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Petite visite nocturne [pv: Rosanna]

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Mer 10 Sep 2014 - 3:19
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∞ petite visite imprévu

rosanna.  & jörmungand



 
  Pas très valorisant, à ca c’est le cas de le dire ! Mais j’avais un peu l’habitude à force. Etant donner que même lorsque j’étais encore plus jeune on m’appelait l’enfant maudit de Loki, enfin un des enfants maudits de Loki. Car pour tous les Asgardiens on était que des plaies qui n’avait pas de forme ‘’normale’’. Après tout avoir un Cheval, Serpent, Loup et une demi morte pour enfant ce n’était pas très valorisant non plus pour Père. Il a du en voir des vertes et des pas mures pour en arriver là ou il en était. Donc je ne voulais certainement pas relever ses paroles. Je n’en voyais pas l’intérêt ni même l’utilité à la chose. Cela ne ferait que de mettre une certaine mauvaise humeur dans la pièce et ça je ne le voulais pas. Pour ce soir j’avais un but bien préci et je voulais y arriver le mieux possible.

Alors que je me risquais de lire en elle un seul instant je ne pouvais retenir un certain sourire lorsqu’elle pensait préférer elle aussi la seconde option, donc il y avait une petite ouverture afin de me rapprocher de mon but… Laissant ma bonne humeur prendre le dessus, ce qui était rare il fallait l’avouer, je ne pu que constater sa phrase et plisser doucement les yeux en perdant instantanément le sourire je grognai quelque chose comme.

- Vous ne pensiez donc pas que je vous montre mon point faible aussi facilement n’est ce pas ? Ce serait un peu idiot de votre part et je ne souhaite que le top du top pour mes employés…

Un petit sourire taquin revint faire son apparition afin d’accentué l’humour que je mettais dans mes phrases. Je ne pouvais qu’en rire surtout qu’elle ne releva pas le coup du thé alors je m’en amusais de tout cela. J’avais l’impression d’avoir le dessus sur la conversation mais cela me semblait avoir un petit arrière gout étrange… Comme dirait l’Homme, il ne faut pas avoir vendu la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Alors arriva le moment tant redouter, le moment ou elle me demandait en quoi la présence féminine était plus rassurante. Alors que je cherchais une bonne excuse, je dis tout haut ce que je pensais tout bas sans même m’en rendre compte.

-Disons que la douceur et le parfum du gente féminine est enivrant et votre présence m’est plaisante.

Constatant la bétise que je venais de sortir je bus d’un trait mon thé et tenta de rattraper tant bien que mal. Je ne voulais pas la laisser sur ce genre d’impression sur moi, de quoi aurais-je l’air par la suite ? Non mais c’est vrai quoi, je me devais de garder l’ascendant sur la discussion moi !

- Dites moi, savez vous couper les cheveux ? Je souhaiterais avoir une coupe plus légère, moins longues et avoir une coupe un peu plus ‘’passe partout’’ si vous voyez ce que je veux dire.

Bien sur sans ma magie jamais je n’oserais lui demander de faire ce genre de chose ! Alors je pris la décision, si elle l’acceptait, de guider discrètement ses coups de ciseaux afin de ne pas ressembler à n’importe quoi. Bon il est vrai que je pourrais le faire sans elle mais il fallait que je dise autre chose pour faire oublier ma maladresse verbale précédente et bien sur seulement le sujet de souci capillaire m’est venu à l’esprit, franchement des fois… Je me demandais si j’aurais pas fait mieux de me nommé Fenrir, ou pire encore, Thor.

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Jeu 11 Sep 2014 - 0:22
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Ou comment s'inviter sournoisement chez les gens

EBon les peluches, c’était le total flop ! Cela l’a fit vraiment sourire mais monsieur faisait son ronchon et à sa réplique, lui rigolait nettement moins. Elle ne s’inquiéta pas outre mesure : il n’allait quand même pas commencer à faire la mauvaise tête ! Elle posa ses mains sur ses hanches et le regarda fixement. Ah la fierté masculine, c’était donc à cela qu’il jouait ? Elle arqua un sourcil et quand il sourit avec cet air espiègle, elle leva les yeux au ciel. Décidément, elle se demandait si elle n’aurait pas du lui claquer la porte au nez dès le départ, pensa-t-elle, car il la faisait tourner en bourrique. Normalement quand quelqu’un venait pour la première fois dans l’appartement, il ne prenait pas si vite ses repères et il ne s’amusait pas à l’embêter de la sorte. Il arrivait même que ce soit l’inverse. Ne pas avoir l’ascendant sur le jeu c’était assez frustrant, surtout quand on est chez soi et puis elle aimait bien maîtriser les choses. Là c’était tout l’inverse, très embêtant. Niveau faiblesse, elle espérait bien qu’il n’était pas si adouci devant des nounours. Imaginez ensuite lors du travail, Rosanna viendrait avec un petit nounours dans son sac. Elle se retint de rire toute seule, elle ne voulait pas le vexer mais elle souriait malignement. Elle ne pouvait pas le laisser s’en tirer à si bon compte mais bon ce n’était pas simple avec lui, il avait toujours un atout dans sa manche. C’est ce qu’elle constatait souvent avec étonnement.  Du coup, ce n’était pas toujours simple de trouver la parade, ce n’était jamais définitif.

- Ce serait terriblement décevant de votre part de toute façon et vous n’oseriez pas me traiter d’idiote dans ma propre demeure ?

Laissant tomber les histoires de thé, Rosa le laissa se dépatouiller avec la question qu’elle lui avait posée à la place de répondre, espérant donc éviter de s’emmêler les pinceaux et lui laisser trop d’éléments à retourner contre elle ensuite. En plus, c’était mieux comme ça : à lui de se débrouiller pour lui répondre au mieux, pendant ce temps là, elle s’était mis en tête de ranger un peu et de réfléchir à ce qu’elle devait préparer mais elle fut rapidement interrompu par ses propos qui résonnèrent dans son esprit suffisamment longtemps avant de saisir vraiment ce qu’il avait dit. D’ailleurs, il sembla se rendre compte de la grosse erreur qu’il venait de commettre mais c’était un peu trop tard. Oui, elle avait posé une question un peu complexe mais il aurait du s’arrêter à ce qu’il pensait de la gente féminine. Après tout, cette simple partie ne l’aurait pas dérangé : chaque être vivant à son avis sur les autres. Douceur et parfum enivrant pour lui… c’était son point de vue… En revanche, la présence plaisante, c’était une autre paire de manche. Le fait qu’il réalise le petit souci que pouvait causer cette phrase était amusant par contre. On passait de la fierté de tout à l’heure à ça. Elle n’aurait jamais pensé en début de soirée, qu’elle discuterait de son avis sur le côté rassurant des femmes. Elle préféra rire et… se moquer un peu.

- Oh mais dites donc, vous êtes un sacré charmeur monsieur.

Il avait vite esquivé le sujet alors qu’elle essayait de s’arrêter de rire légèrement mais elle avait tout de même prit quelques couleurs au niveau des joues. Couper les cheveux : le changement de discussion était vraiment radical mais elle lui laissa du répit en l’acceptant. Elle voyait bien ce qu’il voulait dire et c’est vrai que ça lui ferait pas de mal de raccourcir un peu sa coupe. Cela lui irait sans doute mieux même mais ça elle ne savait pas trop sans avoir vu le résultat. Après… couper oui, elle pouvait en faisant attention. Encore fallait-il qu’il ai suffisamment confiance en elle pour la laisser faire parce que rien ne lui garantissait qu’elle n’allait pas le louper. Elle alla se pointer à côté de lui et observa son visage.

- Une coupe plus légère, quelle excellente idée.  Vous savez que ça  existe les coiffeurs ? Bien sûr je peux vous coupez les cheveux mais encore faut-il que vous me fassiez confiance entièrement parce que je pourrais vous louper.  
(c) Bloody Storm

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Lun 15 Sep 2014 - 0:02
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  La traiter d’idiote dans sa propre demeure ? Oui ca j’oserais, je ne vois pas ou est le mal de constater la chose. Mais pour les humains c’était très différent. Il fallait faire attention a leurs amours propres et surtout ne pas les offenser. Alors la seule réponse que je devais donner c’était de tout nié en bloc. Sans aucunes once de faibrilité dans mon jeu d’acteur je lui lancais sagement la chose suivante.

- Oh Non ne vous inquiétez pas. Je ne voudrais point vous offenser.

Ne comprenant ce qu’elle était en train de faire je compris bien vite qu’elle avait, malgré tout, très bien entendu ce que je venais de dire par erreur. Malheureusement pour moi je n’avais plus vraiment d’échappatoire donc je ne pouvais que jouer le jeu en tentant de calmer la chose. Enfin au vu de ses paroles j’eu un peu des sueurs froides, ne sachant pas dire quoi que ce soit j’écoutais donc ses mots. Charmeur moi ? J’en doutais fortement. Mais avec la lecture de ses pensées à plusieurs reprises je me disais bien que je lui plaisais un tant soit peu. Du moins physiquement mais sa phrase me fit doucement sourire dans le fond et je plissais les yeux juste avant de changer de sujet. En fait je préparais déjà mon prochain coup. Alors que je commencais à changer de sujet pour parler de ma coupe de cheveux dans le fond je méditais pour trouver un nouveau petit pique à lui lancer. Bon ce n’était pas vraiment difficile tout cela. Mais c’était drole de pousser ce genre de tentation dangereuse à l’extreme. Et au moins je voyais comment elle allait réagir dans ce domaine là, la dévergonder.

Puis elle exposa sa maladresse ouvertement en confirmant ma bonne idée de me couper les cheveux. Je souriais doucement à tout cela et acquiesça ses mots. Personnellement je lui faisais confiance. Mais je faisais en sorte aussi qu’avec une petite dose de sorcellerie elle soit une coiffeuse hors pair sur le moment. J’avoue que c’était de la triche mais je ne voulais quand même pas ressembler à rien moi ! Alors je prenais des précautions. Me levant donc d’un bond je pris les choses en main et positionna la chaise au milieu de la piece à la lumière.

- Faites donc et pas d’excuse ! Vous pouvez être douée avec vos doigts alors prouvez le moi !

Oui la mes mots étaient parfaitement bien choisi. De plus, attendant qu’elle commencais un peu sa petite activité de coiffure je continuais sur la lancer en rapport avec le fait qu’elle me disait charmeur.

- Au fait, vous me voyez donc comme un charmeur ? Mais vous n’avez toujours pas rejeté mon offre, donc je suppose que vous êtes d’accord pour dormir avec moi. Bien vous ne pouvez donc plus vous désister !

Fier de moi je souriais à pleine dent. Observant le mur sans pouvoir faire quoi que ce soit d’autre je la laissa faire son petit boulot.

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Lun 15 Sep 2014 - 21:35
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Ou comment s'inviter sournoisement chez les gens

Cela ne la dérangerait pas tant que ça pour peu que ce soit véridique et en l’occurrence, elle ne se considérait pas comme telle mais c’était tout bonnement son point de vue personnel. Qui sait comment lui pouvait percevoir les choses après tout : il pouvait bien la trouver idiote mais quoi qu’il en soit, ce n’était que des mots sans importances. Elle ne se serait pas vexée mais elle aurait été fort surprise. Quoiqu’il en soit, elle n’avait pas besoin d’ajouter la moindre chose qu’il s’était rétracté redevenant un invité suffisamment respectueux. C’est toujours préférable d’éviter de froisser les gens chez qui nous sommes, non ? Question de respect et si on pousse plus loin… l’homme est un animal après tout et on ne s’en prend pas  à celui-ci sur son propre territoire. La seule différence avec les animaux, c’était que l’être humain était parfaitement conscient des conséquences que ses actes auraient alors que pour la faune, souvent ils agissaient par instinct. Nous, nous sommes parfaitement conscients que nos actes peuvent heurter, séduire, consoler ou guider. Rosanna était dans SON appartement mais elle n’était pas matériellement possessive à ce sujet et sans doute était-ce pour cela qu’il était facile de se montrer à son aise ici et de se permettre de tels propos. Heureusement, ce n’était rien et la jeune femme resta donc suffisamment souriante. Enfin jusqu’à ce qu’il finisse par prononcer d’autres propos, cette fois sur un tout autre sujet, encore un peu plus délicat. Totalement imprévu : le genre de phrases que vous sortez sans réfléchir aux conséquences et dont vous vous mordez les doigts. Pour le coup, la jeune femme en était restée bouche-bée surtout qu’avec lui, elle ne savait jamais à quoi s’attendre. Elle n’arrivait jamais à entièrement cerner sa personnalité, elle connaissait son tempérament de façon énormément approximative alors allez savoir ce qui lui était passé par la tête en cet instant. Il l’avait taquiné une bonne partie du repas sur ce sujet et voilà que désormais, on aurait pu croire qu’il se sentait coupable de ce qu’il venait de dire. A croire qu’au fond, il ne contrôlait pas tant que cela le jeu. Elle aurait presque pu croire qu’il testait ses propres limites mais cela reviendrait à supposer qu’il ne les connaissait donc pas et ce serait étrange. Elle posa une innocente question qui n’en était pas vraiment une. Elle le faisait pour ne pas rendre la situation encore plus délicate, parce qu’elle n’avait pas pu faire semblant de ne pas l’avoir entendu mais elle ne l’embêterait pas sur la gêne qui l’avait traversé. Autant se concentrer sur cette histoire de coupe de cheveux.

Elle était d’accord pour tenter de lui couper les cheveux s’il la laissait faire mais elle préférait prévenir qu’elle n’était pas une professionnelle et elle ne s’embêtait jamais à le faire puisqu’elle pouvait facilement payer un coiffeur pour elle et Kendra. D’ailleurs, il avait largement les moyens d’aller en voir un lui aussi alors était-il vraiment sûre de vouloir la laisser s’occuper de ça plutôt que de garantir la sécurité en allant dans un salon. Elle était secrétaire anciennement officier de police, pas coiffeuse par contre. A voir ses traits, elle ne pouvait que se dire qu’une coupe courte lui donnerait un air un peu moins enfantin mais ça elle ne pouvait pas lui déclamer comme cela. Elle s’était dit qu’il avait sorti cette idée juste pour changer de discussion alors elle lui laissait la possibilité de revenir sur ses propos mais elle fut étonnée de le voir se lever si brusquement et installer sa chaise au milieu de son salon, juste sous la lumière. Quoi, maintenant la coiffure ? Décidément, elle s’en souviendrait de cette soirée censée être parfaitement banale. « Faites donc » : eh bien, s’il y tenait ! Rose alla chercher un ciseau, un peigne et une serviette. Non, non elle ne chercherait pas une excuse mais bon… voilà qu’il recommençait les jeux de mots. Il n’avait donc pas retenu la leçon de tout à l’heure pensa-t-elle en levant les yeux au ciel. Elle revint, prenant entre ses mains une pince à linge et se rapprocha de lui. Elle posa la main sur son épaule et commença par poser la serviette dessus, qu’elle finit par attacher avec la fameuse pince. Bon… elle était prête ! Un léger sourire se dessina sur son visage quand elle lui répondit.

- Je ne me défile pas monsieur !

Elle prit le ciseau, le peigne et se demanda par où elle devait commencer. Les coiffeurs débutaient par un shampoing en général mais bon là ça serait complexe, si bien qu’elle ferait comme elle pouvait. En général, elle se débrouillait bien pour ce qui était manuel mais dans des domaines qui demandait nettement moins de soin. Oui on pouvait considérez qu’elle était douée de ces doigts même si ses propos étaient bien tirés par les cheveux avec une connotation un peu… malicieuse. D’ailleurs à ce propos…

- Oh si vous saviez …

Oui elle savait parfaitement que ce n’était pas de très bon goût de répondre de la sorte mais il était tout le temps en train de l’embêter aussi ! On verrait bien qui finirait par rougir en dernier et sur ces bons mots, elle prit le peigne et commença à récupérer des mèches de ses cheveux et à couper peu à peu. Bizarrement, c’était presque naturellement qu’elle s’en chargeait. Elle était assez  concentrée sur ce qu’elle faisait surtout quand il s’agissait de couper autour des oreilles. Elle faisait extrêmement attention étant donné que tout ce qui ressemblait de près de loin à une lame ou quelque chose de piquant pouvait devenir dangereux entre ses mains. Enfin en général c’était contre elle que ça se retournait. Elle continua de faire tomber les longueurs mais elle préférait éviter aussi une coupe trop courte. En plus, au ciseau, c’était plus compliqué que si elle avait eu une tondeuse mais bon elle n’était pas équipée. Personne ne venait se faire coiffer chez elle normalement. Il abusait. Elle s’arrêta quand il lui parla, histoire de ne pas faire n’importe quoi si ses mots la déconcentraient et en effet, c’était une bonne précaution car elle laissa échapper un « quoi » de surprise. Si elle le voyait comme charmeur ? Ben il n’arrêtait pas de jouer de cela donc bon elle pouvait bien le considérer comme une personne qui aime séduire. Pour la suite, elle ouvrit la bouche en se demandant comment il avait pu lui sortir cela. Elle souffla doucement et recommença son petit « travail » en cherchant le moyen de lui répondre car voilà qu’il interprétait à sa façon en estimant qu’elle voulait dormir avec lui mais elle n’avait jamais dit cela ! Comment cela elle ne pouvait plus se désister ? Elle avait beau ne pas voir son visage, elle aurait juré qu’il souriait. Même si elle ne le comprenait pas toujours, ce genre de détail, elle pouvait le deviner.

- C’est toujours vous qui me lancez sur le sujet donc c’est l’image que vous allez finir par me laisser…  Je ne vous ai pas dit oui ! Honnêtement, je ne vois pas ce qui m’empêcherait de me désister ?

Elle avait fini de couper ses cheveux comme elle le pouvait. Elle prit le peigne dans la même main que les ciseaux et passa sa paume libre dans les cheveux de son patron, histoire de faire tomber les cheveux coupés avant de se dire qu’il n’avait peut être pas trop envie qu’elle lui ébouriffe les cheveux de la sorte. Elle s’arrêta donc, posa ses instruments de torture et le laissa se débarrasser de la serviette tandis qu’elle admirait le résultat. Plus moderne, cela le changeait et il avait l’air nettement plus adulte ainsi. Si bien qu’elle le fixait avec étonnement en se mordant la lèvre inférieure : bon sang, il aurait du les couper bien plus tôt ses cheveux !

- Vous… vous avez une glace dans la salle de bain,… si vous voulez vérifier que je n’ai pas fait de catastrophe capillaire. Je…

Elle comptait passer un coup d’aspirateur et arrêter de l’observer avec tant de curiosité. Elle attendait juste qu’il se lève pour ranger la chaise et aller chercher l’appareil.
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Mar 16 Sep 2014 - 18:54
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 En tout cas elle ne se défilait pas, ca c’était une bonne chose ! J’aimais le défit et je la défiais du regard lorsqu’elle disait cela. Souriant comme toujours je la laissais donc faire son travail. Mais ce fut vraiment pas sans oublier sa petite remarque sur son doigter… Oui mes mots étaient bien choisis mais là elle poussait bien le bouchon déjà dès le début. Je ne manquais pas de m’étouffer, car de toute façon elle avait mes cheveux en mains ainsi qu’une paire de ciseau… alors si je faisais un mauvais pas je pourrais recevoir cette lame dans le crane. Non pas que ca me ferait mal ou quoi que ce soit d’autre mais alors elle découvrirait que je ne suis pas constituer comme un être humain lambda. Donc il ne fallait surtout pas tenter le diable. Il est vrai que lorsque je lui proposa de me couper les cheveux c’était assez idiot de ma part mais il fallait que je trouve un autre sujet afin de reparer mon erreur qui fut un echec d’ailleurs. Donc tout ceci était inutile… J’entendais déjà Fenrir se moquer de moi… Mais pas de problème pour autant, j’avais repris les reines et à présent j’étais prêt pour rattraper le niveau !

Or ses mots fut presque perturbant pour moi. Gardant mon sang froid je souriais doucement à sa proposition, enfin du moins à sa provocation. Elle voulait donc jouer le jeu ainsi ? Bien, qu’il en soit ainsi. Je serais prêt à jouer le jeu s’il le fallait. Fixant un point du mur je vis un cadre photo au loin qui me laissa la vision de son visage afin de savoir comment elle allait réagir à ça. Donc fièrement je murmurais doucement, mais tout de même assez fort pour qu’elle puisse comprendre, montrant parfaitement que je ne faisais pas semblant de le faire ainsi.

- A présent me voila curieux de savoir justement…

Souriant fièrement à mes mots j’observais son reflet afin de voir sa réaction. Jubilant déjà au fond de moi c’était comme si j’avais déjà vendu la peau de l’ours avant de l’avoir tuer. Revint alors le sujet du coucher. La je ne pouvais retenir mon petit rire lorsqu’elle lacha prise d’un air totalement outrée par mes propos. Riant de bon cœur je ne pouvais que me retenir pour voir ça de mes propres yeux. Gardant le sourire je ne voyais toujours pas le massacre qu’elle pouvait bien me faire, enfin si seulement elle avait le contrôle sur ses gestes justement. Mais c’était une fille qui me semblait assez méthodique, selon moi, pour se mettre à ce genre d’exercices sans problèmes. Alors que je me demandais comment je pouvais lui répondre à sa question je sortit des plus naturellement possible.

- Oh ne vous inquiétez pas pour va. Vous n’êtes pas si mauvaise au point de me laisser seul, ça je le sais.

Ce fut alors la fin du massacre capillaire. Sentant ses doigts passer dans ma tignasse je n’en fis rien. C’était agréable et puis je pense que ce fut surtout un moyen pour ne pas que je mette des cheveux partout chez elle, imaginez un peu le bordel de retrouver des cheveux de moi-même apres une semaine de ménage ! Alors qu’elle posa ses instruments je me levais doucement en retirant ma serviette avec attention, toujours dans le but de ne pas en mettre de partout. Alors qu’elle me congédia dans la salle de bain afin de voir le résultat. Sa manière assez hésitante dans sa façon de parler me fit un peu peur sur le coup alors que je la regardais je la vis mordre ses levres, ce qui me fit automatiquement sourire et lança d’un air malicieux.

- Vous avez une petite bave la… Dis je en montrant un peu son menton.

Bien sur c’était une blague mais elle me faisait rire dans sa manière de me voir. Je me sentais presque comme du gibier qu’elle allait attaquer. Alors que je me dirigeai vers la salle de bain j’entrais dans une nouvelle pièce pour moi. Je ne pouvais pas vraiment faire de commentaire sur celle-ci car pour moi c’était une simple pièce d’eau, je n’en avais pas sous les eaux donc bon ! J’observa alors le résultat, pas mal à mon avis. Donc je pris un peu d’eau dans mes doigts et me les passa sous ma nouvelle coupe afin de laisser tomber les cheveux qui tentaient de s’accrocher à ma tignasse dans le lavabo. Rincant alors les quelques traces de mon ADN reptilienne mon regard se posa sur une chose bien étrange. Un petit objet en plastique en forme de canard… Jaune mais avec une tenue assez marrante en faite. Je ne comprenais pas vraiment l’intérêt de cet objet, à mon humble avis il devait simplement flotter sur l’eau mais c’est tout ? Inutile, sauf pour des enfants. Alors que je découvris un petit bouton pour le faire vibrer ce dernier me fit quelque peu sursauter, je ne m’attendais pas à ce genre de diabolique système ! Restant tout de même amuser par la chose je retournais dans le salon avec le dit trophée.

- Dites moi ma Chère, qu’est ce donc ce jouet ? Il vous appartient ?

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Mer 17 Sep 2014 - 0:09
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N’était-ce pas une lueur de défi qu’elle avait lu dans son regard avant qu’il ne lui tourne le dos ? Il lui semblait bien et elle ne pouvait donc l’ignorer simplement. Rosanna aimait bien relever les défis en général mais parfois il valait mieux s’abstenir, sauf que c’était souvent plus fort que nous ce genre de choses. Là en l’occurrence, cela ne posait pas vraiment de problèmes de lui couper les cheveux. Seulement cela. Elle prenait même le risque de le rater mais elle saurait minimiser les dégâts et puis, elle ferait attention. Elle avait tendance à être minutieuse quand elle testait ce qu’elle n’avait pas l’habitude de faire pour réussir au mieux sa tâche. Alors quand il fut complètement tourné face au mur et qu’elle alla chercher les outils, elle ne put s’empêcher de sourire doucement. Oui cela l’amusait un peu de devoir s’occuper de lui couper les cheveux : on verrait bien comment elle s’en sortirait. Quant à la suite de ses paroles, elle était parfaitement consciente qu’elle n’aurait jamais du prononcer ce genre de choses. Ce n’était ni correct, ni très malin de sa part de le provoquer de la sorte mais elle se contrôlait presque tout le temps quand elle travaillait pour rester sérieuse et professionnelle alors si en plus, on venait la chatouiller en dehors de ses horaires professionnels, elle ne pourrait pas se canaliser complètement et voilà… c’était sorti. Bon elle assumait ses propos de toutes façons mais espérons qu’il ne serait pas trop choqué par ce qu’elle venait de lui dire. Même en dehors de son boulot, il restait son supérieur alors elle devrait faire gaffe à ce qu’elle pouvait lui dire. Du coup, elle préférait qu’il ne fasse aucun commentaire sur le sujet et qu’il se laisse gentiment coiffer par la jeune femme mais malheureusement elle comprit vite qu’il allait répondre et elle suspendit automatiquement son geste par réflexe. Elle l’entendit parfaitement alors qu’il avait parlé comme s’il voulait le dire doucement. Elle avait faillit en faire tomber son ciseau par terre mais elle l’avait tenu suffisamment bien pour qu’il ne lui échappe pas et avait fermement pincé les lèvres. Bon au moins il ne l’avait pas trop mal pris apparemment mais ce n’était pas tellement mieux de voir comment il avait tourné les choses. Elle se retint de croiser les bras pour ne pas se blesser stupidement mais elle soupira doucement. Elle reprit vite son sourire cependant. Ce n’était pas ça qui allait l’empêcher de le regarder en face par la suite. Le sujet n’était pas tabou mais il était fortement déconseillé. Elle utilisa le peigne pour ramener une mèche de cheveu entre ses doigts et coupa méthodiquement les mèches tandis qu’elle s’efforçait de répondre à cela. Ce qui n’était pas une mince affaire et Rosa avait beau essayé de peser les mots, ils étaient sur un terrain plus que glissant.

- Je vous assure que votre curiosité finira vraiment par vous perdre monsieur et il est parfois préférable d’entretenir quelques mystères.

Bon ok, cela ne voulait absolument rien dire du tout, si ce n’est qu’il avait toujours ce même défaut incroyable et qu’il ne valait mieux pas qu’il sache, non. Le souci n’était pas seulement là mais également dans le fait qu’ensuite il parle sur le fait de dormir dans le même lit. Dormir avec des hommes, bon ce ne serait pas une expérience nouvelle du tout mais ce ne serait pas très malin de dormir avec lui. Bon oui, dans un sens, ils s’étaient bien amusés à jouer au chat et à la souris tous les deux mais c’est qu’il était sacrément coriace pour le coup. Franchement, pourquoi insistait-il autant sur le sujet ? Maintenant en plus de se montrer serviable, il fallait en plus rester auprès de ses invités jusqu’au bout ? Il essayait même de la faire culpabiliser. On aurait presque dit du chantage. Presque, on n’en était pas encore rendu là. Non, elle n’était pas mauvaise mais cela n’avait rien avoir avec le contexte. Elle sourit faiblement et libérant une de ses mains, elle glissa une de ses mèches derrière son oreille. Elle n’avait pas trop envie de se faire virer et ça, ce serait une faute, n’est-ce pas ? Elle avait presque fini, alors qu’elle constatait qu’elle ne se comportait que rarement comme cela avec les autres.

- Je vous ai pourtant proposé une alternative à la solitude ! Allons, serais-je donc si mauvaise alors que je vous cède mon lit entier ? Je ne me savais pas si cruelle.

Répondit-elle alors que sa main était venue se glisser dans ses cheveux machinalement. Elle avait compris rapidement que c’était peut-être à éviter mais là encore il ne l’avait pas mal pris. A croire qu’il était un peu plus serein depuis qu’ils se connaissaient. La première fois, à l’entretien, elle avait pu discerner quelques tensions qui désormais devaient être un peu moins présentes. Elle avait donc arrêté son geste avant de se rappeler qu’en fait, c’était quelque chose qu’elle avait toujours fait : petite, quand elle se chamaillait avec son père, elle lui ébouriffait les cheveux. Ça elle l’avait complètement oublié, ce souvenir assez joyeux. Elle caressait les cheveux de son copain aussi. Et elle passait ses doigts dans la fine chevelure de Kendra quand elle devait la consoler de ses cauchemars, quand elles furent seules. En gros, ça se résumait à un symbole assez affectueux et elle préféra se convaincre qu’à l’instant cela n’avait rien avoir, qu’il s’agissait simplement d’un moyen classique pour faire tomber les derniers cheveux coupés. Sinon, ce serait vraiment étrange. Elle ne pouvait pas l’avoir accepté si vite. Elle resta encore plus surprise quand elle vit son visage avec les cheveux courts. Elle était un peu hésitante dans ses paroles et sans doute s’inquiéta-t-il de son apparence mais c’était plutôt parce qu’en fait, elle n’avait pas fait de catastrophes : il était juste tellement différent sans ses longs cheveux bruns qu’elle restait figée et elle ne comprit pas de suite ce qui le fit soudainement sourire. Elle sursauta à sa remarque moqueuse et se reprit, en allant chercher l’aspirateur tandis qu’elle grognait des paroles totalement incompréhensibles. Elle ne prit pas la peine de lui répondre et ouvrit le placard pour prendre l’engin tandis qu’il filait vers la salle de bain. Elle brancha l’appareil et profita de son absence pour avoir un peu de répit moralement parlant. Rosanna avait beaucoup de mal à maîtriser et concilier son comportement avec la situation : elle avait toujours fait preuve d’une certaine retenue dans le domaine professionnel et avec lui, cela ne marchait pas du tout parce qu’il s’efforçait de lui faire perdre pied. Elle avait pourtant toujours réussi à se tenir correctement avec ses aînés ou ses supérieurs, pas à s’amuser avec eux et jouer à chat. Elle réservait ça quand elle prenait le temps de sortir. Continuant d’aspirer, elle ne l’entendit pas revenir mais en se tournant, elle le vit du coin de l’œil et éteignit donc l’appareil. De toute façon, elle avait finit. Elle se tourna donc vers son patron et avisa l’objet qu’il tenait dans sa main. Un … oh non mais qu’est ce que ça faisait dans sa salle de bains. Ce canard en plastique devrait être coffré à double tour dans sa chambre. Selon toute vraisemblance, elle aurait du ressentir de la gêne… ou de la honte mais tout ce qui lui vint à l’esprit, c’était qu’elle était drôlement malchanceuse pour qu’il tombe là-dessus. Juste lui mais le pire c’était encore de devoir lui répondre. Un jouet… oui oui, un jouet d’adulte.

- Ben comme vous le voyez c’est un canard… vous n’allez pas me faire croire que vous ne savez pas à quoi ça sert ? Quoi que cela expliquerait pourquoi vous avez osé y toucher… Donnez-moi ça, je vous prie. En effet…. Ça m’appartient. Là... ça devrait vous dissuader de dormir avec moi !!!

Elle s’avança vers lui et tendit le bras pour le lui prendre.
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Mer 17 Sep 2014 - 1:03
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Oh ca c’est vrai que ma curiosité me perdra. Ce fut déjà le cas par le passer. Ma curiosité agacait particulièrement Odin. Je me souviens encore de la ‘’raclée’’ qu’il me donna pour avoir eu l’audace d’écouter à la porte durant un conseil de guerre. Je voulais tout savoir, pour moi le savoir était le pouvoir mais personnellement je voulais surtout savoir comment, ce que je considérais comme mon grand père à l’époque, menait ses troupes. J’étais qu’un gamin et je me souviens encore des ‘’marques’’ que sa colère m’infligeait. Bon, que je vous rassure sur un point, Odin n’était pas un homme violent. Mais disons que ses punitions avaient toujours une morale et surtout un sadisme hors pair. A se demandait s’il aimait quelqu’un parfois, même avec mon Oncle, Thor, son fils prodige, je le voyais toujours se disputait avec lui par rapport à son comportement. Alors imaginez ce qu’il pouvait faire d’un enfant qui le répugne et qui causera la mort de son fils adoré ? Bref, tout ceci n’était que passer. Et à présent j’étais libre de tuer son fils comme je le voulais. Je me contentai donc de sourire poliment à ses quelques mots et repris de si tot.

- Ma curiosité c’est ce qui m’a mené vers la création de mon entreprise et donc vers vous pour le recrutement, en somme sans ma curiosité vous ne travaillerez pas pour moi. Mais soyons moins stricts entre nous. Vous pouvez m’appeler Jore. Vous me vouvoierez au boulot afin de ne pas faire de commérage mais en dehors je vous l’interdit.

Sentant une légère détresse dans sa voix sur le fait du coucher je me sentis un peu amusé par la situation et ria doucement. Elle ne devait pas voyons, après tout elle était mon meilleur élément, et l’unique aussi certes. Mais ce n’était pas une raison. Elle était devenue une pièce maitresse dans ma quête de pouvoir. Ne voulant pas la troublée plus je fis en sorte de la rassurée sur le sujet.

- Oh non ne soyez pas si paniquée ! Votre travail ne sera jamais remis en doute quoi qu’il puisse arriver en dehors du travail. Ne vous inquiétez donc pas pour cela.

Sur le coup elle pouvait douter de mon don de lire dans les penser. Mais après tout je pouvais certainement jouer les … mentalists ! Comme les humains aimaient appeler les Hommes de science relationnelle. Personnellement ce sont juste des personnes très observatrices. Elles sont douées, certes, mais jamais autant qu’un télépathe, qui lui, ne se fatigue même pas pour connaitre tout vos secrets. D’ailleurs je me dis que je devais me concentrer un peu plus sur mes dons afin de pouvoir percevoir même en dehors des pensées présentes des personnes. Juste de quoi pouvoir fouiller dan le passer et m’amusait un peu avec la vie des gens. Savoir le passer douloureux d’une personne peut être une chose très utile pour s’en faire un allié ou encore appuyer sur les points sensible.

D’ailleurs je ne me retenais pas de lire dans son esprit afin de savoir pourquoi elle eu cette petite manie hésitante dans son mouvement pour retirer les cheveux un peu trop collants. Cela me fit doucement sourire de sentir ce genre de sentiment de sa part. Elle aurait donc de l’affection pour moi ? Enfin c’était assez étrange, surtout au vu du palmarès de personne à qui elle offrait ce genre d’affection là. Restant un peu surpris devant cette découverte j’eu tout de même un certain temps d’arret avant de reprendre le chemin vers la salle de bain. Comme un petit moment au coin du couloir ou je me stoppais pour l’observait d’un air perplexe… C’était étrange et ca me donnait encore une nouvelle raison pour apprendre à développer mon don de télépathie… Si seulement j’étais aussi puissant que Père en sorcellerie.

Pour ce qui est du malheureux objet bien étrange que je trouvais dans la salle de bain je ne compris pas très vite ce dont il pouvait bien servir. Et surtout au vu de la réaction de la demoiselle je me disais que je ne devais pas lire en elle cette fois ci, de peur d’avoir ses souvenirs assez particuliers avec cet objet. Mais arquant un sourcil et ravalant ma salive je pris une petite dose de courage et osa lui poser la question tant redoutée.

- Navré de vous décevoir mais… Je ne vois absolument pas à quoi cela pourrait servir… Pouvez-vous m’éclairer sur le sujet ?

Alors qu’elle me tendit doucement le bras j’eu une petite hésitation et par instinct, encore un peu animal je l’avoue, je reniflai doucement l’objet sans comprendre d’où venait cette odeur très particulière et encore inconnu à mon flair de Serpent… Etrange mais surement que les explications de cette charmante demoiselle m’éclairerais un tant soit peu. Lui rendant donc son précieux due j’attendis sagement la réponse en passant doucement mes mains dans mes cheveux afin d’évaluer la longue et me rassit. J’avais une étrange impression de pouvoir respirer avec cette nouvelle coupe. Un peu comme quand on porte un couvre chef toute la journée sur la tête et quand soudainement on le retire après plusieurs heures avec. Cela donnait une impression de liberté soudaine.

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Jeu 18 Sep 2014 - 0:59
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Ou comment s'inviter sournoisement chez les gens

Il souriait de manière polie mais au fond, on aurait dit qu’il avait un peu pris la mouche à propos de ce qu’elle venait de lui sortir concernant son caractère un peu trop intrusif parfois. Elle le taquinait et il faut dire qu’avec ce petit brin de fierté qu’il avait, ça devenait parfois comique de se moquer gentiment de lui, justement parce qu’au moins il ne jouait pas les indifférents contrairement au moment où la conversation devenait trop ennuyeuse à son goût. Il avait donc démarré au quart de tour cette fois mais c’est vrai que ces arguments étaient très bien trouvés en effet. Cela lui avait ouvert de nouveaux horizons de se montrer curieux et donc elle n’allait pas se plaindre effectivement qu’il ai décidé de créer son entreprise car cela lui avait permis de trouver sa place et elle n’allait pas se plaindre de travailler à ses côtés, cela se passait bien pour tout dire. Elle n’avait aucun motif de se plaindre. Bon après elle était quelqu’un de conciliant et elle travaillait avec sérieux, ce qui fait qu’elle avait rarement à déplorer quoique ce soit et il faut dire qu’elle n’aimait pas trop les conflits au sein du travail : quel intérêt si ce n’est réduire les performances ? Elle fit un peu la moue pour lui répondre mais elle ne pouvait pas dire l’inverse juste pour le contredire.

- D’accord, votre curiosité peut donc être une formidable qualité, tant qu’elle n’est pas poussée à l’excès. Dois-je donc vous en remercier puisque vous sembler avoir répondu si vivement à mes paroles ?

La suite, elle ne s’y attendait pas du tout. Etre moins stricts c’était certes possible tant que cela restait limité mais voilà qu’il lui demandait de l’appeler par son prénom. Bien entendu, elle ne l’avait jamais fait et pour cause, c’était question de respect lié à son poste qu’elle continuait de l’appeler « monsieur » et pas autrement. Pas même par son nom de famille car elle l’associait directement à son père et elle faisait parfaitement la distinction entre les deux hommes même s’ils appartenaient à la même famille. En fait, le nommer ainsi était simplement le bon moyen de maintenir la distance nécessaire : c’était sa ligne de conduite alors elle se voyait mal s’en détourner soudainement. Ce n’était pas commun à ses habitudes mais de toute façon lui n’était pas très commun comme chef. Elle devrait réussir à utiliser son prénom, en revanche, elle s’imaginait mal arrêtez soudainement de le vouvoyer, elle avait trop pris le pli. Au boulot, elle risquait de commencer à s’emmêler les pinceaux sinon et puis qu’est-ce qu’il entendait par « interdit ». C’était un peu radical non ? De toute façon, il faudrait que ce soit réciproque pour qu’elle s’accoutume à cette éventualité. Elle se passa une main dans les cheveux, un peu contrariée sur le moment. Donc le tutoyer… difficilement envisageable.

- Oui, je veux bien vous appeler ainsi mais vous ne pouvez pas m’interdire le vouvoiement. C’est un réflexe… donc je vais avoir du mal à m’en départir.

Rosanna se souciait incontestablement de ce que pourrait déclencher un rapprochement avec son patron. Elle savait qu’inévitablement cela impliquerait des changements. Elle trouvait déjà que ce n’était pas très conventionnel comme relation professionnelle. Pour autant, elle avait essayé de ne pas montrer la moindre inquiétude à ce sujet et pourtant ses propos la heurtèrent de plein fouet et elle releva les yeux vers lui fronçant les sourcils : comment avait-il pu se douter ? Soit il était perspicace, soit elle n’avait pas bien fait attention ou soit c’était une autre option qu’elle ne voulait même pas envisager. Il devait être tout de même assez doué pour décrypter de temps en temps ses réactions. Elle lui sourit et acquiesça doucement même si elle doutait que le « en dehors du travail » n’empiète pas. Elle fit cependant mine d’avoir compris ses paroles mais de ne pas avoir saisi la raison pour laquelle il en parle.

- Certes mais pourquoi me précisez cela ?

Elle était toujours un peu déstabilisée par le geste étrange qu’elle avait eu à son égard mais elle préféra mettre de côté tout cela. Elle avait fini de passer un coup d’aspirateur et le sol était de nouveau propre. Ni vu ni connu. Qui se serait douté qu’elle avait joué les coiffeuses improvisées il y a à peine cinq minutes ? Même elle ne pouvait deviner à l’avance ? Rosa programmait généralement ses soirées en fonction de ce qu’elle avait envie de faire : sortie, donner un coup de main, faire de l’informatique ou du bricolage. Pour une fois, ça la changeait et elle aimait bien le changement car la routine avait quelque chose de triste à mourir. Enfin ça pouvait vite tourner à la soirée catastrophe avec ce qu’il venait de trouver dans la salle de bain et à ce qu’il lui disait, il ne savait vraiment pas ce que c’était. Il ne pouvait pas être sérieux. Même les moins dégourdi dans le domaine connaissent ça. Elle ouvrit la bouche avant qu’il ne lui rende l’objet en question. Elle l’attrapa en rougissant très brièvement tandis qu’elle se demandait si elle devait lui expliquer ou faire totalement abstraction de cette question. Elle le regarda fixement, cherchant à savoir s’il s’amusait juste mais elle n’avait vu que des interrogations. Il passa sa main dans ses cheveux et ce mouvement la fit sourire. Il devait les avoir eu longtemps long…

- Oh lala vous êtes sérieux… ? Je ne voudrais pas vous traumatiser mais ce canard est un … euh… un jouet pour adulte tout simplement. Quand on s’ennuie… je ne vais pas vous faire un dessin !

Même si en général, le sujet ne la dérangeait pas, là elle se sentait bizarrement embarassée.
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Ven 19 Sep 2014 - 1:03
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Me remercier ? Oui si elle en voyait l’intérêt. Mais je doute qu’un simple boulot lui ferait autant plaisir, surtout que celui-ci n’était pas franchement des plus passionnant aux cotés de ce qu’elle avait déjà entreprise dans le passée. Donc je ne voyais pas mon intérêt de ce remerciement si ce dernier n’était pas vraiment sincère. En fait on ne ma jamais remercier de quoi que ce soit dans ma vie, enfin il ne me semble pas. Ce n’est pas une chose qui me manque car je ne sais pas ce que ca fait d’aider les autres personnes au point d’avoir ce genre d’affection là. Durant toute ma vie j’étais au fond de l’eau et je ne faisais que de créer des raz de marrées si je faisais un simple petit mouvement… Pas facile de survivre dans ce genre d’environnement lorsqu’on fait presque deux fois notre lieu d’habitation. Mais sous cette forme j’appréciais le grand air et j’avais toujours cette sensation de respirée lorsque je sortais de l’eau, comme un nouveau souffle. Alors là le remerciement c’était bien étrange pour donc je ne pouvais dire que ça.

- Oh si votre métier vous fait plaisir faites donc. Mais je pense que personne n’est en droit de demander un remerciement, ca tue un peu le principe non ?

Moment assez complexe le vouvoiement dans sa tête. Il est vrai que je ne voyais pas vraiment ou était le souci. Mais si elle était comme ça je ne pouvais pas la changer aussi rapide, enfin pas pour le moment. Je me sentais capable de manipuler les gens afin d’avoir des résultats allant dans mon sens à moi. Mais c’était plus compliqué si je ne voulais pas me faire d’ennemi dans cette petite entreprise. Il fallait que je fasse attention a tout un tas de chose si je ne voulais pas attirer l’attention de ses proches. Son ami, ou Homme de besoin, appelez le comme vous voulez, puis sa sœur, surtout sa sœur était un mur pour moi. Elle prenait une place importante dans sa vie et ca je le respectais plus que tout car moi aussi ma sœur était très importante à mes yeux. Mais la j’avais besoin d’avoir le contrôle de cette jeune femme alors il fallait que je fasse en sorte d’avoir Kendra sous bonne entente afin de pouvoir faire mes petites manigances comme je le souhaite. Pour ce qui est du tutoiement, ok. Je compris parfaitement le message. Je souriais simplement et dit la chose suivante afin de la rassurée.

- Pas de problème, je comprends parfaitement votre point de vue. Mais attention, ce n’est qu’une partie remise !

Oui car je ne comptais pas la laisser là sur ce sujet ci. Je comptais revenir à la charge avec un peu plus de temps d’adaptation. Et pourquoi pas moi aussi me mettre au tutoiement ? Si je faisais le premier pas alors peut être que j’arriverais a la faire changer d’avis, c’est comme montrer l’exemple apres tout.
Pour ce qui est de la remise en question en dehors du travail je souriais malicieusement. Je me disais qu’elle cherchait un peu le petit pique la non ? Alors je lui lancais sans aucunes retenir et avec amusement la chose suivante.

- Disons que si vous m’aviez raté ma coupe de cheveux alors j’aurais pu vous le faire payer durant le travail, voila tout !

Riant doucement à ma phrase je lui laisser le bénéfice du doute sur ce que je pouvais en faire de tout ca. Mais sa réponse en ce qui concernait le canard je ne me doutais vraiment pas du tout à ce que ça pouvait bien servir. Restant comme sur le cul à ses mots je restai comme bloqué sur ma chaise en fixant mon verre. Dans ma tête fila des tonnes de questions et d’images en tout genre. Malgré son explication j’avais du mal à voir comment on pouvait s’en servir. Alors que je tournais le regard vers elle je vis qu’elle aussi elle était légèrement embarrassée par la situation. Et voir son visage rougir me fit oublier ma gêne et fit sortir de moi mon esprit joueur. Joignant mes deux mains sur la table tout sourire je continuai le jeu tout gaiement, mais ayant toujours une petite appréhension de ce qu’il pouvait bien se passer.

- Oh oui s’il vous plait ! Faites moi donc un dessin afin que je comprenne parfaitement ce a quoi peut bien servir ce jouet…. !

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Sam 20 Sep 2014 - 20:32
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Ou comment s'inviter sournoisement chez les gens

Parfois il pouvait vraiment se montrer à côté de la plaque. Elle s’était longuement demandé s’il le faisait également exprès mais en réalité elle était persuadée qu’il y avait réellement des moments où il était déconnecté avec ce monde-ci. Il devait avoir l’esprit ailleurs pour ne pas avoir saisi qu’elle n’était pas sérieuse, que cette phrase n’était qu’ironie en réalité. Oui, son métier lui plaisait contrairement à ce qu’on pouvait penser pour quelqu’un qui aime bouger. C’est vrai que ce n’était pas forcément ce qu’il y avait de plus exaltant, de plus dynamique comme poste mais justement elle n’était pas épuisée physiquement par son travail. C’était plutôt le genre de poste qui vous fatigue moralement et jusque là, ça allait bien. Il faudrait vraiment pousser le bouchon loin pour l’énerver. Et en dehors de son patron, il ne valait mieux pas tenter l’expérience. Elle avait encore quelques anciens réflexes d’officière. Son ancien boulot était une très bonne expérience dans un sens : elle savait comment trouver des informations quand il le fallait par exemple. Et puis, mine de rien, il y avait une partie administrative à côté des opérations alors ça lui permettait d’avoir quelques bases de travail. Après… elle s’adaptait facilement quand elle le voulait bien, si elle se donnait l’envie de faire des efforts. Elle était maladroite, parfois trop sérieuse mais on ne pouvait pas dire d’elle qu’elle était paresseuse ou déloyale.

- Hm… c’était de l’ironie, c’est pour cela.

Elle se montrait souvent prévenante quand cela lui était utile ou quand elle estimait les autres suffisamment. C’était ce qui s’était passé quand elle allait encore en cours, elle était toujours aimable quand c’était utile ou quand elle appréciait ses camarades. Cela ne signifiait pas spécialement qu’elle se liait d’amitié avec les autres. Ça avait un peu changé quand elle avait quitté le domicile familial. Elle en avait profité pour lâcher la bride, c’était sans doute les années les plus hautes en couleurs de sa jeunesse. Ensuite, elle s’était calmée et puis … elle avait commencé à s’ennuyer et son boulot était devenu une échappatoire mais elle faisait semblant de ne rien voir. Finalement, elle avait fui la France avec sa sœur « retrouvée » pour aller recommencer sa vie aux Etats-Unis. Nouveau pays et nouvelles règles. Nouveau métier et nouveau patron ! Ce qui la changeait beaucoup parce qu’il perturbait un peu sa vision des choses : comme avec cette lubie de l’appeler par son prénom et arrêter de le vouvoyer en dehors du travail. Pas du tout dans les habitudes de la jeune femme et elle n’était pas certaine que ce soit une bonne idée : on tutoie des amis, la famille en général mais pas tout le monde. Sur certains points, elle était encore un peu vieux jeu et apparemment il ne comptait pas la laisser s’en tirer à si bon compte même s’il disait comprendre pourquoi elle réagissait ainsi. Donc en gros, elle serait finalement obligée de s’y conformer avec le temps à moins qu’il finisse par oublier. Il y avait certainement peu d’espoir de ce côté mais bon, ce n’était pas comme s’ils se croisaient souvent en dehors.

- Comment ça partie remise… Et si je n’y arrive jamais ?

Oui comment réagira-t-il ? Après tout, elle avait déjà levé des barrières entre eux et sa mère en ferait une syncope si elle avait été en vie alors si en plus, elle se mettait à lui parler de façon si « familière », elle risquait de voir un zombie frapper à sa porte d’ici peu. Déjà avec leurs discussions, il y avait de quoi se retourner dans sa tombe. Cela définissait de moins en moins une démarcation entre la vie professionnelle et personnelle alors elle n’avait pas envie d’en connaître les conséquences. C’est un peu ce qu’elle lui avait demandé et elle le regarda bouche-bée quand il lui répondit en s’amusant. Il osait lui demander de lui couper les cheveux et il se permettrait de se venger si elle n’avait pas fait quelque chose de correct ? Elle le regarda avec un petit air de reproche, manquant de faire la moue.

- Vous oseriez vous venger alors que je vous aurais prévenu que je n’étais pas coiffeuse ? Durant le travail en plus, ce serait trop injuste !  Effectivement, ne mélangeons pas avec le boulot…

Et elle ne voulait même pas savoir la manière dont elle souhaiterait la faire payer non plus. Elle préférait pouvoir faire son boulot correctement sans devoir s’ajouter du travail. D’ailleurs, il valait mieux aussi que cette histoire de « canard » reste strictement dans cette maison et qu’entre eux. Elle ne savait même pas comment elle avait pu l’envoyer dans la salle de bains sans avoir remarqué que des affaires de ce genre y trainaient. Bien évidemment, elle ne lui aurait pas dit d’aller là-bas si cela lui avait fait tilt. Peu importe, c’était déjà trop tard et elle ne lui expliqua que partiellement ce que cela pouvait être. Un instant, il parut gêné et elle crut qu’il s’en tiendrait là mais il lui suffit de la regarder pour qu’il change d’attitude et visiblement, il voulait la pousser dans ses retranchements. Evitant son regard, elle préféra s’éclipser pour aller ranger cet objet dans un endroit scellé avant de revenir un peu lentement et se rasseoir, toujours aussi peu encline à lui faire un dessin. Comment pouvait-elle se sortir de cela ? Alors, elle s’efforça de croiser son regard et elle fronça aussitôt les sourcils : Il était mi-amusé, mi-… mi quoi ? Rosanna n’allait pas réellement dessiner mais il fallait bien qu’elle dise quelque chose. Qu’elle lui explique ? N’importe qui mais pas à lui ! Pourtant si…

- … bah ce… c’est pour stimuler l’envie, c’est pour ça que ça vibre… bref, un sextoy classique. Je ne devrais même pas avoir à vous expliquer…

Elle ne prit pas le risque de lui dire de se renseigner dans un sexshop car elle imaginait très bien que ça puisse lui retomber dessus. Elle n’allait pas non plus lui dire d’en parler avec ses frères : de une parce qu’elle ne connaissait pas l’âge du plus jeune et de deux parce que si ça se trouve ils étaient tous aussi peu renseignés que lui. Encore moins à sa sœur, ce serait d’un goût beaucoup plus que douteux. En même temps, ce n’est pas un sujet qui soit très facile à aborder, ni qui soit commun à beaucoup de monde. C’est vrai que la plupart des hommes, déjà, n’aiment pas trop l’idée de ces objets, pour une raison de fierté bien souvent mais en général, ils savent justement à quoi ça sert. Là on dirait un novice… Il est des choses qu’il vaut mieux ignorer des fois et Rosa aimerait bien que son passé autant que ce canard reste des choses entièrement privées. C’était terriblement délicat de devoir se justifier devant son invité.

- Vous devriez sans doute vous reposer… on est en pleine semaine et la journée va vous paraître longue demain.

Oui elle changeait de sujet et puis, c’est vrai qu’elle avait tendance à se coucher tardivement et rester en forme le lendemain mais ce n’était pas le cas de tout le monde. D’ailleurs, elle ce qui l’embêtait un peu vis-à-vis de demain, c’était le réveil et… à ce propos, sa sœur filait en cours ou bien elle repassait à la maison avant ? Est-ce qu’elle avait cours déjà ? Bah les deux Livingstone ne se croiseraient sans doute pas de toute façon !
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