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Let bygones be bygones.[pv Ezy]

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Sam 23 Nov 2013 - 22:24
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Let bygones be bygones
Amber & Ezekiel




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Dim 24 Nov 2013 - 15:27
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Amber & Ezy
" Oh la jolie Bestiole !"

Elle n’avait pas oublié mon nom, c’était déjà ça ! Acquiesçant sa réponse je remuai légèrement mon popotin afin de rendre mon ‘’fauteuil’’ plus agréable. J’ais toujours les fesses fragiles. Elle avait l’air très fatiguée, essoufflée, comme si elle venait de courir le marathon du siècle. Et je fus surpris de son humour dans une telle situation ! Elle était heureuse d’être mutante ? Bien évidemment ! Il fallait être fou pour ne pas apprécier que nos dons nous rapprochent un peu plus des dieux que des simples humains. Mais je lui devais une réponse si je voulais gagner un peu plus sa confiance et me rattraper de notre rencontre peu sympathique aux premiers abords. Je lui montrais alors son ombre en lui expliquant.

- C’est en manipulant l’ombre de toute chose, comme toi avec ton sang, que je peux manipuler les mouvements humains. Un exemple simple, je demande a ton ombre de s’asseoir et tu le fera. Une preuve ? Là voici.

D’un simple petit mouvement assez délicat afin de ne pas la brusquer que je lui fis poser les fesses au sol. C’est alors qu’elle s’aida de moi pour se lever. Je tentais de l’aider sans trop oser, après tout elle avait une arme. Malgré que je pouvais la mettre hors d’état très vite vu son était pas vraiment joyeux. Mais je ria à sa remarque sans pouvoir m’en empêcher je repensais aux soirs ou du haut de ma cabine V.I.P. j’observais les jeunes adolescents boire comme des troues à l’œil avec mon frère. Je remarquait toujours qu’elle tenait bien mieux que certains de la bande, cela me faisait toujours doucement rire.

- Si je me souviens bien dans ma boite c’était toi qui tenais mieux l’alcool que tes amis !

Je la vis marchait avec beaucoup de peine et de difficulté. Je n’osais pas vraiment lui proposer mais je pouvais faire en sorte que ses muscles se détendent en la faisant marcher par son ombre de façon plus discrète. Mais je doute qu’elle pouvait apprécier que je la manipule à nouveau ! Mais elle s’inquiétait plus pour le dernier rebus de la société qui pouvait appeler les flics que pour son état physique. Je trouvais ça d’une manière assez touchante à faire dire. Et cela me fis doucement rire.

- Il doit être plus recherche par la police que nous ! Puis c’est moi qui les aie tués non ? Donc tu n’a pas a t’en faire. Je suis habitué à ce genre de situation.

Puis mon idée de l’aider à marcher me resta dans la tête. Mais je devais être plus subtil que ça. Il fallait que je fasse une approche beaucoup moins directe.

- Tu semble ne pas avoir assez de force pour te déplacer. Souhaites-tu utiliser une chambre d’hôtel afin de te débarbouiller ? Je commande ce que tu a envie en nourriture si tu veux.

La mon visage se figea. Comme si je compris que mes mots étaient… Bizarres, trop ambigüe. Alors je me repris bien vite en ayant légèrement chaud au visage.

- Ne crois tout de même pas que tu puisse avoir une chance avec moi hein ! C’est juste de la camaraderie entres mutants !


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Dim 24 Nov 2013 - 21:36
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Amber & Ezekiel


Le passé est un boulet que je traîne à ma cheville, je ne sais comment en couper la chaîne mais je me suis habituée à son poids et parfois j'arrive à y faire abstraction pendant juste un temps avant que je sente de nouveau toute la lourdeur de mes erreurs me heurter de plein fouet. Je suis constamment dans cette prison cérébrale qui fait de ma vie ce qu’elle est actuellement.

Dupe, moi ? Peut-être pas au point de comprendre combien Ezekiel essaie de changer d’attitude jusqu’à ce que cela en devienne presque risible. Il m'explique même comment il parvient à prendre le contrôle des choses, des personnes. Je me montre juste curieuse, ce qui me permet de juger et de tâter le terrain comme il l'a fait, à sa façon, avec moi. Il me parle d'ombres et je comprends alors qu'il n'est pas un marionnettiste classique. Je crois que je ne verrais plus jamais mon ombre de la même façon qu'avant. Sa démonstration n'a plus rien à voir avec la manière dont je l'ai vu commander ses victimes précédemment ou avec le début de notre rencontre. Je comprends qu'il me ménage, comme on le ferait avec une enfant et même si c'est assez frustrant dans un sens, c'est préférable. De toute façon, n'ayant pas la force de me défendre pour le moment, je préfère me montrer soit naïve, soit docile. Ma remarque concernant la boisson le fait rire et je me demande ce qu'il y a de si drôle. Cela se voit que ce n'est pas lui qui a envie de régurgiter à chaque mouvement ou qui a l'impression que sa tête l'entraîne vers le sol. Heureusement pour lui, sa phrase me fait comprendre ce qui le fait réagir ainsi. Je ne me suis pas doutée un seul instant qu'il surveillait autant son frère pendant cette période et je ne pensais pas qu'il ferait attention aux autres membres de la bande. Cela me fit écarquiller les yeux de surprise et je revis alors ces soirées d'adolescente insouciante que j'étais. Il est vrai que je buvais beaucoup et Jeff me le reprochait souvent mais les gars eux ne se posaient aucune limite. Sans doute considéraient-ils qu'en tant qu'élément féminin du groupe, je devais être plus fragile. Il n'empêche que je tenais mieux l'alcool qu'eux et qu'on a souvent joué à parier avec des inconnus sur "qui bois le plus de verres". Histoire de se faire quelques sous, directement dans les poches. J'ai gagné la plupart du temps. L'alcool ne me faisait pas effet vite. Je n'ai eu de souci qu'une seule fois et bien que cela ai pu mal tourner, tout a bien fini. Revenant au présent, je réponds en souriant légèrement :

- Vous êtes pire qu'un flic, ma parole ! J'ai l'impression d'avoir été espionnée... c'est horrible !

Je change alors de sujet en évoquant les victimes de tout à l'heure qui ont eu le malheur de croiser sa route. Il a raison cet homme qui a eu la chance de s'enfuir n'ira sans doute pas voir la police puisqu'il est certainement recherché mais la peur des mutants pourrait être plus forte... Certes, il s'agit de SA faute mais ça l'autre n'en sait rien et il sait que nous étions deux. Je parie d'ailleurs que ma petite manifestation de mes capacités lui restera bien en mémoire. Gênée, je me passe une main sur la nuque, ma tête me fait mal. Je ne suis qu'à moitié rassurée et ne peux réprimer un marmonnement :

- Je suis complice de meurtre et ça fait longtemps que j’essaie d’éviter la police alors je n’ai pas trop envie de réapparaître dans leur collimateur.

Alors que je fatigue de plus en plus, Ezekiel se remet à parler. Je m'arrête net à la suite de ses paroles. Est-ce qu'il se rend compte de ce qu'il vient tout juste de me dire cet idiot. Vu sa réaction immédiate, je suppose que oui et il perd carrément de son assurance, s'obligeant à rajouter des précisions. Au cas où j’interpréterais mal les choses. Je le regarde d'un ai blasé. Décidément, j'ai le chic pour me coller des mecs étranges. Encore heureuse qu'il ne soit pas de mon âge, au moins y a de la distance. Enfin je pense car je sais juste que c'est le "grand frère" et je suis plutôt nulle aux devinettes. Avec un grand sourire et en espérant qu'il le prenne à la légère, je rétorque :

-Arrêtez vos fantasmes ! J'ai déjà fait l'erreur avec un Warxston, je ne vais  pas recommencer…

Je crois même que je ne recommencerais jamais ce genre de choses. Je préfère donc choisir un fast-food ou ce qu'il peut y avoir dans un Bronx, encore un peu sinistré à cause des attaques d'il y a quelques temps. Je m'apprête à répondre quand l'odeur de mes affaires manque de me faire vomir. Comment supporte-t-il de se tenir aussi près alors que je dégage une telle puanteur. Dégoûtée, je constate qu'aller dans un endroit pour manger sera délicat avec mon apparence pitoyable. Je grimace.

- Ok pour me "débarbouiller" et manger, ça me semble raisonnable.

J'ai du mal à reprendre ma marche et mon équilibre défie actuellement les lois de la gravité. Arrivés près d'un bâtiment dont la peinture s'écaille, je me stoppe. Qui de normal oserait rentrer dans un endroit pareil en compagnie d'un type n'inspirant pas confiance ? Personne. Cependant, je suis exténuée et si ce mutant me suit, peu importe où j'irais, il aura de toute façon le dessus. Je ne sais pas pourquoi il est encore là d'ailleurs donc advienne que pourra.
Le lieu fait peur mais pour quelqu'un qui vit dans des égouts, je peux assurer que c'est presque "agréable". Je ne m'attarde pas trop sur ce qu'il se passe alentour, sur les formalités ni même sur les regards franchement déplaisants qui nous suivent. Je manque de rater une marche en montant les escaliers et soupire de fatigue. Avisant la pièce, je reste un instant muette et immobile, je n'ai plus l'habitude. Je me tourne vers Ezekiel et le pointe du doigt :

- Bon le principe c'est l'entraide entre mutants c'est ça ? Un cheeseburger, vous devriez réussir à trouver non ? Ou quelque chose de comestible ? Après, je vous devrais un service... enfin dans la limite du possible, bien entendu. J'écouterais peut-être un peu plus. Filez le temps que je fasse quelque chose pour cette crasse.

Debout, les bras croisés, je garde mon sac sur le dos et attends. Jetant un œil à ce qui fait office de salle d'eau, j'avise le lavabo un peu jaune. ça doit pas être tout jeune... et la porte m'a l'air un peu abîmée également.


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Mar 26 Nov 2013 - 0:58
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" Oh la jolie Bestiole !"

Ca va, jusque là elle avait l’air de pas prendre trop mal mes paroles quelques peu maladroite par moment. Je fis donc l’effort de rester courtois. Après tout son gêne était sans doute de niveau 4 et je me devais de faire en sorte de la rallier à notre cause avant que cette bande de maudits X-mens se mettent en travers de notre chemin. Puis je monterais un peu plus dans l’estime de Magneto avec ça. Mais bon je fis semblant d’être des plus gentleman sauf que j’avais quelques fois mes envies de la mettre au plie. Elle me donnait un peu trop d’ordre à mon goût… Mais je me tus et montra un certain semblant de sourire. La suivant sans dire un grand mot je tombais dans un hôtel assez miteux. Il était franchement dégueulasse et j’en avais envie de gerber rien qu’en observant la devanture du magasin. C’était assez pitoyable et pour s’en sortir ils arboraient des prix vraiment exubérant. J’ai bien cru que j’allais tuer le patron si je n’étai pas responsable de la survie de cette demoiselle. Mais je repris mon sang froid et me dirigea vers la chambre. Elle manqua à plusieurs reprisent de tomber dans les escaliers mais je fis en sorte qu’elle tienne bon de manière très discrète. Il ne fallait pas qu’elle découvrir mes petites manigances. Enfin je ne voulais certainement pas créer de nouveaux conflits avec elle. Imaginez si elle rejoint les X-Mens ?! Ca serait vraiment la merde ! Je ne pense pas que je puisse stopper l’ombre de son sang, je ne pensais pas non plus que je pourrais la vaincre si ce Monsieur X arrivait à lui apprendre à manipuler son don… Mais il fallait que ce soit Magneto son professeur. Il avait de bien meilleurs résultats que cet handicapé notoire. Quand je pense qu’on y était presque à Alcatraz… Ca me fait rager.

Lorsqu’elle me donna son dernier ordre je fus soulager, je ne n’avais pas vraiment la patience nécessaire pour attendre que Madame ai fini sa toilette mensuelle.

- Je comptais passer une nuit paisible, je te rassure !

C’est en claquant la porte que je sortis aller chercher de la mauvaise bouffe pour mademoiselle. Il fallait le remplir le petit ventre et avec beaucoup de calorie. C’est alors que je trouvai bien vite un restaurant de ce genre, c’est assez bon marcher et dans ce genre de quartier ça ne pouvais que marcher je dirais. Mais je pris donc presque tout ce qui avait sur la carte, sauf les trucs glacer, je ne voulais pas que ça fonde avant même qu’elle puisse finir son repas. Et vu que je ne savais pas vraiment ce qu’elle voulait…

C’est en revenant dans la chambre que j’eu cette mauvaise surprise… Cette tête de linotte avait oublié de fermer la porte de la salle de bain ! Pris de panique je donnai un grand coup d’ombre vers la salle de bain et fit virevolter le rideau de bain tout autour de la jeune fille ce qui l’entoura tel un petit saucisson. C’était drôle à voir ce petit bout enrouler ainsi. Ne pouvant retenir mon rire assez tyrannique je sortis son cheeseburger tant voulu. Ouvrant l’emballage je le fis faire une petite danse sous le nez de la demoiselle en m’accroupissant à son niveau.

- Voyons voir si tu à faim… T’en veux ?

Ne voulait pas vraiment paraitre trop mauvais et l’empêchant de dire quoi que ce soit de mauvais je lui mit un bon morceau dans la bouche lui laissant le burger dans sa bouche.



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Mar 26 Nov 2013 - 22:43
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J’ai fait un choix, qu’importe si ce n’est pas le bon. Je peux toujours changer d’avis.


J’attends qu’il s’en aille, qu’il fasse demi-tour. Je sais que mon comportement doit l’avoir agacer mais aucune réaction de sa part, si ce n’est un maigre sourire. Pas de refus, rien. À vrai dire ça me surprend un peu de voir qu’il n’a pas un minimum de réactions. Il écoute docilement et je suis presque certaine qu’il n’en a pourtant pas envie. Sa seule réplique est une moquerie qui me fait sourire. S’il a peur de faire des cauchemars de ce qu’il pourrait voir, c’est qu’il est fragile ce pauvre petit. Je lui adresse un clin d’œil avant de le voir partir. Sitôt fait, la porte claquée, je me dirige vers la salle de bains. Je pousse la porte, abaisse la poignée et croit la fermer. Je me débarrasse de ce qui me sert de vêtements et commence part faire couler l’eau. Après m’être brûlée puis gelée, je trouve enfin la bonne température. Mes gestes sont lents mais je prends soin de faire au mieux. Je démêle mes cheveux avec mes doigts et les nettoie en frottant le cuir chevelu. Puis je me saisis du savon pour le reste. Cela fait tellement longtemps que je n’ai pas prit de vraies douches que je savoure celle-ci comme un moment unique. Assise dans la baignoire, je reste un instant immobile. J’observe mes mains et constate que je tremble. Je me frotte les paupières et m’allongent un instant. Mes yeux se ferment, je m’endors…
Ce n’est qu’une micro-sieste de laquelle je me relève avec angoisse. De peur, qu’il ne se passe quelque chose. Je me dis qu’il est temps de sortir de mon bain et rinçant les résidus, je descends de la baignoire. Je regarde mes habits avec désespoir, constatant de leur état de saleté repoussante mais je n’ai pas le choix. Je n’ai que ça pour me vêtir alors je tends mon bras vers mon haut quand j’entends un bruit, je me tourne vers la porte, constate qu’elle est ouverte et reste figée. Je me rappelle pourtant l’avoir poussée mais elle est tellement abîmée qu’elle a du se rouvrir d’elle-même. Je compte aller la refermer mais je n’ai pas le temps de bouger un orteil que le rideau se décroche de sa barre et m’attaque… Le choc est si violent que j’en tombe par terre, le rideau sur moi avant de pousser un grognement. C’est à ce moment là que j’entends ce rire mesquin et que je comprends qu’il est arrivé pile au mauvais moment. Je n’ai même pas entendu la porte de la chambre s’ouvrir. Je dégage mes bras sur lesquels je suis lourdement tombée et m’enroule dans le rideau de sorte qu’il ne puisse pas glisser et que je n’ai pas à m’en soucier. Je sens que je vais avoir d’énormes bleus en plus des douleurs un peu partout mais je ne dis rien, comme à mon habitude. Ezekiel se tient devant moi et je lui ferais volontiers son sourire détestable mais je me ferais plus mal qu’autre chose en essayant de bouger brusquement. Il se mit à jouer avec un hamburger et je lève les yeux au ciel, exaspérée par son comportement puéril. « Voyons voir si tu as faim ? ». S’il continue comme ça je vais finir par devenir cannibale, ç a fera moins de monde sur cette planète pour me courir sur le haricot. Il commence à m’énerver et je m’apprête à le lui dire mais je n’en ai pas l’occasion. Me voilà avec le burger dans la bouche. Je râle doucement et prends le cheese entre mes mains. J’avale ma bouchée et continue de manger avec grand appétit. Depuis que je suis descendu dans les égouts, je mange surtout des chips… c’est facile à transporter ! En revanche, ce n’est pas très nourrissant, je l’avoue. Je soupire agréablement et finit par marmonner à contrecœur :

- … merci…

Il m’arrive d’avoir de bonnes manières mais en général, je les oublies assez vite. Je veux me redresser et il faut que je m’habille aussi mais… la porte ne ferme pas. Quelle misère ! Finalement, je me lève et marche jusqu’au lit, toujours enveloppée dans ma tenue de fortune, avant de m’asseoir dessus comme je peux, après plusieurs essais risqués. Il faut que je me repose encore un peu, je ne suis pas encore remise de mes chocs et émotions. Je ne peux pas partir tout de suite et ça m’oblige à attendre un peu en sa compagnie. De plus, je lui ai dis que je lui devais un service et ce serait mal de ne pas tenir promesse, même si je n’ai pas trop envie. J’étends mes jambes sur la longueur et observe le bras qui avait subi une coupure. Je m’assure délicatement que le sang ne coule plus et rassurée, regarde en direction du mutant. Je le fixe avec attention. Je vérifie la distance qui nous sépare, la considère comme correcte. Un peu mieux en point qu’avant, je reprends la parole.

- Bon vous… non ! Tu me cherchais pour me dire « merci, j’en avais marre de mon frangin » et puis comme je suis mutante, tu deviens d’un coup, aimable ? C’est trop extrême pour être honnête, tu sais…

Je ne vois pas de raison de continuer à le vouvoyer. C’est une marque de respect que je ne lui dois pas forcément. Je suis peut-être plus jeune mais je peux me considérer comme égale à lui. Après tout, c’est un « monstre » comme moi. Je regarde distraitement mon sac, songe qu’il y a la lame dedans. Pour le moment, je n’ai plus peur. Je suis trop lasse pour cela.

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Jeu 28 Nov 2013 - 0:44
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Amber & Ezy
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 Je ne savais pas vraiment ce qu'elle ressentait sur le moment. Parfois elle avait un visage froid mais ses mots était plus réconfortant que froids. Enfin j'avais vraiment du mal a la comprendre, j'étais totalement perdu et démunit face à elle. L'observant se faufiler hors de la salle de bain je posa mes fesses au sol.

- Hé gamine ! Tu n'as pas fini de manger la !

Me levant tel un vieux ayant les os dont l'état laisser vraiment a désirer, je me dirigeais vers la table, lieu ou il y avait le saint graal, la bouche. Jetant le papier d'embalage du cheeseburger a côté sur sac en papier je profitais du chemin pour en récupérer un pour moi ainsi qu'un second pour la demoiselle. Me retournant j'eu une vision qui me semblait très... Érotique... Enfin surtout digne d'un film pour adulte rater avec un début très burlesque. Je resta quelques secondes bouche bé lorsque je repris mes esprits.

- Ta ... "robe" est un peu courte tu sait ! 

Soupirant d'exaspération je lui balanca son sandwich à la figure et repris mes taquineries de plus bel. 

- Tu voudrait pas une nouvelle tenue tout de même ? Enfin là c'est un peu de ma faute si tu a des bouts de tissus en lambeau en guise d'habits... 

Observant ses habits par terre dans la salle de bain je les fis venir à moi par leurs ombres. Me baissant pour les ramasser je les posèrent sur la table et les tendirent devant moi en observants leurs états. Prenant les sous vêtements j'eu vraiment un coup de chaud et mon visage devint rouge tout à coup lorsque je jetais ces derniers vers Amber. 

- Range moi ces machins là ! C'est dégueulasse de laisser trainer tout ça. 

Bien sur durant tout ce temps je fis tout pour héviter le sujet de mon frère mais bon elle devait avoir une réponse. 

- Pour ce qui est de Matthias j'étais curieux de savoir comme tu y était pris pour le mettre K.O. . Et selon ce que tu m'aurait répondu je t'aurais laisser vivre ou non. Conclusion, test réussi ! Alors, elle est contente la petite Amber ?! 

Je fis un large sourire à la fois ironique, pourquoi ? Il fallait bien l'embêter cette petite... 
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Jeu 28 Nov 2013 - 11:22
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Amber & Ezekiel


Bad memories ever came back to mind...

Gamine ? Je le regarde d’un air mauvais. Tout les gens que j’ai rencontrés me considèrent comme une adolescente et pourtant, je ne le suis plus. Mon comportement les induit sans doute en erreur et même si je suis consciente de ne pas agir comme une personne mûre, la remarque reste vexante. Je ne peux pas trop lui en vouloir donc. Je lève un sourcil interrogateur, indiquant que je n’ai pas compris pourquoi il me dit ça. J’ai terminé mon sandwich… En fait, il n’en a pas ramené qu’un et je suis surprise. À vrai dire, je mange tellement peu tous les jours qu’un seul hamburger me semble déjà très nourrissant. Je m’installe comme je peux sur le lit tandis qu’il se tourne dans ma direction, reste un instant interloqué avant de me balancer la nourriture. Sa phrase me fait l’effet d’une douche glacée et je sens mes muscles se contracter. Je dois avoir perdu un peu de couleur et je baisse les yeux vers le rideau, confirmant ce qu’il vient de dire. Oui, en effet, c’est assez court. Je soulève le drap, du lit et glisse mes jambes dessous, bougonnant. Je mords avec force dans le cheese tandis qu’il continue de palabrer sur ma tenue. Je mange comme si de rien n’était, ne répondant même pas à sa question. Bien sûr qu’une nouvelle tenue serait l’idéal mais dernièrement mettre la main sur des habits devenaient relativement compliqué. En général, mes affaires ne finissent d’ailleurs pas dans un état pareil alors c’est de sa faute si je suis recouverte d’un rideau. Il ne va quand même pas jouer les traumatisés ! Insensible à ces paroles, je me concentre sur mon repas avant de manque m’étrangler quand je le vois amener mes affaires à lui. Je déglutis avec peine et m’exclame un « hé » de mécontentement, clair et fort. De quoi se mêle-t-il ? Ce genre de comportement, ça ne se fait pas. Je manque de bondir du lit avant de me rappeler que ce n’est pas du tout une bonne idée.


- Laisse mes habits ! Sérieux t’as vraiment aucune gêne, je…

Je m’arrête en voyant ce qu’il tient entre ses mains avant de piquer un fard. Ça, c’est mon soutien-gorge. Il ne devrait même pas avoir à le voir, ça fait partie de mon intimité. Il y a même pas une heure, il était en train de m’étrangler et maintenant, il fouille dans mes affaires. D’où il sort ce type. Ce ne sont pas des manières. Il me balance mes sous-vêtements comme s’il était dégoûté et je le fusille du regard attrapant mes affaires pour les glisser dans mon sac en rageant. Je hurle, sans doute un peu trop fort d’ailleurs. En fait, sur le moment, je me fiche pas mal du fait que les gérants pourrait nous entendre. J’ai totalement zappé l’endroit où nous sommes, tout ce que je vois c’est la façon dont ce gars s’immisce dans ma vie sans se soucier de ce que cela peut causer comme dégât. Même si je me suis détachée brutalement de son frère, mes cicatrices ne sont pas encore complètement refermées et le fait qu’il lui ressemble dans ses expressions parfois, me donnent des frissons. Le voir toucher à mes habits, non, c’est trop personnel et ça ne peut que réveiller les pires souvenirs que j’ai.

- Hé ! Tu fouilles dans mes fringues et tu te permets de dire ça ! La faute à qui si je me trimballe en rideau ! Je vais quand même pas me changer devant toi, t’es vraiment dérangé du bocal.

Ma voix s’étrangle un peu sur la fin, je regarde mon hamburger à moitié manger. Je reste bloquée dessus avant d’entre la voix d’Ezekiel reprendre. Il parle justement du sujet critique et je serre les dents, en colère. J’ai bien compris, qu’il n’a pas envie d’être mis dans le même panier que son frère : parce que ce dernier est humain et parce qu’il était violent. Je me lève du lit, prends mon sac et m’éloigne en direction de la porte, sans prêter la moindre attention au fait que je sois toujours en tenue de rideau. J’ai oublié tout cela. J’aperçois le sourire du mutant et je soupire.

- Ben voilà, tu as eu ta réponse… c’est toi qui doit être content, Ezy.

J’insiste bien sur le dernier mot, histoire d’infantiliser un peu l’homme. Je mets la main sur la poignée de la porte, m’apprêtant à sortir. Mes mains tremblent et je constate à quel point je suis encore fragile. Et là, j'ai vraiment envie de pleurer parce que Matthias a vraiment rendu ma vie plus compliquée. J'ai du mal à ouvrir cette fichue porte.

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Jeu 28 Nov 2013 - 23:28
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Amber & Ezy
" Oh la jolie Bestiole !"

Mes mots semblèrent blesser, aouch. C'est dans ces moments là que je me dis que je manque cruellement de tact. Je ne sais pas si j'ai bien fait de parler ainsi mais peut etre que je devrais la laisser en paix ? Non, certainement pas. Il ne fallait pas qu'elle parte avec une mauvaise idée de moi, enfin pas trop mauvaise tout de même. 

Je l'observais silencieusement lorsqu'elle se dirigea vers la porte de sortit. Je fis une grimace de compasion lorsque je vis qu'elle avait du mal avec la poignée mais je la stoppa avant qu'elle puisse ouvrir cette foutue porte. De mes deux mains je partit de tout son être et fis de grands mouvements vers le lit.  Suite a cela son ombre suivi le mouvement circulaire de mes bras et la fis se reposer sur le lit avec un certain rebond produit par les ressorts sur lit sous la surprise du choc de ce petit poid plume. 

- Tu ne sortira pas dans cette tenue voyons ! Pense à tes frères et soeurs mutantes !

M'approchant en virevoltant vers elle d'un air euphorique je sortit mon portable et ouvrit l'appel visio vers ma styliste personnel mutante en posant mes petites fesses sexy sur le lit aux côtés d'Amber. Je l'avais engagée car elle avait du goût et surtout elle avait des contacts de partout dans le monde de la mode. Observant l'écran de mon téléphone je commença ma discution en surveillant d'un oeil ma convive. 

- Salut à toi, oh grande reine de la mode ! J'ai besoin de tes services car j'ai ici, avec moi, une jeune demoiselle a rhabiller. Ses habits sont plus vraiments en états de vivre, promis j'y suis pour rien.

Ce fut alors dans un éclat de rire que mon amie se moquait de moi, comment osait elle ! Je lui ferais passer un sale quart d'heure avec le Blob tiens ! Il a des besoins... Affectifs le petit. Puis c'est alors que je passa le téléphone à ma nouvelle partenaire de jeu. 

- Tiens, elle va te montrer des models a choisir. Prend tout si tu le souhaite, n'ai aucune crainte pour mon porte monnaie.

Ce fut à ce moment-là que je me levais du lit en allant me prendre un des gobelets de ce que les américains appellent "coke" enfin pour moi c'était surtout du coca cola (oups je fais de la pub). Puis en le sirotant sagement j'observais Amber de bas en haut. Je me demandais ce que mon frère avait comme attirance envers elle. Enfin hors le côté facilement manipulable, même si je pense que ce n'est plus le cas à présent. Je me disais qu'elle devait avoir un petit truc en plus dans sa personnalité pour qu'il fut si attaché à elle. 

C'est au bout de quelques minutes de patience et de silence de mort que j'attendis les bras croisé addosser à la porte la venue du livreur personnel de mon amie venant apporter les affaires de la demoiselle. Entendant frapper à la porte j'ouvris dans une exclamation de joie immense et montra au livreur ou il fallait poser les affaires. Une fois repartit je tourna le dos vers la porte d'entrer. 

- Vas y tu peut te changer. Promi je ne regarderais pas. Ne crois pas que je suis attiré par les hommes hein ! C'est juste que tu a était la copine à mon frère donc ca me ferais bizarre...

Attendant son feu vert pour me retourner je patientais sagement en sifflotant la musique Sweet Dreams de Marylin Manson. 
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Ven 29 Nov 2013 - 2:15
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Amber & Ezekiel


Il est des choses qu'on ne peut éviter, des rencontres qui sont déjà écrites et des douleurs qu'on ne peut effacer.

Cet immeuble a sérieusement besoin de révisions, j’ai beau tourner la poignée de mon mieux, la porte ne bouge pas d’un poil. À croire que je n’ai pas droit de partir. En fait, je suppose qu’elle est tout simplement coincée et que je n’ai pas la force de la tirer vers moi. Je sens ma gorge se nouer. Ça ne sert strictement à rien mais je ne compte pas abandonner sans succès. Même en m’acharnant, je ne parviens à rien, si ce n’est à m’énerver bêtement dessus. Je ne peux m’en aller et en plus, je me sens manipulée. Ne pouvant pas m’agripper à la poignée qui me glisserait entre les doigts, je me retrouve sur le lit que je venais de quitter. Je serre les poings comprenant ce qu’il vient de se passer et pince les lèvres. Je n’aime pas avoir ce sentiment d’être une marionnette. Imaginez-vous tirer par un lien invisible sans pouvoir parvenir à le couper. C’est frustrant de n’avoir aucunement le dessus, de se laisser avoir, de se laisser traiter comme une assistée aussi. Au moins quand je suis dans la rue, je suis dans mon élément et j’ai bien plus souvent le dessus sur la situation qu’actuellement. C’est peut-être aussi le fait que cela me rappelle combien, plus jeune, je l’ai trop été. De nombreuses fois, Jeff m’a sorti de mes peines. Et c’est dans ces moments là, ces moments de faiblesses, que Matthias savait me faire croire en lui. Opportuniste, il repérait ce qui était avantageux pour lui. C’est à cause de ma naïveté, de ma docilité que j’ai fait la plus grosse erreur de ma vie, jusqu’à aujourd’hui.
J’essaie difficilement de contenir la colère qui me ronge mais je me fiche bien de ma tenue. Cet homme, il n’est rien. Rien que le frère de mon ex. Rien qu’un visage inconnu qui se révèle sournoisement à moi. Alors pourquoi… pourquoi quand je le regarde, je suis si curieuse. Curieuse d’y lire des réactions rassurantes. Curieuse de trouver les différences qui le séparent de Matthias. Pourquoi j’ai l’impression que je ne pouvais repousser éternellement sa rencontre. Je replie mes jambes sous moi, en faisant attention à mes gestes. Je sens mes yeux me faire souffrir, mes poings sont solidement ancrés sur mes genoux.

- Ils ne sont pas de ma famille et ils se fichent très certainement de ce que je porte ! Ne touches plus à mon ombre comme ça. C’est comme… comme…

Brusquer quelqu’un… mais ce n’est pas le premier terme qui me vient à l’esprit sur le mot et je préfère taire mes pensées. Il est tellement intrusif, comme s’il me connaissait depuis bien longtemps. Et oui, il sait parfaitement quelle adolescente j’ai pu être mais que sait-il du reste ? Il ne connait que les rares choses qu’il a pu voir ou entendre de la part d’autres personnes. Il fait le fou, il ne comprend pas. Il vient d’une autre planète et il ne ressent pas les choses comme moi. C’est exaspérant, il ne prend même pas la peine d’arrêter sa comédie un seul instant. Il s’assoit à mes côtés comme si de rien n’était. Je n’ai qu’une envie… lui en coller une. Je me rappelle ce qu’il s’est passé la dernière fois que j’ai cédé à la colère et je ne suis pas prête à renouveler l’expérience pour le moment. Je crispe et décrispe mes poings sans lui jeter le moindre coup d’œil. Il raconte ses idioties au téléphone, je n’y prête pas la moindre attention jusqu’à ce qu’il me passe son téléphone. Je fais de mon mieux pour éviter de jeter l’objet par la fenêtre mais je le regarde perplexe. Je dois encore avoir le visage empourprée par mon ire. Je me saisis du gadget sans savoir trop quoi faire avec. C’est peut-être ridicule, bizarre et insensé mais… je ne me suis jamais servi d’un téléphone. Ma mère n’a jamais permis d’en avoir un et quand j’étais avec mes « amis », je n’en voyais pas l’intérêt : je savais où les trouver, je n’avais personne d’autre à joindre, je n’en comprenais pas le principe. Ensuite, j’ai un peu utilisé les leurs mais très rarement. Je regarde l’écran et je reste terriblement silencieuse. Avant d’entre la voix enjouée d’une femme qui me parle si rapidement et énergiquement que je ne parviens pas à saisir toutes les informations. Elle fait les questions et les réponses.

- euh… bonjour. Je ne sais pas. Non  certainement pas ça ! J’en sais rien, bon sang.

Finalement, je la laisse faire parce qu’elle se débrouillera mieux sans mes commentaires inutiles et parce que ce téléphone m’agace. Je me sens ridicule à parler comme ça à une femme qui n’est pas présente et en plus, je la trouve un peu cruche. Ce qui n’est que mon avis personnel. Je regarde bêtement le portable et appuie un peu partout pour comprendre comment ça s’arrête mais j’appuie sur les mauvais numéros et j’ai du appeler quelqu’un d’autre parce que j’entends une voix masculine parler. Ne sachant plus que faire, je pose l’objet écran contre le lit. Je ne regarde pas Ezekiel mais je sais qu’il m’observait et je n’aime pas cette indiscrétion de sa part. Quand arrive le livreur, il ouvre la porte avec un tel enthousiasme qu’on dirait le plus beau jour de sa vie et je m’imagine presque le voir faire un câlin au livreur. L’image est terriblement déroutante mais reste ancrée dans mon esprit avec de la colle forte. D’ailleurs le fait qu’il mentionne ne pas être attiré par les hommes me questionne beaucoup. Je ronchonne en me dirigeant vers le carton. Je n’ose carrément pas l’ouvrir car j’ai peur que ça m’explose en pleine tronche mais je n’ai pas trop le choix : Ezekiel est devant la porte, l’autre seule sortie est la fenêtre. Je n’ai pas trop envie de tenter un corps à corps dans une tenue si légère. Ravalant mon envie de pousser une gueulante, je m’efforce de parler sans mauvaise volonté. J’accorde que c’est très délicat.

- Je n’ai rien contre les homosexuels… Est-ce que tu peux éviter de me rappeler ce que j’ai pu avoir comme relation avec ton frangin, c’est hyper déroutant, merde !

J’ouvre le paquet et en sort le contenu avec angoisse. Je regarde mon rideau et je murmure « ah la sal***!». Le juron est sorti tout seul et je ne m’en suis pas rendu compte. Sinon j’aurais eu un minimum honte. Quand je lui avais dit non toute à l’heure, eh bien elle, elle a compris oui. Je soupire en regardant le tissu. Je ne vais quand même pas porter ça… mais cette fille à des goûts trop bizarres ! C’est vrai qu’en regardant l’autre mutant plus attentivement, ça y ressemble. Oh non, je ne veux pas lui ressembler. Enfin, je n’ai pas trop le choix là. Je grimace et lui fais signe de se retourner mais je n’ai pas, du tout, confiance en sa bonne foi. Terriblement gênée, j’essaie de m’habiller en gardant mon corps caché par le rideau mais je ne peux pas tenir les deux d’un bloc. Je cache en tout cas ma cicatrice. Je râle pendant mes essayages tant j’ai du mal à revêtir ce morceau de tissu. Une fois parvenue à l’enfiler, je soupire de soulagement. Je dois ressembler à une horreur désormais. Je me racle la gorge, m’apprêtant à entendre un rire.

- C’est tellement… le rideau était peut-être plus adapté en fait. J’espère qu’on a fini de s’amuser à mes dépends parce que j’ai quand même des limites. C’est… ridicule !

Je regarde autour de moi et ne sachant pas quoi faire, prends un verre pour me désaltérer, parce que ma gorge s’est soudainement asséché. Je regarde Ezekiel et ses habits avant de boire un peu. Il connaît vraiment des gens étranges. Enfin autant que lui et soudain je me stoppe, je ne bois plus. Si je m’entendais si bien avec mes camarades autrefois, c’est parce que nous partagions ce même grain de folie. Je reste muette : je connais mes erreurs passées mais je n’y avais jamais pensé sous un autre angle… c’était pour cela que j’étais si intriguée.

Code by Silver Lungs
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Mar 3 Déc 2013 - 16:31
Invité
Invité
Anonymous

Amber & Ezy
" Oh la jolie Bestiole !"

Commencant a m'ennuyer sévèrement je l'entendis pester dans son coin et batailler avec sa tenue alors que moi je patientais tel un couillon. Certes j'etais curieux 
de voir les formes dont mon frère se vanter d'avoir en copine mais je me retenai etfini par observer dans le petit troue a la porte. 

Il n'y avait pas grand chose d'interessant, des protitués avec leurs clients et parfois le directeur de l'hôtel qui gueuler parce que la demoiselle qui vendait son corps faisait trop de bruit, elle devait avoir un client sportif ! Puis je me mis a éclater de rire lorsque je vis un vieux Monsieur avec une jeune femme, collègue de boulot de la précédente surement. En voyant ca j'avais meme envie de crier par dela la porte "prend du viagra Papi !" mais je ne voulais pas mettre mal à l'aise ma partenaire de chambre !

 Puis tout à coup l'ennui me tua tellement que je me retourna à un moment et je vis la demoiselle presque toute nue qui batailler encore plus que dans mon imagination dans sa tenue, faisant semblant de n'avoir rien vu je me remis en place et attendir son feu vert. 

Me retournant alors lorsqu'elle critiqua sa tenue je resta comme figer sur place la bouche grande ouverte. Le style légèrement lolita gothique lui allait parfaitement et ce rouge lui donner un certain charisme. Elle etait faite pour porter ce genre de tenue et cela me plaisait. Elle serait parfaite pour la Confrérie et on ferait le duo le plus terrible pour les misérables humains. Cette guerre serait vite terminée si on avait cette petite parmi nous, elle est certainement une mutant de classe 4.

- Miam !

Dis je sans retenir mon regard légèrement interresser. Puis je fis un bond sur le lit et croisa mes jambes en tailleur tout en sortant mon appareil a maquillage de mon manteau. Retirant mon manteau je me trouva dans ma chemise noir a manche longue et ouvrant le mascara je lui fit signe de se rapprocher avec un clin d'oeil. 

- Viens un peu par ici que je t'en mette. Tu pourra manipuler tous les mecs avec ton charme quand j'aurais mis l'accent sur ce beau regard. 

Je la pris alors doucement par son menton et commença a appliquer le produit de maquillage sur ses yeux. 

- Voiiiiila ! Magnifique, une beauté sans limite ! 

C'est alors que par surprise je lui fis un leger baiser sur la joue avant de me lever du lit.  Quand tout à coup une idée me traversa l'esprit. Levant le doigt au ciel je pris alors un air tres joyeux et en me retournant vers elle je fis baisser mon doigt vers elle. 

- Toi ! Je te veux comme serveuse dans mon Bar. Et pourquoi pas Danseuse ?! 

Lui repliqua avec un léger clin d'oeil tres coquine et taquin. Il n'y avait aucune arrière penser dans cela, loin de moi cette idée. Enfin tant que j'ai ce que je souhaite.

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