l'interrogea. 

- Dites moi, qu'est ce qui vous rend si joyeuse depuis la fin de notre repas ?

Je me posais reellement la question et tentait de lire en elle pour en savoir plus. Puis vint alors sa remarque sur le fait qu'il fallait que je sois vraiment un accroc au thé pour promouvoir un poste directement. Et cela me fait extremement sourire puis je l'observait avec taquinerie. 

- Seriez vous deja jalouse d'une potentielle seconde secretaire ne serait ce juste pour du thé ? Je peux tres bien vous laissez le faire si ca peut éviter que vous vous battiez avec une autre, meme si cette vision ne déplairait pas pas mal d'hommes... !  

Je riais sincèrement a cette scene. Il est vrai que c'etait drole de voir des femmes se battrent pour un homme et je trouvais surtout cela tres pathétique alors bon ! Ca rabaissait énormément la grace féminine qui n'avait pas besoin de ca. Je suis peut etre un Dieu ayant un tres grand égo mais je n'étais pas un macho. Alors je n'était pas friant des femmes soumises... Surtout que j'idolatre toujours la beauté et la puissance de femmes comme ma mere, ma soeur ou meme mes tantes.

Revenant doucement vers mon bureau avec les deux tasses de thé je lui offrit la sienne en la posant délicatement devant elle.

- Alors, est ce que vous vous en sentez capable ? Je veux dire par la, seriez vous capable d'endurer ce lourd secret ainsi que le garder pour vous et ne pas en parler a vos proches ou meme votre soeur ?

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Dim 29 Juin 2014 - 15:34
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Combien de fois avait-elle entendu que le sourire est une arme ? Ce n’était pas faux. A défaut de désarmer un ennemi, il vous force surtout à rester joyeux. C’est comme ces exercices où l’on vous force à simuler un rire : ça paraît débile mais oui, ça libère réellement. On finit par se convaincre soi-même et si seulement c’était contagieux…Si Rosanna souriait autant c’était parce que ces souvenirs devaient rester en sommeil, que d’autres souvenirs l’amusaient,  parce qu’elle préférait garder un visage serein et  aussi parce que ça, ça ne l’empêcherait pas de rester professionnelle.  Les choses n’ont pas besoin d’être drôle pour nous tenir de bonne humeur. Alors quand il lui posa la question, elle l’observa : apparemment il se posait réellement la question même si elle estimait que ce n’était guère important à savoir. Néanmoins elle allait lui répondre du mieux qu’elle le pourrait. Ce n’était pas aussi simple que cela d’expliquer ce qui vous met de meilleure humeur qu’avant. Plusieurs détails ajoutés parfois suffisent quand on apprend à les repérer. D’un point de vue extérieur ça devait certes être étrange de la voir changer de comportement. Peut-être aussi était-elle légèrement moins stressée que ce matin, mine de rien. Le fait qu’elle ai mangé un peu aussi devait y être pour beaucoup. Rosanna pinça ses lèvres avant de répondre, ne sachant pas ce qu’il allait penser.

-  Disons que la pause-déjeuner m’a fait du bien et un souvenir m’est revenue en mémoire, ça… m’a fait sourire.  Cela vous paraît bizarre ?

Il lui arrivait d’être légèrement lunatique mais heureusement, ce n’était pas violent chez elle. Elle avait juste plus ou moins d’énergie à revendre dans la journée. Cela venait et repartait par vagues. Il fallait peut-être qu’elle tente tout de même de les contrôler un minimum mais elle oublia très vite cette idée quand ils en vinrent à parler de thé. Rosa avait juste tenté de jouer le jeu un peu plus que précédemment mais elle ne s’attendait pas à ce qu’il réponde également. En fait, si elle le surprenait à être si joyeuse soudainement, lui la surprenait souvent par ses réactions. Elle n’arrivait pas réellement à comprendre comment il fonctionnait. Elle ne pouvait pas anticiper ses réactions à ses propos et c’était parfois un peu déroutant de le voir avec ce côté « malicieux ». Ce qui l’ennuyait un peu, c’est qu’en temps normal, elle était assez joueuse mais là, elle était sur un lieu de travail et pour elle, difficile d’être si légère. Déjà, il y a plein de petits détails qui devaient faire se retourner ses parents dans leur tombe et elle préférait évincer tout cela de ses pensées. Inimaginable de parler de quelque chose de la sorte, voyons ! Elle était un peu perdue dans ce nouvel univers qu’elle ne maîtrisait pas du tout. La jalousie… encore quelque chose qu’elle évitait d’insérer dans le domaine professionnel mais elle l’avait déjà été car elle était possessive. Elle n’avait pas trop aimé que Kendra se rapproche de cette fille avec qui elle pratiquait la danse alors qu’elle s’éloignait d’elle mais Rose s’était reprise. Oui, encore et toujours sa sœur. Avec les autres, elle n’était pas aussi protectrice ou disons surtout qu’elle l’était moins avec toute ces histoires actuelles. Quant à se battre avec une autre femme, elle n’avait jamais compris ce qui plaisait aux hommes là-dedans mais la nature humaine est complexe de toute façon. En plus, elle détestait se prendre la tête avec les autres et autant dire que si telle était le cas, il vaudrait mieux que cette personne soit plus qu’une simple secrétaire pour survivre. Avec son ancien boulot dans la police autant ne pas lui chercher des noises. Elle haussa les épaules, toujours souriante.

- Oh non ça ne risque pas. Vous pourriez embaucher une autre femme. Ajouta-t-elle d’un ton léger.  Ne comptez pas sur moi pour amuser la galerie ! Vous seriez fort déçu !

Elle le remercia pour la tasse de thé qu’il posa à son intention et elle déposa son sac contre le bureau. Elle écarta une mèche blonde de devant ses yeux et réfléchit un peu même si elle savait pertinemment ce qu’elle allait lui dire. Oui, bien sûr puisqu’elle avait signé. Elle aurait bien fait de l’humour noir mais en fait elle était à-demi sérieuse sur sa dernière phrase.

-  J’en suis parfaitement capable et si j’avais eu un doute, je ne me serais pas engagée ! Je sais me taire, ma sœur ignore déjà pas mal de choses… mais je comprends qu’il soit délicat de croire au silence d’autrui. Et je compte rester en vie encore quelques temps aussi …









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Dim 29 Juin 2014 - 17:04
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Ses pensées disaient vrai, le sourire chez l’être humain pouvait être une arme. Mais personnellement je ne souris pas pour un rien. Et je n’ai redécouvert que très peu la notion du plaisir alors le sourire c’était encore quelque chose de vraiment très abstrait. Puis quand bien même je connaissais bien la chose, vous me voyez moi sourire comme ça sans raison ? Sauf si bien sur mes projets venaient à voir le jour… la oui ! Enfin je ne pense pas que les humains apprécieraient ce genre de choses…

Par contre sa question me paraissait un peu étrange, bien sur que oui cela me faisait bizarre. Mais sans doute que dans la coutume humaine c’était tout a fait normal de garder le sourire afin de ne pas perdre espoir ? Je ne sais pas vraiment comment marche les humains. Il est vrai que leurs existences n’était pas des plus appréciable. Personnellement je ferais tout pour ne pas devenir comme eux. Ce sont des être des plus inférieurs ! Alors je me disais qu’il fallait que je fasse semblant de trouver ca normal, enfin c’était l’impression qu’elle me donnait.

-Oh non … Je me posais simplement la question. Cela fait du bien d’avoir quelqu’un de souriant proche de sois.

Oui je l’avoue c’était un mensonge car dans le fond je haissais les gens comme ça. Mais qu’est ce que je pouvais bien faire ? Je ne pouvais pas me montrer sous ma véritable personnalité et toutes ces histoires de ‘’rester cacher pour survivre’’ était d’un ridicule. Avec ma puissance je n’avais pas vraiment grand-chose à craindre des humains… Mais si Père le voulait alors je me devais de suivre ses directions. Puis il avait déjà connu la défaite en montrant sa véritable apparence alors …

En revanche la suite de ses pensées devenaient des plus ennuyantes… Sa sœur, sa sœur et toujours sa sœur. Et beh si moi je penserais autant à la mienne alors je me ferais un énorme souci ! Mais un point qui m’amusait c’était sa possesivité et sa jalousie serait un bon moyen de faire passer le temps. Puis apparement dans sa phrase je vis qu’elle avait très bien comprise la notion du danger de mort qui peser sur la tete de tous mes employés. Cela me fit sourire lorsque je bus dans ma tasse et je l’observait en coin. Reposant délicatement la porcelaine sur sa soucoupe je lui répondis au tac au tac.

-Dans ce cas vous vivrez longtemps et heureuse croyez moi ! Comme je vous l’ai dis, je prend soin de mes employés. Pour ce qui est du travail en lui-même, je vous ferais envoyer par mail la liste de tous les personnes se rattachant à notre partie politique et qui travail dans le domaine de la médecine. Après bien sur il se peu qu’on ne puisse pas avoir le compte exact de nos postes venant de la Purge… C’est pour ça que je vous enverrais également la liste des plus grands médecins et chercheurs de renoms ainsi qu’avec mes petits favoris dans cette liste. Pour ce qui est des employés qui ne partageraient pas notre avis je me charge de les recruter moi-même, je pense que je saurais mettre les mots qui les feraient changer d’avis.

Sortant alors une boite de sucre d’un de mes tiroirs j’en ajoutais un dans ma boisson car je la trouvais un peu trop fade. Puis je mélangea doucement et en repris une gorgée avant de reprendre.

-Ceci dit je vous fait confiance pour le moment, alors ne gachez pas cela. Et est ce que vous souhaitez faire profiter votre sœur de vos avantages ? Votre soeur pourrait avoir une meilleure école et plus proche de vous également, ainsi qu’un meilleur logement à moindre cout. Il faut que je sache afin de passer quelques coups de fils dans les plus bref délai.

Oui je ne voulais pas la laisser partir et c’était un moyen d’avoir le contrôle sur la vie de mes employés et surtout pour l’avoir toujours à porter de main.

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Dim 29 Juin 2014 - 21:09
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


Rosanna commença à jouer de ses doigts avec la anse de son sac jusqu’à ce qu’elle le dépose contre le bureau. Elle n’était comme cela : non pas nerveuse, mais hyperactive et elle ressentait sans cesse le besoin de s’occuper pendant qu’elle conversait avec quelqu’un. Ne le prenez jamais comme un signe d’ennui, elle essaie de se retenir mais au bout d’un moment, elle finit par trouver un moyen de jouer de ses mains. C’est comme sourire en fin de compte, elle pouvait rester longuement posée mais elle finirait toujours par sourire, elle était comme cela. Il fallait s’y habituer. Pas en permanence car elle aurait des sacrés crampes aux mâchoires mais quand elle était un peu plus à l’aise, alors elle avait l’air un peu plus joyeuse. Elle lui avait donc demandé s’il trouvait cela étrange mais elle n’attendait pas vraiment de réponse de sa part parce que s’il lui avait dit que oui, elle aurait quand même continuer à afficher cet air calme et souriant. Bon au travail, c’est tout simplement parce qu’elle ne va pas tirer la tête tout le temps à son patron non plus… En dehors, ça sert parfois à manipuler les autres et croyez-le c’est parfois utile quand on est une femme et qu’on est humaine dans un monde en perpétuel changement. Et puis quand elle ne souriait pas les gens avaient toujours cette tendance horrible à demander si elle allait bien : au bout d’une demi-douzaine de fois dans la journée, ça devient très agaçant. Et quand ça ne va vraiment pas ? Pas en compagnie des autres, si elle peut l’éviter : elle ne supporte pas qu’on lui tapote pathétiquement l’épaule en disant que ça va s’arranger. Ça ne fait jamais avancer les choses et au final tu surmontes tout, tout seul. Alors autant sourire, au moins on ne vient pas vous embêter… en général ! Si elle était bizarre alors lui l’était d’autant plus. S’étant finalement assise cette fois, elle s’amusa sur le rebord de sa tasse avec ses ongles vernis. Elle avait assuré savoir garder un secret même pour ceux qui lui était le plus proche et pour tout dire, cela ne lui était pas du tout compliqué vu qu’elle avait déjà des secrets dont elle n’avait parlé à personne pour le moment puisqu’elle n’estimait pas que ce soit nécessaire, parce qu’elle n’était pas prête ou bien parce qu’ils ne devaient pas être dit tout simplement. Rosa était une femme qui ne s’épanchait pas vraiment sur les détails les plus importants de sa vie alors pourquoi irait-elle conter les affaires des autres. Ce qu’elle faisait n’impliquait qu’elle et les personnes faisant partie du projet.  Pendant qu’il faisait son discours, elle en profita pour boire son thé par petites gorgées, l’écoutant sans vraiment le regarder. Vivre longtemps avec ces histoires de mutants, oh, ce n’était pas bien garanti… pour ce qui est d’être heureuse : elle se débrouillerait sans problème. Qu’il prenne soin de ses employés était une bonne chose mais on ne peut pas garantir ces deux choses. La vie n’est pas entièrement gérée par le travail. Pour les méthodes de travail, elle n’avait rien à redire là-dessus. Elle déposa la tasse à ses derniers mots tandis qu’un frisson parcourait son échine : « les mots qui les feraient changer d’avis ». Autrement dit, du chantage, non ? Enfin c’est ce qu’elle comprenait mais elle n’allait pas contredire ses méthodes. Il faisait comme bon lui semble et elle n’avait pas son mot à dire là-dessus.  Elle n’avait pas le temps de commenter de toute façon, qu’après une courte pause, il reprit ses propos. Elle s’était brièvement arrêté sur le sucre, l’avait observé faire et puis avait recommencé à faire le tour de la tasse de ses doigts. Elle opina : il lui faisait confiance parce qu’il faut bien faire confiance à quelques personnes au départ et un minimum pour faire fonctionner l’entreprise. De toute façon, elle n’avait pas l’intention de « gâcher » cela de toute façon. Elle l’écouta patiemment parler d’avantages mais cette partie l’ennuyait profondément. Il avai tellement parlé qu’elle essaya de son mieux de reprendre les sujets points par points.

- Bien, mais il faudra que cela reste sur le réseau interne de l’entreprise. Je pense pouvoir sélectionner des profils adaptés, ne vous en faites pas, seulement je pense que c’est nécessaire de sécuriser les données monsieur. Il faudra que je sache combien de personnes en tout. … Bien je vous laisserais voir les plus récalcitrants je suppose.

Elle attrapa la tasse et but doucement une gorgée de plus. Maintenant abordons le sujet de l’école et du logement. Il fallait bien en venir à cela. Elle ne comptait pas profiter de tout cela, elle n’en avait pas besoin.

- Je pense que ma sœur est très bien dans son établissement actuel vu que c’est elle qui a insisté pour se trouver dans cette université.  Pour le reste, je vous remercie de me le rappeler, mais … pour tout vous avouer, je n’ai pas le besoin de travailler concrètement. J’en avais l’envie et donc je subviens aisément à mes besoins monsieur.

Alors non, elle ne comptait pas céder à des avantages qui lui importaient guère et de toute manière, elle n’aimait pas l’idée que ce soit simple comme cela. Rosanna finit sa tasse de thé, changeant la position dans laquelle elle s'était installée et l’observant.









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Lun 30 Juin 2014 - 1:58
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∞ jouer les humains... Ridicule.

rosanna.  & jörmungand



 
Une femme forte, tres forte psychologiquement. Au point ou je cru parfois qu'elle me parlait dans ses propres pensées mais non. Ceci etait tout bonnement impossible. Tout ce que j'avais a faire c'etait de continuer la conversation et faire en sorte qu'elle se plie a mes recommandations. Mais ce n'était pas une chose facile. Tout d'abord elle semblait perturbée par ce que je pourrais faire a ses futurs collegues, ce qui ammena dans la logique de sa demande de prendre seulement des gens venant du milieu de la Purge, mais les meilleurs étaient quasiment deja pris par les laboratoires de la Purge qui étaient diriger par des humains ne sachant pas quel chemin prendre pour la reussite de la suite des opérations. Donc il me fallait des profesionnels, pas des amateurs ! 

Mais lorsqu'elle frissonna a l'ecoute de mes capacités de persuation je ne pu retenir un leger coup d'oeil discret vers elle et de sourire doucement et silencieusement derriere ma tasse de thé. Cela m'amusait de voir une humaine comme elle avoir peur de ses prochains. Mais c'était facheux car il se pourrait que bien plus tard nos tests se fassent sur des humains, plutot que sur des souris alors a ce moment la... Il fallait qu'elle me suive ou qu'il puisse aller ce projet ! Mais pour le moment il lui fallait des reponses. Alors je lui en donna. 

- Pour la sécurité je pensais vous donner totalement le quartier libre pour l'agence et le dispositif de sécurité pris pour le batiment, vous avez sans doute plus d'expérience dans ce domaine la. Pour ce qui est des employés on commencera avec un effectif d'une  trentaine de personnes, plus tard on developpera une fois qu'on creera un lien entre ces premiers employer. Cela me permettrais de voir les vilains petits canards....

En revanche je dois avouer que la reponse a mes attentes sur l'ecole de sa soeur ne me plaisait guere... Je ne lui fis rien paraitre mais au fond, rien que pour ce désaccord je l'avais tuer une dizaine de fois deja. Alors il me fallait etre plus sounoir, plus malin pour parvenir a mes fins. Pourquoi me faire ami avec cette Kendra ? Non ... Cela serait presque de l'ordre de l'impossible alors je me devais d'abandonner cette idée. 

Puis c'est vrai que le passer de cette femme etait tres riche en terme de biefamilliaux alors elle ne devait pas vraiment avoir besoin d'un logement moins couteux. Mais ceci je ne le comprennais pas d'ailleurs. Car personnellement je trouve que la vie humaine est chere et qu'elle méritait qu'on accepte ce genre de proposition. Mais soit ! Si tel etait son désir, je ne pouvais aller a son encontre ! Je ne m'en formalisa pas et tenta de lui repondre entre deux gorgées. 

- Pas de probleme alors. Sachez que je suis la si le besoin s'en ferait sentir.

J'avancais par la suite le paquet de sucre vers elle en lui faisant signe qu'elle pouvait se servir. Il est vrai que j'en avais oublier cette petite politesse et fis vite en sorte d'oublier tout cela en reprennant. 

- J'ai pensé également a faire signer un contract un peut particulier a mes employés. Du genre a ce qu'ils acceptent de tout perdre si ils sont coupable d'une quelconque fuite... Non ?

"Tout perdre", j'entendais pas la que c'etait le seul moyen pour dire aux oreilles humaines que je les turais. Sinon j'aurais les média aux fesses et deja que Pere les attirent comme des mouches... Moi je ne voulais pas de ce genre de choses. Donc je me devais de proteger mon projet a tout prix. Je souriais alors doucement a Rosanna, histoire de ne pas lui donner d'indice sur le vrai sens de mes mots et la laissa répondre a sa guise. 

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Lun 30 Juin 2014 - 13:49
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Jörmungand & Rosanna

"Le travail, c'est la santé." N'empêche que j'en doute fortement parfois.


S’il y a bien une chose qu’elle ne tenait d’aucun de ses parents, c’était bien son côté débrouillarde dans le domaine de l’informatique. En réalité, elle s’était passionnée toute seule pour ce domaine et avait appris les bases en autodidacte. Ensuite, elle avait poussé son savoir par simple curiosité, jusqu’à comprendre comment fonctionnent les réseaux et jusqu’à être capables de choses peu légales. Bien évidemment, elle ne se servait pas de cette partie-ci en général mais elle en était capable. Du coup, s’occuper de la sécurité ne devrait pas être un problème pour elle, notamment en ce qui concernait la sécurisation des données alors elle acquiesça, se promettant de se charger de tout cela avant de faire quoi que ce soit d’autres, histoire que rien ne filtre en dehors. Elle saurait faire mais ce n’était pas tellement dans le rôle de secrétaire, de s’occuper de ce genre de détails à l’origine. Tout cela ne la dérangeait pas, elle l’écouta tant qu’il n’avait pas fini et nota pour elle-même le nombre de personnes à rallier à l’entreprise. Et ensuite, les autres suivront ! Une trentaine de personnes ? Il faudrait rapidement les réunir mais c’était largement faisable alors elle sourit légèrement. Pour ce qui est de ce qui ne serait pas à la hauteur, il avait raison : il verrait très vite les personnes à évincer. Elle se doutait pleinement qu’il ne vaudrait mieux pas être à la place de ses derniers mais dans un sens, ce seraient eux qui auraient voulu être là. Il faut assumer ses choix… Rosanna attendit de voir s’il avait fini de parler pour à son tour prendre parole :

- Concernant la sécurité, ce sera protégé et si jamais quelque chose sortait de l’entreprise, ce serait crypté. Cela vous convient-il ? Je me plongerais dans ces listes de potentiels employés, une fois que le réseau sera sûr. Bien… ce serait préférable d’éviter dès le départ d’avoir de mauvais éléments.

Mais évidemment, il y en avait toujours malgré l’acharnement que l’on pouvait mettre à sélectionner les gens de notre mieux. Avec un peu de chances, le chiffre serait assez réduit. Rosanna était relativement exigeante dans l’univers professionnel alors il était probable qu’elle fasse attention aux personnes qu’elle relève dans ces listes. Elle chercherait les détails et tout cela ne l’inquiétait pas vraiment parce que faire son travail en profondeur lui paraissait très naturel. Elle avait redressé sa posture quand ils avaient ensuite commencé à discuter de ce que pouvait offrir le métier et elle n’avait pas bien compris son insistance : car il lui avait déjà posé la question à la signature du contrat. Insistait-il au cas où elle n’oserait pas ou bien était-ce plutôt pour autre chose ? Ce détail ne lui plaisait pas trop et elle le regarda fixement les sourcils froncés, avant de se radoucir en se disant qu’elle était paranoïaque. Elle stoppa de jouer avec la tasse manquant de la renverser et soupira devant sa maladresse qui n’apparaissait jamais au bon moment. Heureusement, elle rattrapait avant de casser quelque chose. Rosa croisa finalement les mains et les garda sur ses cuisses plutôt que de faire de nouvelles sottises tandis qu’il concluait le sujet.

- C’est entendu monsieur.

Elle n’avait rien à rajouter à cela. Elle avait bien compris ce qu’il voulait dire mais elle se refusait à dépendre de son travail de la sorte et il ne pouvait décemment pas l’y obliger. Rose avisa le paquet de sucre et déclina poliment. Elle ne mettait jamais de sucre dans le thé, ni dans du café d’ailleurs, c’était pour cette raison qu’elle avait observé la boîte. Parce qu’elle n’aimait pas ce qui avait un goût trop sucré. Question de goût. Elle écouta attentivement ce qu’il ajouta à propos d’un contrat visant à protéger l’employeur plus que l’employé. Un moyen de se dédouaner certes mais cela la fit doucement sourire car il lui demandait clairement ce qu’elle en pensait et elle avait déjà une image bien dessinée en tête.

- à votre guise monsieur ! On dirait simplement que vous proposer de faire un pacte avec le diable et cela en refroidira sans doute plus d’un. Ne prenez pas cela comme une offense mais à mon avis, il vaudrait mieux que cela soit encore plus subtil.

Tout perdre, c'était soit perdre son identité sociale, soit quoi ? des biens matériels ? Peu crédible mais en tout cas, ça n'avait pas l'air très légal donc de toute manière autant jouer sur les autres closes du contrat, suffisamment pour que ce soit indétectable. Il suffisait ensuite d'un rappel aux employés, non ? Parce que l'image de vendre son âme... ça n'a rien de réjouissant et pour le moment, c'était un peu l'effet que cela donnait.









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